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Neuilly-le-Vendin

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Neuilly-le-Vendin
Neuilly-le-Vendin
L'église et la mairie.
Blason de Neuilly-le-Vendin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes du Mont des Avaloirs
Maire
Mandat
Daniel Chesneau
2020-2026
Code postal 53250
Code commune 53164
Démographie
Gentilé Noculéen
Population
municipale
344 hab. (2021 en évolution de −0,86 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 29′ 45″ nord, 0° 20′ 21″ ouest
Altitude Min. 127 m
Max. 223 m
Superficie 14,60 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Villaines-la-Juhel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Neuilly-le-Vendin
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Neuilly-le-Vendin
Liens
Site web neuillylevendin.free.fr

Neuilly-le-Vendin est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 344 habitants[Note 1].

La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine dans le pays de Passais.

Géographie

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Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 772 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune du Horps à 14 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 857,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Neuilly-le-Vendin est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,8 %), prairies (37,4 %), zones urbanisées (3 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous la forme Nuillé en 1452[14]. L'abbé Angot a relevé dans divers documents : ecclésia de Nuillé (XIVe siècle)[15], parochia de Nullye (1418), Nuilly (1450)[16], ecclésia de Nuilleyo (XVe siècle[15], Nulleyum en Vendain (1509), Nulleyum in Vandano (1565),Nuillie-en-Vandin (1590), Nuillé-et-Vendain (1635[17], Nuilley-en-Vendain (1660)[18] Nuillé, Nuilly-le-Vendin[19], Neuilly-le-Vendin[Note 2],[20], Nuilly (1792), Neuilly (1795). Sur les registres d'état-civil, on trouve successivement Nuillé-Vendain ou Vandain, Nuillé-en-Vendain, Nuillé-le-Vendin, et enfin Neuilly-le-Vendin.

Le toponyme Neuilly est généralement issu du latin novellus, « nouveau », suffixé de -iacum et évoque des défrichements[14] antérieurs au Moyen Âge tardif.

Il est possible que la fondation du lieu date de l'arrivée de Constantien de Javron et Fraimbault de Lassay en forêt de Nuz au VIe siècle. Avant l'an 700 et aussi avant l'an 890, ce site serait déjà mentionné [21]. De nombreux sarcophages en calcaire coquillier ont été trouvés dans l’ancien cimetière[Note 3], dans l'ancienne église et jusque sous les fondations. Ils situent la fondation de Nuillé au VIIIe ou IXe siècle.

On trouve une première preuve de l'ancienneté de la paroisse dans les actes suivants :

  • Acte de 1145, Roberto de Nuilleio, témoin de la fondation de l'abbaye de Perseigne par Guillaume Ier de Ponthieu, comte d'Alençon.
  • Acte de 1191, Robertus de Nuille, témoin des largesses effectués pour le compte des moines de l'abbaye de Perseigne par Robert, fils de Jehan, comte de Ponthieu, et par Garinus[22] de Nuilleio, et plusieurs autres.

Le roi d’Angleterre prend sous sa protection la paroisse de Neuilly, ce qui n’empêche pas que l'un des paroissiens, au moins, nommé Robin Perruchet, n'ait pendant la guerre grevé et endommagé les ennemisen soy démonstrant loyal envers le roi qui lui accorde des lettres de rémission en 1450.

La seigneurie de Neuilly était annexée à la terre du Bois Hamelin, dont étaient seigneurs les comtes de Montreuil. Elle semble avoir conservé son autonomie et ses anciennes limites jusqu'en 1755. Vers cette époque, Vaugeois, en fut distrait et réuni à la paroisse de Saint-Ouen-le-Brisoult. En compensation, le bois Hamelin, qui dépendait de Saint-Ouen-le-Brisoult, est rattaché à Neuilly.

L'année 1611 est marquée par une sécheresse[Note 4]. Une gelée extraordinaire a lieu le . L'hiver de 1659-1660 est d'une rigueur extraordinaire[Note 5].

