Aller au contenu

Finhan

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Finhan
Finhan
L'église Saint-Martin Logo monument historique Classé MH (1947, clocher).
Blason de Finhan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes Grand Sud Tarn-et-Garonne
Maire
Mandat
Christiane Rey
2023-2026
Code postal 82700
Code commune 82062
Démographie
Gentilé Finhanais-Finhanaise
Population
municipale
1 499 hab. (2021 en évolution de −0,93 % par rapport à 2015)
Densité 131 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 54′ 48″ nord, 1° 13′ 17″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 104 m
Superficie 11,48 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montech
Législatives 2e circonscription de Tarn-et-Garonne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Finhan
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Finhan
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Voir sur la carte topographique de Tarn-et-Garonne
Finhan
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Finhan
Liens
Site web https://www.finhan.fr/

Finhan ([finɑ̃]; prononcer à l’occitane Fignan) est une commune française située dans département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.

La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000, deux espaces protégés et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Commune située dans le sud duj département de Tarn-et-Garonne, à environ 20 km au sud-ouest de la ville de Montauban dans une bande de terrain entourée des cours du Tarn et de la Garonne, à proximité de l’axe de communication ToulouseBordeaux. Le village est situé sur la rive droite de la Garonne, au pied du premier coteau des plateaux de Lomagne.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays Montalbanais, correspondant à la partie méridionale du Quercy.

Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Toulouse, dans la zone d'emploi de Montauban et dans le bassin de vie de Montech[I 1].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Finhan est limitrophe de quatre autres communes. Les communes limitrophes sont Montech, Mas-Grenier, Monbéqui et Montbartier.

Communes limitrophes de Finhan[1]
Montech
Mas-Grenier Finhan Montbartier
Monbéqui

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 1 148 hectares ; son altitude varie de 83 à 104 mètres[2].

La commune est limitée par ses champs agricoles tout autour d'elle. Elle est arrosée par plusieurs petits ruisseaux coulant vers la Garonne qui passent dans les principales peupleraies situées dans le ramier.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Finhan.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3].

Elle est drainée par la Garonne, le ruisseau de Pantagnac, le ruisseau des Tauris, le ruisseau de Verdié, un bras de la Garonne, un bras de la Garonne, le ruisseau de la Rode, le ruisseau de Sandrune et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[4],[Carte 1].

La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[5].

Le ruisseau de Pantagnac, d'une longueur totale de 12,9 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il se jette dans la Garonne à Cordes-Tolosannes, après avoir traversé 4 communes[6].

Le ruisseau des Tauris, d'une longueur totale de 11 km, prend sa source dans la commune de Dieupentale et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il se jette dans la Garonnesur le territoire communal, après avoir traversé 5 communes[7].

Le ruisseau de Verdié, d'une longueur totale de 11,6 km, prend sa source dans la commune de Montbartier et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le ruisseau de Pantagnac à Escatalens, après avoir traversé 4 communes[8].

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 709 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 5,5 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Savenès_man », sur la commune de Savenès à 9 km à vol d'oiseau[11], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 705,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −14,5 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Espaces protégés

[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16],[17].

Deux espaces protégés sont présents sur la commune :

Réseau Natura 2000

[modifier | modifier le code]
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[21],

et un au titre de la directive oiseaux[21] :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[24] : « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[25] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[24] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[26].

Au , Finhan est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[27].

Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1].

Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (59,6 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,9 %), zones agricoles hétérogènes (12,4 %), zones urbanisées (9,1 %), eaux continentales[Note 6] (4,4 %), forêts (3,8 %), cultures permanentes (0,5 %)[28].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Accès avec les routes nationales : RN 123 et RN 113.

En bordure de la Garonne, entre Grisolles et Castelsarrasin, Finhan constitue un village de halte pour les routiers entreprenant la route départementale 813 ex-route nationale 123.

Risques naturels et technologiques

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Finhan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne, le ruisseau des Tauris, le ruisseau de Pantagnac et le ruisseau de Verdié. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[31]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1994, 1996, 1999, 2000, 2015 et 2022[32],[29].

Finhan est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 7],[33].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Finhan.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[34].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 646 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 646 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[36].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992 et 1998 et par des mouvements de terrain en 1999[29].

Risques technologiques

[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[37].

Le village portait le nom de Finhau avant 1801.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
La mairie.

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Montauban du département du Tarn-et-Garonne[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Montech[38]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Montech[I 1] dont la composition a évolué.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de Tarn-et-Garonne.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Finhan était membre de la communauté de communes Garonne et Canal, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Grand Sud Tarn-et-Garonne, dont est désormais membre la commune[I 1].

