Gimont
Gimont | |||||
Vue aérienne de Gimont en 2008. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gers | ||||
Arrondissement | Auch | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Coteaux Arrats Gimone (siège) |
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Maire Mandat |
Franck Villeneuve 2020-2026 |
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Code postal | 32200 | ||||
Code commune | 32147 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gimontois | ||||
Population municipale |
3 055 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 111 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 37′ 39″ nord, 0° 52′ 39″ est | ||||
Altitude | 180 m Min. 144 m Max. 232 m |
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Superficie | 27,58 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Gimont (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Gimone-Arrats (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gers
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | www.gimont.fr | ||||
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Gimont (Gimont en gascon) est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Gimoès, un petit territoire autour de Gimont, traversé en son milieu par la Gimone.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Gimone, la Marcaoue, le ruisseau de Lahas, le ruisseau d'en Bon et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Gimont est une commune rurale qui compte 3 055 habitants en 2021. Elle est dans l'unité urbaine de Gimont et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Gimontois ou Gimontoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend six immeubles protégés au titre des monuments historiques : une maison, inscrite en 1927, l'église Notre-Dame-de-l'Assomption, inscrite en 1939, une maison, inscrite en 1960, la halle, inscrite en 1978, le château de Fontenilles, inscrit en 1999, et la chapelle Notre-Dame-de-Cahuzac, inscrite en 2017.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Gimont est une commune de Gascogne située en Gimois entre Auch et Toulouse à 17 km à l'ouest de L'Isle-Jourdain et située à 25 km à l'est d'Auch en pays de Rivière-Verdun.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Gimont est limitrophe de sept autres communes. Les communes limitrophes sont Escornebœuf, Aubiet, Giscaro, Juilles, Maurens, Monferran-Savès et Montiron.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 2 758 hectares ; son altitude varie de 144 à 232 mètres[2].
Gimont est la capitale du Gimontois (appelé parfois Gimoès) qui occupe la bordure orientale du département du Gers. Le Gimontois a un sous-sol argilo-calcaire. Il est déjà fortement empreint des influences lauragaises tout comme les régions de la vallée de la Save qui est située plus à l'est. La brique toulousaine s'y introduit peu à peu, imposant une architecture plus robuste et plus massive.
Gimont se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[3].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par la Gimone, la Marcaoue, le ruisseau de Lahas, le ruisseau d'en Bon, un bras de la Gimone, le ruisseau de Borde Vieille, le ruisseau de Francillon, le ruisseau d'en Plaués, le ruisseau d'en Sarrade et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 25 km de longueur totale[5],[Carte 1].
La Gimone, d'une longueur totale de 135,7 km, prend sa source dans la commune de Saint-Loup-en-Comminges et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Castelferrus, après avoir traversé 54 communes[6].
La Marcaoue, d'une longueur totale de 36,4 km, prend sa source dans la commune de Simorre et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Gimone à Touget, après avoir traversé 15 communes[7].
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La Gimone à Gimont.
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Réseaux hydrographique et routier de Gimont.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 716 mm, avec 9,6 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lahas à 8 km à vol d'oiseau[10], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 1] sont recensées sur la commune[14] : les « prairies inondables de Gimont » (100 ha), couvrant 3 communes du département[15], et les « prairies inondables de la Marcaoue à En Saguens » (20 ha), couvrant 2 communes du département[16] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[14] : le « cours de la Gimone et de la Marcaoue » (3 085 ha), couvrant 60 communes dont cinq dans la Haute-Garonne, 37 dans le Gers, une dans les Hautes-Pyrénées et 17 dans le Tarn-et-Garonne[17].
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Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
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Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Gimont est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gimont[Note 3], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 4],[I 5].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (95,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,6 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), zones urbanisées (6,8 %), prairies (4,8 %), mines, décharges et chantiers (1,2 %), forêts (0,3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Accès par la route nationale 124, itinéraire à grand gabarit et par la ligne SNCF Toulouse - Auch en gare de Gimont-Cahuzac.
