Salut Sebletoulousain. En raison d'indisponibilité le soir, je ne peux pas me charger de l'actualité du Tour sur Wikinews ; vu que tu as l'air de t'y intéresser, je te propose de me remplacer temporairement dans ce rôle (je t'ai d'ailleurs laissé un message sur ta PdD là-bas). J'ai déjà préformaté l'article de l'étape d'aujourd'hui, il te suffira juste de changer le titre et remplir les tableaux et le descriptif de l'étape, sans oublier de publier l'article ; pour ce qui est des sources je te fais confiance, j'ai juste indiqué le site du Tour comme source par défaut. Si tu es d'accord, on pourra fonctionner comme cela le temps que je retrouve une disponibilité informatique le soir ; ensuite, on pourra s'associer pour faire les articles sur les étapes du Tour. Amicalement, Jur@astro (Discuter avec le Sphynx jurassien) 2 juillet 2012 à 16:06 (CEST).[répondre]
Salut Juraastro. En fait il s'agissait plus pour moi d'un "test" que d'une réelle volonté de créer tous les articles de ce tour. Je n'ai vraiment pas le talent pour écrire des articles et en plus je ne peux pas regarder les étapes puisque je bosse. Autrement dit si je m'occupais d'écrire les articles, je le ferai mal et de façon incomplète. J'espère que tu ne m'en voudras pas et je te souhaite bon courage pour les rédiger. Amicalement, — Seb(d), le 4 juillet 2012 à 19 h 10.
Salut ! « le modèle {{e}} est à préférer aux modèles {{1er}}, {{2e}} » : d'où tiens-tu cela ? Il me semblait que c'était plutôt l'inverse (depuis cette discussion). J'ai peut-être loupé un épisode... Vlaam (d) 12 juillet 2012 à 14:41 (CEST)[répondre]
Oups... L'utilisation de {{e}} me semblait pourtant plus logique mais je n'avais pas pensé à l'accessibilité... — Seb(d), le 12 juillet 2012 à 14 h 45.
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Nouvelles de la semaine
12 août : en battant le Brésil (3-2; 19-25, 20-25, 29-27, 25-22, 15-9), la Russie devient championne olympique masculine de volley-vall.
Entretien de la semaine
Comme beaucoup de contributeurs avant moi, je vais répondre en partie à cette question pour garder un minimum d'anonymat. Je me prénomme donc Loïc et je vis dans les Bouches-du-Rhône. Né en France, j'ai des origines croates et anglaises. Fan de football depuis de nombreuses années, je participe principalement et largement au projet football.
J'ai été titulaire d'une licence de football assez tard puisque j'ai commencé à jouer à l'âge de 13 ans. J'ai dû arrêter sept ans plus tard à cause de problèmes personnels. Je jouais au poste de gardien de but d'abord dans la région de Salon-de-Provence, puis dans la région d'Avignon, ce qui explique mon côté pro-gardiens parfois. Je suis par ailleurs admiratif de portiers tels que Mickaël Landreau, Stipe Pletikosa, Petr Čech, Fabien Barthez, Edwin van der Sar ou encore Cédric Carrasso. J'ai d'ailleurs évolué dans le même club que le frère cadet de ce dernier au milieu des années 2000.
Les Jeux olympiques d’hiver de 1952, officiellement connus comme les VIes Jeux olympiques d’hiver, ont lieu à Oslo, en Norvège, du 14 au . Les discussions sur l’organisation des Jeux olympiques d’hiver par Oslo commencent dès 1935, puisque la ville veut accueillir les Jeux de 1948, mais la Seconde Guerre mondiale entraîne le report de ce projet. Après la guerre, pour l’accueil des Jeux de 1952, une compétition oppose Oslo aux villes de Cortina d’Ampezzo, en Italie, et de Lake Placid, aux États-Unis ; ce sont les Norvégiens qui s’imposent. Tous les sites sont dans la zone métropolitaine d’Oslo, à part les épreuves de ski alpin, qui ont lieu à Norefjell, à 113 kilomètres de la capitale. Un nouvel hôtel est construit pour héberger la presse et les délégations, avec trois dortoirs pour accueillir les athlètes et les entraîneurs ; cela devient le premier village olympique moderne. La ville d’Oslo assume la charge financière de l’accueil des Jeux en échange des revenus générés.
Les Jeux rassemblent 694 athlètes de trente pays, qui participent dans six sports et vingt-deux épreuves. Le Japon et l’Allemagne font leur retour dans la compétition olympique, après avoir été écartés du « Mouvement olympique » à la suite de leur rôle durant la Seconde Guerre mondiale. L’Allemagne est uniquement représentée par des athlètes de l’Allemagne de l’Ouest, car l’Allemagne de l’Est refuse de participer en tant qu’équipe unifiée. Le Portugal et la Nouvelle-Zélande font leurs débuts aux Jeux d’hiver, et, pour la première fois, une femme est autorisée à participer au ski de fond.
Le camionneur norvégien Hjalmar Andersen gagne trois des quatre épreuves de patinage de vitesse, pour devenir l’athlète le plus médaillé de ces Jeux. L’Allemagne retrouve son hégémonie passée au bobsleigh, en remportant les épreuves du bob à deux et du bob à quatre. L’AméricainDick Button exécute le premier saut à triple rotation dans une compétition internationale, pour obtenir son second titre olympique consécutif chez les hommes en patinage artistique. Les Jeux de 1952 comportent un sport de démonstration, le bandy, mais uniquement trois pays, tous nordiques, participent au tournoi. La Norvège domine le tableau général des médailles, avec seize récompenses, dont sept en or. Les Jeux se terminent avec la présentation d’un drapeau, qui est transmis d’une ville hôte des Jeux olympiques d’hiver à la suivante. La bannière, connue plus tard sous le nom du « drapeau d’Oslo », est déployée depuis dans la ville hôte lors de chaque édition des Jeux olympiques d’hiver.
C'est à l'issue d'un congrès organisé en 1894 à Paris par le Français Pierre de Coubertin qu'est créé le Comité international olympique (CIO) et que la capitale grecque est désignée première ville hôte de l'événement olympique. Ce congrès décide également de l'exclusion des sportifs professionnels et des femmes au profit de l'amateurisme et du genre masculin…
Spyrídon Loúis était un athlète grec qui devint le premier champion olympique du marathon des Jeux olympiques d'été de 1896. Il devint par la suite un héros national, son nom passant en expression en grec : « courir comme un Louis ». Il obtint ensuite le monopole de l'approvisionnement en eau de la capitale depuis les sources de Maroussi.
Paavo Nurmi est un athlètefinlandais qui règne sur le plan mondial durant près de quatorze ans. Il remporte douze médailles lors des Jeux olympiques, dont neuf titres, devenant ainsi l'athlète le plus médaillé de cette compétition.
Image de la semaine
Sebastian Coe, directeur des Jeux olympiques de Londres 2012.
Dans les années 1950, le Stade de Reims s'impose comme le principal club français, amassant en quelques années un palmarès prestigieux. Porté par des personnalités emblématiques (l'entraîneur Albert Batteux, le président Henri Germain ou encore le meneur de jeu Raymond Kopa), il remporte à six reprises le championnat de France et deux fois la coupe de France entre 1949 et 1962. Représentants français à la première édition de la Coupe des clubs champions européens en 1956, les coéquipiers du capitaine Robert Jonquet s'inclinent de justesse en finale face au Real Madrid. L’histoire se répète trois ans plus tard, face au même adversaire.
