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La Forêt-sur-Sèvre

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La Forêt-sur-Sèvre
La Forêt-sur-Sèvre
Château de La Forêt-sur-Sèvre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Bressuire
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Bocage Bressuirais
Maire
Mandat
Thierry Marolleau (LR)
2020-2026
Code postal 79380
Code commune 79123
Démographie
Population
municipale
2 265 hab. (2021 en évolution de −3,41 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 46′ 15″ nord, 0° 38′ 55″ ouest
Altitude Min. 147 m
Max. 227 m
Superficie 55,94 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bressuire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cerizay
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Forêt-sur-Sèvre
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La Forêt-sur-Sèvre
Traversée de la Forêt[Laquelle ?] via la D 938ter.

La Forêt-sur-Sèvre est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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La commune est située au croisement des axes Niort-Cholet et Bressuire-Fontenay-le-Comte, elle est comme son nom l'indique sur les bords de la Sèvre Nantaise.

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

Communes limitrophes

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Voies de communication et transports

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La Forêt-sur-Sèvre est desservie en autocars par le réseau Tréma (lignes 112, 113 et 116).

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Moyenne vallée de la Loire » et « Poitou-Charentes »0[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 891 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bressuire à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 852,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , La Forêt-sur-Sèvre est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bressuire, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (97,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,6 %), terres arables (32,3 %), prairies (26,9 %), zones urbanisées (2,8 %), forêts (1,3 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de La Forêt-sur-Sèvre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d'être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Argenton, le ruisseau Hière et la Sèvre Nantaise. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Forêt-sur-Sèvre.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de terrains, notamment des tassements différentiels[16]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[17]. 24 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[13].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d'exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de La Forêt-sur-Sèvre est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[19].

Industrie alimentaire

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Une ferme producteur de viandes bovines : la ferme de l'Ivronière.

Au Moyen Age, une famille féodale locale de ce son nom en assume la seigneurie (comme aussi celle de La Forest-Ste-Verge) : les La Forest, à partir de Renaud Ier de La Forest, dans la seconde moitié du XIe siècle[20]. Cette terre noble, constituant une baronnie, était dans la mouvance des vicomtes (puis ducs) de Thouars (dont les La Trémoïlle à partir de 1483). À la fin du XIIIe siècle ou au début du XIVe, Josselin Ier de La Forest (1260-1317), acquit Commequiers sur un des Maurice de Belleville-Montaigu de La Garnache (Maurice IV, † en 1292 ?). Son petit-fils Guy II de La Forest († v. 1383/1387 ou selon une chronologie resserrée vers 1384/1385 ; fils de Guy Ier) eut pour fille héritière Isabelle de La Forest, femme de René Ier Jousseaume († le 12 juillet 1417). Isabelle et René enfantèrent :

  • René (II) le Jeune Jousseaume (né vers 1380 ?-† prédécédé, c'est-à-dire avant son père René Ier)[21], marié vers 1403 à Jeanne Larchevêque, fille de Louis Larchevêque (de Parthenay) de Taillebourg, lui-même fils de Guy Larchevêque de Taillebourg et Soubise, et petit-fils de Guillaume VI Larchevêque de Parthenay) ; Louis ; Jean (III) ; et Guillaume Jousseaume, qui fut en 1413 le protagoniste d'une sombre affaire de rapt, ayant enlevé une cousine, Jeanne Jourdain[22].
    • René (II) et Jeanne Larchevêque eurent pour héritier leur fils aîné, Jean (IV) Jousseaume (v. 1403-† v. 1428/1432 ou dès 1427 ?), sire de La Forest et de Commequiers, marié — comme son 1er époux — à Jeanne de L'Isle-Bouchard, dame de Gonnor et Thouarcé (ladite Jeanne (née vers 1400-† 1457) était la sœur cadette de Catherine, dame de L'Ile-Bouchard (née v. 1390/1395-† 1474) dont le 4e mari fut Georges de La Trémoïlle, d'où Louis Ier de La Trémoille, vicomte de Thouars).
      • La fille héritière de Jean (IV) et Jeanne de L'Ile-Bouchard, Jeanne Jousseaume (v. 1423-1478), dame de La Forest, Commequiers et Thouarcé, épousa en 1440 Louis II de Beaumont, baron de Bressuire et sire du Plessis-Macé (1407-1477) : d'où l'évêque Louis de Beaumont, et sa sœur Catherine de Beaumont (née vers 1443-† av. 1485), dame de La Forest et de Commequiers, du Plessis-Macé et de Thouarcé, qui maria en 1461 Eustache (Ier) du Bellay de Gizeux (né v. 1440-† 1504 ; veuf, il devint le Solitaire de Gizeux) et fut la mère entre autres enfants de Jean du Bellay de Gonnor (vers 1480-† vers 1523/1527), père du célèbre poète Joachim du Bellay.
        • Catherine de Beaumont et Eustache du Bellay furent suivis de leur fils aîné, René Ier du Bellay de Gizeux († avant 1532 ; frère aîné dudit Jean du Bellay), époux vers 1496 de Marquise († ap. 1531), fille de Pierre de Laval-Loué ; en mai 1515, le père de Pierre de Ronsard, Louis de Ronsard, prêta l'hommage audit René Ier pour son fief de Noirterre, venu de sa femme Jeanne Chaudrier et relevant de la baronnie de La Forest-sur-Sèvre. Un arrière-petit-fils de René et Marquise de Laval fut Martin (III) du Bellay (1571-1637), prince d'Yvetot.

