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Marie de Guise (1515-1560)

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Marie de Guise
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Marie de Guise

Titres

Reine d’Écosse


(4 ans, 6 mois et 26 jours)

Prédécesseur Madeleine de Valois
Successeur François II de France

Régente du royaume d'Écosse

Prédécesseur James Hamilton
Biographie
Dynastie Maison de Guise
Naissance
Bar-le-Duc (Duché de Lorraine)
Décès (à 44 ans)
Château d'Édimbourg (Écosse)
Sépulture Abbaye Saint-Pierre-les-Dames
Père Claude de Lorraine
Mère Antoinette de Bourbon
Conjoint Louis II d'Orléans-Longueville
(1534-1537)
Jacques V d'Écosse
(1538-1542)
Enfant François III d'Orléans-Longueville
Jacques Stuart
Robert duc d'Albany
Marie Ire Reine d’Écosse
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Marie de Guise aussi appelée Marie de Lorraine, née le à Bar-le-Duc et morte le à Édimbourg, fut duchesse de Longueville puis reine de 1538 à 1542 et régente d'Écosse. Fille de Claude de Lorraine et d'Antoinette de Bourbon-Vendôme, elle appartient à la branche de Guise de la maison de Lorraine, elle est la nièce du duc Antoine Ier de Lorraine et de Bar dit « Le Bon ».

Elle épouse en premières noces le duc de Longueville, puis en 1538 le roi Jacques V d'Écosse, devenant sa seconde épouse, membre de la dynastie des Stuart. Elle eut notamment pour petit-fils Jacques Ier, qui réunit en 1603 les trônes d'Écosse et d'Angleterre sous l'autorité d'un seul monarque. Elle a une fille nommée Marie Stuart, qui se maria avec le roi de France pour unir les deux pays.

Famille et enfance

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Claude de Lorraine

Marie est née à Bar-le-Duc dans le duché de Lorraine le 22 novembre 1515, un peu plus de deux mois après la bataille de Marignan, elle était la fille ainée d'une fratrie de douze enfants du premier duc de Guise, Claude de Lorraine et d'Antoinette de Bourbon, et la sœur de François de Guise, qui prit la tête des catholiques intransigeants durant les guerres de religion. Si son père, valeureux officier au service des rois de France, fut naturalisé français, il n'en garda pas moins la distinction de prince « issu d'une famille souveraine étrangère » à la cour de France et conserva les honneurs qui allaient de pair avec cette dignité. La famille de Guise, comme la maison de Lorraine tout entière, était alors ouvertement engagée dans la défense de la cause catholique. La mère de la princesse est issue de la maison de Bourbon, qui descend du roi Louis IX de France. Par elle, Marie est une cousine germaine d'Antoine de Bourbon, roi de Navarre duc de Vendôme et père du roi Henri IV de France. A 5 ans elle est faite marraine de sa sœur cadette Louise. Peu de temps après, elle rejoint sa grand-mère maternelle Philippe de Gueldre au couvent des Clarisses de Pont-à-Mousson. Vers l'âge de 14 ans, son oncle Antoine de Lorraine, duc de Lorraine, et sa tante Renée de Bourbon-Montpensier lui rendent visite. Impressionnés par les qualités et la stature de leur nièce (elle fait près d'1m80 à une époque ou la taille moyenne avoisinait les 1m60 à l'instar de Charles Quint), ils l'éloignèrent du couvent et la préparèrent à la vie à la cour de France. En 1531, Marie fit sa première apparition et ses débuts lors du mariage de François Ier et d'Éléonore de Habsbourg. Elle noue une amitié avec les filles du roi, Madeleine (à qui elle succédera plus tard en tant que reine d'Écosse) et Marguerite de France.

Premier mariage

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Armoiries de Marie de Guise durant son premier mariage

Marie de Guise fut élevée pendant 10 ans au château de Frouard[1] et reçut une excellente éducation catholique au couvent des Clarisses de Pont-à-Mousson avant d'épouser le à 18 ans, au Louvre, Louis II d'Orléans, duc de Longueville grand chambellan de France, dont elle eut deux fils, François III d'Orléans, duc de Longueville, né le (mort en 1551) et Louis d'Orléans-Longueville né en 1536 et mort la même année. Le 9 juin 1537, Louis meurt à Rouen et la laisse veuve enceinte à l'âge de 21 ans. Pour le reste de sa vie, Marie garde le dernière lettre de son bon mari et ami Louis, qui mentionnait sa maladie et expliquait son absence à Rouen. On peut encore le voir à la Bibliothèque nationale d'Écosse.

