Discussion:György Ligeti

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Cet article a simplement été pompé ici : http://scene2.info/article-dist.php3?id_article= 45 — Le message qui précède, non signé, a été déposé par JX Bardant (discuter), le 12 juin 2006 à 20:59

Euh non, c'est certainement l'inverse : l'article de Wikipédia qui a été repris mot pour mot ailleurs. Frank Renda 12 juin 2006 à 21:08 (CEST)

C’est possible aussi :-) JX Bardant 12 juin 2006 à 21:34 (CEST)

Chapitre Œuvres électro acoustiques

J’ai supprimé le chapitre suivant en essayant d’en conserver les informations les plus pertinentes, sachant que la musique électro-acoustique a une place assez mineure dans l’œuvre de Ligeti... JX Bardant 12 juin 2006 à 22:21 (CEST)

« György Ligeti utilisa dès 1957 les principes de la modélisation des phénomènes psychoacoustiques : il mit en œuvre un subtil jeu de glissement entre harmonie et timbre dans son œuvre Glissandi. Ligeti réconciliait les dimensions verticales de l’harmonie et les dimensions timbrales des complexes sonores qui fusionnent. Dans Glissandi la structure de l’accord est toujours en étroite relation avec la composition du son lui-même : une structure qui se déploie et crée de par son évolution une forme musicale. Par une investigation systématique de l’ambitus audible, Ligeti explore les frontières entre le perceptible (l’accord) et l’indescriptible (le timbre), entre l’analytique et le synthétique. Deux dimensions qui, aux époques charnières de questionnements sur le langage musical sont perpétuellement posées en opposition. Ligeti, par cette esthétique de l’ambivalence harmonie-timbre, influera beaucoup sur la génération des compositeurs de l’école spectrale qui reviendront à cette recherche, en y incorporant des éléments nouveaux dérivés de la synthèse numérique du son. Mais d’ores et déjà, le virtuel parvenait à rentrer de plain-pied dans le domaine de l’expression artistique, puisqu’une telle œuvre n’aurait pas été imaginable sans l’apport de la technologie électroacoustique. »

La musique électroacoustique joue donc un rôle très important dans l'œuvre de Ligeti. C'est une période-clé d'expérimentation, de découverte et d'ouverture (Ligeti vient de quitter la Hongrie pour des raisons politiques). Il s'était jusqu’alors consacré essentiellement à la musique vocale, la musique de chambre et la musique folklorique. Les pièces monumentales pour grand orchestre n’apparaissent qu’après cette expérience « fondamentale » (« L’expérience du studio a été fondamentale pour mes œuvres orchestrales et vocales ultérieures, bien que j’aie arrêté de composer avec des sons électroniques dès 1959. » LIGETI, György, « Pensées rhapsodiques sur la musique en général et sur mes propres compositions en particulier », Neuf essais sur la musique, Genève, Contrechamps, 2001). — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Olivierbaudouin (discuter), le 13 septembre 2007 à 10:06

Au cinéma

Bonjour à tous, j'ai supprimé le passage suivant :

Notons enfin que c'est sur les deux œuvres, Atmosphères et Lontano, que s'est appuyé le compositeur de musique de films Cliff Martinez pour composer la musique du Solaris de Steven Soderbergh.

La source indiquée (lien obsolète, il me semble) cite :

« Coïncidence, le film de Soderbergh rappelle par moment le 2001 de Kubrick, et ce n'est certainement pas un hasard si Kubrick avait déjà utilisé 'Atmosphères' de Ligeti dans son propre film. On pourrait donc penser que c'est en ayant eu en tête l'atmosphère musicale incomparable du chef-d'œuvre de Stanley Kubrick que Steven Soderbergh a demandé à Cliff Martinez de se rapprocher de Ligeti »

— in l'article de Quentin Billard, site Cinezik.fr

Ce n'est donc qu'une supposition. Je n'ai pas trouvé d'information permettant de confirmer cette affirmation, donc en attendant mieux, je mets ça ici. — Sorwell (discuter) 27 septembre 2021 à 11:15 (CEST)