En 1612, Martin (III) du Bellay céda La Forest au théologien et chef calviniste Philippe Duplessis-Mornay (1549-† au château de La Forest le 11 novembre 1623)[23], dont hérita sa fille aînée, Marthe de Mornay, dame de La Forest (née le 17 décembre 1576-† 1633), mariée en 1599 à Jean III de Jaucourt (> Seconde famille) de Villarnoult (né vers 1572). Leur fils aîné, Philippe II de Jaucourt (?-1660), baron de Villarnoult et de La Forest, époux de Marguerite de Gueribalde, assura la suite de ces seigneuries (voir à l'article Bussières) ; Père de :

Au cours des Guerres de Vendée sous la Révolution, le château deviendra alternativement la geôle des Bleus (Républicains) ou des Blancs (Royalistes), et sera incendié le 7 octobre 1793 par les Révolutionnaires. En 1819, sous la Restauration, un acquéreur, M. de La Maquillé, entreprend d’en relever les ruines[24].

Après la Révolution de juillet 1830, il fut acheté par le marquis de la Rochejaquelein, Henri-Auguste-Georges du Vergier de La Rochejaquelein (1805-1867) ; puis en 1855 par le comte Louis-Charles-Philippe-Henri de Rohan-Chabot (1806-1872 ; dernier enfant du duc Alexandre-Louis-Auguste).

Vente du domaine en 1891 à un industriel choletais du mouchoir, Alexandre Turpault (1819-1899 ; fait chevalier de la Légion d’honneur le 29 octobre 1889), un ancêtre de Georges Galichon (1915-2003 ; maire de 1969 à 1973 et conseiller général du canton de Cerizay de 1967 à 1977).

Par arrêté préfectoral du effectif au , les communes de Montigny, La Ronde et Saint-Marsault entrent en fusion-association avec La Forêt-sur-Sèvre[25].

Depuis 2014, la commune appartient à la communauté d'agglomération du Bocage bressuirais.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs avant 1973
Période Identité Étiquette Qualité
apr. 1947[Quand ?] Jean Salliard du Rivault CNIP Avocat et propriétaire-exploitant
Député des Deux-Sèvres (1951 → 1958)
Député de la 3e circonscription des Deux-Sèvres (1958 → 1962)
Conseiller général du canton de Cerizay (1937 → 1940 puis 1945 → 1967)
Président du conseil général des Deux-Sèvres (1955 → 1967)
Révoqué en 1945, il retrouve ses fonctions en 1947[26]
Les données manquantes sont à compléter.
Georges Galichon UDR Haut fonctionnaire, président du CA d'Air France
Conseiller général du canton de Cerizay (1967 → 1977)
Liste des maires successifs depuis la fusion-association
Période Identité Étiquette Qualité
ca. 1986 Roger Bressollette DVD Pharmacien
Conseiller général du canton de Cerizay (1982-1985)
Isabelle des Dorides DVD Présidente du SAGE de la Sèvre Nantaise
Bruno Bonnet[27] DVD Gérant de société
En cours
(au 28 mai 2020)
Thierry Marolleau UMP, LR Chef d'entreprise
Conseiller départemental du canton de Cerizay (2015 → )
Vice-président du conseil départemental (2020 → )
Vice-président de la CA du Bocage Bressuirais (2014 → 2020)
Réélu pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale

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Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[28].

