Pern
Pern | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Lot | ||||
Arrondissement | Cahors | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Quercy Blanc | ||||
Maire Mandat |
Bernard Michot 2020-2026 |
||||
Code postal | 46170 | ||||
Code commune | 46217 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
427 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 19′ 47″ nord, 1° 24′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 198 m Max. 325 m |
||||
Superficie | 25,66 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Cahors (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Marches du Sud-Quercy | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
| |||||
modifier |
Pern est une commune française, située dans le sud du département du Lot en région Occitanie. Elle fait partie du pays traditionnel du Quercy Blanc, qui correspond à la partie méridionale du Quercy et doit son nom aux calcaires lacustres de l'ère tertiaire.
Pern est une commune rurale qui, en 2021, comptait 427 habitants, après avoir atteint un pic de population de 945 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, chef-lieu du département. Ses habitants sont appelés Pernois ou Pernoises.
La commune a un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « serres de Saint-Paul-de-Loubressac et de Saint-Barthélémy, et causse de Pech Tondut ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]Pern se trouve à 10 km au sud de Cahors, 40 km au nord de Montauban, chef-lieu du Tarn-et-Garonne, 20 km au nord-ouest de Caussade (Tarn-et-Garonne) et 20 km au nord-est de Lauzerte (Tarn-et-Garonne).
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Relief et hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est arrosée par trois cours d'eau :
- la Barguelonne, affluent de la Garonne à Lamagistère et Golfech ; cette rivière[2] prend sa source dans le nord-est de la commune, entre les villages de Ventaillac et de Terry, suit approximativement la limite entre Pern et Lhospitalet, contourne Terry par l'ouest et traverse la commune, constituant ensuite la limite entre Pern et Saint-Paul-Flaugnac, avant de partir vers le sud-ouest ;
- le Lendou, sous-affluent de la Garonne par la Barguelonne et la Barguelonnette (ou Petite Barguelonne) ;
- la Lupte, sous-affluent de la Garonne par le Tarn et le Lemboulas ;
- ainsi que quelques ruisseaux affluents des précédents.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 847 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Montat à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « serres de Saint-Paul-de-Loubressac et de Saint-Barthélémy, et causse de Pech Tondut »[10], d'une superficie de 832 ha, abritant diverses espèces en limite d'aire ou en aire disjointe sur le Lot : Aphyllanthes monspeliensis, Leucanthemum graminifolium, Genista hispanica[11].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[12] :
- la « combe Perdude et serres de Pern » (954 ha), couvrant 5 communes du département[13] ;
- la « haute vallée du Lendou et serres de Cézac » (1 133 ha), couvrant 5 communes du département[14],
- les « serres de Saint-Paul de Loubressac » (778 ha), couvrant 5 communes du département[15] ;
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est longée à l'est par la route départementale 820, tronçon de l'ancienne route nationale 20 (Paris-Bourg-Madame par Limoges, Toulouse, Foix).
L'autoroute la plus proche est, un peu à l'est, l'A 20 (Vierzon-Montauban par Limoges) dont l'entrée la plus proche est celle de Cahors-Sud, à 3 km du bourg de Pern.
Deux autres routes départementales se croisent dans la commune :
- la D 55, qui relie la D 19 à la D 820, sur laquelle se trouve le bourg, à 500 mètres à l'est du croisement ;
- la D 659, qui relie Cahors à Castelnau Monratier.
On trouve ensuite plusieurs chemins vicinaux entre les villages de la commune.
La commune est desservie par la ligne d'autocar 880 du réseau régional Lio, qui relie la gare de Cahors à Castelnau-Montratier (Sainte Alauzie)[16].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Pern est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (59,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,1 %), forêts (16,5 %), prairies (4,6 %), terres arables (1,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Pern est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Barguelonne, la Lupte et le Lendou. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[20]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 1999 et 2021[21],[18].
Pern est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[22].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 244 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 244 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Origine du nom de la commune
[modifier | modifier le code]Le toponyme Pern est fondé sur un anthroponyme latin Perenis, qui a donné Pernae villa : le domaine de Perenis[pas clair][27].
Autres toponymes
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Dans l'Antiquité, le site de Pern fait partie du territoire du peuple gaulois des Cadurques, qui, après la conquête de la Gaule par Jules César, devient une cité[28] de l'Empire romain (chef-lieu : Cahors, Divona Cadurcorum), dans la province de Gaule aquitaine (chef-lieu : Saintes, puis Bordeaux).
Pern se trouve alors sur le trajet de la voie romaine reliant Toulouse (province de Gaule narbonnaise) à Cahors[29].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Politique locale
[modifier | modifier le code]En , Christelle Guerret, maire depuis 2014, annonce sa démission à la suite du vote d'une partie du conseil municipal contre le projet de création d'une commune nouvelle devant regrouper Pern-Lhospitalet-Cézac[30].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].
En 2021, la commune comptait 427 habitants[Note 4], en évolution de −7,17 % par rapport à 2015 (Lot : 0,89 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune compte 178 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 413 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 560 €[I 5] (20 740 € dans le département[I 6]).
Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 5,2 % | 7,7 % | 9,1 % |
Département[I 8] | 7,3 % | 8,9 % | 9,6 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 276 personnes, parmi lesquelles on compte 76 % d'actifs (66,9 % ayant un emploi et 9,1 % de chômeurs) et 24 % d'inactifs[Note 6],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Cahors, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 71 emplois en 2018, contre 80 en 2013 et 72 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 188, soit un indicateur de concentration d'emploi de 37,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56 %[I 11].
Sur ces 188 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 40 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 86,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 5,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]32 établissements[Note 7] sont implantés à Pern au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 32 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
10 | 31,3 % | (14 %) |
Construction | 6 | 18,8 % | (13,9 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
5 | 15,6 % | (29,9 %) |
Information et communication | 1 | 3,1 % | (1,8 %) |
Activités immobilières | 1 | 3,1 % | (3,5 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
4 | 12,5 % | (13,5 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
3 | 9,4 % | (12 %) |
Autres activités de services | 2 | 6,3 % | (8,7 %) |
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,3 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 32 entreprises implantées à Pern), contre 14 % au niveau départemental[I 15].
Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune est dans le Quercy Blanc », une petite région agricole couvrant une partie du sud-ouest du département du Lot[37]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 46 | 34 | 28 | 24 |
SAU[Note 10] (ha) | 1 107 | 1 386 | 1 472 | 1 642 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 46 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 34 en 2000 puis à 28 en 2010[39] et enfin à 24 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 48 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[40],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune est cependant en forte augmentation, passant de 1107 ha en 1988 à 1642 ha en 2020[Carte 7]( 48% en 35 ans). Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a presque triplé, passant de 24 à 68 ha[39].
Culture, patrimoine et personnalités
[modifier | modifier le code]Monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Pierre à Pern.
- Église Saint-Barthélemy à Terry.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Georges Coulonges (1923-2003), écrivain et scénariste, né à Lacanau (Gironde), est mort à Pern.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Pern sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Références de l'Insee
[modifier | modifier le code]- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Pern ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cahors », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Pern » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Pern » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Pern » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Pern » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).
Autres références
[modifier | modifier le code]- Carte IGN sous Géoportail
- Sous le nom de Grande Barguelonne, selon la cartographie Google.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Pern et Le Montat », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Montat » (commune du Le Montat) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Montat » (commune du Le Montat) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Pern », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7300917 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Pern », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « combe Perdude et serres de Pern » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « haute vallée du Lendou et serres de Cézac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « serres de Saint-Paul de Loubressac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Fiche horaires de la ligne 880 du réseau liO.
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Pern », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Pern », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, 2002, 127 p., (ISBN 2-910540-16-2), page 118.
- Civitas, notion qui, en Gaule, correspond au territoire d'un peuple gaulois reconnu par les Romains (Arvernes, Bituriges, Éduens, etc.). Le territoire de la cité des Cadurques correspond à celui du département du Lot plus le nord du Tarn-et-Garonne (jusqu'à Montauban inclus).
- Site Chemins en Quercy, « Histoire ». A préciser.
- Jean-Luc Garcia, « Lot : Christelle Guerret, maire de Pern, démissionne », La Dépêche du Midi, (lire en ligne).
- « Les maires de Pern », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- « Pern. Les premiers de Christelle Guerret à l'intercommunalité », La Dépêche du Midi, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Pern - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Lot » (consulté le ).
Notes
[modifier | modifier le code]- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[9].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).