Reine d’Écosse

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Veuve à 20 ans du duc de Longueville, Marie était une jeune femme riche et brillante. Au roi Henri VIII d'Angleterre qui s'intéressait à elle notamment pour sa très grande taille (environ cinq pieds et onze pouces soit 1,80 m), elle fit savoir avec ironie « qu'elle n'avait pas le cou assez long », faisant allusion à la décapitation d'Anne Boleyn, précédente épouse du roi[2]. C'est l'ambassadeur de France à Londres[3], Louis de Perreau Sieur de Castillon, qui lui annonça la demande[4].

Contrat avec Jacques V d'Ecosse

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Jacques V et Marie de Guise, XVIe siècle.
Armoiries de Marie de Guise, reine d’Écosse (1560).

L'alliance de François Ier et du roi d'Écosse Jacques V se concrétisa quand celui-ci, d'abord fiancé à Marie de Bourbon-Vendôme[5],[6]mais qu'il n'a pas aimé en se rendant à Lyon auprès de la cours de France pour la voir, cousine de Marie de Guise, il épousa finalement Madeleine de France agée de seulement 16 ans et dont François 1er fut réticent au début à la marier dans un pays du nord du fait de sa santé fragile, mais la jeune fille était de complexion délicate et mourut quelques mois plus tard de la tuberculose. Jacques V entêté à avoir une épouse français renvoya ses ambassadeur auprès de François Ier qui était pour lui l'exemple du roi chevaleresque, grand, sportif, victorieux etc. Selon un écrivain du XVIIe siècle, William Drummond de Hawthornden, Jacques V avait remarqué les attraits de Marie lorsqu'il se rendit en France pour rencontrer Madeleine et Marie de Bourbon, et elle était la suivante dans ses affections. Le roi François Ier de France a accepté la proposition de Jacques plutôt que celle d'Henri et a transmis ses vœux au père de Marie. François fit préparer un contrat de mariage qui offrait à Jacques une dot aussi importante que si Marie était née princesse de France, ce qui montre un symbole fort de l'amitié et de la proximité des deux peuples. La mère de Marie trouva le contrat « merveilleusement étrange », car le roi avait inclus l'héritage du fils de Marie François dans la dot. Elle ne souhaitait pas quitter sa famille et son pays, d'autant plus qu'elle venait de perdre son premier mari et son plus jeune fils Louis. Il semblerait que son père ait tenté de retarder les choses. David Beaton (qui fut nommé cardinal en 1538 et deviendra un de ses principaux conseillers une foi reine ainsi qu'ami) se rendit en France pour les négociations de mariage. Il écrivit à Jacques V de Lyon le 22 octobre 1537 que Marie était « austère (forte), au teint clair et apte à voyager ». Beaton a écrit que le duc de Guise était "merveilleusement désireux de l'expédition et d'une fin précipitée de l'affaire", et avait déjà consulté son frère, le duc de Lorraine, et Marie elle-même, qui était avec sa mère en Champagne attendant la résolution des négociations. Le contrat de mariage fut finalisé en janvier 1538, Jacques V recevant une dot de 150 000 livres. Comme c'était la coutume, si le roi mourait le premier, Marie conserverait toute sa vie ses maisons communes du palais de Falkland, du château de Stirling, du château de Dingwall et du château de Threave, ainsi que les locations des comtés de Fife, Strathearn, Ross et Orkney, et le seigneuries de Galloway, Ardmannoch et des îles. Finalement, Marie a accepté l’offre et a fait des plans de départ précipités. Le mariage par procuration de Jacques V et de Marie de Guise eut lieu le 9 mai 1538 à la Sainte Chapelle du château de Châteaudun. Quelque 2 000 seigneurs et barons écossais sont venus d'Écosse à bord d'une flotte de navires dirigée par Robert Maxwell pour y assister. L Maxwell représentant lors de la cérémonie Jaques V. Elle qui quitta la France et embarqua au Havre le 10 juin 1538, laissant derrière elle son fils de trois ans, François, duc de Longueville qui sera élevé par sa grand mère Antoinette de Bourbon.

Elle atterrit en Écosse 6 jours plus tard à Crail dans le Fife. Elle est venue dans une flotte de trois galères françaises commandées par Jacques de Fountaines, sieur de Mormoulins. Elle fut officiellement reçue par le roi à St Andrews quelques jours plus tard au milieu de spectacles et de pièces de théâtre joués en son honneur. Arriver en Ecosse, Marie de Guise dit au roi Jacques V qu'on lui avait présenté un pays barbare et hostile mais que ce n'en était pas le cas[6], de quoi le roi fut charmé. Ils se sont mariés en personne à la cathédrale de St Andrews le 18 juin 1538. La mère de James, Marguerite Tudor, a écrit à son frère Henri VIII en juillet : « J'espère qu'elle se révélera une princesse sage. J'ai été beaucoup en sa compagnie et elle porte elle-même très honorablement envers moi, avec de très bons divertissements. ». En août, elle visita les Highlands avec Jaques pour un voyage de chasse à Glen Finglas. Sa mère lui envoie des maçons, dont Nicolas Roy, des mineurs et un armurier. Elle avait un peintre français, Pierre Quesnel, pour décorer ses palais. Sa maison comprenait un nain et un bouffon qui étaient tous deux vêtus de vert. Depuis plusieurs règnes du fait de l'instabilité politique peu de réalisation avait été faite, elle fit moderniser ses palais à la mode française. En décembre 1538, la cour se trouvait au palais de Falkland et ses dames d'honneur recevaient des robes de velours violet ou noir, avec des jupes en taffetas blanc, en damassé rouge ou en satin noir. Ses servantes recevaient des robes en tissu noir de Paris et marron français. Le 24 août 1539, ils effectuèrent un pèlerinage sur l'île de May dans le Forth. Ils prirent trois navires, le Unicorn (la licorne), le Little Unicorn (la petite licorne) et le Mary Willoughby. On croyait qu'une visite au sanctuaire de saint Adrien pouvait aider une femme à tomber enceinte car Jacques V était pressé d'avoir enfin un héritier au trône. Elle fut couronnée reine à l'Abbaye de Holyrood le 22 février 1540. Les préparatifs de son couronnement avaient commencé en octobre 1539 lorsque le joaillier John Mosman fabriqua une nouvelle couronne en or et que son sceptre d'argent fut doré. Les paiements effectués pour la cérémonie comprennent l'accrochage des tapisseries ; transporter le mobilier de l'église de la chapelle du palais jusqu'à l'abbaye ; la présence de onze aumôniers; planches pour scènes de l'Abbaye ; et des messagers envoyés pour convoquer les dames du royaume. Une salve de 30 canons a été tirée depuis la tour David dans le château d'Édimbourg, et des feux d'artifice ont été conçus par James et réalisés par ses artilleurs royaux[7].

Le à Saint-Andrews, elle épousa donc le roi Jacques V d'Écosse dont elle eut trois enfants, deux fils, Jacques, duc de Rothesay, et Robert, duc d'Albany, tous deux morts au berceau. Jacques V qui était un hommes assez volage, néanmoins devint un père exemplaire, mais leur décès le fit retomber dans ses anciens démons. Puis vint une fille née le  : Marie, future reine d’Écosse. Le roi Jacques V aurait dit cela a commencé par une fille et cela termine par une fille en référence à Robert II qui avait fait monté la dynastie Stuart sur le trône par le fait que David II n'avait pas d'enfant et que sa soeur Marjorie Bruce fut nommé héritière et étant morte son fils est monté sur le trône. À la mort de son époux en 1542, elle est nommée régente pour le compte de sa fille[8].

