Mérigny
Mérigny | |||||
La place de l'Église et l'église Saint-Sulpice. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Indre | ||||
Arrondissement | Le Blanc | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Brenne - Val de Creuse | ||||
Maire Mandat |
Michel Liaudois 2020-2026 |
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Code postal | 36220 | ||||
Code commune | 36119 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Mérinois | ||||
Population municipale |
544 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 37′ 55″ nord, 0° 55′ 36″ est | ||||
Altitude | Min. 67 m Max. 136 m |
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Superficie | 31,77 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Le Blanc (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Blanc | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Indre
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | merigny.fr | ||||
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Mérigny est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le sud-ouest[1] du département, à la limite avec le département de la Vienne. Elle est située dans la région naturelle du Blancois, au sein du parc naturel régional de la Brenne.
Les communes limitrophes[1] sont : Ingrandes (5 km), Nalliers (6 km), Fontgombault (7 km), Sauzelles (7 km), Saint-Pierre-de-Maillé (8 km), Lurais (8 km), Saint-Aigny (8 km) et Saint-Germain (9 km).
Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Le Blanc (10 km), Châteauroux (62 km), La Châtre (81 km) et Issoudun (88 km).
Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : la Rochebellusson, le Bois, la Bauducellerie, Chantemerle et le Ploudray[2].
Géologie et hydrographie
[modifier | modifier le code]Mérigny dispose de six cavités souterraines naturelles nommées « fontaine de Cul-Froid », « grotte Lhéritier », « grotte Pailler », « grotte de Gaudon », « grotte du Rocher de la Dube » et « grotte de la Roche noire ».
La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].
Le territoire communal est arrosé par la rivière Anglin[2].
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La rivière Anglin en 2011.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 747 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune du Blanc à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 776,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 27, 27A, 43, 50, 53 et 95[10].
La ligne de Saint-Benoît au Blanc passait par le territoire communal, une gare (Ingrandes - Mérigny) desservait la commune. Les gares ferroviaires les plus proches sont les gares de Châtellerault[10] (42 km) et Argenton-sur-Creuse[10] (50 km).
Mérigny est desservie par la ligne O du Réseau de mobilité interurbaine[11].
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 74 km.
Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée 48[2] et par le sentier de grande randonnée de pays de la Brenne[2].
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La place du 8-Mai en 2011.
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La rue du Stade-Paul-Benazet en 2011.
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L'ancienne gare d'Ingrandes - Mérigny en 2013.
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L'arrêt de bus L'Aile Bleue en 2011.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Mérigny est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Blanc, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[13]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,3 %), forêts (29,6 %), zones agricoles hétérogènes (20,7 %), prairies (6,5 %), zones urbanisées (0,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Logement
[modifier | modifier le code]Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[17] de la commune :
Date du relevé | 2013 |
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Nombre total de logements | 391 |
Résidences principales | 62,7 % |
Résidences secondaires | 19,9 % |
Logements vacants | 17,4 % |
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale | 76,3 % |
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Mérigny est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[20].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 59,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 381 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 273 sont en aléa moyen ou fort, soit 72 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[22].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2017 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[18].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Ses habitants sont appelés les Mérinois[23].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]L'homme était présent sur ces terres à l'époque préhistorique, comme en témoignent les nombreux outils en silex éclaté ou poli retrouvés : des haches, des couteaux, des pointes de flèche, des marteaux, des racloirs. Cependant, on ne rencontre ni tumulus, ni dolmen et ni menhir sur la commune[24].
Le site de la Vieille Grange, prospecté par le Dr Jacques Allain en 1972, a livré du Châtelperronien[25] sous la forme d'un lambeau de couche piégé dans une brèche[26].
La grotte de la Roche Noire a servi de sépulture collective à l'âge du fer.
Antiquité
[modifier | modifier le code]À l'époque gauloise, la région était frontalière au peuple des Bituriges (Bourges) et à celui des Pictaves (Poitiers). À cette époque, les hommes travaillaient aisément le fer et le bronze, nécessaires pour la fabrication des harnais, des chars et des armes. Ils étaient chasseurs et bergers, élevaient des troupeaux de porcs, cultivaient le blé, le chanvre et le lin et croyaient à l'immortalité de l'âme et à une vie future[24].
À l'époque gallo-romaine, la civilisation latine s'implanta en apportant la religion chrétienne et la culture de la vigne. L'agriculture et le commerce se développèrent autour de la demeure d'un maître gaulois du nom de « Marinus, Marinius ou Mariniacus » d'où provient le nom de Mérigny (la villa de Marinius)[24].
Puis vint l'époque des grandes conquêtes. Les Romains furent chassés des terres en 475 par les Wisigoths, eux-mêmes chassés par Clovis en 507. Les rois de France et seigneurs de province se succédèrent. Pour se protéger des envahisseurs, les hommes bâtirent des châteaux forts sur des lieux stratégiques. Pour cela les bords de l'Anglin offraient un relief intéressant[24].
