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Comps (Drôme)

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Comps
Comps (Drôme)
Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Comps.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes Dieulefit-Bourdeaux
Maire
Mandat
Jean-Pierre Fabre
2020-2026
Code postal 26220
Code commune 26101
Démographie
Gentilé Compsois, Compsoises
Population
municipale
137 hab. (2021 en évolution de −19,88 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 33′ 12″ nord, 5° 06′ 47″ est
Altitude Min. 465 m
Max. 959 m
Superficie 11,88 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Dieulefit
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Comps
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Comps
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Comps
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Comps

Comps est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Localisation

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Comps est située à 8 km au nord-est de Dieulefit et à 6 km au sud de Bourdeaux.

Relief et géologie

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Sites particuliers[1] :

  • Col de Ventebrun
  • Col de Vesc
  • Col du Pertuis
  • Montagne de Saint-Maurice (960 m)
  • Montagne des Ventes (936 m)
  • Plan du Serre (631 m)

Hydrographie

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La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • la Rimandoule
  • le Jabron(source)
  • ravin de Combe Turel
  • ravin de Chante-Perdrix
  • ravin de la Chareta
  • ravin de Ribière
  • ravin des Fanges
  • ravin du Faure
  • ravin du Pont
  • ravin du Pré de Laie
  • ruisseau de Lèbre
  • ruisseau de l'Église
  • ruisseau de Marre Combe
  • ruisseau de Pravie

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 915 mm, avec 7,8 jours de précipitations en janvier et 4,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Bourdeaux à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 953,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Comps est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (57 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,2 %), prairies (25,5 %), zones agricoles hétérogènes (25,2 %), terres arables (8,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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L'habitat est dispersé, sans village chef-lieu[13].

Quartiers, hameaux et lieux-dits

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Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Bois de Combe Turel
  • Bois Vieux
  • Brachet
  • Cardinal
  • Château de Comps
  • Chemin de la Calade
  • Clos Rabier
  • Combe Turel
  • Église de Comps
  • Faquin
  • Fontaine des Clos
  • Grimolle
  • la Calade
  • la Gallienne
  • l'Alouette
  • la Motte
  • la Patte
  • la Plaine
  • le Collet
  • le Lume
  • le Moulin Cordeil
  • le Mouret
  • le Pouzet
  • les Blachons
  • les Bourets
  • les Buffelas
  • le Serre
  • les Lombards
  • les Taillées
  • les Tolliers
  • les Vernets
  • Mairie de Comps
  • Mauchamp
  • Pont de la Chauvette
  • Ribière
  • Rossignol
  • Source du Jabron
  • Sourier
  • Thomas
  • Vallier
  • Vinouze

Projets d'aménagement

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Voies de communication et transports

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La commune est desservie par les routes départementales D 191, D 523, D 538 et D 547[1].

Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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Autres risques

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Attestations

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :

  • 1031 : mention de la viguerie : vicaria de Culmis (cartulaire de Savigny, 237).
  • 1107 : mention du prieuré : ecclesia de Culs (visites épiscopales, 901).
  • 1210 : castrum de Cums (cartulaire de Die, 21).
  • 1293 : castrum de Combis (Bulletin de la Société d'archéologie, IV, 380).
  • 1324 : castrum de Comps (Duchesne, Comtes de Valentinois, 29).
  • XIVe siècle : mention du prieuré : prior de Comps (pouillé de Die).
  • 1449 : mention du prieuré : prioratus de Compis (pouillé hist.).
  • 1509 : mention de l'église Saint-Pierre : ecclesia Beati Petri de Comps (visites épiscopales).
  • 1891 : Comps, commune du canton de Dieulefit.

Étymologie

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Le nom du village dériverait soit du gaulois cumba « vallée » ; soit du latin culmen-inis « point culminant ». Cette dernière hypothèse aurait l'avantage de respecter les formes anciennes du nom et de correspondre à l'implantation ancienne du village[13].

Du Moyen Âge à la Révolution

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La plus ancienne attestation du village dans un document écrit remonte à 1032, quand des terres y sont données à l'abbaye de Savigny (Rhône). Les comtes de Valentinois y établissent une viguerie au XIe siècle dont le ressort s'étend de Bourdeaux à Dieulefit. À l'époque, le village est implanté sur un site perché[13].

Au XIe siècle, Comps était le chef-lieu, ou tout au moins donnait son nom à une viguerie comprenant avec une partie du canton de Dieulefit, partie de celui de Bourdeaux[14].

Le bourg compta deux seigneurs qui se distinguèrent aux croisades[15].

La seigneurie :

  • Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) était un fief des comtes de Valentinois[14],[15].
  • Possession des Comps[14].
  • XIIIe siècle : Comps passe (par alliance) aux Vesc[14].
  • XVIIe siècle : la terre passe aux Moreton de Chabrillan, derniers seigneurs[14].

