Dampierre-en-Yvelines
Dampierre-en-Yvelines | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Rambouillet | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Haute Vallée de Chevreuse (siège) |
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Maire Mandat |
Valérie Palmer 2020-2026 |
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Code postal | 78720 | ||||
Code commune | 78193 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Dampierrois | ||||
Population municipale |
1 000 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 90 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 42′ 24″ nord, 1° 59′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 85 m Max. 178 m |
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Superficie | 11,17 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Maurepas | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairie-dampierre-yvelines.fr | ||||
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Dampierre-en-Yvelines est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]Dampierre-en-Yvelines est un village d'Île-de-France situé à une quarantaine de kilomètres de Paris, dans la Vallée de Chevreuse, entre Versailles et Rambouillet. C'est une commune du parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Transports et voies de communications
[modifier | modifier le code]Réseau routier
[modifier | modifier le code]L'axe de circulation principal qui traverse la commune est la route départementale 91 qui mène au nord à Saint-Quentin-en-Yvelines et Versailles et au sud à Cernay-la-Ville. La route qui vient de Chevreuse, à l'est, est la route départementale 58 qui poursuit son tracé vers le nord-est, vers Lévis-Saint-Nom et au-delà Élancourt.
Desserte ferroviaire
[modifier | modifier le code]Les gares SNCF les plus proches sont la gare de La Verrière (ligne N du Transilien) et la gare de Saint-Rémy-lès-Chevreuse (ligne B du RER d'Île-de-France).
Bus
[modifier | modifier le code]La commune est desservie[Quand ?] par les lignes 39.003, 39.103, 39.27 et 39.35A du réseau de bus Centre et Sud Yvelines[réf. nécessaire].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 656 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Choisel à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,3 | 1 | 3,1 | 5 | 8,4 | 11,4 | 13,2 | 13 | 10,1 | 7,4 | 4,1 | 1,6 | 6,6 |
Température moyenne (°C) | 4 | 4,4 | 7,5 | 10,1 | 13,8 | 17 | 19,2 | 19 | 15,4 | 11,6 | 7,2 | 4,2 | 11,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,7 | 7,7 | 11,9 | 15,3 | 19,2 | 22,6 | 25,1 | 25 | 20,8 | 15,8 | 10,4 | 6,9 | 15,6 |
Record de froid (°C) date du record |
−14,2 14.01.1979 |
−13,5 07.02.1991 |
−10,4 13.03.13 |
−4,5 15.04.19 |
−1 07.05.1997 |
2,2 04.06.1991 |
4,9 19.07.1974 |
4,3 21.08.14 |
1,8 30.09.12 |
−4 30.10.1997 |
−9,5 24.11.1998 |
−10,6 29.12.1996 |
−14,2 1979 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15,5 27.01.03 |
18,5 24.02.1990 |
24 29.03.1989 |
28 21.04.18 |
31,6 28.05.17 |
36,4 27.06.11 |
37,5 01.07.15 |
39,5 06.08.03 |
33 05.09.13 |
28,5 03.10.11 |
21 08.11.15 |
16,5 07.12.00 |
39,5 2003 |
Précipitations (mm) | 61,4 | 51,7 | 51,5 | 48,9 | 67,8 | 61,5 | 52,4 | 56,3 | 51,6 | 65,8 | 64,7 | 75,5 | 709,1 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Dampierre-en-Yvelines est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].
Occupation des sols simplifiée
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune se compose en 2017 de 90,05 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 5,99 % d'espaces ouverts artificialisés et 3,95 % d'espaces construits artificialisés[11].
Occupation des sols détaillée
[modifier | modifier le code]Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 8,0% | 90 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 34,4% | 389 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 3,2% | 36 |
Forêts de feuillus | 54,5% | 617 |
Source : Corine Land Cover[12] |
Hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]La commune est composée de plusieurs parties :
- le village de Dampierre, situé près du château, le long du ru des Vaux de Cernay ;
- le village de Maincourt-sur-Yvette, situé le long de l’Yvette ;
- les hameaux de Champ Romery et du Mousseau, situés sur le plateau ;
- le hameau de Fourcherolles, situé au fond d’un vallon, le vallon de Valence.
Dans le village de Maincourt, se trouve un « sentier découverte » des marais.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Domna petra, Donna petra au XIIIe siècle, Dampna petra en 1458[13].
Dommus Petrus (le « domaine de Pierre »), masculin, pour une raison obscure, a été orthographié au féminin dans toutes les archives : Domna petra et Donna petra au XIIIe siècle, Dampna petra en 1458[14].
