Montcuq-en-Quercy-Blanc
Montcuq-en-Quercy-Blanc | |||||
Vue de Montcuq. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Lot | ||||
Arrondissement | Cahors | ||||
Intercommunalité | CC du Quercy Blanc | ||||
Maire Mandat |
Alain Lalabarde 2020-2026 |
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Code postal | 46800 | ||||
Code commune | 46201 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 812 hab. (2021) | ||||
Densité | 23 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 20′ 23″ nord, 1° 12′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 127 m Max. 300 m |
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Superficie | 78,23 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Luzech | ||||
Législatives | 1re circonscription du Lot | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Montcuq-en-Quercy-Blanc est, depuis le , une commune nouvelle française située dans le département du Lot en région Occitanie.
Elle est issue du regroupement des cinq communes de Belmontet, Lebreil, Montcuq, Sainte-Croix et Valprionde.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]La commune est limitrophe du département de Tarn-et-Garonne. Les communes limitrophes sont Montlauzun, Porte-du-Quercy, Barguelonne-en-Quercy, Belvèze, Bouloc-en-Quercy, Montaigu-de-Quercy, Lendou-en-Quercy, Montcuq-en-Quercy-Blanc et Sainte-Juliette.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 853 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 830,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,9 | 1,8 | 4,2 | 6,4 | 9,7 | 13,1 | 14,9 | 14,9 | 11,7 | 9,2 | 5,2 | 2,6 | 8 |
Température moyenne (°C) | 5,6 | 6,5 | 9,8 | 12,3 | 15,9 | 19,5 | 21,5 | 21,6 | 18,1 | 14,4 | 9,2 | 6,3 | 13,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,4 | 11,3 | 15,3 | 18,2 | 22 | 25,8 | 28,2 | 28,3 | 24,6 | 19,6 | 13,2 | 10,1 | 18,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−19 16.01.1985 |
−14 09.02.12 |
−12 01.03.05 |
−3,3 03.04.22 |
−0,3 05.05.1979 |
3,3 06.06.1989 |
6,6 01.07.1972 |
4,9 29.08.1986 |
2,2 27.09.10 |
−4,5 25.10.03 |
−8,8 23.11.1988 |
−12 16.12.01 |
−19 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18 25.01.1995 |
25,5 27.02.19 |
26,6 25.03.1981 |
31 30.04.05 |
33,7 30.05.01 |
39,9 27.06.19 |
40 16.07.15 |
41,8 04.08.03 |
36,5 03.09.05 |
33,1 01.10.23 |
24,3 02.11.11 |
18,9 05.12.06 |
41,8 2003 |
Précipitations (mm) | 79,9 | 59,3 | 61,1 | 80,3 | 86,5 | 68,4 | 49,6 | 57,4 | 63,5 | 65,7 | 78,4 | 80,1 | 830,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La desserte de la commune est assurée par la ligne 882 du réseau régional liO, permettant de rejoindre la gare de Cahors[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Montcuq-en-Quercy-Blanc est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Montcuq-en-Quercy-Blanc est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Séoune, la Petite Barguelonne, le Boudouyssou et le ruisseau de Tartuguié. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[14]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1996 et 1999[15],[12].
Montcuq-en-Quercy-Blanc est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[16].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[17].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 178 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 178 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[19].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1995, 1997, 2003, 2009, 2011 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[12].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Dans un contexte de baisse des dotations de l'État, et afin d'obtenir le maintien de la DGF, de réaliser des économies, de mutualiser les moyens, tout en gardant une certaine autonomie aux anciennes communes[21], la nouvelle commune est créée le , entraînant la transformation des cinq anciennes communes en « communes déléguées » dont la création a été décidée par un arrêté préfectoral du [22],[23].
Le fonctionnement des mairies annexes ayant été suspendu depuis avril 2019, si ce n'est pour l'enregistrement des actes d'état-civil et afin de réduire les frais de fonctionnement de la structure, le conseil municipal du , après avoir réélu le maire sortant après les élections municipales de 2020 dans le Lot, a décidé de supprimer les communes déléguées de Montcuq, Lebreil, Sainte-Croix, Valprionde et Belmontet pour ne plus faire qu’une seule entité territoriale : Montcuq-en-Quercy-Blanc[24].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]- Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Cahors du département du Lot.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie du canton de Luzech
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Lot.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Montcuq-en-Quercy Blanc est membre de la communauté de communes du Quercy Blanc, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2014.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Pierre de Rouillac. Le chœur et ses peintures murales ont été classés au titre des monuments historiques en 1980. La nef, à l'exclusion du clocher, a été inscrite au titre des monuments historiques en 1980[27].
