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Flottemanville

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Flottemanville
Flottemanville
L'église Saint-Clément.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Hubert Lemonnier
2020-2026
Code postal 50700
Code commune 50186
Démographie
Population
municipale
226 hab. (2021 en évolution de  22,83 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 28″ nord, 1° 27′ 19″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 43 m
Superficie 4,85 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Première circonscription
Localisation
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Flottemanville

Flottemanville est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie. Elle est aussi appelée Flottemanville-Bocage pour la différencier de Flottemanville-Hague, également dans le Cotentin. Elle est peuplée de 226 habitants[Note 1].

Géographie

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 902 mm, avec 13,8 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gonneville-Le Theil à 18 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 940,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Flottemanville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,4 %), zones agricoles hétérogènes (35,5 %), prairies (22,2 %), mines, décharges et chantiers (6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Flottemanville est attesté sous les formes latinisées (pour des textes rédigés en latin) Flotemanvilla en 1147 et Flottemanvilla en 1250[13].

Il s'agit d'une formation toponymique en -ville, appellatif toponymique ayant le sens ancien de « domaine rural »[13].

Le premier élément est un nom de personne comme c'est généralement le cas dans les composés en -ville.

Certains auteurs ont identifié l'anthroponyme anglo-danois Floteman qui signifierait « viking » en vieil anglais, ainsi qu'on le retrouve dans Flotemanby, Yorkshire[13]. Cependant, le vieil anglais est plutôt flot-mån(n) « marin, pirate »[14] et -by est un élément toponymique scandinave. Par conséquent, on peut y voir l'ancien scandinave flottamaðr « fugitif »[15] qui convient à la fois mieux sur le plan phonétique et qui s'accorde davantage avec la présence d'établissements scandinaves nombreux dans le Cotentin. Ce nom de personne se retrouve par exemple dans le texte Tveggia postola saga petrs ok pals rédigé en vieil islandais : « Eigi em ek flottamaðr, helldr hraustr riddari mins konungs. Ef ec vissa eigi vist, at ek skyllda fyrir 4° þenna dauða koma til lifs oc dyrðar, þa munda… »[16].

Elle s'est appelée autrefois Flottemanville-près-Valognes.

Homonymie avec Flottemanville-Hague et Flottemanville, lieu-dit du Bessin.

Le gentilé est Flottemanvillais.

Des fouilles réalisées au lieu-dit la Sablière du Haut-Pitois et au Poistils ont mis au jour une occupation gauloise[17].

La voie romaine 20, Alauna-Cosedia (Coutances), traversait la commune[18].

Flottemanville fit partie en , après la mort de Philippe, comte de Boulogne, d'un premier lot de partage entre sa veuve, Mathilde de Dammartin, et le roi de France, et échut au roi[19].

La famille de Pierrepont (XIVe siècle) est la première famille connue à tenir la seigneurie de Flottemanville jusqu'en 1622[18]. Hervé de Pierrepont ( 1662), chevalier, fut seigneur et patron d'Étienville, Flottemanville, Urville, de Rouville (Orglandes), du Ronceray, et gouverneur pour le roi aux ville et forteresse de Granville[20]. En 1632, Isabeau de Pierrepont, à la suite de son mariage apporte la seigneurie de Flottemanville à son époux, François du Moncel[19].

Les fiefs, terre et seigneurie de Flottemanville, avec droit de patronage, relevaient de la baronnie de Varenguebec[19].

En 1463, dans sa recherche de noblesse, Montfaut mentionne comme noble à Flottemanville, Pierre de La Roque. Dans la recherche de Chamillart, en 1666, Jean-Théodore du Moncel justifie de sa noblesse par quatre degrés[19].

En 1858, la commune a été coupée en deux par la ligne de chemin de fer Paris-Cherbourg. L'église et le château à l'est des rails, et la mairie à l'ouest. Le pont Cochon est le trait d'union pour les habitants de la commune[21].

Politique et administration

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Circonscriptions administratives avant la Révolution

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La paroisse de Flottemanville relevait de l'intendance de Caen, de l'élection et de la sergenterie de Valognes[19].