Si l'on se rapporte à l'étymologie supposée du château de Dampierre-sur-Boutonne, on peut penser à Dame Pierre (Doma Petra) ou monseigneur Pierre (Dominus Petrus), dans la plupart des cas, Dom- a évolué en Dam- (cf. Dammartin, etc.), tout comme DOMNA a donné dame, forme féminine. Le développement particulier du o s'explique par le fréquent emploi proclitique du mot, notamment devant les noms propres[15].
Dampierre-en-Yvelines depuis 1974, marquant ainsi son attachement à la région naturelle de l'Yveline[Note 2],[Note 3].
Histoire
[modifier | modifier le code]- Au XIIe siècle, Amauri de Chevreuse (fils de Guy, seigneur de Chevreuse), est seigneur de Dampierre. [réf. nécessaire]
- Au XIVe siècle, Simon, Ansel, Jean de Chevreuse sont seigneurs de Dampierre[16]. Vers la fin du XIVe siècle, Nicole d'Arcies, Dame (héritière) de Dampierre, transmet par mariage la seigneurie de Dampierre à Simon de La Fontaine.
- Au XVe siècle, Jacqueline de La Fontaine, Dame de Dampierre, transmet par mariage la seigneurie à Enguerrand de Thumery. [réf. nécessaire]
- Au XVIe siècle, Robert de Thumery vend Dampierre à Jean Duval/du Val. Puis Dampierre est racheté par Charles de Lorraine, archevêque de Reims. Les terres, fiefs, et domaines de : Dampierre, Beauvrain, et Maurepas, sont unis au duché de Chevreuse[17]. Le duché de Chevreuse appartint à Henri de Lorraine-Guise ( 1588) dit le Balafré.
- Au XVIIe siècle, Marie de Rohan, duchesse de Chevreuse, veuve de Claude de Lorraine-Guise ( 1657), cède le duché de Chevreuse à son fils Louis-Charles d'Albert, duc de Luynes (issu d'un premier mariage). Vers la fin du XVIIe siècle , l'ancien château ayant été rasé ; Charles-Honoré d'Albert de Luynes, duc de Chevreuse, petit-fils de Marie de Rohan, fit construire l'actuel château de Dampierre[18],[19],[20].
- Le duc de Luynes[Lequel ?] fut propriétaire du château de Dampierre, et le décora à grands frais. [réf. nécessaire]
- Par l'arrêté préfectoral du , Journal officiel du et effet au , la commune de Maincourt-sur-Yvette est rattachée à la commune de Dampierre par fusion-association et la nouvelle commune s'appelle Dampierre-en-Yvelines.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[21], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription des Yvelines.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Chevreuse[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Maurepas.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté de communes de la Haute Vallée de Chevreuse, créée en 2012.
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[23].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].
En 2021, la commune comptait 1 000 habitants[Note 4], en évolution de −3,85 % par rapport à 2015 (Yvelines : 2,04 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,5 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 519 hommes pour 511 femmes, soit un taux de 50,39 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,68 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une école[34]
Sports
[modifier | modifier le code]Le 4 mars 2012, Dampierre-en-Yvelines est la ville-départ de la course cycliste Paris-Nice 2012.
Économie
[modifier | modifier le code]Les principales activités sont[Quand ?] le tourisme (hôtellerie, restauration) et le commerce de proximité. Trois agriculteurs sont[Quand ?] installés sur le territoire communal.
Un restaurant renommé, l'auberge Saint-Pierre, est tenu par l'ancien chef étoilé Pierre Marchesseau depuis 2017[35].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Construit dans le dernier quart du XVIIe siècle, de 1675 à 1683, par Jules Hardouin-Mansart, sur les ordres du duc de Chevreuse, Louis Charles d'Albert de Luynes, gendre de Jean-Baptiste Colbert. Il est entouré d’un grand parc, dessiné par André Le Nôtre.
- Dans la salle de musique du château est exposée l’Âge d’Or, une fresque peinte par Ingres.
- Église Saint-Pierre de Dampierre-en-Yvelines : paroisse dès le Xe siècle Dampierre eut son église Saint-Pierre au XIIIe siècle dont subsistent le clocher et les premières travées de la nef. Le bâtiment a été modifié - et son orientation changée - en 1858 et 1859 par l'architecte diocésain versaillais Hippolyte Blondel (1808-1884) en raison de travaux d’élargissement de la route.
- À l'initiative d'Honoré de Luynes qui habitait le château, le transept méridional fut aménagé en 1862 en nécropole pour les membres de sa famille et descendants de la famille des Luynes. On y trouve un gisant de sa première épouse Françoise de Dauvet-Maineville (1802-1824), décédée à l'âge de 21 ans. L'inscription porte : « D.O.M. et memoriae aeternae amicae [Francisca] a Davvet coniugis dulcissimae quae vixit annos xxi menses vii et de qua nemo suorum unquam dolvit nisi mortem Honoratus dux a Luynes maritus desolatus A.D. MDCCCXXIV » [A Dieu très bon, très grand, et à la mémoire éternelle de [Françoise] de Dauvet, très douce épouse qui vécut 21 ans et 7 mois, et personne parmi les siens ne souffre plus de sa mort que son mari Honoré, duc de Luynes, l'an du Seigneur 1824].