Un contournement a été mis en service en février 2022 afin d’éviter le centre-ville[19]. Il fait partie du projet de la mise à 2 fois 2 voies de l'axe Toulouse Auch[20].
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La gare de Gimont Cahuzac.
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Autre vue de la gare.
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La ligne SNCF.
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Le passage à niveau.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Gimont est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Gimone et la Marcaoue. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[23]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1989, 1995, 1999, 2009, 2014 et 2018[24],[21].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 289 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 289 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 1998, 2003, 2011, 2015, 2017 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].
La commune est en outre située en aval du barrage de la Gimone, un ouvrage de classe A[Note 5] disposant d'une retenue de 25 millions de mètres cubes. La fiche réflexe du PPI définit le temps d'arrivée de l'onde et la zone d'accueil selon la position des habitants concernés par rapport à la Gimone (rive droite ou gauche)[29],[30],. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[31],[30]
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Le , noble Géraud de Brouilh, sa femme et ses enfants, firent don à Albert, abbé de Berdoues, des terres dans la forêt appelée Planasilva pour y fonder une abbaye cistercienne, l'abbaye de Planselve. De cette abbaye cistercienne ne restent que quelques maigres vestiges en bordure de rivière, sur la rive gauche (par la D 12 en direction de Saramon, à 3 km de Gimont).
Un acte de paréage est passé le entre l'abbé de Planselve et le sénéchal d'Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis. L'emplacement choisi était sur la paroisse de Saint-Justin, au diocèse de Toulouse, près de l'abbaye. Les frais de la construction de la nouvelle ville, d'abord appelée Francheville, ont été supportés par le comte et la comtesse de Toulouse. L'abbé et le monastère se réservèrent les églises qui seraient construites sur le territoire de la ville.
En 1274, Gimont reçut une charte de coutumes, confirmée en 1280. Le destin de la bastide est encore incertain puisque le contrat prévoyait la restitution des terres à l'abbaye en cas de non peuplement. Cette mesure prouve le caractère aléatoire de ces fondations d'agglomérations nouvelles au XIIIe siècle.
Le , un accord est passé entre les consuls de la ville et le syndic de l'abbaye précisant : le syndic réserve pour les ouvriers de l'église qui pour le temps seront, le droit de prendre librement arène et terre au lieu appelé Laurs, hors les vallats de la Grande, pour ouvrer ou besogner à l'église ou aux églises de la ville. Trois églises ont été construites dans la ville, Notre-Dame, Saint-Barthélemy appelée aussi Saint-Éloi, et Sainte-Quitterie. Il ne reste plus aujourd'hui que l'église Notre-Dame.
La bastide s'étendit sur une éminence dominant la Gimone. Elle s'accroche à la colline, en raison de l'étroitesse du promontoire (300 m) qui s'étire sur un seul axe de 1 000 m de long tandis que la rue principale fait de l'équilibre sur la crête et passe sous la halle en bois (même cas à Bassoues et à La Bastide-Clairence dans les Pyrénées-Atlantiques).
Gimont se situe sur l'un des quatre chemins de France du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, la via Tolosane.
Jusqu'à la Révolution, la bastide de Gimont érigée en consulat fut, avec 17 autres paroisses Escornboueou (Escornebœuf), Aurimont, Giscaro, Montiron, Prechac, Maurens, Sainte-Marie, Tirent (sans Pontejac), Saint-André, Laurac, Boulan (Boulaur), Polastron, Mongausy, La Has (Lahas), Andofièle (Endoufielle), Goudourvièle (Goudourvielle), Goujon, Bonrepos, une des nombreuses enclaves de la Jugerie de Rivière-Verdun dans le comté d'Armagnac.
En , Gimont accueillit des réfugiés du village alsacien de Blodelsheim qui fuyaient l'invasion et l'annexion allemandes[réf. souhaitée].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois[32],[33].
Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Commune faisant partie de la communauté de communes des Coteaux Arrats Gimone et du canton de Gimone-Arrats (avant le redécoupage départemental de 2014, Gimont était le chef-lieu de l'ex-canton de Gimont) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes de l'Arrats-Gimone.
Elle fait aussi partie du Pays Portes de Gascogne.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].
En 2021, la commune comptait 3 055 habitants[Note 6], en évolution de 2,76 % par rapport à 2015 (Gers : 0,79 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[40] | 1975[40] | 1982[40] | 1990[40] | 1999[40] | 2006[41] | 2009[42] | 2013[43] |
Rang de la commune dans le département | 9 | 9 | 9 | 9 | 9 | 9 | 9 | 9 |
Nombre de communes du département | 466 | 462 | 462 | 462 | 463 | 463 | 463 | 463 |
Enseignement
[modifier | modifier le code]Gimont fait partie de l'académie de Toulouse.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]-
Salle Joseph et Gabrielle Dubarry.
-
Le cinéma et l’office de tourisme.
-
Le musée cantonal exposant une meule en pierre.
Meeting aérien[44]. Bach Festival Gers[45]. Marché au Gras,
Santé
[modifier | modifier le code]Centre hospitalier de Gimont EHPAD[46],
Sports
[modifier | modifier le code]- Basketball, l'étoile sportive gimontoise basket qui évolue pour la saison 2023/2024 en Nationale 1[47]féminine ainsi qu'une équipe en Pré-Nationale féminine.
- Club de rugby à XV.
- L’étoile sportive gimontoise rugby, évoluant dans le Championnat de France de 2e division fédérale a évolué dans l’élite en 1969 (Gimont est une des plus petites villes à avoir abrité un club de première division). École de rugby[48],
- Football, Moto-cross, Tennis, Piscine d'été,
- Boxing shaolin, club de kick-boxing, full-contact, K1, muay-thaï, pancrace, affilié a la FFKMDA.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 338 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 2 912 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 800 €[I 6] (20 820 € dans le département[I 7]). 46 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 8] (43,9 % dans le département).
Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 8] | 7,8 % | 9,4 % | 8,6 % |
Département[I 9] | 6,1 % | 7,5 % | 8,2 % |
France entière[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 701 personnes, parmi lesquelles on compte 80,7 % d'actifs (72,2 % ayant un emploi et 8,6 % de chômeurs) et 19,3 % d'inactifs[Note 9],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 11]. Elle compte 1 702 emplois en 2018, contre 1 821 en 2013 et 1 620 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 244, soit un indicateur de concentration d'emploi de 136,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,5 %[I 12].
Sur ces 1 244 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 463 travaillent dans la commune, soit 37 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 82,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 10,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]Secteurs d'activités
[modifier | modifier le code]354 établissements[Note 10] sont implantés à Gimont au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 15].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 354 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
39 | 11 % | (12,3 %) |
Construction | 38 | 10,7 % | (14,6 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
96 | 27,1 % | (27,7 %) |
Information et communication | 11 | 3,1 % | (1,8 %) |
Activités financières et d'assurance | 13 | 3,7 % | (3,5 %) |
Activités immobilières | 14 | 4 % | (5,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
54 | 15,3 % | (14,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
60 | 16,9 % | (12,3 %) |
Autres activités de services | 29 | 8,2 % | (8,3 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,1 % du nombre total d'établissements de la commune (96 sur les 354 entreprises implantées à Gimont), contre 27,7 % au niveau départemental[I 16].
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[49] :
- Comtesse Du Barry, commerce de détail de viandes et de produits à base de viande en magasin spécialisé (18 599 k€)
- Cogimont, supermarchés (14 699 k€)
- Survey, ingénierie, études techniques (9 070 k€)
- Transports Florczak, transports routiers de fret de proximité (6 774 k€)
- Loc , location et location-bail d'autres machines, équipements et biens matériels n.c.a. (5 526 k€)
La région est le principal centre de confection du foie gras. Le Gers est le premier producteur de foie gras d'oie et le second pour le canard. L'élevage sur place est important et est le corollaire de la présence de nombreuses entreprises de transformation, notamment à Gimont. Cette activité doit beaucoup à la nature du sol argilo-calcaire très favorable à la culture massive du maïs, matière première du gavage des volatiles même si la fabrication du foie gras est très ancienne dans la région de Gimont et y était déjà florissante au XVIe siècle, soit bien avant l'introduction du maïs, céréale provenant des Amériques.