Liste des maires

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Liste des maires[22]
Période Identité Étiquette Qualité
1913 1919 Jules Noël   Fermier
1920 1922 Paul Huet   Propriétaire-cultivateur, décédé en cours de mandat
1923 1925 Auguste Burnouf   Cultivateur
1925 1941 Jean Burnouf   Cultivateur
1941 1978 Maurice Lucas SE Agriculteur, député MRP de la Manche de 1946 à 1958
1978 mars 2008 Victor Quesnel SE Agriculteur
mars 2008 En cours Hubert Lemonnier[23] SE Journaliste à La Presse de la Manche
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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Sous l'Ancien Régime

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En 1722, Masseville donne 90 feux imposables, Saugrain, en 1735, et Dumoulin, en 1765, donnent 107 feux (509 habitants)[19].

Depuis la Révolution

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

En 2021, la commune comptait 226 habitants[Note 3], en évolution de 22,83 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
416399463433373369364361342
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
310318306286297295274262250
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
248238240197180165206202222
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
183184147149181176196201195
2014 2019 2021 - - - - - -
185218226------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[28].

Lieux et monuments

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Le manoir de la Cour.
L'édifice abrite un maître-autel à baldaquin en bois ciselé du XVIIe, un groupe sculpté du XVIe dit sainte Jeanne de Chantal, une Vierge à l'Enfant du XIVe, le monument funéraire de Françoise de Longaunay ( 1597), épouse de Guillaume de Pierrepont (2e moitié du XVIe siècle), une statue de sainte Catherine d'Alexandrie du XVIe, œuvres classées au titre objet aux monuments historiques[30], des verrières : calvaire du XIXe et douze verrières du XXe vie de saint Clément classées à l'Inventaire général du patrimoine culturel, les statues de saint Claude et saint Clément du XVe.
  • Manoir de la Cour des XVe, XVIIe – XVIIIe siècles. Le manoir, avec sa chapelle située dans une des deux tours octogonales, est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [31].
  • Fermes-manoirs du Ruage du XVIe siècle, situé de l'autre côté du chemin de fer, des Portes du XVIe siècle, du Grand Manoir du XVIe siècle.
  • Manoir du Cul-de-Fer, à proximité du pont dit romain.
  • Ferme-manoir de La Navette du XVIe siècle : la façade ouest a été remaniée au XVIIe siècle[32]. On accède au colombier situé dans les combles au niveau de la lucarne de gauche par la tour d'escalier.
  • Pont du Cul-de-Fer (dit romain) sur le Merderet.
  • Croix de cimetière du XVIIe siècle.
  • La Croix Blanche du XVIIe siècle, la Croix Manchon du XVIIe siècle, la croix de chemin sur la D24 du XVIIIe siècle, la Croix des Véziels du XVIIIe siècle, la Croix des Frênes du XXe siècle.
  • Anciens fours à chaux.
Pour mémoire
  • Moulin de Quiefdefer, mentionné en 1227[19].

Activité et manifestations

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Personnalités liées à la commune

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  • Maurice Lucas, maire de la commune et député de la Manche sous la Quatrième République.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 84.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 204.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  4. « Orthodromie entre Flottemanville et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Flottemanville ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin », sur Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  13. a b et c François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425).
  14. Fernand Mossé, Manuel du vieil anglais
  15. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1).
  16. Tveggia postola saga petrs ok pals.
  17. Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes et Bénédicte Guillot (avec la collaboration de Gaël Léon), ArchéoCotentin : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, t. 2, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN 978-2-8151-0790-7), « S'approprier la presqu'île : encadrement, contrôle territorial et développement des lieux de pouvoir », p. 1330 av. J.-C. à 1500&rft.au=Laurence Jeanne&rft.au=Laurent Paez-Rezende&rft.au=Julien Deshayes&rft.au=Bénédicte Guillot&rft.date=2023-11&rft.pages=13&rft.tpages=127&rft.isbn=978-2-8151-0790-7&rfr_id=info:sid/fr.wikipedia.org:Flottemanville">.
  18. a et b Gautier 2014, p. 204.
  19. a b c d e f et g Jean-Yves Cuquemelle, Montebourg et le pays Cassin, Éditions Heimdal, , 92 p., p. 87.
  20. « Plaque funéraire d'Hervé de Pierrepont, seigneur et patron d'Étienville et autres lieux, et son cadre », notice no PM50000397, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  21. Le château de Flottemanville - L'histoire de ses propriétaires : Édition salon du livre 17/18 novembre 2012 Valognes, Réal. Joseph Montreuil - Bibliothèque de Caen, , 31 p., p. 10.
  22. Article sur Wikimanche.
  23. Réélection 2014 : « Flottemanville (50700) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
  29. « Église », notice no PA00110402, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Œuvres mobilières classées à Flottemanville.
  31. « Manoir de la Cour », notice no PA50000060, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 158.