- Chapelle Saint-Aignan de Rouzet
- Église Saint-Antoine de Valprionde
- Église Saint-Avit de Belmontet. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[28].
- Église Sainte-Croix de Sainte-Croix. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[29].
- Église Sainte-Marie-Madeleine de Caminel. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[30].
- Église Saint-Étienne de Lebreil. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[31].
- Église Saint-Félix de Saint-Félix.
- Église Saint-Hilaire de Montcuq. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[32]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[32].
- Église Saint-Privat de Montcuq.
- Église Saint-Sernin de Saint-Sernin.
-
Église Saint-Pierre de Rouillac
-
Église Saint-Félix de Saint-Félix
-
Église Saint-Hilaire de Montcuq
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Nino Ferrer, nom de scène d'Agostino Arturo Maria Ferrari (1934-1998), est un auteur-compositeur-interprète et acteur italien naturalisé français[pourquoi ?].
- Neil Innes (1944-2019), écrivain et chanteur britannique de chansons comiques, connu pour son travail avec les Monty Python et pour avoir fait partie du Bonzo Dog Doo-Dah Band, puis du groupe parodique les Rutles, y est mort.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- site de la commune
- « Montcuq-en-Quercy-Blanc »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la géographie :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montcuq - Rouil » (commune d'Anglars-Juillac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montcuq - Rouil » (commune d'Montcuq-en-Quercy-Blanc) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Fiche horaires de la ligne 882 du réseau liO.
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Montcuq-en-Quercy-Blanc ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Montcuq-en-Quercy-Blanc », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Montcuq-en-Quercy-Blanc », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Montcuq. La commune nouvelle a élu son maire et ses adjoints », La Dépêche du Midi, (lire en ligne, consulté le ) « C'est sans surprise Alain Lalabarde, unique postulant à la fonction, qui a été élu maire de la commune avec 36 voix, 3 voix allant à Patrice Caumon, maire de Valprionde, qui ne se présentait pas, et 11 blancs ou nuls ».
- « Arrêté préfectoral du 20 octobre 2015 portant création de la commune nouvelleMontcuq-en-quercy-blanc », Recueil des actes administratifs de la préfecture du Lot, nos 46-2015-013, , p. 14-17 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- « Montcuq. 2015, une année clé pour la commune », La Dépêche du Midi, (lire en ligne, consulté le ) « 2015 a été une année clé pour la commune de Montcuq. En mars elle a vu son canton disparaître au profit de celui de Luzech, avec l'élection d'une nouvelle conseillère départementale, Maryse Maury, en binôme avec Marc Gastal. À peine signés les nouveaux statuts de l'intercommunalité Montcuq-Castelnau-Montratier, les élus ont refusé à l'unanimité le schéma départemental proposé par la préfète qui préconise un rapprochement avec la Vallée du Lot et du Vignoble. Le projet de commune nouvelle a été mené par les maires de Montcuq, Belmontet, Valprionde, Lebreil et Sainte-Croix. Montcuq-en-Quercy-Blanc verra le jour le 1er janvier 2016 ».
- « Montcuq. Suppression des mairies annexes », La Dépêche du Midi, (lire en ligne, consulté le ) « C’est le 26 mai qu’Alain Lalabarde a été reconduit comme on s’y attendait dans sa fonction de maire de la commune de Montcuq-en-Quercy-Blanc (...) Les permanences des quatre mairies annexes n’étant plus assurées depuis le mois de mars 2019, et afin de réduire les coûts de fonctionnement de ces mairies qui ne servaient plus qu’à l’enregistrement des actes d’état civil, la suppression des communes déléguées de Montcuq, Lebreil, Sainte-Croix, Valprionde et Belmontet a été décidée, puis votée, pour ne plus faire qu’une seule entité territoriale : Montcuq-en-Quercy-Blanc ».
- Marie-Cécile Itier, Didier Quet, « Municipales 2020. Alain Lalabarde, candidat à sa réélection à Montcuq dans le Lot : Le maire sortant de Montcuq, dans le Lot, Alain Lalabarde, tire un bilan de son mandat et annonce sa candidature aux Municipales 2020 », Actu Lot, (lire en ligne, consulté le ).
- INSEE, Recensement général de la population 2016, Document mentionné en liens externes.
- « Eglise de Rouillac », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Église paroissiale Saint-Avit », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Église paroissiale Sainte-Croix », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Église paroissiale Sainte-Marie-Madeleine », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Église paroissiale Saint-Etienne », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Église paroissiale Saint-Hilaire », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).