Le tournesol a connu un essor important durant le XXe siècle. 9 % de la production de tournesol d'Occitanie provient du canton de Gimont.
La commune est bien connue pour ses "grasses matinées" en référence au marché au gras de Gimont. Il a lieu tous les dimanches matin de novembre à mars. Le marché permet la rencontre entre producteurs et consommateurs tout en garantissant la qualité et la fraîcheur des produits. Le marché du dimanche matin est réservé aux particuliers, les restaurateurs et autres professionnels disposent d'un marché au gras le mercredi matin qui leur est dédié.
Les sièges des entreprises « Comtesse du Barry » et des « Ducs de Gascogne » sont situés à Gimont. Mais il existe également de nombreuses autres conserveries « à la ferme » qui produisent et vendent aux alentours.
- Usine du groupe Latécoère[50].
Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant l'est du département du Gers[51]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 73 | 49 | 44 | 30 |
SAU[Note 13] (ha) | 1 920 | 1 773 | 1 971 | 1 923 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 73 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 49 en 2000 puis à 44 en 2010[53] et enfin à 30 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 59 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[54],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 920 ha en 1988 à 1 923 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 26 à 64 ha[53].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Les ruines de l'abbaye de Planselve : abbaye cistercienne du XIIe siècle. Domaine privé.
- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1939[55]. La construction de l'église est prévue dans un accord entre les consuls de la ville et le syndic de l'abbaye de Planselve en 1292. Sur la façade a été gravée la date de 1331[56],[57],[58].
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Aperçu de l’abbaye de Planselve.
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L'église vue de l’est.
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Photographie panoramique.
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Le maître-autel.
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L'orgue.
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Une scène d'un des vitraux.
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Triptyque représentant la crucifixion de Jésus située dans une chapelle.
- La chapelle Notre-Dame-de-Cahuzac est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 2017[59]. C'est un des lieux de pèlerinage les plus anciens de la Gascogne, impliquant la pose de nombreux médaillons, ex-votos et plaques de marbre à l’intérieur de l’édifice.
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La chapelle vue de l’extérieur.
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Porte d'entrée avec les douze apôtres sculptés.
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Le chœur.
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Ex-votos en marbre.
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Peintures de la voute d'une des chapelles.
- Le château de Fontenilles, domaine privé, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1999[60].
- La halle de Gimont du XIVe siècle.
- Des maisons à couverts, notamment celle (XIVe siècle) à l'angle de la rue Nationale et de la rue de l'Arceau, inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 12 octobre 1960[61].
- L'ancien palais des évêques de Lombez situé à l'ouest de la ville. En 1545, une ordonnance du roi François Ier créa l'annexe du séminaire de Lombez à Gimont. L'évêque séjournait parfois dans son palais gimontois dont il subsiste des vestiges : une jolie construction avec une tour hexagonale.
- Le château de Larroque est situé à 1,5 km de Gimont, sur la route de Toulouse. L'édifice, de style XVIIIe siècle, a été construit en 1804. Il est implanté dans un splendide domaine d'où l'on peut apercevoir, par beau temps, la chaine des Pyrénées. Actuellement fermé pour travaux.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Guilhem Ader (vers 1570-1638) : médecin et poète gascon né à Gimont ;
- Antonin Carlès (1851-1919) : sculpteur né à Gimont ;
- Paul-Émile Descomps (1892-1964) : sénateur du Gers né à Gimont ;
- Oléo (1906-1978) : actrice né à Gimont ;
- Paul Bacon (1907-1999) : homme politique mort à Gimont ;
- André Soubiran (1910-1999) : médecin et écrivain ayant vécu durant les deux guerres mondiales à Gimont, ville d'origine de sa mère, et où il est inhumé ;
- Francis Rui (1959-2001) : joueur de rugby à XV né à Gimont.
