Karla MacFarlane
Karla MacFarlane | |
Fonctions | |
---|---|
Ministre des Services communautaires de la Nouvelle-Écosse | |
– (2 ans, 1 mois et 1 jour) |
|
Premier ministre | Tim Houston |
Gouvernement | Houston |
Prédécesseur | Kelly Regan |
Successeur | Trevor Boudreau |
Ministre responsable de l'Office des affaires L'nu | |
– (2 ans, 1 mois et 1 jour) |
|
Premier ministre | Tim Houston |
Gouvernement | Houston |
Prédécesseur | Iain Rankin |
Successeur | Trevor Boudreau |
Cheffe de l'opposition officielle de la Nouvelle-Écosse | |
– (9 mois et 3 jours) |
|
Premier ministre | Stephen McNeil |
Prédécesseur | Jamie Baillie |
Successeur | Tim Houston |
Cheffe du Parti progressiste-conservateur de la Nouvelle-Écosse (intérim) | |
– (9 mois et 3 jours) |
|
Prédécesseur | Jamie Baillie |
Successeur | Tim Houston |
Députée à l'Assemblée législative de la Nouvelle-Écosse | |
– (10 ans, 6 mois et 4 jours) |
|
Élection | 8 octobre 2013 |
Réélection | 30 mai 2017 17 août 2021 |
Circonscription | Pictou-Ouest |
Législature | 62e, 63e et 64e |
Prédécesseur | Charlie Parker |
Biographie | |
Date de naissance | |
Nationalité | Canadienne |
Parti politique | Parti progressiste-conservateur de la Nouvelle-Écosse |
modifier |
Karla MacFarlane est une femme politique canadienne, néo-écossaise.
Elle est élue à l'Assemblée législative de la Nouvelle-Écosse dans la circonscription de Pictou-Ouest aux élections de 2013 et elle est réélue en 2017 et en 2021.
Karla MacFarlane devient cheffe par intérim du Parti progressiste-conservateur de la Nouvelle-Écosse et cheffe de l'opposition officielle après que Jamie Baillie a démissionné et renoncé à son siège à l'Assemblée législative en à la suite d'allégations d'inconduite sexuelle[1].
En 2021, elle est nommée ministre des Services communautaires et des Affaires L’nu et ministre responsable du Conseil consultatif sur la condition féminine[2] et, en 2023, elle est la première femme à accéder à la présidence de l'Assemblée législative de la Nouvelle-Écosse.
En 2024, Karla MacFarlane annonce son intention de mettre fin à sa carrière politique. Elle avait présenté en 2023 une résolution à l'Assemblée législative affirmant qu'Elizabeth Smith-McCrossin avait induit l'Assemblée législative en erreur dans ses commentaires concernant Jamie Baillie[3].
Références
[modifier | modifier le code]- « Allégations d'inconduite sexuelle : le chef de l'opposition en N.-É. démissionne », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
- Communications Nova Scotia, « Un nouveau Cabinet offrira des solutions aux gens de la Nouvelle-Écosse », sur News Releases, (consulté le )
- Zone Justice et faits divers- ICI.Radio-Canada.ca, « La députée indépendante de N.-É. met fin à sa contestation judiciaire », sur Radio-Canada, (consulté le )