Mouvement pour le développement de Mayotte
Pour les articles homonymes, voir MDM.
.svg){kind=small}
Cet article est une ébauche concernant un parti politique français et Mayotte.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
| Fondation |
|---|
| Sigle |
MDM |
|---|---|
| Type | |
| Forme juridique |
Association déclarée |
| Objet social |
Renforcer l'ancrage de Mayotte dans la république en consolidant le statut de département français d'outre-mer par le combat politique pour la mise en œuvre rapide de l'égalité républicain à Mayotte et l'accession au statut de région ultrapériphérique (RUP) de l'Europe ; accélérer le progrès environnemental, économique, technologique et social pour tous en vue de rattraper le niveau de développement des départements français d'outre-mer et de métropole dans ces différents domaines |
| Siège | |
| Pays |
| RNA | |
|---|---|
| SIREN | |
| OpenCorporates |
Le Mouvement pour le développement de Mayotte (MDM), anciennement Mouvement départementaliste mahorais est un mouvement politique de Mayotte qui a été fondé en 1999 par des dissidents du Mouvement populaire mahorais défavorables au nouveau statut de Mayotte. Ils ont pour objectif principal l'obtention du statut départemental pour Mayotte, qui était collectivité territoriale d'outre-mer jusqu'en 2011. Le mouvement a pour président le sénateur Abdallah Hussani depuis décembre 2018, qui a été voté au poste après la mort du premier président Adrien Giraud.
Une dissidence, créée en 2007, porte le nom de « Force de l'alternance » du MDM qui s'est choisie pour leader le député Abdoulatifou Aly (qui a rejoint, au niveau national, le MoDem). La « Force de l'alternance » est la fédération mahoraise du MoDem.
Le référendum sur la départementalisation de Mayotte de 2009 a vu le oui l'emporter par 95,2 % des votes exprimés : Mayotte devient donc en , à l'occasion des élections cantonales, le 101e département français et le 5e DOM[1].
Le 30 mai suivant, une nouvelle direction prend la tête du mouvement ce qui provoque une scission menée par les quatre élus au conseil général qui se rapprochent du Nouveau centre.