Régente d'Écosse

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Jacques V étant mort le , six jours après la naissance de leur fille. Le gouvernement de l'Écosse fut d'abord confié à James Hamilton, 2e comte d'Arran, comme régent. Henri VIII d'Angleterre souhaitait que l'enfant épouse son fils, le prince Edward, futur Édouard VI. Cela a conduit à des conflits internes en Écosse entre ceux qui étaient favorables au mariage et ceux qui préféraient l'alliance avec la France et a conduit à une invasion anglaise, ce qu'on appelle le Rough Wooing. Marie de Guise a déclarée au diplomate anglais Ralph Sadler que le régent Arran était un « homme simple » et qu'elle pouvait facilement découvrir « toute son intention ». En juillet 1543, elle déménagea avec l'enfant au château de Stirling. Lorsque Ralph Sadler lui a de nouveau parlé en août, elle lui a assuré que le mariage anglais aurait lieu lorsqu' aurait dix ans. Pendant ce temps, Mary était en sécurité à Stirling ; Guise a déclaré qu'elle était heureuse d'être à Stirling et "qu'elle y a beaucoup loué à propos de la maison". Il devint bientôt clair pour Henri VIII que Mary et Edward ne se marieraient pas, malgré les promesses écossaises et le traité de Greenwich, et à la fin de 1543, il lança la guerre désormais appelée la Rough Wooing, dans l'espoir de renverser la situation. En 1544, elle fut le fer de lance d'une tentative infructueuse pour remplacer Arran comme régente[9],[6].

La régence de Marie

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Marie de Guise assuma la régence du royaume d'Écosse à partir du [10]et cela pendant 6 ans jusqu'à sa mort. Après une défaite écossaise à la Bataille de Pinkie Cleugh en septembre 1547, l'aide militaire française affaiblit la détermination anglaise et renforça la base de pouvoir de Marie de Guise, restée en Écosse. Équipée d'une lance nouvellement peinte pour son étendard royal, Marie vint constater la progression du Siège de Haddington en juillet 1548. Le 9 juillet, son groupe arriva à portée des canons anglais et seize membres de son entourage furent tués autour d'elle. À la suite de cet incident terrifiant, elle donna à l'un de ses artilleurs -Andro Straitoun- une récompense de 4 £ écossaises (équivalant à un mois de salaire). S'appuyant sur des troupes françaises, elle combattit, dès son arrivée en Écosse, l'expansion du mouvement presbytérien, un protestantisme spécifique à l'Écosse, plus proche du protestantisme hollandais ou français que de l'église anglicane. En raison de ce combat sanglant, elle fut violemment dénoncée par le théologien presbytérien John Knox, disciple et ami de Jean Calvin. Toujours alliée à la France, elle fut choisie en 1550 pour être la marraine du prince Louis de France, second fils du roi Henri II et de la reine Catherine de Médicis, titré duc d'Orléans. En 1558, Marie Stuart, âgée de 16 ans et élevée en France, fut mariée avec le dauphin François (futur roi François II de France)[11],[12], dans le respect des termes de l'Auld Alliance de 1543. La famille de Guise espérait ainsi consolider un empire franco-écossais, combattant le protestantisme, à l'image de leur allié l'empereur Charles Quint et de son fils Philippe II d'Espagne, qui avait épousé en 1554 la reine Marie Ire d'Angleterre et tentait de restaurer le catholicisme dans son pays. Marie de Guise n'est pas toujours bien vue de la noblesse écossaise dont elle ne comprend pas la volonté d'indépendance très forte, d'autant que leur pouvoir a été diminué au profit de l'église catholique. De plus elle fait appel à beaucoup de français pour la conseiller ou la représenter en tant qu'ambassadeurs, notamment à la cour de France. Elle fait appel à la marine française ainsi que des troupes françaises quand elle croit que son pouvoir s'estompe[13].

Fin de vie et mort

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En 1558, la cousine de Jacques V, Marie Ire d'Angleterre, meurt. La fille de Marie de Guise, Marie Stuart, est alors la plus proche parente catholique de la reine défunte et peut à ce titre revendiquer le trône d'Angleterre, bien qu'en violation des termes du Troisième Acte de Succession au trône d'Angleterre. Le trône va à la jeune Élisabeth, seule reine légitime selon le dit Acte, demi-sœur protestante de Marie Tudor, sans aucune attache espagnole et beaucoup moins encline que sa demi-sœur aînée à combattre des protestants écossais de plus en plus nombreux. La nouvelle souveraine n'aura ni mari ni enfant, mais restera près de 45 ans sur le trône.

