Igoville
Igoville | |
Le pont de l'Arche. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Les Andelys |
Intercommunalité | CA Seine-Eure |
Maire Mandat |
Gwenaël Jahier 2024-2026 |
Code postal | 27460 |
Code commune | 27348 |
Démographie | |
Gentilé | Igovillais |
Population municipale |
1 724 hab. (2021 ) |
Densité | 307 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 19′ 13″ nord, 1° 09′ 01″ est |
Altitude | Min. 6 m Max. 97 m |
Superficie | 5,61 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Rouen (banlieue) |
Aire d'attraction | Rouen (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Pont-de-l'Arche |
Législatives | 4e circonscription de l'Eure |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://www.commune-igoville.com/ |
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Igoville est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Igoville est une commune normande périurbaine de l'agglomération de Rouen, en vallée de la Seine, située à 14 km à vol d'oiseau au sud de cette ville et à 12 km au nord de Louviers. Elle est limitrophe du département de la Seine-Maritime.
Le sentier de grande randonnée GR 2 y passe.
Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Rouen, son unité urbaine et sa zone d'emploi, ainsi que dans le bassin de vie de Pont-de-l'Arche[I 1]
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Alizay, Pont-de-l'Arche, Les Authieux-sur-le-Port-Saint-Ouen, Sotteville-sous-le-Val et Ymare.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 5,61 km2 ; son altitude varie de 6 à 97 mètres[2].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune limitée au sud par le lit du fleuve la Seine, ainsi que par des plans d'eau constitués d'anciennes sablières.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 751 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boos à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 847,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Igoville est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale dont elle est une commune de la banlieue[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (39,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (47 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,7 %), forêts (18,5 %), zones urbanisées (18,3 %), eaux continentales[Note 2] (11,3 %), mines, décharges et chantiers (8,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,7 %), prairies (2,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 732, alors qu'il était de 694 en 2016 et de 603 en 2011[I 2].
Parmi ces logements, 93,3 % étaient des résidences principales, 0,4 % des résidences secondaires et 6,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,5 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Igoville en 2021 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (0,4 %) par rapport au département (6,2 %) et à la France entière (9,7 %).
Typologie | Igoville[I 3] | Eure[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 93,3 | 85,8 | 82,2 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0,4 | 6,2 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,4 | 8 | 8,1 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Igoville est desservie par l'ancienne route nationale 15 (actuelle RD 6015) qui le relie à Rouen et, par le pont routier qui traverse la Seine et l'Eure, Pont-de-l'Arche, au Vaudreuil et à Gaillon.
La commune est traversée par la ligne ferroviaire de Paris à Rouen, et la station de chemin de fer la plus proche est la gare de Pont-de-l'Arche, située à la limite d'Alizay et d'Igoville et desservie par des trains TER Normandie effectuant la relation de Paris-Saint-Lazare à Rouen-Rive-Droite
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Vigovilla vers 1240 (p. d’Eudes Rigaud), Ymgovilla en 1271, Ygouvilla en 1326, Ygoville (cartulaire de Bonport)[16] et sous sa forme actuelle dès 1340[17].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural » (terme issu du gallo-roman VILLA « grand domaine rural »). Il est précédé dans la plupart des cas d'un anthroponyme de type germanique continental ou anglo-scandinave en Normandie.
Les toponymistes identifient dans ce cas précis le nom de personne scandinave Vígautr (variante vieux danois Wigot)[18],[19], cité sous la forme Witgaut par François de Beaurepaire[17]. Jean Renaud propose aussi comme alternative le nom de personne francique Widgaud[19].
François de Beaurepaire fait remarquer que la chute du [v] initial (issu généralement de [w] au XIIe) devant i ou e est fréquente dans la toponymie de la Normandie orientale. Ainsi trouve-t-on dans l'Eure : Illeville-sur-Montfort (Willevilla 13e), Incarville (Wicardi villa 1025) ou Infreville (Wifrevilla 1213)[17].