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal est de quinze[39], y compris le maire et ses adjoints.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[40]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790 1791 Jean Bouisset - Avocat au Parlement
1791 1794 Georges Jougla - Praticien
1794 1796 Jean-Pierre Payssot   Négociant
1796 1798 Jean-François Barrié   Notaire
1798 1798 Georges Alexandre de Mazade   Juge de Paix
1798 1802 Jean-Pierre Payssot   Négociant
1802 1808 Jacques Delport   Marchand
1808 1809 Jean Bouisset   Avocat au Parlement
1809 1815 Jacques Delport   Marchand
1815 1830 Jean-Marie Bouisset   Avocat
1830 1836 Jean-Clair Payssot   Propriétaire
1836 1837 Léonard Jougla   Propriétaire
1837 1846 Bernard Salut   Propriétaire
1846 1848 Jean Oustrières   Propriétaire
1848 1848 Pierre Pégas   Propriétaire
1848 1870 Jean-Roch Fauré   Propriétaire
1870 1871 François Pégas   Propriétaire cultivateur
1871 1872 Jean-Pierre Dellac   Notaire
1872 1874 Jean-Neveu Jougla   Propriétaire
1874 1889 Henry de Pérignon   Marquis, propriétaire
1889 1935 Pierre Teissié-Solier   Propriétaire
1935 1945 Jacques Larnaudie   Entrepreneur industriel
1945 1947 François Lacaze   Propriétaire exploitant
1947 1954 Constant Samuel   Commerçant
1954 1965 Joseph Rameau   Colonel en retraite
1965 1971 François Payssot   Administrateur
1971 1979 Bernard Courrech   Commerçant épicier
1979 1995 Raymond Longueville[41]   Fabricant d'échelles en bois
1995 2008 Jean-Claude Tournie[42] UMP Armurier
2008 février 2023[43] Jean-François Fernandez[44] DVG Restaurateur
Mandat écourté par la démission d'une partie du conseil municipal.
février 2023[45] En cours
(au 10 janvier 2024[46])
Christiane Rey   Employée administrative d'entreprise

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Finhan fait partie de l'académie de Toulouse.

Les enfants sont scolarisés à l'école publique Jean-Lacaze ou à l'école privé Emilie de Rodat, dotées d'une cantine[47].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Finhanais ou Finhanaises.

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[49].

En 2021, la commune comptait 1 499 habitants[Note 8], en évolution de −0,93 % par rapport à 2015 (Tarn-et-Garonne : 3,17 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3791 1981 3121 6111 7301 6461 6181 6721 684
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6961 7141 6141 5871 5151 4371 4531 4241 351
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2611 2581 2881 0791 0681 0491 1261 0291 045
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 0449869068939009341 2461 4331 521
2021 - - - - - - - -
1 499--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Finhan est une commune rurale qui a connu une forte hausse de la population depuis 1975.

Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[51] 1975[51] 1982[51] 1990[51] 1999[51] 2006[52] 2009[53] 2013[54]
Rang de la commune dans le département 35 48 35 38 38 33 32 31
Nombre de communes du département 195 195 195 195 195 195 195 195

Sports et loisirs

[modifier | modifier le code]

Chasse, pétanque, pêche,

En 2018, la commune compte 592 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 1 546 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 340 [I 4] (20 140  dans le département[I 5]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 8,8 % 8,8 % 10,2 %
Département[I 7] 8,4 % 10,2 % 10,3 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 915 personnes, parmi lesquelles on compte 78,3 % d'actifs (68,1 % ayant un emploi et 10,2 % de chômeurs) et 21,7 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 123 emplois en 2018, contre 132 en 2013 et 130 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 629, soit un indicateur de concentration d'emploi de 19,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 62,6 %[I 10].

Sur ces 629 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 85 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 89,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,4 % les transports en commun, 3,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture

[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités

[modifier | modifier le code]

66 établissements[Note 11] sont implantés à Finhan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 66
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
4 6,1 % (9,6 %)
Construction 14 21,2 % (14,9 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
17 25,8 % (29,7 %)
Information et communication 2 3 % (1,9 %)
Activités immobilières 1 1,5 % (3,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
7 10,6 % (14,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
9 13,6 % (13,6 %)
Autres activités de services 12 18,2 % (9,3 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,8 % du nombre total d'établissements de la commune (17 sur les 66 entreprises implantées à Finhan), contre 29,7 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces

[modifier | modifier le code]

Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[55] :

  • Iniguez Distribution, supermarchés (4 003 k€)
  • V8 Garage, entretien et réparation de véhicules automobiles légers (312 k€)
  • Kilic Gael, construction de maisons individuelles (60 k€)

Agriculture

[modifier | modifier le code]

La commune est dans les « Vallées et Terrasses », une petite région agricole occupant le centre et une bande d'est en ouest du département de Tarn-et-Garonne[56]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 43 25 17 10
SAU[Note 14] (ha) 782 809 780 1 037