Démographie

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En 1973, Montigny, La Ronde et Saint-Marsault fusionnent avec La Forêt-sur-Sèvre.

Démographie de Montigny

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Évolution démographique de Montigny
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
483238357456416445444509
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886
515542559595646641643682
1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
681682672652636517522511
1936 1946 1954 1962 1968 - - -
517511503509464---
À partir de 1962 : population sans doubles comptes.
(Source : Ldh/EHESS/Cassini[29].)

Démographie de La Ronde

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Évolution démographique de La Ronde
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
730389664771751790753773
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886
733751744764800811843873
1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
843894867868871817751723
1936 1946 1954 1962 1968 - - -
737689655617631---
À partir de 1962 : population sans doubles comptes.
(Source : Ldh/EHESS/Cassini[30].)

Démographie de Saint-Marsault

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Évolution démographique de Saint-Marsault
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
805462453551590690720630
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886
727688716738750765813844
1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
891874872879863749726678
1936 1946 1954 1962 1968 - - -
686684702644597---
À partir de 1962 : population sans doubles comptes.
(Source : Ldh/EHESS/Cassini[31].)

Démographie de La Forêt-sur-Sèvre

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

En 2021, la commune comptait 2 265 habitants[Note 3], en évolution de −3,41 % par rapport à 2015 (Deux-Sèvres : 0,04 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1801 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
515434466504550612695768794
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
794772800810852927912920916
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
935927930839803770788803688
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
7027152 3632 4172 3952 2292 2672 2902 294
2015 2020 2021 - - - - - -
2 3452 2842 265------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Traversée de Saint-Marsault via la D 938ter.
  • Église Notre-Dame de la Ronde.
  • Église Saint-Martial de Saint-Marsault.
  • Église Saint-Sauveur de la Forêt-sur-Sèvre.
  • Le château de La Forêt-sur-Sèvre : inscrit à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques. Cette vaste demeure est incendiée lors des guerres de Vendée. En 1855, elle appartint, après le marquis de La Rochejaquelein, au comte de Rohan-Chabot (dont les armes ornent la boule de l'escalier du vestibule) qui parachève la restauration entreprise en 1819 par M. de Maquillé. Puis à la fin du XIXe siècle, l'industriel Alexandre Turpault en devient propriétaire ; le château appartient aujourd'hui à ses descendants.

Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre La Forêt-sur-Sèvre et Bressuire », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Bressuire » (commune de Bressuire) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bressuire » (commune de Bressuire) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de La Forêt-sur-Sèvre ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bressuire », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de La Forêt-sur-Sèvre », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  20. « Historique du château de La Forêt-sur-Sèvre, avril 2022 », sur Les Portes du Temps.
  21. « René II Jousseaume, sire de Commequiers et de La Forest sur Sèvre », sur Geneanet, arbre de "Vendée militaire".
  22. « Les enlèvements dont fut victime Jeanne Jourdain en 1412 et 1413, p. 219-229 », sur Société des Archives historiques du Poitou, t. XXVI, chez Oudin et Cie, à Poitiers, 1896 : Recueil des documents concernant le Poitou enregistrés à la Chancellerie de France, t. VII, éd. par Paul Guérin.
  23. « Acquisition de La Forêt sur Sèvre par Duplessis-Mornay, 1612, p. 244-245 », sur Bulletin de la Société archéologique de Nantes et de la Loire-inférieure, t. VIII, 1868, chez Vincent Forest et Emile Grimaud, à Nantes : Documents inédits éd. par Paul Marchegay.
  24. « L'incendie du château de La Forêt-sur-Sèvre, par Le Loup, octobre 2017 », sur Chemins secrets.
  25. Code officiel géographique - Fiche de la commune de La Forêt-sur-Sèvre sur le site de l'Insee, consulté le 29 novembre 2010.
  26. Maire durant l'Occupation, il est démis de ses fonctions et est déclaré inéligible à la Libération.
  27. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
  28. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Montigny », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Marsault », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Articles connexes

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Bibliographie

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Liens externes

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