Glénic
Glénic | |||||
Le bourg de Glénic. Sur la gauche, le viaduc enjambant la Grande Creuse. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Creuse | ||||
Arrondissement | Guéret | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Guéret | ||||
Maire Mandat |
Marie-France Dalot 2020-2026 |
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Code postal | 23380 | ||||
Code commune | 23092 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Glénicois | ||||
Population municipale |
663 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 13′ 27″ nord, 1° 55′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 293 m Max. 521 m |
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Superficie | 27,60 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Guéret (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Vaury | ||||
Législatives | Circonscription unique | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Creuse
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Glénic (/glɛni/) est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.
Ses habitants sont appelés les Glénicois(es).
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Situé sur la D 940, à 8 kilomètres de Guéret, le bourg de Glénic est perché à 342 mètres d'altitude. Il domine la vallée de la Grande Creuse, qu'enjambe un viaduc construit en 1905-1906 pour permettre le passage de la voie ferrée qui reliait La Châtre à Guéret. Cette ligne a été désaffectée en 1952. Le territoire communal est arrosé par la rivière Creuse et par son affluent la Naute.
Les communes limitrophes de Glénic sont Champsanglard, Saint-Fiel, Ajain et Jouillat.
La commune s'étend sur 2760 hectares et ne comprend pas moins de 29 hameaux, écarts ou lieux-dits. On y dénombrait 1360 Glénicois et Glénicoises en 1901[1], mais seulement 592 en 2007 (620 en population légale)[2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 953 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Guéret à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 103,0 mm[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Glénic est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guéret, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (34,2 %), prairies (33,3 %), zones agricoles hétérogènes (32,3 %), eaux continentales[Note 2] (0,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Glénic est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Creuse et la Naute. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2018[15],[13].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 39,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 402 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 141 sont en aléa moyen ou fort, soit 35 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]La commune est en outre située en aval du barrage de Confolent, un ouvrage sur la Creuse de classe A[Note 3] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 4,7 millions de mètres cubes[19]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[20].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Glénic est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[21].
Transports en commun
[modifier | modifier le code]- Réseau TransCreuse
Histoire
[modifier | modifier le code]Il fait peu de doute que les origines de Glénic sont au moins gallo-romaines. Au XIXe siècle, on a en effet retrouvé dans le bourg une pièce en or à l'effigie de Faustine (décédée en 141), épouse d'Antonin le Pieux, et, dans le hameau de Villelot, une urne funéraire ainsi qu'une autre pièce en or à l'effigie de Néron adolescent (pièce datée vers 50-54)[22].
Au demeurant, les plus anciens textes faisant mention de Glénic ne remontent qu'au XIIe siècle : en 1150, on écrit Glanic, au XIVe siècle, on cite le prieur et le chapelain de Glenico, et, enfin, la paroisse de Glénic en 1417[23].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]La commune de Glénic appartient à la Communauté d'Agglomération du Grand Guéret. .
Démographie
[modifier | modifier le code]La population de Glénic reste stable depuis une trentaine d'années si l'on s'en tient aux chiffres de la population municipale (et non pas légale). Son éloignement relatif de Guéret et son relief ne lui permet pas, contrairement à d'autres communes, de développer des zones d'habitat pavillonnaire. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].
En 2021, la commune comptait 663 habitants[Note 4], en évolution de 0,91 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Commune rurale, proche de Guéret, Glénic est essentiellement peuplée d’employés ou de fonctionnaires travaillant à Guéret, de retraités, de quelques artisans et d’agriculteurs. Bien que d’une moyenne d’âge élevée, la population a désormais tendance à se stabiliser et même à progresser. Historiquement, la première vocation économique de la Commune est agricole, principalement basée sur l’élevage.
Le tourisme « vert » apparaît peu à peu comme un enjeu économiquement important sur le territoire.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Les attraits patrimoniaux de la commune sont nombreux avec, surtout, ses beaux paysages constitués de collines, traversés de rivières et ponctués de forêts et d’étangs. De nombreux chemins de randonnée permettent d’aller à la rencontre d’un patrimoine bâti typique où prédomine la pierre, construit par des hommes à la fois agriculteurs et maçons : fermes anciennes érigées sur des sites gallo-romains, moulins sur la Creuse...
Le « petit patrimoine » est particulièrement abondant dans les 27 villages que compte la commune : croix, fontaines, lavoirs, abreuvoirs. Son viaduc enjambant la Creuse, construit en 1904 pour la voie ferrée Guéret–La Châtre, est devenu un site d'escalade équipé. L'église est un remarquable ouvrage du XIIe siècle.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]L'église
[modifier | modifier le code]Dédiée à la nativité de la Vierge, l’église de Glénic a été bâtie de la fin du XIe siècle au début du XIIe siècle à l’emplacement d’un temple gallo-romain. Elle fut ensuite remaniée et fortifiée au XVe siècle pendant la guerre de Cent Ans. Dépourvue de clocher, c’est un exemple remarquable d’architecture religieuse et militaire de facture romane et gothique. L’église a été classée au titre des Monuments Historiques le [28].
