Olivier Vodoz
| Olivier Vodoz | |
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| Fonctions | |
|---|---|
| Conseiller d'État du canton de Genève | |
| – (7 ans, 11 mois et 27 jours) |
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| Élection | 12 novembre 1989 |
| Réélection | 14 novembre 1993 |
| Prédécesseur | Robert Ducret |
| Successeur | Micheline Calmy-Rey |
| Président du Conseil d'État du canton de Genève | |
| – (11 mois et 29 jours) |
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| Législature | 53e (1993-1997) |
| Prédécesseur | Claude Haegi |
| Successeur | Guy-Olivier Segond |
| Député au Grand Conseil genevois | |
| – (12 ans) |
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| Législature | 49e à 51e |
| Président du Parti libéral genevois | |
| – (2 ans) |
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| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Vevey |
| Nationalité | suisse |
| Parti politique | PLS / PLR |
| Fratrie | Irène Gardiol Doris Jakubec |
| Entourage | Antoine Vodoz |
| Diplômé de | Université de Genève |
| Profession | Avocat |
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Olivier Vodoz, né le à Vevey, est une personnalité politique genevoise, membre du Parti libéral-radical.
Biographie
[modifier | modifier le code]Né en 1943 à Vevey et originaire de La Tour-de-Peilz, il fréquente le Collège Calvin à Genève de 1960 à 1964. Il étudie ensuite le droit à l'Université de Genève, dont il obtient le diplôme en 1967.
Jusqu'en 1989, il travaille à Genève comme avocat, de 1968 à 1971 au Barreau de Genève puis au sein de l'étude Haissly & Vodoz. Il préside l'Office du tourisme de la ville de Genève de 1986 à 1989 et l'antenne genevoise de la LICRA[1].
Il est marié et père de deux enfants.
Parcours politique
[modifier | modifier le code]Membre du parti libéral genevois, sa carrière politique débute en 1977 lorsqu'il est élu au parlement cantonal. Il reste 12 ans député.
Entre 1976 et 1978, il préside le parti libéral genevois.
Le , il est élu au Conseil d'État genevois, où il reprend le département des finances et le département des affaires militaires, succédant à Robert Ducret[2].
Il est réélu quatre ans plus tard, le , obtenant le deuxième meilleur score derrière le radical Guy-Olivier Segond. Il occupe la fonction de président du gouvernement en 1994-1995. Arrivé au terme de son second mandat en décembre 1997, il décide de ne pas se représenter et de mettre un terme à sa carrière politique[3]. Il ne fait depuis que de rares apparitions dans les médias ou la presse.
C'est la socialiste Micheline Calmy-Rey, élue au gouvernement, qui lui succède à la tête des finances du canton.
Autres mandats
[modifier | modifier le code]En mars 1998, il devient membre du conseil d'administration de l'Union bancaire privée puis de la Banque Heritage en avril 1999. Il est également membre du conseil d'administration du groupe d'assurances Helvetia de 2001 à 2008.
En 1998, il est élu au Comité international de la Croix-Rouge, dont il est l'un des deux vice-présidents depuis janvier 2006.
Divers
[modifier | modifier le code]En 1993, il participe au film L'État c'est quoi ? I : Élire de Patrick Conscience. Le film a pour but de sensibiliser les jeunes au civisme et à la politique[4].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Mémorial », sur ge.ch (consulté le ).
- Fati Mansour, « Les ruminations de l’ancien conseiller d’Etat genevois Olivier Vodoz », Le Temps, (lire en ligne, consulté le ).
- https://w3public.ville-ge.ch/seg/xmlarchives.nsf/Attachments/departement_affaires_socialesISAARframeset.htm/$file/departement_affaires_socialesISAAR.pdf
- « L'État c'est quoi ? I : Élire - ARCHIPROD », sur ARCHIPROD, (consulté le ).
Liens externes
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- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