Par contre, dans le Mesnil-Vigot (Manche, Maisnillum Vigot 1192, Maisnillum Wigoti 1206), le [v] s'est maintenu. Pour ce dernier le même auteur mentionne l'anthroponyme scandinave Vigautr particulièrement bien représenté en Angleterre[20].
Remarque : il n'y a aucune trace d'un [t] ou [d] dans les formes anciennes de Vigo- / Ygo-. De plus, c'est dans la Manche que le patronyme Vigot est très fréquent[20] et dans l'ensemble de la Normandie qu'il est le plus anciennement attesté comme nom de famille. L'élément -got est récurrent dans les patronymes normands comme Turgot, Angot d'origine norroise. Igoville et le Mesnil-Vigot se situent en outre dans l'aire de répartition de la toponymie scandinave.
- Hameau le Pré-cantui(t) ou le Précantuit : réinterprétation populaire du XIXe siècle, d'un plus ancien Brescantuit (les essars de Brescantuit 1453), composé avec le vieux normand thuit « essart, espace défriché », issu du vieux norrois thveit, même sens. L'analogie avec un pré a aussi été facilitée par la similitude entre un pré et un espace défriché.
Histoire
[modifier | modifier le code]Au début de la Seconde Guerre mondiale, lors de la Bataille de France, les 8 et , le 4e groupe franc motorisé de cavalerie y livre le combat de Pont-de-l'Arche. Quarante et un soldats français sont abattus dont vingt-six hommes du 208e régiment d'artillerie coloniale[21]
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement des Andelys du département de l'Eure[I 1].
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Pont-de-l'Arche[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Pont-de-l'Arche[I 1] porté de 10 à 21 communes.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Eure.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Igoville était membre de la communauté de communes Seine-Bord, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, celle-ci a fusionné le au sein de la communauté d'agglomération Seine-Eure, dont est désormais membre la commune[I 1].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dispose du groupe scolaire Michel-de-Decker, de neuf classes de maternelle et primaire en 2021, et doté d'une cantine et d'un accueil périscolaire[30].
Santé et solidarité
[modifier | modifier le code]La résidence des Tourelles est un foyer de vie pour adultes porteurs d’une déficience intellectuelle[31].
Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]La commune s'est dotés d'un système de vidéosurveillance en 2018[32].
Population et société
[modifier | modifier le code]Les habitants sont appelés les Igovillais.
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].
En 2021, la commune comptait 1 724 habitants[Note 3], en évolution de −1,03 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]- La Faïencerie Lambert, fondée par Paul Lambert en 1964, qui pérennise la faïencerie de Rouen apparue à la Renaissance, et installée sur la zone du Fort, près du pont de Pont-de-l’Arche et labellisée patrimoine vivant[36].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église paroissiale Saint-Pierre[37], qui possède des vitraux réalisés par le maître-verrier François Décorchemont[38].
- Presbytère du XVIIIe siècle[39].
- Dans dans l’ancienne école de la commune, au 255, rue de la Ravine, le Mini Réseau de l'amicale des cheminots actifs et retraités, une installation fixe de modélisme ferroviaire ouverte au public et qui représente la ligne ferroviaire de Paris à Rouen entre de la gare de triage de Sotteville-lès-Rouen à la gare de Vernon, telle qu'elle était dans les années 1960-1970[40].
- Ancien château[41], mairie actuelle, construit tout en pierre, au milieu du XVIIIe siècle, composé d'un corps de logis central à un seul rez-de-chaussée, avec un avant-corps central surmonté d'un fronton triangulaire, cantonné à chacune de ses extrémités par un pavillon plus élevé comportant un étage sur rez-de-chaussée.
Chacun de ces trois corps de bâtiment est surmonté d'un comble mansardé indépendant. Les deux façades, aux contours identiques, diffèrent par le nombre de leurs ouvertures. Côté parc, l'avant corps central comporte trois ouvertures, une seule côté cour. Les pavillons latéraux comportent cinq travées côté cour, quatre côté parc.
À l'intérieur, le principal élément décoratif ancien subsistant est l'escalier central, pourvu d'une rampe en fer forgé de style Louis XV.