Les fouilles archéologiques et les travaux de restauration extérieurs et intérieurs entrepris depuis 1995 ont permis de consolider l’édifice, de mettre en valeur le décor intérieur, de restaurer le mobilier et les statues et enfin de présenter au public les découvertes les plus remarquables.
L'édifice est classé en totalité au titre des monuments historiques en 1989[29].
Le viaduc
[modifier | modifier le code]Inauguré le , le viaduc de Glénic a nécessité trois années d’efforts pour sa construction de à . Franchissant la Creuse, il permettait de relier Guéret à La Châtre par le chemin de fer (train à vapeur). Les trains de voyageurs circulèrent sur le viaduc jusqu’en 1939 et les convois de marchandises jusqu'en 1952, année de la fermeture définitive de la ligne de La Châtre à Guéret. Il a été défriché dans les années 2010, le rendant accessible aux piétons et permettant chaque année Le passage du viaduc, une course pédestre de 15 kilomètres[30]. 27 voies d'escalade ont été aménagées sur des piliers du viaduc[31],[32].
Le viaduc en chiffres :
- longueur totale 202,10 m
- Largeur : 4,50 entre parapets
- Hauteur : 20 m
- 16 arches
- Volume de maçonnerie estimé : 7 331 m3
- Rayon de courbure : 300 m
- Coût de la construction 295 300 francs (environ 965 631 €)
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]René Bugeaud dit René Villelot (1903-1981)
Né en 1903, René Bugeaud, ancien militaire qui plus tard prendra comme nom d’écrivain René Villelot voit son destin basculer en 1946 le jour de l’ouverture de la chasse. Ce jour-là, un malencontreux accident le prive de la vue. Réfugié à jamais dans les ténèbres, c’est désormais par l’écriture poétique qu’il portera son regard sur le monde qui l’entoure en particulier ces paysages, traditions et coutumes de la Creuse qu’il aimait tant. Certains d’entre nous se souviennent de lui et du bruit de ses sabots qui lui permettait de se repérer, lorsqu’il allait chez « Dudule » à côté du viaduc faire les courses, chercher le lait à Villelot ou encore promener sa petite fille Josette. Pour que l’écriture lui soit plus facile, son fils Jean, lui avait confectionné un ingénieux guide ligne, tandis que Josette l’aidait dans sa rédaction en lui relisant ses textes, les corrigeant et les dactylographiant. Plusieurs de ses textes ont d’ailleurs été publiés dans la revue : « Nous, pour vous ! », ainsi qu’un recueil de poésies : « Souvenir et clapotis des bords de Creuse. » que vous pouvez consulter à la mairie. C’est avec beaucoup d’humilité et de talent qu’il y consigne ses souvenirs et pensées dans un langage simple mais très émouvant. Témoin de notre histoire, amoureux des paysages et de la nature, René Bugeaud s’est éteint en 1981 nous laissant une œuvre poétique très personnelle et typique de notre commune.
« C’est sans illusion ni prétention que j’ai écrit ces poèmes, mais à la recherche d’occupations et distractions, afin de meubler cette nuit sans fin dans laquelle je me débats. » René Bugeaud, Bonnavaud, 1979.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- René Bugeaud dit René Villelot, Souvenirs et clapotis des bords de Creuse, 1979, Presses du Massif Central, Guéret
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Glénic sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[18].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- Amédée Carriat, Almanach pittoresque et historique de la Creuse pour 2001, Guéret, Lecante, 2000, p. 67.
- Source INSEE
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Glénic et Guéret », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique Guéret, commune de Guéret - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Guéret », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Glénic », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Glénic », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « barrage de Confolent », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Abbé André Lecler, Dictionnaire topographique, archéologique et historique de la Creuse, Limoges, Vve Ducourtieux, 1902 (Laffite reprints, 2000), pp. 302-305. La pièce figurant Néron porte l'inscription NERONI CLAVDIO DRVSO GERM. COS. DESIG., ce qui signifie qu'il était consul "désigné"...
- Lecler, Ibid., p. 302.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Eglise de la Nativité de la Vierge », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Notice no PA00100082, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Sarah Vildeuil, « Nouveau record pour la course "Le Passage du Viaduc" à Glénic », France Bleu Creuse, (lire en ligne)
- Catherine Perrot, « Et si vous escaladiez le viaduc de Glénic, au bord de la Creuse? », La Montagne, (lire en ligne)
- Daniel Lauret, « J'ai testé pour vous : escalader le viaduc de Glénic (Creuse) », La Montagne, (lire en ligne)