Politique et administration

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La mairie.
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1797 Julien Launay    
? 1798 Jean-Baptiste Maugé    
1799 1799 Jacques Garnier    
1799 1806 Pierre Legros    
1807 1815 Jean-Baptiste Ledonné    
1816 1830 Jacques de Beauvais    
1831 1850 Jean Beaumont    
1851 1855 Jean Derouet    
1856 1880 Jean-Baptiste Derouet[23]   réélu en 1871[24]
1881[25] 1884 Gustave Derouet[26]    
1885 1895 Amand Bellier   réélu en 1888[27]
1895 ? Jean-Baptiste Breton    
         
1983[28] mars 2014 Mme Dominique Rioux RPR Chef d'entreprise (directrice des Moulins Rioux), conseillère générale (1986-2001)
mars 2014[29] En cours Daniel Chesneau SE Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[29] .

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 344 habitants[Note 6], en évolution de −0,86 % par rapport à 2015 (Mayenne : −0,65 %, France hors Mayotte : 1,84 %). Neuilly-le-Vendin a compté jusqu'à 1 739 habitants en 1851.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2641 4201 4141 4251 5201 6251 5711 5681 739
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5741 4271 3321 0941 0981 020974997915
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
893840841749714690661641614
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
542453415398403426385364388
2014 2019 2021 - - - - - -
350345344------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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Activité et manifestations

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Neuilly-le-Vendin abrite une partie du site Natura 2000 du « bocage de la forêt de la Monnaie à Javron-les-Chapelles »[34].

L'ancienne église est démolie en 1894. Il est très probable que la partie primitive de l'église avec ses petites fenêtres de forme ogivale, remontait au XIIe siècle. Le chœur faisait environ 11 mètres de longueur et portait à côté de l’autel, la date de 1667. Une chapelle dédiée à saint Jean est ajoutée vers 1505. Le cimetière commun[Note 7] était situé autour de l'église. Il était encore visible en 1850. La présence d'une léproserie[Note 8], transformée par la suite en autre cimetière résulte de plusieurs documents[35]. Les inhumations y cessent en 1722, et il est reconverti en jardin pour la cure jusqu'en 1769 où il est vendu.

L'église actuelle, dédiée à la Nativité-de-la-Sainte-Vierge, date de la fin du XIXe siècle.

Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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Personnalités liées à la commune

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Magloire Roussel en zouave pontifical, vers 1869.
  • Julien Barbier, né à Saint-Calais-du-Désert en 1800 et mort à Neuilly-le-Vendin en 1873, curé de Neuilly-le-Vendin et inhumé dans le cimetière de la commune.
  • Magloire Roussel, né à Neuilly-le-Vendin en 1848 et mort à Laval en 1907, frère d'Aimable, élève du petit séminaire de Mayenne et du grand-séminaire de Laval, zouave pontifical, prêtre en 1874, aumônier puis chanoine du lycée de Laval, officier de l'instruction publique, inhumé dans le cimetière de Neuilly-le-Vendin.
  • Aimable Roussel, né à Neuilly-le-Vendin en 1845 et mort à Cossé-le-Vivien en 1882, frère de Magloire, élève du petit séminaire de Mayenne et du grand-séminaire de Laval, vicaire à Cossé-le-Vivien où se trouve encore sa tombe au centre du cimetière.

Héraldique

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Blason de Neuilly-le-Vendin Blason
D’azur, à deux fers de lance adossés, mis en fasce, touchant les bords de l’écu et joints par un bâton, le tout d’argent et accompagné en chef et en pointe d’une rose du même, coupé de l’un à l’autre.
Détails
L’azur indique la présence de plusieurs cours d’eau dont la rivière Mayenne, le ruisseau de Vendin et celui du Doitineau. Cette couleur rappelle aussi celles de l’ancienne province du Maine à laquelle se rattache Neuilly-le-Vendin.

La rose est l’une des représentations symboliques de la Vierge qui la sainte patronne du village sous le vocable de la Nativité.

La double pointe de lance réunie permet de représenter le peuplement ancien du village ainsi que l’atteste la découverte de sarcophages en calcaire coquillier. Ils sont d’origine gauloise.

La multiplication par deux de la pointe de lance et de la rose permet de rappeler que le village actuel est le résultat d’une ancienne fusion entre Neuilly et le Vendin. Cette fusion étant aujourd’hui si indissociable qu’elle justifie le mélange des couleurs dans cette distribution particulière qu’est le coupé de l’un à l’autre.

Les ornements sont deux gerbes de blé d’or, mises en sautoir par la pointe et liées d’azur afin d’honorer l’activité agricole de la commune.

Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie

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  • Annie Renoux, Les pouvoirs locaux dans la France du centre et de l’ouest (VIIIe-XIe siècles), Presses universitaires de Rennes, (lire en ligne), « Aux sources du pouvoir châtelain de Geoffroi “Seigneur de Mayenne, le plus fort homme du Maine” (c. 1040-1098)» », p. 61-89

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. Un petit étang se situe à l'extrémité est de la commune. Il sert de réservoir à un ruisseau appelé Vendin, du nom d’un village situé sur son cours, près de la source, et à 2 kilomètres environ au nord du bourg. Cet étang alimentait un moulin qui n’existait pas avant lui.
  3. Il entourait l'ancienne église en 1850
  4. Du 15 février au 10 juin, il ne tombe pas une goutte d’eau sinon et bien peu le jour de la Saint-André[Lequel ?]. Il est fait plus d’oraisons et de processions que jamais fut de cognoissance d’aucun vivant. La végétation reprit activement mais tout fut ravagé par la grêle.
  5. La neige couvrit la terre du 3 décembre au 25 mars.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Il existait un autre cimetière ou ladrerie comme d'autres communes où l'on enterrait les personnes atteintes de lèpre.
  8. Elle devait se situer sur une parcelle nommée désormais Clos des Chapelles.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 870
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Neuilly-le-Vendin et Le Horps », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le Horps », sur la commune du Horps - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Le Horps », sur la commune du Horps - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune de Neuilly-le-Vendin ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  15. a et b Cité par Pouillé.
  16. Archives nationales.
  17. Inscriptions dans l’ancienne église.
  18. Registre paroissial.
  19. Saillot.
  20. Carte de Cassini.
  21. Annie Renoux-Aux sources du pouvoir châtelain de Geoffroi “Seigneur de Mayenne, le plus fort homme du Maine” (c. 1040-1098)» 2005, p. 61-89(fig.5).
  22. Garnier.
  23. Fils du maire précédent, Jean Derouet.
  24. « NOUVELLES LOCALES - CHRONIQUE DE L'OUEST », sur fondspatrimoniaux.laval.fr, L'ECHO DE LA MAYENNE (consulté le ).
  25. « Noms des Maires et Adjoints - Canton de Couptrain », sur fondspatrimoniaux.laval.fr, L'Echo de la Mayenne (consulté le ).
  26. Fils du maire précédent, Jean-Baptiste Derouet.
  27. « Liste des Maires - Canton de Couptrain », sur fondspatrimoniaux.laval.fr, L'Avenir de la Mayenne (consulté le ).
  28. « Dominique Rioux décorée pour ses 37 ans à la mairie », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. a et b « Neuilly-le-Vendin (53250) - Municipales 2014 », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Liste des communes concernées par un site Natura 2000 en Mayenne, consulté le 9 novembre 2015
  35. M. Le Vannier, prêtre, portant les dates des 3 mars, 13 avril, 29 mai et 5 juin 1628, par ces testaments, lègue à la Fabrique le jardin des chapelles, autrefois cimetière pour le redevenir.. Mgr de Beaumanoir, évêque du Mans rappelle dans sa lettre que le nouveau cimetière abandonné était celui des pestiférés et des lépreux.