Le château est mentionné pour la première fois à l'occasion de la bénédiction de sa chapelle en 1747, par Adam Charles Esmangard, vicaire général de l'archevêque de Rouen, frère de son propriétaire, Claude François Esmangard, conseiller du roi, négociant à Rouen et président au grenier à sel de Pont-de-l'Arche. Quelques années plus tard, cette demeure appartient à Louis Jacques des Marets, seigneur de Saint-Aubin, conseiller au Parlement de Normandie, et son épouse, Marie-Madeleine du Val de Morgny, lorsque ceux-ci en dotent leur fille, à l'occasion de son mariage en 1777 avec Alexandre du Moucel, marquis de Torcy, seigneur de La Rivière-Bourdet, président à mortier au Parlement de Normandie. Veuve en 1781, celle-ci se remarie à Igoville le avec Jean Pierre Firmin de Vieux[42], officier. En 1802, elle achète le château du Champ-de-Bataille. Celui d'Igoville est alors loué. Il est ensuite habité par son fils Édouard Marie Firmin de Vieux, mort à Igoville le . En 1872, il est vendu à Louise Adélaïde de Clisson, fondatrice de l'orphelinat Saint-François-Xavier. Cette congrégation ayant été dissoute, le château d'Igoville est acheté en 1904 par Michel Louis Adolphe Avon[43], général, commandeur de la Légion d'honneur, mort en 1918, puis habité par sa fille, Henriette Avon, baronne René de Maulde. Occupé pendant la guerre, il est acheté en 1949 par la famille Morel, fabricant de chaussures à Pont-de-l'Arche, et, en 1990, par la commune d'Igoville[44]. Après travaux de rénovation et mise en valeur, il abrite aujourd'hui la mairie d'Igoville et plusieurs services municipaux.
- Maisons et fermes anciennes des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles[45].
- Ancienne maladrerie de la première moitié du XVIIIe siècle, au lieu-dit Les Sablons[46].
- Le fort de Limaie, datant sans doute du XIIIe siècle et détruit lors de la Révolution française. Il faisait partie de l'ensemble fortifié de Pont-de-l'Arche avec le pont sur la Seine dont il défendait l'accès[47].
- Le monument aux morts date de 1921.
- Stèle aux quarante et un soldats français dont vingt-six tirailleurs sénégalais du 208e régiment d'artillerie coloniale tués lors combat de Pont-de-l'Arche. Le passage piétonnier situé à l’angle de la rue du 8 mai et de la rue des Platanes est dénommée en leur honneur la « Sente des Sénégalais »[21].
- Croix de cimetière, du XVIe siècle[48].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Igoville dans les arts et la culture
[modifier | modifier le code]Filmographie
[modifier | modifier le code]- Les Grandes Vacances, de Jean Girault (1967)
- Prise où l'on voit le débarquement de sacs de charbon d'un camion arrêté au bord de la route (rue du ), devant un café Au Tonneau.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules à la fasce ondée d’argent chargé de trois drakkars contournés d'azur, accompagnée en chef d'un léopard d'or armé et lampassé aussi d'azur et en pointe d'un château de trois tours carrées d'or, maçonné de sable, ouvert et ajouré aussi d'azur[49]. |
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Détails | Le léopard d'or rappelle les armoiries de la Normandie. Adopté le 8 avril 2010. Remplacé par un logo. Création Denis Joulain. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune d'Igoville (27348) », Recensement général de la population de 2021, INSEE, (consulté le ).
- « Igoville » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- « Commune d'Igoville », Code Officiel Géographique au 1er janvier 2024, sur insee.fr (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Igoville - Section LOG T1 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Igoville - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans l'Eure - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Igoville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 117.
- François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, 1981 (ISBN 2-7084-0067-3) (OCLC 9675154), p. 130 - 131
- Nordic Names (anglais) : origine du nom Vígautr
- Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie, OREP éditions, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1) p. 126.
- François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 156
- Béatrice Cherry-Pellat, « Dans l'Eure, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, rend hommage aux tirailleurs sénégalais », La Dépêche de Louviers, (lire en ligne, consulté le ) « Vendredi 9 juin, un hommage a été rendu aux tirailleurs sénégalais morts à Igoville (Eure) en 1940. Le ministre des Armées était présent pour dévoiler la plaque commémorative ».
- Société libre d'agriculture, sciences, arts et belles-lettres de l'Eure - 1904 [1]
- « Jean Baptiste "Alexandre" PÉRIER », Base de données familiale de Pierre et de Xavier Soleil, sur gw.geneanet.org (consulté le ).
- Gwenola Lorsignol, « L'ancien maire d'Igoville démissionne du conseil municipal. Gérard Saillot se rebiffe », La Dépêche de Louviers, (lire en ligne, consulté le ) « L’ancien maire d’Igoville, qui administra la commune pendant trente ans, de 1984 à 2014, siégeait encore au conseil municipal le mois dernier ».
- « Sylvie Blandin dans le fauteuil », Paris-Normandie, (lire en ligne , consulté le ).
- Thomas Guilbert, « La démission surprise de l'adjoint aux finances William Waechter à Igoville », La Dépêche de Louviers, (lire en ligne, consulté le ) « La maire d'Igoville, Sylvie Blandin (DVD), a eu la surprise d'apprendre la démission de son adjoint aux finances... après avoir été contactée par La Dépêche de Louviers ».
- Thomas Guilbert, « Municipales 2020 : Nathalie Breemeersch se soucie du bien-être des Igovillais », La Dépêche de Louviers, (lire en ligne, consulté le ) « Adjointe à l'action sociale, Nathalie Breemeersch part en campagne avec le soutien de l'équipe sortante, dont la maire Sylvie Blandin ».
- Thomas Guilbert, « Municipales 2020. À Igoville, Nathalie Breemeersch largement en tête », La Dépêche de Louviers, (lire en ligne, consulté le ) « En tête au premier tour, l'adjointe sortante Nathalie Breemeersch a remporté le second tour de l'élection municipale à Igoville, dans l'Eure, ce dimanche 28 juin 2020 ».
- Béatrice Cherry-Pellat, « Gwenaël Jahier remplace Nathalie Breemeersch en tant que maire d’Igoville », La Dépêche de Louviers, (lire en ligne, consulté le ) « Gwenaël Jahier a pris ses fonctions de maire d’Igoville (Eure) le 24 juin 2024. Il remplace Nathalie Breemeersch partie pour raisons de santé ».
- Béatrice Cherry-Pellat, « En 2023, la cantine rejoindra l'école d'Igoville », La Dépêche de Louviers, (lire en ligne, consulté le ).
- Béatrice Cherry-Pellat, « Huit résidents du foyer les Tourelles à Igoville participent aux Championnats de France de sport adapté », La Dépêche de Louviers, (lire en ligne, consulté le ).
- Thomas Guilbert, « Les automobilistes sous vidéoprotection à Igoville », La Dépêche de Louviers, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Gwenola Lorsignol, « Journées du patrimoine 2017 à Igoville. Visite de la Faïencerie Lambert : artisan d'art, un patrimoine vivant », La Dépêche de Louviers, (lire en ligne, consulté le ).
- « Eglise paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00017960, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « verrière figurée : Mission de saint Pierre », notice no IM27018153, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Presbytère », notice no IA00017961, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Béatrice Cherry-Pellat, « Retrouver son âme d'enfant avec le train miniature d'Igoville », La Dépêche de Louviers, (lire en ligne, consulté le ) « Le Mini Réseau d'Igoville est une attractivité unique dans le département de l'Eure. Un site à visiter pendant les vacances de Noël ».
- « Château », notice no IA00017963, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Notice LH du comte de Vieux », base Léonore, ministère français de la Culture.
- « Notice LH du général Avon », base Léonore, ministère français de la Culture.
- « Le château d'Igoville et son histoire », sur Pont-de-l'Arche ma ville, (consulté le ).
- « Maisons et fermes », notice no IA00017959, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maladrerie », notice no IA00017964, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château fort dit château de Limaie », notice no IA00017966, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix de cimetière », notice no IA00017962, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=11275