Gnomulus sinensis
Apparence
Gnomulus sinensis
Gnomulus sinensis est une espèce d'opilions laniatores de la famille des Sandokanidae.
Distribution
[modifier | modifier le code]Cette espèce est endémique du Sichuan en Chine[1]. Elle se rencontre dans la ville-district d'Emeishan et le xian de Baoxing.
Description
[modifier | modifier le code]Le mâle holotype mesure 4,32 mm[2].
Le mâle décrit par Schwendinger et Martens en 2006 mesure 4,49 mm et la femelle 4,63 mm[1].
Systématique et taxinomie
[modifier | modifier le code]Cette espèce a été décrite par Schwendinger et Martens en 2002.
Étymologie
[modifier | modifier le code]Son nom d'espèce, composé de sin[a] et du suffixe latin -ensis, « qui vit dans, qui habite », lui a été donné en référence au lieu de sa découverte, la Chine.
Publication originale
[modifier | modifier le code]- Schwendinger & Martens, 2002 : « A taxonomic revision of the family Oncopodidae III. Further new species of Gnomulus Thorell (Opiliones, Laniatores). » Revue Suisse de Zoologie, vol. 109, no 1, p. 47–113 (texte intégral).
Liens externes
[modifier | modifier le code]- (en) Référence BioLib : Gnomulus sinensis Schwendinger & Martens, 2002 (consulté le )
- (en) Référence Catalogue of Life : Gnomulus sinensis Schwendinger & Martens, 2002 (consulté le )
- (fr en) Référence GBIF : Gnomulus sinensis Schwendinger & Martens, 2002 (consulté le )
- (en) Référence IRMNG : Gnomulus sinensis Schwendinger & Martens, 2002 (consulté le )
- (en) Référence Taxonomicon : Gnomulus sinensis Schwendinger & Martens, 2002 (consulté le )
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Schwendinger & Martens, 2006 : « A taxonomic revision of the family Oncopodidae V. Gnomulus from Vietnam and China, with the description of five new species (Opiliones, Laniatores). » Revue Suisse de Zoologie, vol. 113, no 3, p. 595–615 (texte intégral).
- ↑ Schwendinger & Martens, 2002 : « A taxonomic revision of the family Oncopodidae III. Further new species of Gnomulus Thorell (Opiliones, Laniatores). » Revue Suisse de Zoologie, vol. 109, no 1, p. 47–113 (texte intégral).