Le licenciement de Batteux en 1963 coïncide avec le recul sportif du club, relégué en deuxième division en 1964 et 1967. De retour dans l'élite dans les années 1970, le club rémois ne parvient pas à retrouver l'éclat du passé, malgré les exploits de l'Argentin Carlos Bianchi. Sauvé de justesse de la faillite en 1978, relégué l'année suivante, il devient un pensionnaire régulier de la D2 jusqu'à sa liquidation judiciaire en 1991.
Le Stade de Reims repart en Division d'honneur du Nord-Est, 6e échelon du football français, d'où il lui faudra dix saisons pour remonter en Ligue 2, où il se stabilise. En 2012, le Stade de Reims fait finalement son retour dans l'élite, 33 ans après sa dernière saison au plus haut niveau national.
Présentée le sur le circuit de Catalogne en Espagne, la Prost AP03, composée de près de 3 000 nouvelles pièces, était porteuse d'espoir pour l'écurie d'Alain Prost qui se donnait alors pour objectif de terminer la saison à la cinquième place du championnat des constructeurs.
Seulement, la Prost AP03 se révèle être une monoplace lente et peu fiable qui ne rallie l'arrivée qu'à douze reprises sur trente-quatre engagements, principalement en raison du moteur Peugeot A20 qui essuie cinquante-trois casses sur toute la saison. Une crise entre le motoriste français et l'écurie se profile alors, mettant fin à une collaboration de trois ans. Prost Grand Prix connaît en parallèle une crise budgétaire, obligeant Alain Prost à rechercher d'éventuels repreneurs pour son écurie.
À la fin de la saison, l'écurie Prost Grand Prix termine onzième du championnat des constructeurs, sans avoir marqué de points, signant la plus mauvaise saison de l'histoire de l'équipe.
Le Football Club de Mulhouse, couramment abrégé en FC Mulhouse ou FCM, est un club de footballfrançais fondé en 1893 sous le nom de FC Mülhausen 1893, dans la mesure où l'Alsace était alors sous obédience allemande. Il dispute ses premières compétitions officielles à partir de 1903 au sein de la fédération allemande, avant de prendre son nom actuel et de rejoindre les compétitions françaises en 1919, après la reconquête de l'Alsace-Lorraine par la France. Le club emménage en 1906 au stadevélodrome de Mulhouse, puis déménage en 1921 au stade de Bourtzwiller, avant de s'installer définitivement à Dornach, où est construit le Stade de l'Ill.
Le club obtient le statut professionnel en 1932 et devient alors un des premiers clubs professionnels français. C'est paradoxalement pendant la période allemande (1940-1944) qu'il réalise ses meilleures performances, avec trois titres en Gauliga Elsass. Redevenu amateur en 1946, il retrouve la Division 2 en 1970 puis le statut professionnel en 1981 ; il atteint à deux reprises la Division 1 en 1982 et 1989, puis stagne en Division 2 dans les années 1990.
Les résultats intéressants du FC Mulhouse s'arrêtent avec la relégation en championnat National, le troisième niveau du football français, en 1998. Les problèmes financiers récurrents du club aboutissent à un dépôt de bilan prononcé en 1999 et une relégation administrative en championnat de France amateur. Après avoir touché le fond lors de l'exercice 2004-2005 où le club évolue en CFA 2, les ambitions de remontée en National et Ligue 2 n'ont pas encore été satisfaites. Depuis, le club mulhousien évolue en championnat de France amateur, soit au quatrième échelon footballistique français.
Son histoire est mouvementée : en 1907, l'OL absorbe l'Iris Club lillois et le Stade lillois. L'Iris Club décide de reprendre son indépendance en 1924 avant de revenir vers l'OL en 1941 pour former l'Olympique Iris Club lillois. Quelques mois après une seconde scission avec l'Iris Club début 1944, l'Olympique lillois disparaît en fusionnant avec le rival du Sporting Club fivois (aussi connu sous le nom de SC Fives ou SCF) pour fonder le Stade lillois, futur Lille Olympique Sporting Club.
L'OL est résident du terrain de l'avenue de Dunkerque, connu ensuite comme le stade Victor-Boucquey puis stade Henri-Jooris ; son siège social est basé au café Bellevue, sur la Grand'Place de Lille. C'est un club populaire (il compte 2 000 membres adhérents en 1921) et une des valeurs sûres du football du Nord-Pas-de-Calais, dont il glane sept titres régionaux en vingt ans. Les « Dogues » (surnom des joueurs évoluant au club) parviennent même à se faire une place sur le plan national en remportant en 1914 le championnat de France USFSA et le Trophée de France. Le trophée de France mettant aux prises les champions des quatre fédérations françaises de football concurrentes, l'Olympique lillois peut être considéré comme le meilleur club de France cette année-ci.
D'abord favorables au professionnalisme, l'OL et son président emblématique Henri Jooris se rétractent ensuite par peur de perdre leur influence régionale. Poussé par la professionnalisation du SC Fives, le club franchit finalement le pas à son tour en 1932. Ce choix s'avère bénéfique puisque l'OL remporte la première édition du championnat de France de football professionnel en 1933, en battant en finale l'AS Cannes. Après avoir raté le doublé championnat-coupe de France en 1934, les derniers coups d'éclat de l'OL sont une deuxième place du championnat 1935-1936 et un parcours jusqu'en finale de la coupe de France 1938-1939.
Les Jeux olympiques d'hiver de 1960, officiellement connus comme les VIIIes Jeux olympiques d'hiver, ont lieu à Squaw Valley aux États-Unis, du 18 au . En 1955, le Comité international olympique fait le choix inattendu d'attribuer les Jeux d'hiver de 1960 à Squaw Valley. La station est alors très peu développée. Tous les équipements sportifs et les infrastructures sont construits ou améliorés entre 1956 et 1960 pour un coût de 80 millions de dollars. Les athlètes logent dans le premier véritable village olympique et les organisateurs conçoivent les sites pour que les spectateurs et les athlètes puissent les atteindre à pied. Les cérémonies d'ouverture et de clôture sont produites par Walt Disney et diffusées par la chaîne CBS. C'est la première fois que les droits de télévision pour diffuser les Jeux olympiques sont vendus au plus offrant. C'est aussi la première fois depuis 28 ans que les Jeux sont organisés en Amérique du Nord.
665 athlètes de 30 nations participent à 4 sports et 27 épreuves. Le patinage de vitesse féminin et le biathlon font leurs débuts olympiques. Les organisateurs décident de ne pas construire de piste de bobsleigh à cause des coûts élevés et du faible nombre de participants. C'est la seule fois de l'histoire que ce sport n'est pas au programme des Jeux d'hiver. L'Union soviétique est de loin la nation la plus médaillée : elle gagne 21 médailles, dont 7 en or. Les patineurs de vitesse soviétiques Evgueni Grichine et Lidia Skoblikova sont les seuls doubles champions olympiques. Le bûcheron suédoisSixten Jernberg ajoute une médaille d'or et une d'argent aux quatre récompenses obtenues aux Jeux d'hiver de 1956. Avec ses trois médailles gagnées quatre ans plus tard, il finit sa carrière avec 9 médailles olympiques. En 1964, c'est l'athlète le plus médaillé de l'histoire aux Jeux d'hiver.
