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Concoules

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Concoules
Concoules
L'église et son clocher à peigne.
Blason de Concoules
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Alès Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Marie Malaval
2020-2026
Code postal 30450
Code commune 30090
Démographie
Population
municipale
266 hab. (2021 en évolution de  2,7 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 23′ 01″ nord, 3° 56′ 20″ est
Altitude Min. 355 m
Max. 1 507 m
Superficie 16,47 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de La Grand-Combe
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Concoules
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Concoules
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Concoules
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Concoules

Concoules est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Cèze, l'Homol, la Connes, l'Amalet, la rivière du Pont Brignet, le ruisseau de Gourdouse et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (le « mont Lozère », les « hautes vallées de la Cèze et du Luech » et « les Cévennes ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Concoules est une commune rurale qui compte 266 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 346 habitants en 1866. Ses habitants sont appelés les Concoulois ou Concouloises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Étienne, inscrite en 1949.

Géographie

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Localisation

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La commune est située dans le nord du département du Gard. Elle est limitrophe de la Lozère.

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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Concoules, paysage cévenol.

Concoules se trouve à 635 mètres d'altitude dans la haute vallée de la Cèze, tout de suite à l'est du Mont Lozère qui domine le territoire communal de sa crête qui monte de 1 350 mètres (plateau de la Croix de l'Hermite qui comporte le plus haut col du Gard : le col du Pré de la Dame à 1 474 mètres et le second sommet du département au Signal de Costelades à 1 508 mètres après le mont Aigoual) sur la route en direction de la station du Mas de la Barque surplombé par le pic Cassini (1 685 mètres, en Lozère).

Hydrographie

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Plusieurs ruisseaux passent sur le territoire de la commune, petits affluents et sous-affluents de la Cèze. La route Génolhac - Mas de la Barque constitue d'ailleurs une des plus fortes dénivellations du Massif central avec celle de Valleraugue - le mont Aigoual.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Sud-est du Massif Central »0[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 837 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Génolhac à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 692,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur du Parc national des Cévennes. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[10].

La commune fait également partie des Cévennes, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[11],[12].

Réseau Natura 2000

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Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[14] :

  • le « mont Lozère », d'une superficie de 11 687 ha, la plus grande zone continue de pelouses pseudo-alpines du sud du Massif central[15] ;
  • les « hautes vallées de la Cèze et du Luech », d'une superficie de 12 680 ha, correspondant à la partie amont du bassin versant de la Cèze. Elles présentent un patrimoine naturel remarquable, avec quatre espèces piscicoles : l'écrevisse à pattes blanches, le castor, la loutre et le barbeau méridional et cinq habitats d'intérêt communautaire d'origine[16] ;

et un au titre de la directive oiseaux[14] :

  • « les Cévennes », d'une superficie de 92 044 ha, correspondant précisément à la zone centrale du parc national des Cévennes et rassemblant plusieurs ensembles distincts. La diversité des milieux et des paysages permet le maintien d'une avifaune riche et diversifiée : au total, 135 espèces d'oiseaux, dont 22 inscrites à l'annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensées dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espèces de rapaces diurnes et sept nocturnes[17].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[18] : la « forêt domaniale de Malmontet » (1 511 ha), couvrant 3 communes du département[19] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[18] :

  • le « massif du Mont Lozère » (40 064 ha), couvrant 22 communes dont 3 dans le Gard et 19 dans la Lozère[20] ;
  • les « vallées amont de la Cèze et de la Ganière » (10 752 ha), couvrant 11 communes dont 9 dans le Gard et 2 dans la Lozère[21].

Au , Concoules est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[23],[24].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (90,1 %), zones agricoles hétérogènes (6,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %), prairies (0,1 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Concoules est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Cèze et l'Homol. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995, 2006 et 2008[28],[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Concoules.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[29]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 18,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 298 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 157 sont en aléa moyen ou fort, soit 53 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Concoules est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[33].

Occitan Concolas[34], attesté par les formes : de Concolas, 1176, de Concolis, 1345 (DT)[35], nom dérivé des petites conques ou réservoirs d'eau que l'on trouve dans cette localité[36]. La forme est clairement au pluriel. La lettre O de l'occitan note traditionnellement le son /u/ ce qui explique la francisation Concoules. Le premier O en position non tonique a pu se nasaliser en français.

Concoules était une dépendance de la seigneurie de Villefort et de la baronnie de Tournel.

Époque moderne

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Révolution française et Empire

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Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Montagne-Concoules[37].

Époque contemporaine

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Depuis le 1er janvier 2016 la région Languedoc-Roussillon, à laquelle appartient le Gard, a fusionné avec la région Midi-Pyrénées. L'ensemble est devenu la nouvelle région Occitanie.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2008 Bertrand Pellet DVD  
2008 2020 René Praden PS Retraité
2020 En cours Jean-Marie Malaval DVG  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

En 2021, la commune comptait 266 habitants[Note 4], en évolution de 2,7 % par rapport à 2015 (Gard : 2,49 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
899502930830833700775790812
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
7436841 346646589584550502498
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
485473432381357315326324286
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
261238262241236256260260258
2018 2021 - - - - - - -
259266-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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La paroisse fait partie du diocèse d'Uzès, doyenné de Gravières.

Revenus de la population et fiscalité

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Entreprises de l'agglomération

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Secteurs d'activités

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Culture locale et patrimoine

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Édifices civils

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Édifices religieux

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Patrimoine culturel

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Patrimoine environnemental

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Concoules est situé sur la voie Regordane.

Parcs et jardins

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Le jardin du Tomple, jardin ornemental aménagé à partir de 1995 sur des terrasses schisteuses, est classé « jardin remarquable ».

Titus le jardin des Nymphaeas, jardin ornemental et pépinière spécialisée dans les plantes aquatiques et les nénuphars en particulier, aménagés à partir de 2016 sur les anciens prés.

Personnalités liées à la commune

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Concoules est le berceau de la famille d'Alphonse Daudet, son père Vincent Daudet (ou Daudé) est né au hameau de la Bise.

Héraldique

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Blason de Concoules Blason
D'or à la fasce losangée d'argent et de sable[42].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Concoules et Génolhac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Génolhac » (commune de Génolhac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Génolhac » (commune de Génolhac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le ).
  11. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le ).
  12. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  14. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Concoules », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « site Natura 2000 FR9101361 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « site Natura 2000 FR9101364 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « site Natura 2000 FR9110033 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Concoules », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF la « forêt domaniale de Malmontet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « ZNIEFF le « massif du Mont Lozère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « ZNIEFF les « vallées amont de la Cèze et de la Ganière » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Concoules », sur Géorisques (consulté le ).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  29. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  31. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Concoules », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  33. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  34. IEO_BdTopoc : http://bdtopoc.org
  35. Toponymie générale de la France, Ernèst Nègre
  36. (oc   fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 620, t.1
  37. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. « Eglise », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  42. Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 64