L'année suivante, sa fille Marie et François de France accèdent au trône des Lys, s'intitulant « roi et reine de France et d'Écosse ». Pendant ce temps, en Écosse, Marie de Guise rencontre une opposition croissante des presbytériens, encouragée par la nouvelle reine d'Angleterre. La révolte de l'opposition protestante écossaise (Covenant), majoritaire au parlement, appuyée par des relais dans l'aristocratie et le soutien de l'Angleterre, va en s'amplifiant lorsque, le , Marie de Guise meurt à l'âge de 44 ans. Elle est enterrée à l'Abbaye Saint-Pierre-les-Dames à Reims. Elle y reposera jusqu'à la révolution française ou son tombeau sera ouvert et détruit par les révolutionnaires[6].

Le traité d'Édimbourg du ordonne alors l'expulsion des soldats français, puis, en , le protestantisme est proclamé religion d'État par le parlement écossais.

Plaque commémorative de 1911 au château d’Édimbourg.

François II meurt prématurément en , après dix-sept mois de règne, sans laisser de postérité. Marie Ire d'Écosse, qui s'était retirée à Reims, rentre alors en Écosse, un pays qu'elle ne connaît pas. En conflit avec Élisabeth Ire, elle est maintenue dix-huit ans en résidence forcée avant d'être exécutée en 1587.

Le fils de Marie Stuart, dernière reine d'Écosse, Jacques I, petit-fils de Marie de Guise, monte en 1603 sur le trône d'Angleterre, unifiant en sa personne les deux pays ennemis.

Dans la culture populaire

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Parmi d'autres apparitions cinématographiques, Marie de Guise est un des personnages principaux du film Elizabeth[14] et de la série Reign : Le Destin d'une reine[15].

Notes et références

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  1. Michel Perrin, Les grandes heures de la Lorraine, p. 116.
  2. Orthense Dufour, Marie Stuart, Édition Durocher, p. 27.
  3. « Monsieur de Castillon », sur man8rove.com (consulté le )
  4. Cédric Michon, Henri VIII (• Prix de la biographie historique de l'Académie française): La démesure au pouvoir, Place des éditeurs, (ISBN 978-2-262-10137-4, lire en ligne)
  5. Gonzague Saint Bris, François Ier et la Renaissance, Librairie générale française, coll. « Le livre de poche », (ISBN 978-2-253-12913-4)
  6. a b c et d Michel Duchein, Histoire de l'Écosse: des origines à nos jours, Tallandier, coll. « Texto », (ISBN 979-10-210-4239-1)
  7. Antonia Fraser, Mary, Queen of Scots, Mandarin, coll. « Mandarin paperback », (ISBN 978-0-7493-0108-8)
  8. (en) Agnes Strickland, Lives of the Queens of Scotland and English Princesses: Margaret Tudor. Magdalene of France. Mary of Lorraine, W. Blackwood, (lire en ligne)
  9. Amy Blakeway, Regency in sixteenth-century Scotland, Boydell Press, coll. « St Andrews studies in Scottish history », (ISBN 978-1-84383-980-4)
  10. « Scotland: the story of a nation », Choice Reviews Online, vol. 39, no 09,‎ , p. 39–5402-39-5402 (ISSN 0009-4978 et 1523-8253, DOI 10.5860/choice.39-5402, lire en ligne, consulté le )
  11. Jean-François Solnon, Henri III: un désir de majesté, Perrin, coll. « Collection Tempus », (ISBN 978-2-262-02640-0)
  12. « Henri II, le dernier roi chevalier », sur FranceTvPro.fr, (consulté le )
  13. Relations politiques de la France et de l'Espagne avec l'Écosse au XVIe siècle : papiers d'état, pièces et documents inédits ou peu connus tirés des bibliothèques et des archives de France: Correspondances françaises 1515-1560 (François Ier, Henri II, Renouard, (lire en ligne)
  14. Jouée par Fanny Ardant.
  15. Jouée par Amy Brenneman.

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Article connexe

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Bibliographie

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  • Annette Bächstädt, Bruno Maes, Christine Sukic (dir.), Marie de Lorraine-Guise (1515-1560), un itinéraire européen, dossier de la revue Annales de l'Est, 2017, no 1.
  • Armel Dubois-Nayt (dir.), Marie de Guise et les transferts culturels, dossier de la revue Études Épistémè, no 37, 2020.
  • Michel Duchein, Histoire de l'Ecosse des origines à nos jours, Texto, isbn 979-10-210-4239-1 des pages 250 à 292