Kanō Tsunenobu
Naissance | |
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Décès | |
Nom dans la langue maternelle |
狩野常信 |
Activité | |
Maîtres |
Kanō Tannyū, Michishige Nakanoin (d) |
Père | |
Enfants |
Kanō Tsunenobu (狩野 常信 ) (surnom : Ukon, noms de pinceau : Yoboku, Seihakusai, Kosensō, Kōkensai, Shibiō, Kanunshi, Bokusai, Kōcho-Sanjin, Rōgōken, Sen-Oku) est un peintre japonais des XVIIe – XVIIIe siècles qui fait partie de l'École Kanō. Né en 1636, il meurt en 1713.
Biographie
[modifier | modifier le code]Kanō Tsunenobu est disciple de son père Kanō Naonobu. Plus tard, il prend la succession de l'atelier Kanō de Kobiki-chō à Edo. En , il exécute la décoration des portes à glissière du palais impérial d'Edo. Il est attaché comme peintre au palais impérial Sentō (palais de l'empereur retiré). Sa dépouille repose au Honmon-ji, un temple de la région d'Ikegami[1].
Le fils de Tsunenobu, Kanō Minenobu (1662-1708), s'est séparé de sa propre lignée pour fonder à Edo une quatrième branche de l'école Kanō, la branche Hamano[2].
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MOnt Fuji au printemps, Walters Art Museum.
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en six panneaux, Yale University Art Gallery.
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Hankana Sonja, un disciple de Bouddha, musée Saint-Remi de Reims.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Dictionnaire Bénézit 1999, p. 693.
- Christine Schimizu, 2001, p. 284.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Dictionnaire Bénézit, Dictionnaire des peintres,sculpteurs, dessinateurs et graveurs, vol. 7, éditions Gründ, , 13440 p. (ISBN 2-7000-3017-6), p. 693.
- Maurice Coyaud, L'Empire du regard – Mille ans de peinture japonaise, Paris, éditions Phébus, Paris, , 256 p. (ISBN 2-88630-039-7), p. 24, 78 et 79.
- Christine Shimizu, L'Art japonais, Paris, Flammarion, coll. « Vieux Fonds Art », , 495 p. (ISBN 2-08-012251-7).
- Christine Shimizu, L'Art japonais, Paris, Flammarion, coll. « Tout l'art, Histoire », , 448 p. (ISBN 2-08-013701-8).
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :