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Henri Vergé-Sarrat

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Henri Vergé-Sarrat
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Henri Vergé-Sarrat, de son vrai nom Henri Vergésarrat, est un artiste peintre et graveur autodidacte né le à Anderlecht (Belgique) et mort le à Paris.

Fils d'un représentant de commerce originaire des Hautes-Pyrénées, Henri Vergé-Sarrat naît le à Anderlecht[1].

Il est un voyageur que, par le nombre de ses villégiatures, Gérald Schurr qualifie d'« acharné »: « il sut à merveille traduire l'atmosphère fine et légère de l'Île-de-France, la sérénité de sa campagne; la profondeur des ciels de Bretagne, la puissance de sa mer. Avide de couleurs et de paysages, il alla chercher de nouvelles sensations au cours de plusieurs séjours à l'étranger: en Égypte, en Tunisie, au Maroc, en Espagne et au Portugal, se retrouvant chaque année dans son refuge de Château-Landon »[2]. De fait, ses grands voyages nous sont détaillés[3]: En 1923, il passe six mois à Gafsa, en 1924, quatre mois à Marrakech, en 1927, quatre mois à Biskra et Touggourt. En 1929, une bourse du gouvernement égyptien lui permet d'aller travailler à Assouan, Louxor et Le Caire d'où il rapporte des peintures et aquarelles auxquelles « les souvenirs du cubisme donnent de la solidité »[4] et qui sont exposées au Caire en 1930. Lors de sa visite du Salon d'automne de 1933, Michel Florisoone situe Henri Vergé-Sarrat, aux côtés de Maurice Asselin, Gaston Balande, Victor Charreton, Jean Fernand-Trochain, Tristan Klingsor, Robert Lotiron, Paul-Émile Pissarro, René Seyssaud et Jules Zingg, au sein de « l'immuable phalange des paysagistes amoureux des frondaisons et des rivières »[5].

C'est de même ainsi qu'au Salon de la Société des peintres-graveurs indépendants, s'il expose principalement des paysages français (ses thèmes de prédilection seront finalement la Seine-et-Marne où il réside, Collioure - qu'il fréquente, selon le Musée d'art moderne le la ville, à compter de 1917[6] - mais aussi des scènes plus intimistes à Tournay où il conservera des habitudes estivales), il y montre également en 1926 et 1928 des vues du Maroc. La critique là encore le remarque, à l'instar de Georges Charensol qui le cite, avec Edmond Ceria, Simon Mondzain et Henry de Waroquier, parmi les meilleurs paysagistes du Salon des Tuileries de 1926[7], ou de Claude Roger-Marx qui vante « le soin formel accordé par l'artiste à ses estampes orientales »[8]. « Sans conteste, observe ce dernier, la vision de Vergé-Sarrat a bénéficié des richesses que lui apporte ce qu'on nomme arbitrairement l'Orient. Le format de ses estampes grandit; elles s'animent d'une figure pittoresque »[9].

Céline de Potter évalue qu'« Henri Vergé-Sarrat ne vendit pas moins de 64 – dont 49 durant l'entre-deux-guerres – peintures et gravures à l'état français et 19 peintures et gravures encore – dont 5 durant l'entre-deux-guerres - à la ville de Paris, chiffres qui en font l'un des artistes les plus achetés par des fonds publics français durant la période, toutes nationalités confondues »[8].

Durant la Seconde Guerre mondiale, il travaille en service auxiliaire aux Usines Schneider de Harfleur. Sociétaire du Salon d'automne[10], membre de la Société des peintres-graveurs français, il réside alternativement au 72, Rue Damrémont (18e arrondissement de Paris) [11] et à Château-Landon avec son épouse Rolande Déchorain, elle aussi artiste peintre[12].

Henri Vergé-Sarrat est mort le en son domicile, rue Damrémont dans le 18e arrondissement de Paris[13], et , est inhumé au Cimetière parisien de Pantin (37e division)[14].

Henri Vergé-Sarrat était apprécié par ses pairs : Jules Pascin disait qu'« il était celui des peintres qui comprenait le mieux la France » tandis que Jacques Villon voyait en lui un des plus grands graveurs français[3]. Léopold Lévy le citait parmi ses grands amis[15] tandis que Michel Ciry évoque dans son Journal (Éditions Plon) ses rencontres avec « le gentil Vergé-Sarrat ». A son décès en 1966, qu'a suivi en 1967 l'hommage particulier du Salon d'automne[10], André Dunoyer de Segonzac a écrit : « J'aimais l'homme et j'admirais son œuvre. C'est un artiste de grande classe qui disparaît. Son œuvre est pure et vraie, son art est élevé. Il avait un sens profond de la vie »[3].

Contributions bibliophiliques

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Expositions

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Expositions personnelles

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  • Vergé Sarrat, peintures, dessins et aquarelles, Galerie Berthe Weill, 46, rue Laffitte, , , avril-[16], [17], avril-[18].
  • Leicester Gallery, Londres, 1928.
  • Vergé-Sarrat - Vues d'Espagne, Galerie Marcel Bernheim, Paris, 1930[19].
  • Galerie Paquereau, Paris, janvier 1931[20].
  • Galerie Dalpayrat, Limoges, 1931.
  • Galerie Dhainaut, Lille, 1945.
  • Galerie Sélection, Tunis, 1945.
  • Galerie Roger, Lyon, 1946.
  • Galerie Marie L. André, Paris, 1965.

Expositions collectives

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  • Salon d'automne, Paris, à partir de 1921[10].
  • Peintures de Billette, Frelaut, Hermine David, Kayser, Léopold Lévy, Jules Pascin, Per Krohg, Henri Vergé-Sarrat, sculptures de Charles Despiau, Galerie Berthe Weill, Paris, février .
  • La fleur animée, Galerie Berthe Weill, Paris, - .
  • Salon des Tuileries, Paris, 1926[21], juin-juillet 1944.
  • Salon de la Société des peintres-graveurs indépendants, Paris, 1926, 1928[8], 1929[18].
  • Où étiez-vous cet été?, Galerie Marcel Bernheim, .
  • Fenêtres fleuries, Galerie Berthe Weill, Paris, - .
  • Exposition de groupe: Maurice Utrillo, Maurice de Vlaminck, Marie Laurencin, André Derain, Henri Vergé-Sarrat, Galerie du Portique, Paris, .
  • Fleurs et fruits, Galerie Berthe Weill, Paris, - , - .
  • Exposition de la collection particulière de Berthe Weill, Galerie Berthe Weill, octobre-.
  • La revanche de l'Algérie, Galerie Gilbert, Paris, avril-.
  • Exposition Raymond Warnier[22], Institut français de Zagreb, 1930[23].
  • Le Blanc, Galerie Berthe Weill, -.
  • Musée des beaux-arts d'Alger, 1931[24].
  • 11th International Water Color Exhibition, Art Institute of Chicago, avril-[25].
  • Paris par cent peintres, Galerie Armand Drouand, Paris, juin-.
  • Paris le jour et la nuit, Galerie Berthe Weil, Paris, juin-.
  • Renaissance Society (en), Université de Chicago, The Albert Roulliere Memorial Collection, juin-[26].
  • La joie de vivre - Les trente ans de la Galerie Berthe Weill, Paris, -.
  • Salon de Noël, leur meilleure petite œuvre de l'année, Galerie Armand Drouand, Paris, - .
  • Les peintres de provinces françaises, Galerie Charpentier, Paris, .
  • Visages et scènes d'enfants, Galerie Berthe Weill, Paris, - .
  • Galerie Berthe Weill, Paris, - .
  • Galerie de l'art et de la mode, Paris, 1934.
  • Biennale de Venise (section française présentée par la Galerie Charpentier), 1934.
  • The fifteenth international water color Exhibition - water colors, pastels, drawings and monotypes (Hermine David, André Dunoyer de Segonzac, Jean Dufy, Henri Farge, Jean Lurçat, Aristide Maillol, Jules Pascin, Georges Rouault, Paul Signac, Henri Vergé-Sarrat, Maurice de Vlaminck), Art Institute of Chicago, mars-[27].
  • Quarante artistes, trois générations, Galerie Berthe Weill, Paris, - .
  • Exposition universelle, Paris, mai-novembre 1937[28].
  • Expositions thématiques: Un siècle d'aquarelle (1942), Le paysage français de Corot à nos jours 1942), Scènes et figures parisiennes (1943), L'automne (1943), Jardins de France (1943), La vie familiale, scènes et portraits (1944), L'aquarelle romantique et contemporaine (1944), Paysages d'eau douce (1945), L'aquarelle, (1945), Galerie Charpentier, Paris.
  • Exposition les vœux gravés: Yves Alix, Jean Carzou, Michel Ciry, Lucien Coutaud, Albert Decaris, André Minaux, Pino della Selva, Henri Vergé-Sarrat...., Bibliothèque nationale de France, .
  • Exposition organisée à l'occasion des États généraux du désarmement, Cercle Volney, Paris, mai 1963.
  • Les peintres graveurs français, Bibliothèque nationale de France, 1967[29].
  • Salon de la Société nationale des beaux-arts, non daté[30].

Prix et distinctions

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Réception critique

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  • « Au premier coup d'œil, les toiles de Vergé-Sarrat offrent quelque chose de singulier, qui déconcerte un peu : une acidité de couleur, une saveur un peu sèche comme celle de certains fruits d'hiver. Mais, bientôt, on se fait à ses colorations, à ces rouges violacés, à ces verts tirant sur l'oseille, sur quoi s'étalent des luisants blancs qui font penser à de la neige fondante. On se rend compte des qualités profondes de cet art, de son originalité qui est spontanée et non forcée, de sa vérité. Lorsque le temps aura atténué ce que les paysages de Vergé-Sarrat ont d'aigre, on découvrira qu'ils comptent parmi les meilleurs de notre époque. » - François Fosca, 1928[17]
  • « Prodige d'un artiste comme Vergé-Sarrat, fervent de la nature qu'il voit et qu'il fixe sur la toile. Il a donné plusieurs visages des mêmes sites, sans jamais se répéter mais au contraire avec un agrément toujours nouveau... Du tableau à l'huile jusqu'au dessin à l'encre de Chine, en passant par de nombreuses aquarelles, il nous a prodigué partout l'enchantement et la surprise. » - Paul Sentenac[32]
  • « Ces vues d'Espagne montrent un Vergé-Sarrat renouvelé, et en progrès. Bien loin d'être dérouté par une lumière si différente de celle à laquelle il était habitué, il a trouvé en Afrique une sorte de rajeunissement. Aucune de ces toiles et de ces aquarelles n'est indifférente ; c'est que l'originalité de Vergé-Sarrat est une originalité naturelle, non une originalité fabriquée comme il y en a tant aujourd'hui. » - François Fosca, 1930[19]
  • « Il y a dans la vision de Vergé-Sarrat une acuité qui inévitablement fait penser à l'excellent graveur qu'il est. Déjà, dans les aquarelles et les dessins dont il avait fait en 1931 une exposition, ce rapprochement s'était imposé. Il ne s'agit pas d'un métier de graveur appliqué à la peinture, mais plutôt de la façon nette de voir et de transposer les choses… Sans doute est-ce parce que dans cette préciosité il y a une vigueur parfois brutale, parce que cette subtilité est pleine de liberté, de certitudes, et que, dans ce charme, il y a des contrastes et des audaces qu'on ne découvre que peu à peu... » - Raymond Cogniat[33]
  • « L'art aérien de Vergé-Sarrat trouve dans l'aquarelle plus que dans la peinture son épanouissement. Primesautier, nerveux, plus encore spirituel, cet art subtil perd de sa fraîcheur en s'immisçant aux pâtes qui ne sont pas faites pour lui. Pourtant, ces pâtes, Vergé-Sarrat les manie avec beaucoup d'élégance et les nantit d'une qualité qui lui est propre, et que l'on retrouve notamment dans ses architectures de villages confinés dans la verdure… L'Égypte, dont il fut boursier, et l'Algérie, où il fit plusieurs séjours, parent certaines de ses aquarelles d'une nostalgie ténue et nonchalante. » - Gaston Poulain[34]
  • « J'admire premièrement dans les tableaux de Vergé-Sarrat la force d'un dessin qui est à la fois synthétique et précis: un dessin de graveur probe et droit. C'est aussi un paysagiste qui ne craint pas d'obéir à la couleur. Il fait les arbres bleus quand il les voit bleus, sans parti-pris ni scandale, parce que c'est ainsi qu'il les voit... Vergé Sarrat sait aussi ne pas demeurer trop esclave du motif: il choisit, épure et compose. Si bien que ses vives peintures y gagnent d'être construites en profondeur comme en surface, sur des rythmes linéaires pleins d'harmonie décorative. » - Léon-Paul Fargue[35]
  • « Il était franc et direct, mais il y avait dans sa vie intérieure une part importante de rêverie, d'approfondissement constant, par élimination de tout ce qui ne comptait pas essentiellement à ses yeux: bien voir et bien rendre, dans la lumière et l'équilibre, sans exclure le frémissement de la vie. Car Vergé-Sarrat fut un vivant, au sens moral du terme. En dépit de son extrême discrétion, ses réactions étaient vives, franches, nettes comme son pinceau et son burin: franches et définitives. » - André Billy[36]
  • « Si ses aquarelles sensibles et spontanées lui ont procuré ses premiers grands succès en Angleterre et en Amérique, ses toiles, d'une construction parfaite, d'une écriture exacte et fine où la lumière frappe toujours ses paysages, lui ont permis de grands succès lors d'expositions à la Bibliothèque Nationale, au Salon d'automne et au Salon des Tuileries. » - Gérald Schurr[2]
  • « Aquarelliste racé, il peignit des scènes d'Afrique du Nord et des paysages de France, jouant de façon très personnelle des tons aigus. Observateur réaliste de la nature, il frôla cependant le cubisme. » - Dictionnaire Bénézit[30]

Collections publiques

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Collections privées

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Notes et références

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  1. Archives de la Belgique, commune d'Anderlecht, acte de naissance no 495, année 1880 (vue 260/761)
  2. a et b Gérald Scurr, Henri Vergé-Sarrat in: Catalogue de l'atelier Henri Vergé-Sarrat, Jean-Akain Labat, 7 mars 1979.
  3. a b c et d Archives Vergé-Sarrat, Musée du Mont-de-Piété, Bergues.
  4. Gérald Schurr, Le guidargus de la peinture, Les éditions de l'amateur, 1980, page 489.
  5. Michel Florisoone, « À travers le Salon d'automne - Les paysages », L'Art et les Artistes, tome XXIX, 1934, p. 63.
  6. Musée d'art moderne de Collioure, Collioure et les artistes peintres
  7. Georges Charensol, « Le Salon des Tuileries », L'Amour de l'art, n°6, juin 1926, p. 210.
  8. a b et c Céline de Potter, Présence et réception des graveurs belges dans les salons de gravure parisiens (1919-1939) in: Cahiers de l'IRHIS, n°9, Université de Lille, pages 121 à 124.
  9. Claude Roger-Marx, Un pur: Vergé-Sarrat, in Catalogue de la vente de l'atelier Henri Vergé-Sarrat établi par Claude Robert, Paris, 18 novembre 1969.
  10. a b et c Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Arts et Images du Monde, 1992.
  11. Recensement de 1936 (vue 149/331)
  12. « Rolande Déchorain, peintre de paysages et de natures mortes, née à Paris, femme et élève de Vergé Sarrat », dans Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, tome 4, page 330.
  13. Archives de Paris 18e, acte de décès no 2491, année 1966 (page 16/31)
  14. Registre journalier d'inhumation de Pantin de 1966 en date du 17 octobre (page 22/31)
  15. Association pour la défense de l'œuvre de Léopold Lévy, biographie mentionnant l'amitié, de 1909 à 1966, entre les deux artistes
  16. Vergé-Sarrat, peintures et aquarelles, Bulletin de la Galerie Berthe Weill, n°28, 19 avril 1926.
  17. a et b François Fosca, « Chroniques - Gtançois Fosca, Galerie Berthe Weill », L'Amour de l'art, n°1, janvier 1928, p. 31.
  18. a et b François Fosca, « Chroniques - Vergé-Sarrat, Galerie Berthe Weill », L'Amour de l'art, n°6, juin 1929, p. 229.
  19. a et b François Fosca, « Chroniques - Vergé-Sarrat, Galerie Marcel Bernheim », L'Amour de l'art, n°7, juillet 1930, p. 308.
  20. François Fosca, « Les expositions - Vergé-Sarrat, Galerie Paquereau », L'Amour de l'art, n°1, janvier 1931, p. 63.
  21. Robert Rey, « Les salons », vol. juillet-décembre 1926, pages 33-50.
  22. Raymond Warnier, L'art vivant en Serbie, in L'art vivant, n°135, juillet 1930, page 631.
  23. Pauline Chougnet, Les expositions d'art français organisées par la France à l'étranger pendant l'entre-deux-guerres, École pratique des hautes-études, section des sciences historiques, philologiques et religieuses, mémoire de Master 2, 2009.
  24. Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains.
  25. Art Institute of Chicago, Eleventh International Water Color Exhibition, 1931, catalogue de l'exposition
  26. Ranaissance Society, Chicago, exposition Albert Roulliere Memorial Collection, 1932
  27. Art Institute of Chicago, The fifteenth international water color Exhibition, catalogue, 1936
  28. Paul-André Lemoisne, « Exposition internationale de 1937 - La gravure et l'estampe », Nouvelles de l'estampe, n°250, 2015, pp. 10-14
  29. André Billy, Les peintres graveurs français, catalogue de l'exposition, B.N.F., 1967.
  30. a b et c Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, tome 14, page 143.
  31. La Semaine à Paris : Paris-guide du 10 avril 1936 (page 4)
  32. Paul Sentenac, « Vergé-Sarrat peintre de l'Égypte », La Renaissance littéraire et artistique, mai 1930.
  33. Raymond Cogniat, « Vergé-Sarrat », revue Beaux-Arts, février 1932.
  34. Gaston Poulain, « Histoire de l'art contemporain - Le réalisme poétique », L'Amour de l'art, janvier 1934, p. 301.
  35. Léon-Paul Fargue, cité par Claude Robert, Catalogue de la vente de l'atelier Henri Vergé-Sarrat, Paris, 18 novembre 1969.
  36. André Billy, Les peintres graveurs français, B.N.F., 1967.
  37. Marie Castro, Le Musée du Mont-de-Piété s'enrichit d'un cabinet graphique et de dons variés, La Voix du Nord, 24 juillet 2015
  38. Service des publices des musées de Nancy, Le paysage au Musée des beaux-arts, dossier enseignant, 2014. Voir collections en page 11
  39. Wichita Art Museum, Henri Vergé-Sarrat dans l'inventaire des collections.
  40. Hunterian Museum and Art Gallery, Henri Vergé-Sarrat dans l'inventaire des collections
  41. Metropolitan Museum of Art, New York, Henri Vergé-Sarrat dans l'inventaire des collections
  42. Princeton University Art Collection, Henri Vergé-Sarrat dans l'inventaire des collections
  43. Art Institute of Chicago, Henri Vergé-Sarrat dans l'inventaire des collections
  44. Minneapolis Institute of Art, John De Lattre Memorial Collection
  45. Cleveland Museum of Art, Index des artistes
  46. Yale University Art Gallery, Henri Vergé-Sarrat dans l'inventaire des collections
  47. Mead Art Museum, Henri Vergé-Sarrat dans l'inventaire des collections
  48. Harvard Art Museums, Henri Vergé-Sarrat dans les collections du Fogg Art Museum
  49. Louise Anderson Allen, A Bluestocking in Charleston, the life and career of Laura Bragg, University of South Carolina Press, 2001. Biographie de Laura Bragg, fondatrice du Bershire Museum. Voir en particulier pages 176-177 (chapitre The Berkshire Museum as a progressive institution) la donation Eliot Watrous.
  50. Bibliothèque de l'I.N.H.A., Henri Vergé-Sarrat dans l'inventaire des collections
  51. Argus du bibliophile, Henri Marie Petiet

