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Occupation de Gori

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Prise de Gori
Description de cette image, également commentée ci-après
Dégâts causés par les affrontements à Gori.
Informations générales
Date -
Lieu Gori, Géorgie
Issue Victoire russe ; occupation de la ville jusqu'au 22 août
Belligérants
Drapeau de la Russie Russie
Drapeau de l'Ossétie du Sud-Alanie Ossétie du Sud-Alanie
Drapeau de la Géorgie Géorgie
Commandants
Drapeau de la Russie Vyacheslav Borisov (en) Drapeau de la Géorgie inconnu
Pertes
aucune 12 tués ou disparus

Deuxième Guerre d'Ossétie du Sud

Batailles

Coordonnées 41° 58′ 53″ nord, 44° 06′ 34″ est
Géolocalisation sur la carte : Géorgie
(Voir situation sur carte : Géorgie)
Prise de Gori
Géolocalisation sur la carte : Caucase
(Voir situation sur carte : Caucase)
Prise de Gori
Géolocalisation sur la carte : Europe
(Voir situation sur carte : Europe)
Prise de Gori

L’occupation de Gori a été la prise de la ville géorgienne de Gori et les villages qui l'entourent par les forces russes, qui a débuté le dans le cadre de la deuxième guerre d'Ossétie du Sud, et a pris fin avec le retrait des unités russes de la ville le .

Déroulement de la bataille

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Missile russe ayant atterri dans une maison à Gori.

Après le début de la confrontations entre l'armée russe et géorgienne, le , l'aviation russe bombarde des cibles militaires dans la banlieue de la ville géorgienne de Gori. L'attaque aurait également fait des victimes parmi les civils[1], ce que la Russie dément officiellement le [2]. Après la prise de Poti, les Russes (des éléments de la 58e armée de l'air russe, appuyés par la milice ossète) lancent un assaut sur la ville de Gori alors que les unités géorgiennes sont en pleine déroute. La bataille voit le démantèlement de l'armée géorgienne.

Occupation russo-ossète

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Le , Human Rights Watch accuse les milices sud-ossètes d'avoir attaqué des civils géorgiens, accusation soutenue par l'ONG russe de défense des droits de l'homme Memorial qui parle de « pogroms ».

Retrait russo-ossète

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Le , les unités russes et sud-ossètes se retirent de la ville, laissant son contrôle aux forces de l'ordre géorgiennes.

Notes et références

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Articles connexes

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