Lamayou
Lamayou | |||||
La mairie de Lamayou. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Adour Madiran | ||||
Maire Mandat |
Julien Lacaze 2020-2026 |
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Code postal | 64460 | ||||
Code commune | 64309 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lamayounais[1] | ||||
Population municipale |
208 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 22 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 22′ 58″ nord, 0° 01′ 35″ ouest | ||||
Altitude | Min. 250 m Max. 345 m |
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Superficie | 9,51 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Morlaàs et du Montanérès | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Lamayou est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Lamayou se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 36 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 23 km de Morlaàs[4], bureau centralisateur du canton du Pays de Morlaàs et du Montanérès dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Vic-en-Bigorre[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Casteide-Doat (1,6 km), Castéra-Loubix (2,3 km), Sanous (2,5 km), Pontiacq-Viellepinte (3,1 km), Bentayou-Sérée (3,3 km), Maure (3,6 km), Montaner (4,3 km), Labatut-Figuières (4,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Lamayou fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Caixon, Vic-en-Bigorre, Bentayou-Sérée, Casteide-Doat, Castéra-Loubix, Labatut-Figuières, Pontiacq-Viellepinte et Montaner.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est drainée par l’Ayza et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[8],[Carte 1].
L’Ayza, d'une longueur totale de 27,5 km, prend sa source dans la commune de Montaner et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Louet à Hères, après avoir traversé 13 communes[9].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 093 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Vic-en-Bigorre à 6,5 km à vol d'oiseau[13], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 937,3 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[17],[Carte 2] : le « réseau hydrographique de l'Echez » (392,15 ha), couvrant 26 communes dont 3 dans les Pyrénées-Atlantiques et 23 dans les Hautes-Pyrénées[18] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[17],[Carte 3] : le « plateau de Ger et coteaux de l'Ouest tarbais » (6 409,37 ha), couvrant 26 communes dont 6 dans les Pyrénées-Atlantiques et 20 dans les Hautes-Pyrénées[19].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Lamayou est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle est située hors unité urbaine[2] et hors attraction des villes[21],[22].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,5 %), forêts (27,4 %), zones agricoles hétérogènes (23,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
[modifier | modifier le code]- Mongaston ;
- Peyraube ;
- Samonzet.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les routes départementales 7, 202 et 407.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Lamayou est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[26]. 61,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[27].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009 et 2018[24].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le toponyme Lamayou apparaît sous les formes Lamayor et Lamayoo (respectivement 1429[28] et 1436[28], censier de Montaner[29]), La Mayo et Lamayour (respectivement 1602[28] et 1674[28], réformation de Béarn[30]).
Le toponyme Mongaston apparaît sous les formes Mongastoo (1385[28], censier de Béarn[31]), Mont-Gaston (1429[28], censier de Bigorre[29]) et Monguaston (1614[28], réformation de Béarn[30]).
Le toponyme Peyraube apparaît sous les formes Peyre-Aube (1379[28], contrats de Luntz[32]), Peyrauba et Peyracaube (respectivement 1549[28] et 1614[28], réformation de Béarn[30]).
Le toponyme Samonzet apparaît sous les formes Somonset (1429[28], censier de Montaner[29]), Sosmonset, Semonzet et Samonset (respectivement 1536[28], 1547[28] et 1673[28], réformation de Béarn[30]).
Histoire
[modifier | modifier le code]Paul Raymond[28] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Lamayou fait partie de cinq structures intercommunales[33] :
- le SIVOM du canton de Montaner ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal à vocation scolaire du Palay ;
- le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh Montanérès ;
- le syndicat intercommunal de Pontiacq-Viellepinte - Lamayou.
Lamayou accueille le siège du syndicat intercommunal de Pontiacq-Viellepinte - Lamayou.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2021, la commune comptait 208 habitants[Note 6], en évolution de 6,12 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : 3,43 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]-
Entrée dans Lamayou.
-
Le monument aux morts.
-
La salle polyvalente.
Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]Au lieu-dit Mongaston, les vestiges d'un ensemble fortifié[38] de la fin du XIIIe siècle témoignent du passé ancien de la commune.
Lamayou présente un ensemble de fermes[39] du XIXe siècle.
Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]La chapelle de Peyraube[40], partiellement du XIIe siècle, faisait partie de l'ancienne abbaye laïque.
L'église Saint-Étienne[41], d'origine romane, fut restaurée au XVIIIe siècle. Elle se dresse au lieu-dit Peyraube. Au lieu-dit Samonzet, les vestiges de l'église Saint-Martin[42] datent, semble-t-il, du XIVe siècle. Enfin, plus récente, l'église Notre-Dame-de-l'Assomption[43] date de 1874. Elle fut édifiée sur des bases datant du XVIe ou du XVIIe siècle. Ces églises recèlent du mobilier[44],[45], des statues[46] et des objets[47],[48] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Lamayou » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « ZNIEFF de type I sur la commune de Lamayou », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Lamayou », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Lamayou », sur aquitaine.fr via Wikiwix (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Lamayou ».
- Stephan Georg, « Distance entre Lamayou et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lamayou et Morlaàs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Lamayou », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Lamayou », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Ruisseau de Layza ou Ayza ».
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Lamayou et Vic-en-Bigorre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Vic-en-Bigorre » (commune de Vic-en-Bigorre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Vic-en-Bigorre » (commune de Vic-en-Bigorre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Lamayou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « réseau hydrographique de l'Echez » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « plateau de Ger et coteaux de l'Ouest tarbais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Lamayou », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- Manuscrit de 1429 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
- Contrats retenus par Luntz, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié
- [1][2][3] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur les fermes anciennes
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la chapelle de Peyraube
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Étienne
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Martin
- [4][5] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur l'église Notre-Dame-de-l'Assomption
- [6][7] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption
- [8][9][10][11][12][13] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Étienne
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les statues de l'église Saint-Étienne
- [14][15][16][17] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption
- [18][19] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Étienne
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :