Hans Wijers
Hans Wijers | |
Hans Wijers, en 2010. | |
Fonctions | |
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Ministre néerlandais des Affaires économiques | |
– (3 ans, 11 mois et 12 jours) |
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Premier ministre | Wim Kok |
Gouvernement | Kok I |
Prédécesseur | Koos Andriessen |
Successeur | Annemarie Jorritsma |
Biographie | |
Nom de naissance | Gerardus Johannes Wijers |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Oostburg (Pays-Bas) |
Parti politique | Démocrates 66 |
Diplômé de | Université de Groningue |
Profession | Universitaire Entrepreneur |
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Gerardus Johannes « Hans » Wijers, né le à Oostburg, est un homme politique néerlandais membre des Démocrates 66 (D66). Il est ministre des Affaires économiques entre 1994 et 1998.
Biographie
[modifier | modifier le code]L'université, de la formation à l'emploi
[modifier | modifier le code]Il sort diplômé de sciences économiques de l'université de Groningue en 1976. Il devient alors professeur dans ce domaine, à la faculté des sciences sociales de l'université Érasme de Rotterdam et adhère aux D66. En , il y obtient son doctorat de sciences économiques.
Il intègre alors le ministère des Affaires sociales et occupe un poste de cadre au sein de la direction de la Coordination de la politique de l'emploi. Parallèlement, il coordonne tout le volet socio-économique du projet des Démocrates 66 pour les législatives anticipées qui ont lieu cette même année.
Parcours dans le secteur privé
[modifier | modifier le code]En 1985, il est recruté par la société de consultants Bakkenist, Spits & Co. Il y exerce le métier de conseiller en organisation jusqu'en 1987, lorsqu'il rejoint la société de consultants Horringa & De Koning en tant qu'associé.
Ministre de l'Économie
[modifier | modifier le code]Hans Wijers est nommé ministre des Affaires économiques le dans le premier gouvernement du Premier ministre travailliste Wim Kok. Entre le 4 et le , il exerce l'intérim du ministère des Finances du fait de l'hospitalisation du libéral Gerrit Zalm.
Après la politique
[modifier | modifier le code]Il ne se présente pas aux élections législatives de , qui voient la majorité sortante reconduite. Dans le cadre des négociations ministérielles, son portefeuille revient au parti libéral et il quitte ses fonctions le 3 août suivant.
Dès , il est nommé vice-président de Boston Consulting Group. Il quitte ce poste en et rejoint cinq mois plus tard le conseil d'administration de la compagnie chimique AkzoNobel. Il en exerce du au .
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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