Moyen-Âge
[modifier | modifier le code]La guerre de Cent Ans fit des ravages dans la région. En 1416, Jean du Plessis fut chargé de défendre le château de la Roche-Bellusson contre les Anglais[24].
À partir du XVIe siècle, l'histoire de Mérigny est liée à la vie de ses habitants sous le régime de la seigneurie de la Roche-Bellusson, de la commanderie de Plaincourault, du prieuré de Puychevrier et de la paroisse[24].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]À partir du XIXe siècle, le village a pris un réel essor grâce au développement des moyens de communication : le pont, les routes, le chemin de fer et le service postal. Avant 1820, il n'existait aucune route carrossable à Mérigny. Les déplacements s'effectuaient à pied, à cheval ou à dos d'âne dans des chemins tortueux et étroits. Il faut attendre 1850 pour emprunter la première route reliant Châtellerault au Blanc par Mérigny, et 1885 pour connaître la ligne de chemin de fer reliant Poitiers à Argenton par Ingrandes, distante de 5 km. Ce développement s'intensifia, au XXe siècle, avec l'arrivée de l'automobile et du téléphone dans chaque foyer[24].
La commune fut rattachée de 1801 à 2015 au canton de Tournon-Saint-Martin.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]La commune dépend de l'arrondissement du Blanc, du canton du Blanc, de la première circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Brenne - Val de Creuse[13].
Elle dispose d'une agence postale communale[27].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2021, la commune comptait 544 habitants[Note 2], en évolution de 2,06 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dépend de la circonscription académique du Blanc.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Équipement culturel
[modifier | modifier le code]Elle dispose aussi d'une salle des fêtes.
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La salle des fêtes en 2011.
Santé
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.
Cultes
[modifier | modifier le code]- La Fraternité de la Transfiguration a son siège national au hameau du Bois.
Économie
[modifier | modifier le code]La commune se situe dans la zone d’emploi du Blanc et dans le bassin de vie du Blanc[13].
La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage des fromages Pouligny-saint-pierre[37] et Sainte-maure-de-touraine[38].
L'abattoir est une des principales sources d'économie de la commune.
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L'abattoir en 2011.
Un camping est présent dans la commune. Il s'agit du camping municipal de Champ de la Cure qui dispose de 30 emplacements[39].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château de Plaincourault : il fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [40].
- Église Saint-Sulpice
- Prieuré de Puychevrier : il fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [41].
- Chapelle de Plaincourault du XIIe siècle, classée parmi les monuments historiques depuis le [42].
- Monument aux morts
- Rocher de la Dube
- Grotte Lhéritier
- Grotte Pailler
- Grotte de Gaudon
- Grotte du Rocher de la Dube
- Fontaine de Cul Froid
- Grotte de la Roche Noire
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L'église Saint-Sulpice en 2011.
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Rocher de la Dube
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La chapelle de Plaincourault en 2017.
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Mascaron et frise du portail de la chapelle romane de Plaincourault en 2017.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Maxime Berry, Monographie de Mérigny, Association des Amis de Mérigny et de ses environs, .
- Laurence Chatel de Brancion [dir.], Val de Creuse et Val d'Anglin. Nature et patrimoine. Guide, Bélâbre, Histaval, 2023, p. 176-181, notice de Patrick Grosjean et Thierry Sarmant.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Mérigny sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
- « Mérigny » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
- « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Mérigny et Le Blanc », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Blanc », sur la commune du Blanc - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Blanc », sur la commune du Blanc - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Mérigny », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
- « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Mérigny ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Blanc », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Site de l'Insee : Mérigny, consulté le 6 septembre 2016.
- « Les risques près de chez moi - commune de Mérigny », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- « Nom des habitants des communes françaises, Mérigny », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
- « L'histoire de Mérigny », sur merigny.fr, commune de Mérigny (consulté le ).
- [Agogué 2005] Olivier Agogué, « Autour du grand paléolac miocène : continuités et ruptures de l'occupation territoriale au Paléolithique supérieur en région Centre », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 102, no 3, , p. 509-526 (lire en ligne [sur persee]), p. 521.
- Agogué 2005, p. 510.
- Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
- « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
- « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
- « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
- Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Pouligny-Saint-Pierre, consulté le 15 août 2014.
- « Sainte-maure-de-touraine », sur le site de l'Institut national de l'origine et de la qualité, consulté le 19 février 2018.
- « Camping municipal Champ de la Cure », sur le site de campingfrance.com (consulté le ).
- Notice no PA00097393, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00097394, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Un dimanche patrimonial et artistique », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre, .