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 43 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 25 en 2000 puis à 17 en 2010[58] et enfin à 10 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 77 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[59],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 782 ha en 1988 à 1 037 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 18 à 104 ha[58].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
La construction de l’église est d’origine romane. Celle-ci a été endommagée par les guerres et reconstruite plusieurs fois. À l'intérieur, un retable du XIXe siècle avec en son centre le « Christ en Croix » par Taillade, peintre à Montauban au milieu du XIXe. Le plafond à caissons d'inspiration italienne réalisé par le marquis de Pérignon alors maire (1874 – 1889), reprend les armoiries des différents prélats de la région. La chaire à double escalier a été présentée à l'exposition universelle de 1900 de Paris.
  • Le château de Pérignon Logo monument historique Inscrit MH (2002, Les chapelles funéraire et néo-gothique du château)[61] :
    Placé à l'entrée du village en bordure de la RD 813, ce château a été réaménagé et agrandi en 1750 par une famille noble, habitant Montech, celle du maréchal Pérignon, qui commanda l'armée des Pyrénées et fut vice-roi de Naples puis gouverneur à Paris. Une partie du château avait été construite peu avant cette date, deux tours ont été ajoutées lors de son extension. Actuellement, il est en bon état de conservation et est habité par un descendant de la famille.
Le musée des métiers d'Autrefois.
  • Musée associatif Norbert Garguy - Les Métiers d'autrefois :
    Situé dans une aille du presbytère, le musée présente des objets retraçant la vie des paysans et des artisans du village aux XIXe et XXe siècles[62], mais aussi des vestiges gallo-romains découverts lors de fouilles archéologiques de la nécropole de Finhan et une collection de mobilier préhistorique du Paléolithique au Néolithique trouvé le long de la vallée de la Garonne[63].
  • Le musée des arts graphiques et des musiques actuelles (MAGMA), aménagé dans une maison bourgeoise de 800 m² construite en briques de terre crue, unique pour cette ampleur et cette fonction, ainsi qu'en briques de terre cuite pour les entourages, dessinée sur un plan carré presque parfait de 20 m x 20 m sur deux niveaux, pour le chirurgien Théodore Larnaudie dans les années 1860[64],[65],[66].
  • Lavoir du XIXe siècle

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Finhan Blason
De gueules au pal d'or, accosté de deux losanges du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[57].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Finhan » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]
  1. a b c d e et f Insee, « Métadonnées de la commune de Finhan ».
  2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulouse », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Finhan » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Finhan » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Finhan » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Finhan » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Finhan », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « la Garonne »
  6. Sandre, « le Ruisseau de Pantagnac »
  7. Sandre, « le Ruisseau des Tauris »
  8. Sandre, « le Ruisseau de Verdié »
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Finhan et Savenès », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Savenès_man », sur la commune de Savenès - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Savenès_man », sur la commune de Savenès - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  16. « Les différents espaces protégés. », sur observatoire-biodiversite-centre.fr (consulté le ).
  17. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « les « îles de Saint-Cassian » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  21. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Finhan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « site Natura 2000 FR7312014 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Finhan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « ZNIEFF « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « ZNIEFF « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  27. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  29. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Finhan », sur Géorisques (consulté le ).
  30. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  31. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  33. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  34. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  35. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  36. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Finhan », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  37. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  38. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  40. « Les maires de Finhan », sur https://www.francegenweb.org (consulté le ).
  41. « Avis de décès LONGUEVILLE Raymond », sur https://www.dansnoscoeurs.fr, (consulté le ).
  42. « Avis de décès TOURNIE Jean-Claude », sur https://www.dansnoscoeurs.fr, (consulté le ).
  43. « Finhan. Entretien avec l’ancien maire Jean-François Fernandez », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Suite à des démissions dans son conseil municipal, le maire de Finhan, Jean-François Fernandez, a dû organiser de nouvelles élections partielles, conformément aux directives de la préfecture. Ces élections n’ont pas été favorables à l’équipe qui prenait la suite, J.-F. Fernandez n’ayant pas souhaité se représenter. ».
  44. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Finhan. Jean-François Fernandez a été réélu », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. « Finhan. Entretien avec Christiane Rey, élue maire de la commune », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Les urnes ont élues la liste Un élan pour Finhan à la tête de la commune. ce samedi, étaient élues la maitre et ses adjoints ».
  46. « Christiane Rey : "Notre ambition est que Finhan redevienne une commune phare de Tarn-et-Garonne" », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  47. « Groupes scolaires de Finhan », Vie pratique > Enfance jeunesse, sur https://www.finhan.fr (consulté le ).
  48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  51. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
  52. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  53. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  54. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  55. « Entreprises à Finhan », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  56. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  57. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  58. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Finhan - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  59. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  60. a et b « Eglise Saint-Martin », notice no PA00095749, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  61. « Château de Pérignon », notice no PA82000007, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  62. « Finhan. Visitez le musée des métiers d’autrefois », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  63. « Finhan. À l’ombre du clocher, un musée extraordinaire », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  64. Lucie Campoy, « La Fondation du patrimoine labellise un manoir transformé en musée dans le Tarn-et-Garonne », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  65. Lucie Campoy, « Tarn-et-Garonne : le musée des arts graphiques et des musiques actuelles met à l’honneur les fanzines », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  66. « Manoir du XIXe siècle en terre crue à Finhan », sur https://www.fondation-patrimoine.org (consulté le ).