La situation politique affecte la préparation des Jeux. Les tensions entre les États-Unis et l'Union soviétique s'intensifient et le CIO est obligé de débattre sur la participation de la Chine, de Taïwan, de la Corée du Nord et de l'Allemagne de l'Est à cause de la Guerre froide. En 1957, le gouvernement américain menace de refuser les visas aux athlètes des pays communistes. Le CIO menace donc de retirer l'organisation des Jeux d'hiver de 1960 à Squaw Valley. Sous la pression internationale, les États-Unis autorisent la participation des sportifs des pays communistes.
À la suite de l'arrêt de la WCHL en 1926, Fredrickson, comme la majorité des joueurs de la ligue, passe dans la LNH. Il joue ensuite pour les Cougars de Détroit, les Bruins de Boston puis les Pirates de Pittsburgh dont il devient entraîneur pour la saison 1929-1930. Il met fin à sa carrière en 1931 à l'âge de 36 ans.
Les Jeux olympiques d'hiver de 1956, officiellement connus comme les VIIes Jeux olympiques d'hiver, ont lieu à Cortina d'Ampezzo en Italie, du 26 janvier au . Cortina est d'abord retenue pour accueillir les Jeux olympiques d'hiver de 1944, mais ils sont annulés à cause de la Seconde Guerre mondiale. Elle bat la ville de Montréal au Canada et celles de Colorado Springs et Lake Placid aux États-Unis pour obtenir l'organisation des Jeux de 1956. Ces Jeux sont uniques dans la mesure où presque tous les sites sont séparés par des distances très courtes. Le comité d'organisation reçoit un soutien financier du gouvernement italien pour améliorer les infrastructures, mais le reste des coûts doit être financé par le Comité olympique italien, qui est aidé par des sponsors.
Pas moins de 821 athlètes parmi 32 nations, un record pour les Jeux d'hiver, concourent dans quatre sports et vingt-quatre épreuves. L'Union soviétique, qui fait des débuts aux Jeux olympiques d'hiver, est la nation la plus médaillée. L'AutrichienToni Sailer devient le premier à remporter les trois médailles d'or de ski alpin la même année. Le SuédoisSixten Jernberg gagne quatre médailles en ski de fond, ce qui fait de lui l'athlète le plus médaillé de ces Jeux. Les épreuves de patinage artistique sont disputées pour la dernière fois à l'extérieur. Le seul problème logistique est le manque de neige sur les pistes de ski alpin. Pour y remédier, l'armée italienne transporte de grandes quantités de neige.
La politique n'a pas d'impact sur les Jeux d'hiver de 1956, comme c'est le cas lors des Jeux d'été, à Melbourne, en Australie, où la réponse soviétique à la Révolution hongroise et la crise du canal de Suez causent le boycott des Jeux de nombreuses nations. Les Jeux de Cortina sont les premiers à bénéficier d'une diffusion télévisuelle internationale. Comme les pays communistes ont des technologies plus avancées, des pays d'Europe de l'Ouest comme l'Allemagne de l'Ouest et la Finlande ne reçoivent les images des Jeux que par les diffuseurs communistes. C'est une victoire significative des Soviétiques dans leur propagande pendant la Guerre froide.
Il débute dans le football au club de la Jeanne d'Arc le Béarn de Pau et remporte le concours du jeune footballeur en 1964. Recruté par l'AS Saint-Étienne, il rejoint l'équipe première en 1966 et en devient le capitaine quelques années plus tard. Remportant de nombreux trophées sur la scène nationale avec l'équipe stéphanoise, il participe à l'« épopée des Verts » qui échoue en finale de la Coupe d'Europe des clubs champions contre le Bayern Munich en 1976. Un an plus tard, il signe au Paris Saint-Germain où il devient entraîneur-joueur. Après deux ans au Paris SG, il termine sa carrière dans le club du Racing Club de Paris où il est de nouveau entraîneur-joueur. Il met un terme à sa carrière en 1983.
Il devient en 1979 commentateur sportif sur Antenne 2 aux côtés de Thierry Roland. En parallèle, il est journaliste pour le mensuel Onze Mondial à partir de 1980 puis rédacteur en chef de cette revue jusqu'en 2001. Après avoir quitté Antenne 2 pour TF1 en 1984, il poursuit sa carrière de commentateur toujours aux côtés de Thierry Roland, avec lequel il forme l'un des duos les plus célèbres de la télévision française. Leur duo et la célèbre phrase de Larqué « Tout à fait Thierry » inspirent Les Guignols de l'info qui créent leurs marionnettes en 1992.
En octobre 2001, il rejoint RMC Info et depuis le , il anime l'émission Larqué Foot sur cette même radio. Quand Thierry Roland quitte TF1 en 2004, Jean-Michel Larqué forme des duos avec Thierry Gilardi jusqu'au décès de ce dernier puis avec Christian Jeanpierre. À l'issue de la Coupe du monde 2010, Larqué quitte TF1. En 2011, son tandem avec Thierry Roland est reformé sur CFoot et également sur M6 pour commenter un match de l'Équipe de France. Il rejoint définitivement M6 pour commenter avec Denis Balbir les matchs de l'Euro 2012 suite au forfait de Thierry Roland pour raisons médicales puis à son décès quelques jours plus tard.
Refusé :
Relecture demandée :
Chainons manquants
Sélection partielle et partiale d'articles manquants sur la wikipédia en français :
Lors de la saison 2009/2010 il était pressenti pour jouer en France en Pro-A dans le club de Levallois.
Il est classé no 4 mondial en mai 2010, et no 5 en août 2010.
Il est devenu champion du monde en simple à Rotterdam le 15 mai 2011 en éliminant en 1/2 finale l'allemand Timo Boll, puis en battant en finale son compatriote Wang Hao tenant du titre 2009.
Il a également remporté la coupe du monde à Paris le 13 novembre 2011 en battant son compatriote Wang Hao tenant du titre en 2010.
Il remporte la médaille d'or aux Jeux Olympiques d'été de 2012 à Londres en battant son compatriote chinois Wang Hao, il gagne aussi la médaille d'or en par équipes contre la Corée du Sud avec ses compatriotes chinois Ma Long et Wang Hao.
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La saison 2012-2013 de Ligue 1 sera la soixante-quinzième édition du championnat de France de football et la onzième sous l'appellation « Ligue 1 ». Le premier niveau du championnat oppose vingt clubs français en une série de trente-huit rencontres jouées durant la saison de football. Elle débutera le 10 août 2012 et se terminera le 26 mai 2013.
Les quatre premières places de ce championnat sont qualificatives pour les compétitions européennes que sont la Ligue des Champions et la Ligue Europa. Les deux autres places sont attribuées au vainqueur de la coupe nationale, et à celui de la Coupe de la Ligue.
Contrairement aux années précédentes, le troisième du championnat de la saison 2012-2013 devra passer par un tour de qualification supplémentaire pour accéder à la phase de poules de la Ligue des Champions 2013-2014.
Aujourd'hui, mercredi 18 décembre, ce portail comporte 100 213 articles liés sur les 2 653 417 articles de la version française de Wikipédia. Le projet compte de nombreux contributeurs actifs et des dizaines d'articles primés.
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18 août : en inscrivant deux buts dans les dernières minutes du match, Lorient s'impose 2-1 contre le champion en titre, Montpellier.