Bibliographie

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  • Claude Roger-Marx, Henri Vergé-Sarrat, G.B.A., .
  • Vergé-Sarrat, peintures et aquarelles, Galerie Berthe Weill, Paris, bulletin n°28 du .
  • André Billy, Henri Vergé-Sarrat, éditions de la Galerie Berthe Weill, 1927.
  • Claude Roger-Marx, « Le dessin d'H. Vergé-Sarrat », L'Amour de l'art, n°11, novembre 1929, pp. 413-417 (consulter en ligne).
  • Paul Sentenac, Henri Vergé-Sarrat, peintre de l'Égypte, in revue La Renaissance artistique et littéraire, .
  • Raymond Cogniat, Vergé-Sarrat, in revue Beaux-Arts (revue de la Galerie des beaux-arts, 140, rue du Faubourg-Saint-Honoré, Paris), .
  • André Billy, Les peintres graveurs français, B.N.F., 1967.
  • Claude Robert, Catalogue de la vente de l'atelier Henri Vergé-Sarrat, préface de Claude Roger-Marx: Un pur: Vergé-Sarrat, Hôtel Drouot, Paris, .
  • Jean-Alain Labat, Catalogue de la vente de l'atelier Henri Vergé-Sarrat, texte de Gérald Schurr, Hôtel Drouot, Paris, .
  • Gérald Schurr, Le guidargus de la peinture, Les éditions de l'amateur, 1980, 1981.
  • Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'Automne de 1903 à nos jours, Arts et Images du Monde, 1992.
  • André Roussard, Dictionnaire des artistes à Montmartre, Éditions André Roussard, 1995.
  • Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Gründ, 2001.
  • Marcus Osterwalder, Dictionnaire des illustrateurs, 1890-1945, Éditions Ides et Calendes, 2005.
  • Pierre Sanchez (préfaces de Josiane Sartre et Chantal Beauvalot), Dictionnaire du Salon des Tuileries (1923-1962) - Répertoire des exposants et liste des œuvres présentées, L'Échelle de Jacob, Dijon, 2007.
  • Céline de Potter, « Présence et réception des graveurs belges dans les salons français », Cahiers de l'I.R.H.I.S. n°9 - Journées France-Belgique : Gravures/Gravure, Université de Lille, 2010.
  • Marianne Le Morvan, Berthe Weill, 1865-1931 - La petite galerie des grands artistes, collections L'écarlate, Éditions de L'harmattan, 2011.

Liens externes

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