- Henry Nicolas François de Mauléon y est né en 1780
- Philippe Urraca
- Jean-Baptiste Charles Paya
- Famille du Cos de La Hitte
- Joseph de Pérès
- Pierre Bourgarit : joueur de rugby à XV de l’Équipe de France, né à Gimont
Héraldique
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39151085)
- R. Dubord, Fondations civiles de l'abbaye de Gimont. La fondation de Gimont, p. 388-402, 429-437, 504-519, 559-567, 568-572, Revue de Gascogne, 1876, tome 17 (lire en ligne)
- R. Dubord, Les abbayes cisterciennes filles de Gimont, p. 221-226, Revue de Gascogne, 1876, tome 17 (lire en ligne)
- [Marboutin 1929] Chanoine Jean-Raoul Marboutin, « Gimont », dans Congrès archéologique de France. 92e session. Toulouse. 1996, Paris, Société française d'archéologie, , 588 p. (lire en ligne), p. 165-171
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la Mairie de Gimont
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Gimont », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Site de l'Office de Tourisme
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[28].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[52].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Gimont » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Gimont », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Gimont ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Gimont » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Gimont » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Gimont » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Gimont » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Plan séisme
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Gimont », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « la Gimone »
- Sandre, « la Marcaoue »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Gimont et Lahas », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lahas » (commune de Lahas) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lahas » (commune de Lahas) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Gimont », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « prairies inondables de Gimont » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « prairies inondables de la Marcaoue à En Saguens » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « cours de la Gimone et de la Marcaoue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- PIERRE-JEAN PYRDA, « Gers: le préfet de Région annonce de nouveaux crédits pour terminer la déviation de Gimont », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- hhttps://www.ladepeche.fr/2021/05/13/axe-toulouse-auch-le-projet-de-doublement-des-voies-entre-dans-sa-derniere-ligne-droite-9543565.php
- « Les risques près de chez moi - commune de Gimont », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Gimont », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
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- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Barrage de la Gimone », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
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- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Site de la préfecture - Fiche de Gimont
- « Gimont. Franck Villeneuve et son équipe aux commandes », La Dépêche, (lire en ligne)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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- La Dépêche du Midi, « Patrouille de France et A 380 : ça va décoiffer! », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- « Bach festival Gers - Les variations Goldberg / Concert pour orgue en l'église de Gimont », sur lejournaldugers.fr (consulté le ).
- http://hopital-gimont.fr/
- la dépêche, « Basket : Gimont accepte enfin la montée et évoluera en Nationale 1 la saison prochaine » , sur ladepeche.fr, (consulté le ).
- Site de l'école de Rugby de l'Étoile Sportive Gimontoise
- « Entreprises à Gimont », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « L'usine Latécoère de Gimont fête ses dix ans et augmentera ses cadences en 2013 », sur La Tribune (consulté le ).
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- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Gimont - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
- Notice no PA00094804, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : Église
- Marcel Durliat, L'église de Gimont, p. 256-264, dans Congrès archéologique de France. 128e session. Gascogne. 1970, Société française d'archéologie, Paris, 1970
- Chanoine Marboutin, Gimont, p. 165-171, dans Congrès archéologique de France. 92e session. Gascogne. 1929, Société française d'archéologie, Paris, 1929
- Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5032-2, BNF 35576310).
- « Chapelle Notre-Dame de Cahuzac », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Château », notice no PA32000009, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 25 avril 2014.
- Notice no PA00094806, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Richard Escot, « Le Top 5 des finales les plus marquantes », sur lequipe.fr, (consulté le ).
- Clément Garioud, « Ces sombres affaires qui ont entaché la réputation du rugby français », sur actu.fr, (consulté le ).
- « Grenoble : les mammouths et le gratin », sur ladepeche.fr.