Entretien de la semaine
Comme beaucoup de contributeurs avant moi, je vais répondre en partie à cette question pour garder un minimum d'anonymat. Je me prénomme donc Loïc et je vis dans les Bouches-du-Rhône. Né en France, j'ai des origines croates et anglaises. Fan de football depuis de nombreuses années, je participe principalement et largement au projet football.
J'ai été titulaire d'une licence de football assez tard puisque j'ai commencé à jouer à l'âge de 13 ans. J'ai dû arrêter sept ans plus tard à cause de problèmes personnels. Je jouais au poste de gardien de but d'abord dans la région de Salon-de-Provence, puis dans la région d'Avignon, ce qui explique mon côté pro-gardiens parfois. Je suis par ailleurs admiratif de portiers tels que Mickaël Landreau, Stipe Pletikosa, Petr Čech, Fabien Barthez, Edwin van der Sar ou encore Cédric Carrasso. J'ai d'ailleurs évolué dans le même club que le frère cadet de ce dernier au milieu des années 2000.
Son histoire est mouvementée : en 1907, l'OL absorbe l'Iris Club lillois et le Stade lillois. L'Iris Club décide de reprendre son indépendance en 1924 avant de revenir vers l'OL en 1941 pour former l'Olympique Iris Club lillois. Quelques mois après une seconde scission avec l'Iris Club début 1944, l'Olympique lillois disparaît en fusionnant avec le rival du Sporting Club fivois (aussi connu sous le nom de SC Fives ou SCF) pour fonder le Stade lillois, futur Lille Olympique Sporting Club.
L'OL est résident du terrain de l'avenue de Dunkerque, connu ensuite comme le stade Victor-Boucquey puis stade Henri-Jooris ; son siège social est basé au café Bellevue, sur la Grand'Place de Lille. C'est un club populaire (il compte 2 000 membres adhérents en 1921) et une des valeurs sûres du football du Nord-Pas-de-Calais, dont il glane sept titres régionaux en vingt ans. Les « Dogues » (surnom des joueurs évoluant au club) parviennent même à se faire une place sur le plan national en remportant en 1914 le championnat de France USFSA et le Trophée de France. Le trophée de France mettant aux prises les champions des quatre fédérations françaises de football concurrentes, l'Olympique lillois peut être considéré comme le meilleur club de France cette année-ci.
D'abord favorables au professionnalisme, l'OL et son président emblématique Henri Jooris se rétractent ensuite par peur de perdre leur influence régionale. Poussé par la professionnalisation du SC Fives, le club franchit finalement le pas à son tour en 1932. Ce choix s'avère bénéfique puisque l'OL remporte la première édition du championnat de France de football professionnel en 1933, en battant en finale l'AS Cannes. Après avoir raté le doublé championnat-coupe de France en 1934, les derniers coups d'éclat de l'OL sont une deuxième place du championnat 1935-1936 et un parcours jusqu'en finale de la coupe de France 1938-1939.
Dans les années 1950, le Stade de Reims s'impose comme le principal club français, amassant en quelques années un palmarès prestigieux. Porté par des personnalités emblématiques (l'entraîneur Albert Batteux, le président Henri Germain ou encore le meneur de jeu Raymond Kopa), il remporte à six reprises le championnat de France et deux fois la coupe de France entre 1949 et 1962. Représentants français à la première édition de la Coupe des clubs champions européens en 1956, les coéquipiers du capitaine Robert Jonquet s'inclinent de justesse en finale face au Real Madrid. L’histoire se répète trois ans plus tard, face au même adversaire.
Le licenciement de Batteux en 1963 coïncide avec le recul sportif du club, relégué en deuxième division en 1964 et 1967. De retour dans l'élite dans les années 1970, le club rémois ne parvient pas à retrouver l'éclat du passé, malgré les exploits de l'Argentin Carlos Bianchi. Sauvé de justesse de la faillite en 1978, relégué l'année suivante, il devient un pensionnaire régulier de la D2 jusqu'à sa liquidation judiciaire en 1991.
Le Stade de Reims repart en Division d'honneur du Nord-Est, 6e échelon du football français, d'où il lui faudra dix saisons pour remonter en Ligue 2, où il se stabilise. En 2012, le Stade de Reims fait finalement son retour dans l'élite, 33 ans après sa dernière saison au plus haut niveau national.
L'attaquant Carlos Bianchi, revenu au Stade de Reims l'été précédent pour terminer sa carrière de footballeur, remplace le technicien en place au poste d'entraîneur. L'Argentin, novice sur le banc, replace le Stade de Reims dans le peloton de tête du championnat et le mène à deux demi-finales de Coupe de France en 1987 et 1988.
Albert Batteux est entraîneur du Stade de Reims dans les années 1950 puis de l'AS Saint-Étienne entre 1967 et 1972, il y remporte respectivement six et cinq trophées nationaux. De 1955 à 1962 il est également sélectionneur de l'équipe de France, avec laquelle il est demi-finaliste de la Coupe du monde de football 1958. Selon un vote du journal France Football, il est l'un trois meilleurs entraîneurs français du XXe siècle.
Dans les années 1950, le Stade de Reims s'impose comme le principal club français, amassant en quelques années un palmarès prestigieux. Porté par des personnalités emblématiques (l'entraîneur Albert Batteux, le président Henri Germain ou encore le meneur de jeu Raymond Kopa), il remporte à six reprises le championnat de France et deux fois la coupe de France entre 1949 et 1962. Représentants français à la première édition de la Coupe des clubs champions européens en 1956, les coéquipiers du capitaine Robert Jonquet s'inclinent de justesse en finale face au Real Madrid. L’histoire se répète trois ans plus tard, face au même adversaire.
Le licenciement de Batteux en 1963 coïncide avec le recul sportif du club, relégué en deuxième division en 1964 et 1967. De retour dans l'élite dans les années 1970, le club rémois ne parvient pas à retrouver l'éclat du passé, malgré les exploits de l'Argentin Carlos Bianchi. Sauvé de justesse de la faillite en 1978, relégué l'année suivante, il devient un pensionnaire régulier de la D2 jusqu'à sa liquidation judiciaire en 1991.
Le Stade de Reims repart en Division d'honneur du Nord-Est, 6e échelon du football français, d'où il lui faudra dix saisons pour remonter en Ligue 2, où il se stabilise. En 2012, le Stade de Reims fait finalement son retour dans l'élite, 33 ans après sa dernière saison au plus haut niveau national.
Présentée le sur le circuit de Catalogne en Espagne, la Prost AP03, composée de près de 3 000 nouvelles pièces, était porteuse d'espoir pour l'écurie d'Alain Prost qui se donnait alors pour objectif de terminer la saison à la cinquième place du championnat des constructeurs.
Seulement, la Prost AP03 se révèle être une monoplace lente et peu fiable qui ne rallie l'arrivée qu'à douze reprises sur trente-quatre engagements, principalement en raison du moteur Peugeot A20 qui essuie cinquante-trois casses sur toute la saison. Une crise entre le motoriste français et l'écurie se profile alors, mettant fin à une collaboration de trois ans. Prost Grand Prix connaît en parallèle une crise budgétaire, obligeant Alain Prost à rechercher d'éventuels repreneurs pour son écurie.
À la fin de la saison, l'écurie Prost Grand Prix termine onzième du championnat des constructeurs, sans avoir marqué de points, signant la plus mauvaise saison de l'histoire de l'équipe.
Le Football Club de Mulhouse, couramment abrégé en FC Mulhouse ou FCM, est un club de footballfrançais fondé en 1893 sous le nom de FC Mülhausen 1893, dans la mesure où l'Alsace était alors sous obédience allemande. Il dispute ses premières compétitions officielles à partir de 1903 au sein de la fédération allemande, avant de prendre son nom actuel et de rejoindre les compétitions françaises en 1919, après la reconquête de l'Alsace-Lorraine par la France. Le club emménage en 1906 au stadevélodrome de Mulhouse, puis déménage en 1921 au stade de Bourtzwiller, avant de s'installer définitivement à Dornach, où est construit le Stade de l'Ill.
Le club obtient le statut professionnel en 1932 et devient alors un des premiers clubs professionnels français. C'est paradoxalement pendant la période allemande (1940-1944) qu'il réalise ses meilleures performances, avec trois titres en Gauliga Elsass. Redevenu amateur en 1946, il retrouve la Division 2 en 1970 puis le statut professionnel en 1981 ; il atteint à deux reprises la Division 1 en 1982 et 1989, puis stagne en Division 2 dans les années 1990.
Les résultats intéressants du FC Mulhouse s'arrêtent avec la relégation en championnat National, le troisième niveau du football français, en 1998. Les problèmes financiers récurrents du club aboutissent à un dépôt de bilan prononcé en 1999 et une relégation administrative en championnat de France amateur. Après avoir touché le fond lors de l'exercice 2004-2005 où le club évolue en CFA 2, les ambitions de remontée en National et Ligue 2 n'ont pas encore été satisfaites. Depuis, le club mulhousien évolue en championnat de France amateur, soit au quatrième échelon footballistique français.
Son histoire est mouvementée : en 1907, l'OL absorbe l'Iris Club lillois et le Stade lillois. L'Iris Club décide de reprendre son indépendance en 1924 avant de revenir vers l'OL en 1941 pour former l'Olympique Iris Club lillois. Quelques mois après une seconde scission avec l'Iris Club début 1944, l'Olympique lillois disparaît en fusionnant avec le rival du Sporting Club fivois (aussi connu sous le nom de SC Fives ou SCF) pour fonder le Stade lillois, futur Lille Olympique Sporting Club.
L'OL est résident du terrain de l'avenue de Dunkerque, connu ensuite comme le stade Victor-Boucquey puis stade Henri-Jooris ; son siège social est basé au café Bellevue, sur la Grand'Place de Lille. C'est un club populaire (il compte 2 000 membres adhérents en 1921) et une des valeurs sûres du football du Nord-Pas-de-Calais, dont il glane sept titres régionaux en vingt ans. Les « Dogues » (surnom des joueurs évoluant au club) parviennent même à se faire une place sur le plan national en remportant en 1914 le championnat de France USFSA et le Trophée de France. Le trophée de France mettant aux prises les champions des quatre fédérations françaises de football concurrentes, l'Olympique lillois peut être considéré comme le meilleur club de France cette année-ci.
D'abord favorables au professionnalisme, l'OL et son président emblématique Henri Jooris se rétractent ensuite par peur de perdre leur influence régionale. Poussé par la professionnalisation du SC Fives, le club franchit finalement le pas à son tour en 1932. Ce choix s'avère bénéfique puisque l'OL remporte la première édition du championnat de France de football professionnel en 1933, en battant en finale l'AS Cannes. Après avoir raté le doublé championnat-coupe de France en 1934, les derniers coups d'éclat de l'OL sont une deuxième place du championnat 1935-1936 et un parcours jusqu'en finale de la coupe de France 1938-1939.
Les Jeux olympiques d'hiver de 1960, officiellement connus comme les VIIIes Jeux olympiques d'hiver, ont lieu à Squaw Valley aux États-Unis, du 18 au . En 1955, le Comité international olympique fait le choix inattendu d'attribuer les Jeux d'hiver de 1960 à Squaw Valley. La station est alors très peu développée. Tous les équipements sportifs et les infrastructures sont construits ou améliorés entre 1956 et 1960 pour un coût de 80 millions de dollars. Les athlètes logent dans le premier véritable village olympique et les organisateurs conçoivent les sites pour que les spectateurs et les athlètes puissent les atteindre à pied. Les cérémonies d'ouverture et de clôture sont produites par Walt Disney et diffusées par la chaîne CBS. C'est la première fois que les droits de télévision pour diffuser les Jeux olympiques sont vendus au plus offrant. C'est aussi la première fois depuis 28 ans que les Jeux sont organisés en Amérique du Nord.
665 athlètes de 30 nations participent à 4 sports et 27 épreuves. Le patinage de vitesse féminin et le biathlon font leurs débuts olympiques. Les organisateurs décident de ne pas construire de piste de bobsleigh à cause des coûts élevés et du faible nombre de participants. C'est la seule fois de l'histoire que ce sport n'est pas au programme des Jeux d'hiver. L'Union soviétique est de loin la nation la plus médaillée : elle gagne 21 médailles, dont 7 en or. Les patineurs de vitesse soviétiques Evgueni Grichine et Lidia Skoblikova sont les seuls doubles champions olympiques. Le bûcheron suédoisSixten Jernberg ajoute une médaille d'or et une d'argent aux quatre récompenses obtenues aux Jeux d'hiver de 1956. Avec ses trois médailles gagnées quatre ans plus tard, il finit sa carrière avec 9 médailles olympiques. En 1964, c'est l'athlète le plus médaillé de l'histoire aux Jeux d'hiver.
La situation politique affecte la préparation des Jeux. Les tensions entre les États-Unis et l'Union soviétique s'intensifient et le CIO est obligé de débattre sur la participation de la Chine, de Taïwan, de la Corée du Nord et de l'Allemagne de l'Est à cause de la Guerre froide. En 1957, le gouvernement américain menace de refuser les visas aux athlètes des pays communistes. Le CIO menace donc de retirer l'organisation des Jeux d'hiver de 1960 à Squaw Valley. Sous la pression internationale, les États-Unis autorisent la participation des sportifs des pays communistes.
À la suite de l'arrêt de la WCHL en 1926, Fredrickson, comme la majorité des joueurs de la ligue, passe dans la LNH. Il joue ensuite pour les Cougars de Détroit, les Bruins de Boston puis les Pirates de Pittsburgh dont il devient entraîneur pour la saison 1929-1930. Il met fin à sa carrière en 1931 à l'âge de 36 ans.
Les Jeux olympiques d'hiver de 1956, officiellement connus comme les VIIes Jeux olympiques d'hiver, ont lieu à Cortina d'Ampezzo en Italie, du 26 janvier au . Cortina est d'abord retenue pour accueillir les Jeux olympiques d'hiver de 1944, mais ils sont annulés à cause de la Seconde Guerre mondiale. Elle bat la ville de Montréal au Canada et celles de Colorado Springs et Lake Placid aux États-Unis pour obtenir l'organisation des Jeux de 1956. Ces Jeux sont uniques dans la mesure où presque tous les sites sont séparés par des distances très courtes. Le comité d'organisation reçoit un soutien financier du gouvernement italien pour améliorer les infrastructures, mais le reste des coûts doit être financé par le Comité olympique italien, qui est aidé par des sponsors.
Pas moins de 821 athlètes parmi 32 nations, un record pour les Jeux d'hiver, concourent dans quatre sports et vingt-quatre épreuves. L'Union soviétique, qui fait des débuts aux Jeux olympiques d'hiver, est la nation la plus médaillée. L'AutrichienToni Sailer devient le premier à remporter les trois médailles d'or de ski alpin la même année. Le SuédoisSixten Jernberg gagne quatre médailles en ski de fond, ce qui fait de lui l'athlète le plus médaillé de ces Jeux. Les épreuves de patinage artistique sont disputées pour la dernière fois à l'extérieur. Le seul problème logistique est le manque de neige sur les pistes de ski alpin. Pour y remédier, l'armée italienne transporte de grandes quantités de neige.
La politique n'a pas d'impact sur les Jeux d'hiver de 1956, comme c'est le cas lors des Jeux d'été, à Melbourne, en Australie, où la réponse soviétique à la Révolution hongroise et la crise du canal de Suez causent le boycott des Jeux de nombreuses nations. Les Jeux de Cortina sont les premiers à bénéficier d'une diffusion télévisuelle internationale. Comme les pays communistes ont des technologies plus avancées, des pays d'Europe de l'Ouest comme l'Allemagne de l'Ouest et la Finlande ne reçoivent les images des Jeux que par les diffuseurs communistes. C'est une victoire significative des Soviétiques dans leur propagande pendant la Guerre froide.
Refusé :
Relecture demandée :
Chainons manquants
Sélection partielle et partiale d'articles manquants sur la wikipédia en français :
Lors de la saison 2009/2010 il était pressenti pour jouer en France en Pro-A dans le club de Levallois.
Il est classé no 4 mondial en mai 2010, et no 5 en août 2010.
Il est devenu champion du monde en simple à Rotterdam le 15 mai 2011 en éliminant en 1/2 finale l'allemand Timo Boll, puis en battant en finale son compatriote Wang Hao tenant du titre 2009.
Il a également remporté la coupe du monde à Paris le 13 novembre 2011 en battant son compatriote Wang Hao tenant du titre en 2010.
Il remporte la médaille d'or aux Jeux Olympiques d'été de 2012 à Londres en battant son compatriote chinois Wang Hao, il gagne aussi la médaille d'or en par équipes contre la Corée du Sud avec ses compatriotes chinois Ma Long et Wang Hao.
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Pas de problème Et oui c'est passé juste, mais l'important c'est que ce soit passé ! Et puis j'y étais alors j'ai su les motiver comme il fallait — Seb(d), le 19 août 2012 à 22 h 53.
Le Championnat d'Angleterre de football est appelé Premier League ou Premiership ou Barclays Premier League. Ce championnat regroupe vingt équipes qui disputent chacune 38 matchs. À la fin de la saison, les trois équipes totalisant le plus faible nombre de points sont reléguées. Ce championnat, l'un des plus prestigieux au monde, est le plus populaire en termes de téléspectateurs internationaux (estimés à plus d'un milliard en 2007), et il est réputé pour être l'un des plus physiques en raison du calendrier surchargé et de l'engagement physique traditionnel (les arbitres anglais ont la réputation de siffler peu de fautes). Un progrès fut toutefois réalisé, pour les cadences, quand le championnat passa de 22 à 20 clubs en 1995.
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Nouvelles de la semaine
25 août : Chelsea s'impose 2-0 contre Newcastle, avec un but et une passe décisive d'Eden Hazard.
Entretien de la semaine
Bonjour, c'est un plaisir de participer à ce débat. Je me nomme Fayçal, je suis né à Oran où j'ai grandi, je suis installé aussi en France depuis quelques années. Je suis diplômé en médecine et j'ai exercé le football (amateur) pendant à peu près 20 ans, d'abord dans un club de quartier à Oran jusqu'au club universitaire de la faculté de médecine d'Oran.
Le Manchester City Football Club est un club de football basé à Manchester et fondé en 1880 sous le nom de St. Mark's (West Gorton). Le club devient le Ardwick Association Football Club en 1887 avant de prendre le nom actuel en 1894. Le club évolue depuis 2003 au City of Manchester Stadium. Manchester United est le principal rival du Manchester City Football Club.
Le déclin du club l'a conduit à deux relégations en trois ans au cours des années 1990. Ainsi, City a passé la saison 98-99 au troisième échelon du football anglais pour la seule et unique fois de son histoire. Le club a depuis regagné sa place au sein de l'élite, niveau qu'il a fréquenté le plus souvent au long de son histoire. Depuis 2008 et l'arrivée du président actuel Khaldoon Al Mubarak, le club dispose de moyens financiers considérables lui permettant un recrutement ambitieux.
En 2011, le club met fin à une période de 35 ans durant laquelle il n'a pas gagné le moindre trophée en gagnant la FA cup. Manchester City remporte le championnat en battant QPR le 13 mai 2012.
Le Manchester United Football Club est un club de footballanglais basé dans le district de Trafford, à proximité de la ville de Manchester, dans son stade d'Old Trafford dans le Greater Manchester. Il est fondé en 1878 sous le nom de Newton Heath.
Manchester United est l'un des clubs les plus supportés et des plus riches au monde avec des revenus les plus élevés de tout club de football, d'une valeur estimée à 897 millions de livres à partir de septembre 2008, le club est aussi un des fondateurs de l'Association européenne des clubs. Sa valeur est estimée à 2,23 milliards de dollars.
La Football Association Challenge Cup ou FA Cup, appelée Coupe d'Angleterre en français, est une compétition à élimination directe anglaise fondée en 1871. C'est la doyenne des compétitions de football, dont la particularité est qu'en cas d'égalité à la fin du temps réglementaire, le match est rejoué (replay). Contrairement à la Coupe de France largement ouverte aux clubs amateurs (plus de 6000 clubs y prennent part), la FA Cup est réservée à une élite élargie : 660 clubs en 2004-2005.
Image de la semaine
Eden Hazard, ici avec la sélection belge, découvre le championnat anglais.
Le Racing Club de France Football Colombes 92, plus communément appelé « Racing Colombes 92 » ou simplement « Racing », est un club de football fondé en 1896, en tant que section du Racing Club de France, un club omnisports parisien créé en 1882.
Le Racing connaît de nombreuses identités au cours de son histoire et deux périodes de professionnalisme. La première, la plus longue, de 1932 à 1966, sous le nom de Racing Club de Paris, le voit compter parmi les principaux clubs du championnat de France, grâce à des joueurs de renom et un jeu spectaculaire. Cette période lui permet de réaliser le doublé coupe-championnat en 1936, et d'enlever la coupe de France à quatre autres reprises. Principal club parisien depuis le déclin du Red Star, le club sombre pourtant brutalement en 1967.
Le club renaît dans les années 1980 sous le nom de « Racing Paris 1 » puis de « Matra Racing », sous l'impulsion de l'homme d'affaires Jean-Luc Lagardère. Malgré l'importance des sommes investies, l'équipe ne rencontre de succès ni sportif ni populaire. Finalement lâchés par leur investisseur, les Parisiens atteignent en guise d'adieu la finale de coupe de France. Plombé par des déboires financiers chroniques, le club replonge dans l'amateurisme dont il n'est pas sorti aujourd'hui.
En dehors de ces deux périodes, le club se trouve sous la tutelle plus ou moins marquée du club omnisports Racing Club de France. En 2007, la section football, soutenue depuis 1991 par le Conseil général des Hauts-de-Seine, doit prendre son indépendance. Après un partenariat de trois ans avec la ville de Levallois-Perret, le club revient en 2012 à Colombes, la ville où est basé historiquement. Les Racingmen sont en effet résidents du stade Lucien-Choine, une annexe du stade Yves-du-Manoir qu'ils utilisaient jusqu'en 2006. Le Racing évolue pour la saison 2012-2013 en championnat de France amateur 2, le cinquième niveau national, avec l'ambition de faire son retour à court terme en championnat National.
Dans les années 1950, le Stade de Reims s'impose comme le principal club français, amassant en quelques années un palmarès prestigieux. Porté par des personnalités emblématiques (l'entraîneur Albert Batteux, le président Henri Germain ou encore le meneur de jeu Raymond Kopa), il remporte à six reprises le championnat de France et deux fois la coupe de France entre 1949 et 1962. Représentants français à la première édition de la Coupe des clubs champions européens en 1956, les coéquipiers du capitaine Robert Jonquet s'inclinent de justesse en finale face au Real Madrid. L’histoire se répète trois ans plus tard, face au même adversaire.
Le licenciement de Batteux en 1963 coïncide avec le recul sportif du club, relégué en deuxième division en 1964 et 1967. De retour dans l'élite dans les années 1970, le club rémois ne parvient pas à retrouver l'éclat du passé, malgré les exploits de l'Argentin Carlos Bianchi. Sauvé de justesse de la faillite en 1978, relégué l'année suivante, il devient un pensionnaire régulier de la D2 jusqu'à sa liquidation judiciaire en 1991.
Le Stade de Reims repart en Division d'honneur du Nord-Est, 6e échelon du football français, d'où il lui faudra dix saisons pour remonter en Ligue 2, où il se stabilise. En 2012, le Stade de Reims fait finalement son retour dans l'élite, 33 ans après sa dernière saison au plus haut niveau national.
Présentée le sur le circuit de Catalogne en Espagne, la Prost AP03, composée de près de 3 000 nouvelles pièces, était porteuse d'espoir pour l'écurie d'Alain Prost qui se donnait alors pour objectif de terminer la saison à la cinquième place du championnat des constructeurs.
Seulement, la Prost AP03 se révèle être une monoplace lente et peu fiable qui ne rallie l'arrivée qu'à douze reprises sur trente-quatre engagements, principalement en raison du moteur Peugeot A20 qui essuie cinquante-trois casses sur toute la saison. Une crise entre le motoriste français et l'écurie se profile alors, mettant fin à une collaboration de trois ans. Prost Grand Prix connaît en parallèle une crise budgétaire, obligeant Alain Prost à rechercher d'éventuels repreneurs pour son écurie.
À la fin de la saison, l'écurie Prost Grand Prix termine onzième du championnat des constructeurs, sans avoir marqué de points, signant la plus mauvaise saison de l'histoire de l'équipe.
Le Football Club de Mulhouse, couramment abrégé en FC Mulhouse ou FCM, est un club de footballfrançais fondé en 1893 sous le nom de FC Mülhausen 1893, dans la mesure où l'Alsace était alors sous obédience allemande. Il dispute ses premières compétitions officielles à partir de 1903 au sein de la fédération allemande, avant de prendre son nom actuel et de rejoindre les compétitions françaises en 1919, après la reconquête de l'Alsace-Lorraine par la France. Le club emménage en 1906 au stadevélodrome de Mulhouse, puis déménage en 1921 au stade de Bourtzwiller, avant de s'installer définitivement à Dornach, où est construit le Stade de l'Ill.
Le club obtient le statut professionnel en 1932 et devient alors un des premiers clubs professionnels français. C'est paradoxalement pendant la période allemande (1940-1944) qu'il réalise ses meilleures performances, avec trois titres en Gauliga Elsass. Redevenu amateur en 1946, il retrouve la Division 2 en 1970 puis le statut professionnel en 1981 ; il atteint à deux reprises la Division 1 en 1982 et 1989, puis stagne en Division 2 dans les années 1990.
Les résultats intéressants du FC Mulhouse s'arrêtent avec la relégation en championnat National, le troisième niveau du football français, en 1998. Les problèmes financiers récurrents du club aboutissent à un dépôt de bilan prononcé en 1999 et une relégation administrative en championnat de France amateur. Après avoir touché le fond lors de l'exercice 2004-2005 où le club évolue en CFA 2, les ambitions de remontée en National et Ligue 2 n'ont pas encore été satisfaites. Depuis, le club mulhousien évolue en championnat de France amateur, soit au quatrième échelon footballistique français.
Son histoire est mouvementée : en 1907, l'OL absorbe l'Iris Club lillois et le Stade lillois. L'Iris Club décide de reprendre son indépendance en 1924 avant de revenir vers l'OL en 1941 pour former l'Olympique Iris Club lillois. Quelques mois après une seconde scission avec l'Iris Club début 1944, l'Olympique lillois disparaît en fusionnant avec le rival du Sporting Club fivois (aussi connu sous le nom de SC Fives ou SCF) pour fonder le Stade lillois, futur Lille Olympique Sporting Club.
L'OL est résident du terrain de l'avenue de Dunkerque, connu ensuite comme le stade Victor-Boucquey puis stade Henri-Jooris ; son siège social est basé au café Bellevue, sur la Grand'Place de Lille. C'est un club populaire (il compte 2 000 membres adhérents en 1921) et une des valeurs sûres du football du Nord-Pas-de-Calais, dont il glane sept titres régionaux en vingt ans. Les « Dogues » (surnom des joueurs évoluant au club) parviennent même à se faire une place sur le plan national en remportant en 1914 le championnat de France USFSA et le Trophée de France. Le trophée de France mettant aux prises les champions des quatre fédérations françaises de football concurrentes, l'Olympique lillois peut être considéré comme le meilleur club de France cette année-ci.
D'abord favorables au professionnalisme, l'OL et son président emblématique Henri Jooris se rétractent ensuite par peur de perdre leur influence régionale. Poussé par la professionnalisation du SC Fives, le club franchit finalement le pas à son tour en 1932. Ce choix s'avère bénéfique puisque l'OL remporte la première édition du championnat de France de football professionnel en 1933, en battant en finale l'AS Cannes. Après avoir raté le doublé championnat-coupe de France en 1934, les derniers coups d'éclat de l'OL sont une deuxième place du championnat 1935-1936 et un parcours jusqu'en finale de la coupe de France 1938-1939.
Les Jeux olympiques d'hiver de 1960, officiellement connus comme les VIIIes Jeux olympiques d'hiver, ont lieu à Squaw Valley aux États-Unis, du 18 au . En 1955, le Comité international olympique fait le choix inattendu d'attribuer les Jeux d'hiver de 1960 à Squaw Valley. La station est alors très peu développée. Tous les équipements sportifs et les infrastructures sont construits ou améliorés entre 1956 et 1960 pour un coût de 80 millions de dollars. Les athlètes logent dans le premier véritable village olympique et les organisateurs conçoivent les sites pour que les spectateurs et les athlètes puissent les atteindre à pied. Les cérémonies d'ouverture et de clôture sont produites par Walt Disney et diffusées par la chaîne CBS. C'est la première fois que les droits de télévision pour diffuser les Jeux olympiques sont vendus au plus offrant. C'est aussi la première fois depuis 28 ans que les Jeux sont organisés en Amérique du Nord.
665 athlètes de 30 nations participent à 4 sports et 27 épreuves. Le patinage de vitesse féminin et le biathlon font leurs débuts olympiques. Les organisateurs décident de ne pas construire de piste de bobsleigh à cause des coûts élevés et du faible nombre de participants. C'est la seule fois de l'histoire que ce sport n'est pas au programme des Jeux d'hiver. L'Union soviétique est de loin la nation la plus médaillée : elle gagne 21 médailles, dont 7 en or. Les patineurs de vitesse soviétiques Evgueni Grichine et Lidia Skoblikova sont les seuls doubles champions olympiques. Le bûcheron suédoisSixten Jernberg ajoute une médaille d'or et une d'argent aux quatre récompenses obtenues aux Jeux d'hiver de 1956. Avec ses trois médailles gagnées quatre ans plus tard, il finit sa carrière avec 9 médailles olympiques. En 1964, c'est l'athlète le plus médaillé de l'histoire aux Jeux d'hiver.
La situation politique affecte la préparation des Jeux. Les tensions entre les États-Unis et l'Union soviétique s'intensifient et le CIO est obligé de débattre sur la participation de la Chine, de Taïwan, de la Corée du Nord et de l'Allemagne de l'Est à cause de la Guerre froide. En 1957, le gouvernement américain menace de refuser les visas aux athlètes des pays communistes. Le CIO menace donc de retirer l'organisation des Jeux d'hiver de 1960 à Squaw Valley. Sous la pression internationale, les États-Unis autorisent la participation des sportifs des pays communistes.
À la suite de l'arrêt de la WCHL en 1926, Fredrickson, comme la majorité des joueurs de la ligue, passe dans la LNH. Il joue ensuite pour les Cougars de Détroit, les Bruins de Boston puis les Pirates de Pittsburgh dont il devient entraîneur pour la saison 1929-1930. Il met fin à sa carrière en 1931 à l'âge de 36 ans.
Les Jeux olympiques d'hiver de 1956, officiellement connus comme les VIIes Jeux olympiques d'hiver, ont lieu à Cortina d'Ampezzo en Italie, du 26 janvier au . Cortina est d'abord retenue pour accueillir les Jeux olympiques d'hiver de 1944, mais ils sont annulés à cause de la Seconde Guerre mondiale. Elle bat la ville de Montréal au Canada et celles de Colorado Springs et Lake Placid aux États-Unis pour obtenir l'organisation des Jeux de 1956. Ces Jeux sont uniques dans la mesure où presque tous les sites sont séparés par des distances très courtes. Le comité d'organisation reçoit un soutien financier du gouvernement italien pour améliorer les infrastructures, mais le reste des coûts doit être financé par le Comité olympique italien, qui est aidé par des sponsors.
Pas moins de 821 athlètes parmi 32 nations, un record pour les Jeux d'hiver, concourent dans quatre sports et vingt-quatre épreuves. L'Union soviétique, qui fait des débuts aux Jeux olympiques d'hiver, est la nation la plus médaillée. L'AutrichienToni Sailer devient le premier à remporter les trois médailles d'or de ski alpin la même année. Le SuédoisSixten Jernberg gagne quatre médailles en ski de fond, ce qui fait de lui l'athlète le plus médaillé de ces Jeux. Les épreuves de patinage artistique sont disputées pour la dernière fois à l'extérieur. Le seul problème logistique est le manque de neige sur les pistes de ski alpin. Pour y remédier, l'armée italienne transporte de grandes quantités de neige.
La politique n'a pas d'impact sur les Jeux d'hiver de 1956, comme c'est le cas lors des Jeux d'été, à Melbourne, en Australie, où la réponse soviétique à la Révolution hongroise et la crise du canal de Suez causent le boycott des Jeux de nombreuses nations. Les Jeux de Cortina sont les premiers à bénéficier d'une diffusion télévisuelle internationale. Comme les pays communistes ont des technologies plus avancées, des pays d'Europe de l'Ouest comme l'Allemagne de l'Ouest et la Finlande ne reçoivent les images des Jeux que par les diffuseurs communistes. C'est une victoire significative des Soviétiques dans leur propagande pendant la Guerre froide.
En 1930, alors que la ville et le club viennent de changer de nom pour devenir le FC Sète, le club héraultais décroche son premier titre majeur, en remportant la Coupe de France face au Racing Club de France. C'est donc comme une équipe de premier rang, que le FC Sète intègre en 1932, le premier championnat de France national. Il ne leur faudra que deux saisons, pour remporter cette compétition, signant par ailleurs le premier doublé de l'histoire du football en France, en remportant le titre de champion de France et la Coupe de France 1934.
Le club redevient champion de France seulement cinq ans plus tard, mais le début de la Seconde Guerre mondiale va donner un coup terrible au club sétois qui ne retrouvera jamais son niveau d'antan. Se maintenant en Division 1 jusqu'en 1954, le club va connaitre une lente agonie pour abandonner le professionnalisme en 1960.
Contraint à l'amateurisme pour des raisons financières, le club a végéter dans les meilleures divisions amateurs jusqu'en 2005 et un retour en Ligue 2 que le club avait quitté en 1989. Mais après une seule saison dans l'antichambre de l'élite, le club redescend et en 2009 est rétrogradé en Division d'Honneur suite à une liquidation judiciaire.
Il joue actuellement pour le club anglais de Chelsea.
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Pourquoi faire ? Pas tant que j'irai les voir en tout cas ! Mais je crois que je vais arrêter si c'est pour voir des matchs comme ça... — Seb(d), le 26 août 2012 à 18 h 48.
Salut Anthony59999, je ne serai pas chez moi ce soir avant 20h10. Je te laisse donc le soin de remplir l'article ! Et peut-être que cette fois ce sera moi qui te corrigerai ! Amicalement, — Seb(d), le 31 août 2012 à 15 h 07.
Salut ! Merci de me faire confiance mais je ne serai pas la avant ... tard ce soir je pense. Je ne verrai même pas l'étape mais je jéterai un œil à la page au plus vite . A . Anthony59999 (d) 31 août 2012 à 15:15 (CEST)[répondre]
Bon ba comme personne ne l'avait fait avant que j'arrive, ben je l'ai fait — Seb(d), le 31 août 2012 à 21 h 20.
Salut ! Une intervention de ta part serait utile sur le Modèle:Classement final (je m'adresse à toi parce que tu as déjà travaillé sur ce type de modèle). Nous avons une difficulté, que tu peux voir dans l'article Tour de France 2005 : comment indiquer une place vacante dans le classement (avec la mention non-attribué par exemple), sans que le modèle ne demande une nationalité, à l'aide d'un (???) peu esthétique ? Merci déjà. Vlaam (d) 30 octobre 2012 à 17:27 (CET)[répondre]
Salut ! C'est sympa de penser à moi mais je n'en sais fichtre rien. J'ai un peu fait du copier-coller pour ça en fait (huhu). Je suppose qu'il faudrait mettre une condition mais je maîtrise mal le langage de Wikipédia pour ça... — Seb(d), le 30 octobre 2012 à 17 h 35.