1744 (démographie) : 160 habitants[14].

Avant 1790, Comps était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église, dédiée aux saints Pierre et Paul, était celle d'un prieuré qui, dépendant aux XIe et XIIe siècles de l'abbaye de Savigny et ensuite de celle de Saint-Thiers de Saou, fut uni vers 1731 au chapitre de Saint-Sauveur de Crest qui a été, de ce chef, décimateur et collateur dans cette paroisse jusqu'à la Révolution[14].

De la Révolution à nos jours

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Pendant la Révolution française, le domaine du château est vendu comme bien national en 44 lots[13].

Cette commune fait partie du canton de Dieulefit depuis 1790[14].

En 1944, le 31 juillet, près de Comps, le terrain répondant au nom de code « Framboise » reçoit quinze parachutistes avec armes et bagages faisant partie d'un commando en provenance d'Alger sous les ordres du sous-lieutenant Corley. Le lendemain, 1er août, quinze autres parachutistes, sous les ordres de l'aspirant Muelle, sont réceptionnés[16].

Politique et administration

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Mairie de Comps.

Tendance politique et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 Gilbert Marcel    
1989 1995 ?    
1995 2001 ?    
2001 2008 Roger Lafond    
2008 2014 Roger Lafond   maire sortant
2014 2020 Jean-Pierre Fabre   retraité
2014 En cours
(au 15 juin 2022)
Jean-Pierre Fabre[17][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux

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Politique environnementale

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Finances locales

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

En 2021, la commune comptait 137 habitants[Note 1], en évolution de −19,88 % par rapport à 2015 (Drôme : 2,94 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
398206323305317361348355348
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
327312300297324320308281285
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
276267244190171175163174150
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
142119104129137118153163163
2018 2021 - - - - - - -
149137-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

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Enseignement

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Ancienne école de Comps.

La commune de Comps dépend de l'académie de Grenoble. Elle n'a pas d'école en activité.

Manifestations culturelles et festivités

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  • Chasse[15].
  • Randonnées : GR 9 - GR 965 - GR de Pays Tour du Pays de Dieulefit[1].

La paroisse catholique de Comps dépend du diocèse de Valence, doyenné de Cléon-d'Andran[22].

Agriculture

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En 1992 : pâturages (ovins), céréales[15].

Revenus de la population et fiscalité

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Motte castrale au point culminant de la commune[réf. nécessaire].
  • Château dominant la vallée[15].
  • Église Saints-Pierre-et-Paul (XIe siècle, MH) : plan carré, coupoles sur trompes, nef inachevée sur les quatre absidioles en cul-de-four (l'une est remplacée par une chapelle gothique), porte en arc brisé des XVe et XVIe siècles, tour massive avec lanterne[15].
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul existait au XIe siècle. Le bâtiment actuel est construit au XIIe siècle. Elle est classée monument historique depuis 1938[13].
  • Le château de Comps, ou château moderne, est quadrangulaire avec quatre tours d'angle. Il a été construit au XVe siècle sur une base médiévale par les Vesc, seigneurs du village[13].

Patrimoine culturel

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  • Le roman de Valérie Paturaud, Nézida (2020) (ISBN 979-10-349-0256-9) se déroule au hameau de la Calade[23]. C'est une biographie romancée de Nézida Cordeil (1856-1884), épouse d'Antonin Soubeyran (1852-1937), dont l'action se déroule (en partie) dans le milieu protestant de Comps et de Dieulefit[24],[25],[26].

Patrimoine naturel

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  • Vallée sauvage du Jabron[15].

Personnalités liées à la commune

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  • Chrystèle Vuillemin, alias Yllya : auteur de bande dessinée.

Héraldique, logotype et devise

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Blason de Comps Blason
D'or à l'aigle échiquetée de sable et d'argent; au chef palé d'azur et d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Bibliographie

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  • Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 2004, 192 pages.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e https://www.geoportail.gouv.fr/
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Comps et Bourdeaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Bourdeaux », sur la commune de Bourdeaux - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bourdeaux », sur la commune de Bourdeaux - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b c d e et f Marylène Ponthier, « Comps », Études drômoises, (no)116, octobre 2001, p. 46.
  14. a b c d e f g h et i J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 108 (Comps).
  15. a b c d e f g et h Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, , 50 p. (ISBN 2-7399-5026-8), Comps.
  16. Henri Faure, « Etais-je un terroriste  ? (tome II, passage : nuit du 25 au 26 juillet) », sur wikiwix.com (consulté le ).
  17. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. paroisse catholique.
  23. « Nézida - Valérie Paturaud » [livre], sur Babelio (consulté le ).
  24. https://regardsprotestants.com/culture/nezida/
  25. « Nézida met en scène la Drôme protestante au 19eme siècle », sur librairie-protestante.com (consulté le ).
  26. https://www.placedeslibraires.fr/livre/9791034902569-nezida-valerie-paturaud/.