- La seigneurie de Valence[C'est-à-dire ?] fut accordée en janvier 1510, par dom Pierre Pichonnat[Passage problématique], abbé de Saint-Denis[réf. nécessaire], qui baille à vie à Adam de Baillon, notaire et secrétaire du roi, le fief de Valence. Ce bail est fait moyennant 36 livres. Une autre version plus ancienne du bail datant de 1502 était établie pour 12 livres.
- La Maison de Fer.
- Située sur le plateau au-dessus du village de Dampierre. C’est un prototype de petite maison démontable dû à l'ingénieur Duclos[Note 5] ; fabriquée en fer, elle était destinée à être utilisée comme habitation coloniale. Cet exemplaire a servi de billetterie lors de l’Exposition universelle de 1889, avant d'être remonté à Dampierre. Entourée d'un jardin et restaurée, elle sert désormais de gîte d'étape pour randonneurs.
Dampierre et le cinéma
[modifier | modifier le code]- 1969 : Hibernatus d'Édouard Molinaro : une scène a été tournée au cimetière communal
- 1976 : une scène du film L'Aile ou la Cuisse de Claude Zidi a été tournée à l'auberge Saint-Pierre[35].
- 2007 : Le Grand Alibi de Pascal Bonitzer a été tourné dans la commune[réf. nécessaire].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Danielle Darrieux[pourquoi ?], chanteuse, comédienne - hameau de Fourcherolles[réf. nécessaire].
- Éric Judor[pourquoi ?], humoriste[réf. nécessaire].
- Joseph Marie (1821-1884), architecte paysagiste, originaire de Maincourt, a réalisé notamment l'aménagement des Parcs d'Allier à Vichy. Il est le fondateur d'une dynastie de paysagistes bourbonnais les Treyve.
- Henri Pélissier, (1889-1935) cycliste sur route français, vainqueur du Tour de France 1923, y est décédé tué par sa compagne de plusieurs coups de revolver.
- Claude Venard, peintre - hameau du Mousseau.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Sous l'Ancien Régime, le nom de Pays d'Yveline est donné à une subdivision du Gouvernement général d'Île-de-France. Le Gouvernement de l'Isle de France par Damien de Templeux, 1663.[1]
- Le nom de Pays d'Yveline apparaît également dans plusieurs ouvrages de l'époque comme le Dictionnaire universel de la France ancienne & moderne, publié en 1726.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- La maison de fer faisait l'objet d'un brevet obtenu en 1890.
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Dampierre-en-Yvelines et Choisel », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Choisel » (commune de Choisel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Choisel » (commune de Choisel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Dampierre-en-Yvelines ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Dans le cartulaire blanc de Saint-Denis.
- Site du CNRTL : étymologie de dom.
- http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Chevreuse.pdf
- « Racines & Histoire : Lignages », sur racineshistoire.free.fr (consulté le ).
- « heraldique-europeenne.org/regi… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « ensemble.paroissial.free.fr/eg… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « Wayback Machine », sur chateau-de-dampierre.fr via Internet Archive (consulté le ).
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Les maires de Dampierre-en-Yvelines », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Alain Auffray, « Un élu CDS des Yvelines dort en prison. Claude Dumond est le premier politique écroué dans l'affaire des collèges », Libération (journal), (lire en ligne, consulté le ).
- « Dampierre-en-Yvelines : le maire démissionne pour raisons de santé : Élu en 2014, Jean-Pierre de Winter reste conseiller municipal », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « La première adjointe, Valérie Palmer, semble la mieux placée pour succéder à Jean-Pierre de Winter ».
- « Ina et Jean-Pierre de Winter », Agriculteurs du mois, (consulté le ).
- « Election de Madame Valérie Palmer au poste de Maire de Dampierre en Yvelines », Actualités, sur mairie-dampierre-yvelines.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Dampierre-en-Yvelines (78193) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
- L'école sur le site de la commune
- Laurent Mansart, « Le chef étoilé relance l’auberge et l’emploi à Dampierre-en-Yvelines : Le chef étoilé à la retraite, Pierre Marchesseau, 70 ans, vient relancer bénévolement l’Auberge Saint-Pierre à l’aide d’un seul commis pour le moment. Il espère embaucher des jeunes et les former à la cuisine, et créer ainsi 18 emplois », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Dampierre-en-Yvelines », p. 178–180
- Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, préface de Paul-Louis Tenaillon, président du conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- Images de Dampierre sur le site de la base Mérimée du Ministère de la Culture
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :