Cléo de 5 à 7
Titre original | Cléo de 5 à 7 |
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Réalisation | Agnès Varda |
Scénario | Agnès Varda |
Musique | Michel Legrand |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | Rome-Paris Films |
Pays de production | France |
Genre | Comédie dramatique |
Durée | 90 min |
Sortie | 1962 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Cléo de 5 à 7 est un film français réalisé par Agnès Varda et sorti en 1962.
Synopsis
[modifier | modifier le code]L'action se déroule en temps réel, le [1],[Note 1] à Paris. Cléo, une jeune et belle chanteuse plutôt frivole, craint d'être atteinte d'un cancer. Il est 17 heures et elle doit récupérer les résultats de ses examens médicaux dans 2 heures. Pour tromper sa peur, elle cherche un soutien dans son entourage. Elle va se heurter à l'incrédulité, voire à l'indifférence, et mesurer la vacuité de son existence. Elle va finalement trouver le réconfort auprès d'un inconnu à l'issue de son errance angoissée dans Paris.
Fiche technique
[modifier | modifier le code]- Titre original : Cléo de 5 à 7
- Réalisation : Agnès Varda
- Assistants réalisation : Bernard Toublanc-Michel, Marin Karmitz
- Scénario et dialogues : Agnès Varda
- Musique : Michel Legrand
- Décors : Bernard Evein assisté par Jean-François Adam
- Photographie : Jean Rabier
- Cadrage : Alain Levent
- Son : Julien Coutellier, Jean Labussière
- Mixage son : Jacques Maumont
- Montage : Janine Verneau, Pascale Laverrière
- Photographes de plateau : Liliane de Kermadec, Raymond Cauchetier[Note 2]
- Scripte : Aurore Paquis
- Régie : Jean-François Adam, Édith Tertza
- Production : Georges de Beauregard et Carlo Ponti
- Société de production : Rome-Paris Films (France)
- Sociétés de distribution : Athos Films, puis Ciné-Tamaris (France)
- Pays d'origine : France
- Langue originale : français
- Format : 35 mm — noir et blanc et générique en couleur (Gevaert) — 1.66:1 — son monophonique
- Genre : comédie dramatique
- Durée : 90 minutes (dont 1 min 30 s pour le film burlesque muet Les Fiancés du pont Macdonald)
- Dates de sortie :
- France (avant-première au Studio Publicis, Paris) ; (sortie nationale)
- Classification CNC (France) : mention « tous publics », Art et Essai
Distribution
[modifier | modifier le code]- Par ordre d'apparition à l'écran
- Corinne Marchand : Florence, dite « Cléo »
- Loye Payen : Irma, la cartomancienne
- Dominique Davray : Angèle, la gouvernante de Cléo
- Jean Champion : le patron du café
- Jean-Pierre Taste : le garçon de café
- Renée Duchateau : la vendeuse de chapeaux
- Lucienne Marchand : la conductrice du taxi
- José Luis de Vilallonga : José, l'amant de Cléo
- Michel Legrand : Bob
- Serge Korber : Maurice, dit « Plumitif »
- Dorothée Blanck : Dorothée, l'amie de Cléo
- Raymond Cauchetier : Raoul, le projectionniste, petit ami de Dorothée
- Antoine Bourseiller : Antoine, le soldat rencontré dans le parc
- Robert Postec : le docteur Valineau
Film burlesque muet : Les Fiancés du pont Macdonald
[modifier | modifier le code]- Anna Karina : la fiancée
- Jean-Luc Godard[Note 3] : le fiancé
- Émilienne Caille : la fiancée noire
- Eddie Constantine : l'arroseur
- Sami Frey : le croque-mort
- Georges de Beauregard : le chauffeur
- Danièle Delorme : la vendeuse de fleurs
- Yves Robert : le vendeur de mouchoirs
- Alan Scott : le marin
- Jean-Claude Brialy : l'infirmier.
Chansons
[modifier | modifier le code]1961 : BO Cléo de 5 à 7, quatre chansons écrites par Agnès Varda sur des musiques de Michel Legrand, interprétées par Corinne Marchand. Édition sur super 45 tours Philips 432-596 BE[2].
Première réédition en 1991 sur CD Le Mépris, compilation BO Hortensia (CD FMC 529), distribution BMG France (BNF 38197391).
Liste des titres :
Production
[modifier | modifier le code]Genèse
[modifier | modifier le code]Agnès Varda[3] : « Ne perdant pas de vue le programme économique de la production, j'ai pensé à un film minimal inscrit dans un temps continu. J'y ai ajouté un trajet réel qui peut s'inscrire dans une vraie carte du centre de Paris (ça c'était le jeu...le pari sur Paris). J'ai imaginé un personnage marchant dans la ville. J'ai pensé au maître de Jacques le Fataliste. Il est devenu une chanteuse déambulant dans Paris, affolée par la peur du cancer, souvent accompagnée par sa gouvernante fataliste. La peur d'être mortellement malade. La beauté ne protège-t-elle donc pas, ni les miroirs ni les regards des autres ? Les peintures de Baldung Grien, belles et effrayantes, sont très vite devenues le sens du film et son ressort : la beauté et la mort. On y voit des femmes, belles dans leur chair blonde, enlacées par un squelette qui les malmène ou les effraie. Dans une des toiles, le squelette tire la femme par les cheveux[Note 6]. C'est la peur, la vraie grande peur, celle de mourir parce que le cancer menace. »
Histoire de saison : Agnès Varda voulait filmer le 21 mars pour « capter dans Paris le passage merveilleux de l'hiver au printemps avec les jardins passant du dessin à la plume à la peinture impressionniste ». Pour des raisons financières, le tournage ne put commencer que le 1er juin, pour s'achever huit semaines plus tard. Le film bénéficie quand même d'images d'un blanc cotonneux, lors des scènes tournées à 6 heures du matin au parc Montsouris, pour une action censée se passer à 18 heures.
Les Fiancés du pont Macdonald : pour ce mini-film dans le film, burlesque, mais néanmoins clé de voûte de l'histoire de Cléo, Agnès Varda a fait appel à des copains. Les Fiancés, c'est le couple Godard-Karina, vedette de la Nouvelle Vague et entouré de ses comparses. On aperçoit Frey et Brialy, le cinéma vétéran étant représenté par le couple Delorme-Robert. Pour Varda, cela reste « un souvenir qui symbolise la Nouvelle Vague telle que nous l'avons vécue, l'imagination au pouvoir et l'amitié en action. »
Scénario
[modifier | modifier le code]Découpage en chapitres numérotés qui s’affichent avec leur minutage et le prénom du personnage moteur de la séquence. En même temps, ce décompte marque l’inexorable progression vers des résultats redoutés. Dans la Revue belge du cinéma[4], Bernard Pingaud écrit : « Je ferai une remarque sur la division, au premier abord irritante, du film en treize petits chapitres. […] L'ironie mathématique de ces annonces est une manière de nous avertir, par l'absurde, que le temps ne compte plus. C'est comme si nous voyions tomber un à un les grains du sablier, tandis que sur l'écran, dans l'attente de l’heure fatidique, se déroulait un spectacle destiné à distraire notre attention. Le minutage du drame accuse son inconsistance et l'apparente inutilité des gestes qui remplissent ce long entracte. […] Mais les noms que l'auteur place en tête des chapitres (Cléo, Angèle, Bob, Dorothée, Raoul, Antoine) veulent dire plus. Ils signifient que, pour un moment, nous allons adopter le point de vue de tel ou tel personnage. »
Tournage
[modifier | modifier le code]Période de prises de vue : juin-juillet 1961.
Extérieurs à Paris dans l'ordre chronologique du scénario :
- 1er arrondissement : rue de Rivoli (chez la cartomancienne, dans le café Ça va ça vient, chez le chapelier Francine), départ en taxi depuis la rue du Pont-Neuf et traversée du pont Neuf ;
- 6e arrondissement : le taxi débouche quai de Conti et emprunte les rues Guénégaud (galeries d'art exotique) et Mazarine où des étudiants des Beaux-Arts s'amusent en perturbant la circulation, rue de l'Ancienne-comédie, carrefour de l'Odéon, rue de Condé, rue de Vaugirard, rue Guynemer, rue Vavin, boulevard Raspail, place Pablo-Picasso-carrefour Vavin ;
- 14e arrondissement (quartier du Montparnasse) : rue Huyghens (domicile de Cléo au no 6), place Pablo-Picasso-carrefour Vavin (avaleur de grenouilles), brasserie Le Dôme, rue Delambre, boulevard Edgar-Quinet (saltimbanque se transperçant le biceps avec un poignard javanais[5], et académie de sculpture), passage Montparnasse ou du Départ (Cléo et Dorothée partent en voiture) ;
- 15e arrondissement : gare Maine-Montparnasse (chargement des bobines de film dans la voiture) ;
- 14e arrondissement : rue Delambre (Cléo et Dorothée regardent le court métrage burlesque), incident à la brasserie du Dôme, boulevard Raspail, place Denfert-Rochereau, avenue René-Coty (Dorothée descend du taxi et monte les escaliers de la rue des Artistes), parc Montsouris (Cléo rencontre Antoine près de la cascade) ;
- 13e arrondissement (trajet dans le bus 67 jusqu'à l'hôpital) : rue Liard, rue de Rungis, place de Rungis, rue Bobillot, place Paul-Verlaine, place d'Italie, boulevard de l'Hôpital, et hôpital de la Pitié-Salpêtrière (fin du film quand « L'horloge de l'hôpital tinte la demie de 18 h. »[5]).
Extérieurs pour Les Fiancés du pont Macdonald : 19e arrondissement (quartier de la Villette).
Intérieurs (loft de Cléo) : 10e arrondissement (quartier de la Fontaine-au-Roi)[Note 7],[1].
-
Le Dôme en
Angle bd du Montparnasse/rue Delambre -
Boulevard Edgar-Quinet en
Tour Montparnasse à l'arrière-plan[Note 9] -
Entrée de la gare Maine-Montparnasse en 1930
Angle av. du Maine/bd de Vaugirard (15e arr.) -
Cascade du parc Montsouris
Photo Clément Maurice (1897[Note 10],[1]) -
Le parc Montsouris, un site de tournage extérieur. -
Parc Montsouris : une balustrade en ciment imitant des branchages
Agnès Varda : « J'aime beaucoup cette imitation de nature en pleine nature. »[1] -
Paulownias en fleurs en sur la place d'Italie -
Jardins de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière en
À l'arrière-plan, dôme et clocheton de la chapelle Saint-Louis
« J'ai tourné Cléo, dit Agnès Varda, pour prouver à Beauregard (le producteur) que je pouvais faire un film de moins de 50 millions d'anciens francs »[6] (500 000 nouveaux francs). En 1962, le coût moyen d'un film français était de 2,37 millions de francs, alors qu'en 1969 il était de 2,58 millions de francs[7].
Restauration
[modifier | modifier le code]En 2012, 50 ans après sa sortie, le film est restauré : numérisation 2K (formats DCP et 35 mm) par les Archives françaises du film/CNC, les laboratoires Digimage et Elude pour le son[8]. Agnès Varda en a supervisé l'étalonnage en précisant « conformément aux désirs et aux choix de Jean Rabier, chef opérateur, et de moi-même »[9].
Accueil
[modifier | modifier le code]- Jean-Yves Bloch[10] : « Intégrant les apports du « cinéma-vérité », mais ayant d’ores et déjà conscience de ses limites, Agnès Varda a bâti une œuvre qui, par ses méthodes de tournage et sa construction, résout avec le plus grand art l’une des interrogations brûlantes du cinéma de son époque. […] Par cet état de synthèse entre objectivisme et subjectivisme déjà précédemment recherché par l’auteur dans La Pointe courte et dans L'Opéra-Mouffe, la cinéaste nous livre, en 1962, un film qui conserve aujourd’hui toute sa force. »
- Télérama[Note 11] :
— Marine Landrot : « Avec intelligence, Agnès Varda canalise les battements d'ailes de son papillon angoissé par la mort. Pariant sur l'infini des miroirs et des arrêts sur image, elle lui offre des secondes d'éternité, tout en orchestrant violemment la vie autour d'elle et sans elle. La cinéaste regarde Paris tendrement et sauvagement : elle ausculte la capitale, lui fait ouvrir grand la bouche pour montrer ses mangeurs de grenouilles, ses parcs, ses autobus à plate-forme, ses potaches des Beaux-Arts, ses passants curieux. « Tant que je suis vivante, je suis belle », semble crier la ville, inversant avec insolence l'hymne de survie de Cléo. Un film fragile et léger, qui cherche à aider les hommes à supporter leur aveuglante condition de mortels. »
— Louis Guichard : « Cléo attend confirmation d'un diagnostic médical des plus angoissants. La mort plane sur les deux heures à tuer avant le rendez-vous à l'hôpital parisien de la Salpêtrière. [...] Elle [Agnès Varda] filme d'abord un compte à rebours. Elle explore la dictature banale et fantastique des minutes, marquée en surimpression, ou bien sur les horloges et les montres, partout. Et, miracle, la rigueur du style, la contrainte du chronomètre et la possibilité du pire libèrent le personnage : on croirait assister à l'invention de l'héroïne moderne. La jolie chanteuse yéyé (métier de Cléo) égocentrée et narcissique des premières scènes cède peu à peu la place à une autre femme, non plus objet mais sujet, qui regarde, qui écoute, qui se laisse enfin atteindre par les autres. C'est l'histoire inoubliable d'une transfiguration. » - AllMovie [11] : « Le film propose le méticuleux dossier de la capacité d’une femme à observer, rêver, et sentir. En temps quasi réel, nous suivons la chanteuse pop Cléo (Corinne Marchand) qui attend le verdict de son médecin après la recherche d'un possible cas de cancer ; bien que le sujet soit déchirant, l'efficace direction de Varda empêche le film de devenir pathétique. Au cinéma de la Nouvelle Vague, elle intègre toutes les techniques qui lui conviennent : une bande sonore ondoyante qui capte les conversations de personnages secondaires ; des prises de vue subjectives ; des titres qui découpent le film en chapitres ; et des bribes de scènes de rue de style documentaire. Au lieu d’encombrer le film, les parements de Varda sont d'une brièveté qualité existentielle qui souligne l'attente des résultats imminents par Cléo sans banaliser sa situation. Marchand aide considérablement la réalisatrice : son interprétation intuitive évoque l'intelligence d'une Marilyn Monroe affligée d'un malaise spirituel. »
Distinctions
[modifier | modifier le code]- Œuvre classée dans les « 1001 films à voir avant de mourir ».
- Classé 16e dans « Le top 100 des plus beaux films français » des Inrocks[12].
Récompenses
[modifier | modifier le code]- Prix Méliès 1962
- Prix FIPRESCI 1963
Nomination et sélections
[modifier | modifier le code]- Festival de Cannes 1962 : sélection officielle, en compétition pour la Palme d'or
- Mostra de Venise 1962 : section d'information
- Festival de Cannes 2012 : sélection officielle, section Cannes Classics (anniversaire des 50 ans du film, image et son restaurés[9])
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Exactement ce que l'on voit dans le film durant 90 minutes, comme l'écrit Agnès Varda dans l'ouvrage Varda par Agnès, section Peinture pour Paris (page 48, Éditions Cahiers du Cinéma, 2005) : « Un film minimal dans un temps continu. J'y ai ajouté un trajet réel qui peut s'inscrire sur une vraie carte du centre de Paris. […] Chanteuse déambulant dans Paris, affolée par sa peur du cancer, souvent accompagnée par sa gouvernante « fataliste ». […] Tout ce que je sentais de la tension intérieure de cette femme douce pendant les quatre-vingt-dix minutes du film (de 17 h à 18 h 30). »
- Raymond Cauchetier, photographe de plateau et cadreur, interprète exceptionnellement, dans ce film, le rôle de « Raoul, le projectionniste. »
- Jean-Luc Godard, « le fiancé du pont Macdonald », sans ses lunettes noires, pour qu'on voie « les beaux yeux à la Buster Keaton de Godard », dixit Agnès Varda, exprimant, dans différents médias, sa fierté de les avoir dévoilés, notamment dans le double DVD Cléo Daguerréotypes (2005, voir section « Vidéographie ») ou, comme c'est annoté, dans le catalogue de l'exposition Viva Varda ! à la Cinémathèque française (2023).
- Ce titre a été un succès populaire et a notamment été repris par Michèle Arnaud en 1963 : son 45 tours sur Encyclopédisque.fr.
Youn Sun Nah en donne une reprise dans l'album Immersion (site officiel) en 2019.
Extrait :
Toutes portes ouvertes,
En plein courants d’air,
Je suis une maison vide
Sans toi, sans toi… - Titre complet : La Belle Putain.
- Dans le bonus "Souvenirs et Anectodes" de l'édition DVD Cléo de 5 à 7 Daguerréotypes (Ciné-Tamaris, 2005) puis dans sa réédition dans le DVD Cléo de 5 à 7 d'Arte Éditions (2012), on voit durant le tournage des scènes dans le loft de Cléo une copie de cette peinture punaisaie sur un pilier. Agnès Varda explique que « Pour moi, ça a été une inspiration, une autre façon de représenter ce que je voulais raconter. Alors j'avais des reproductions, des cartes postales, évidemment… […] De temps en temps, j'en punaisais une par-ci, par-là. Une toute petite image à regarder, mais pour moi une très grande image mentale au centre de mon projet ». Cette peinture a également inspiré Corinne Marchand qui lui répond : « J'ai très bien compris, à travers cette image, ce que tu voulais faire. En plus de ça, comme nous avons tourné dans l'ordre chronologique de l'histoire, à la fin du film, moi j'étais épuisée par cette idée [en fin du tournage, elle avait maigri de sept kilos]. »
- Marin Karmitz : « Je me souviens d’avoir trouvé cet atelier (et j’étais fou de joie parce que j’avais beaucoup, beaucoup cherché) dans ce quartier magnifique, c’était dans le 10e. »
- Agnès Varda : « L'immeuble a été très longtemps le domaine des squatters jusqu'à ce qu'on les oblige à partir. »
- La tour Montparnasse n'avait pas encore été construite à l'époque du tournage.
- Comme on peut le constater sur la photo de 1897, Agnès Varda note que « D'autres cartes postales anciennes indiquent que la cascade avait plus d'eau autrefois. »
- Extrait des critiques de Marine Landrot (1993) et de Louis Guichard (2016).
Références
[modifier | modifier le code]- « Souvenirs et anecdotes » du tournage par Agnès Varda, un bonus de l'édition collector 2 DVD Cléo de 5 à 7/Daguerréotypes, voir section « Vidéographie ».
- Le 45 tours sur Encyclopédisque.fr
- Extrait du chapitre « peinture peur paris », page 48 de Varda par Agnès, éditions Cahiers du cinéma (1994) (ISBN 286642-145-0).
- Numéro de « L'été indien 1987 » (no 20) : Agnès Varda, section Agnès Varda et la réalité (page 16), Éditions Apec (Association des professeurs pour la promotion de l'éducation cinématographique), Bruxelles.
- Varda 1962.
- Cahiers du cinéma no 165, Les Éditions de l'Étoile, 1965, p. 48.
- Chiffres cités par La Saison cinématographique 1970, no 241-242 d'Image et Son.
- Site officiel de Monal Group
- Source : dossier de presse Festival de Cannes 2012.
- Extrait du chapitre Le Violon et le Métronome de l'essai : Études cinématographiques no 179–186 : Agnès Varda, Paris, Lettres Modernes Minard, , 212 p. (ISBN 2-256-90894-1)
- Extrait de la critique de Michael Hastings.
- Le top 100 des Inrocks publié le .
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Travaux universitaires
[modifier | modifier le code]- Bernard Bastide, sous la direction de Michel Marie, Genèse et réception de “Cléo de 5 à 7” d'Agnès Varda. Thèse de doctorat en Études cinématographiques et audiovisuelles, université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, 2006, 387 p.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Agnès Varda, Cléo de 5 à 7 (scénario), Paris, Éditions Gallimard, coll. « Blanche », , 116 p.
- Jean d'Yvoire, Cléo de 5 à 7, Téléciné no 105, Paris, Fédération des Loisirs et Culture Cinématographique (FLECC), juin- (ISSN 0049-3287).
- Agnès Varda et Bernard Bastide (pour l'établissement de la filmographie), Varda par Agnès, Paris, Cahiers du cinéma, 1994 (réédition en 2023), 288 p. (ISBN 978-2-86642-145-8, BNF 35688678).
- Steven Ungar, Cléo de 5 à 7 d'Agnès Varda, L'Arche, 2013 (Une leçon de cinéma).
- Bernard Bastide, Cléo de 5 à 7 : un film d'Agnès Varda, CNC / Capricci, 2019 (Lycéens et apprentis au cinéma ; 169).
- Bernard Bastide, Cléo de 5 à 7, Agnès Varda, CNC / Canopé éditions, 2019 (coll. Maîtriser).
- Judith Erthel, Agnès Varda, Cléo de 5 à 7, Atlande, 2020 (Clefs bac cinéma).
Conférences
[modifier | modifier le code]- Forum des images : Cléo de 5 à 7 analysé par Philippe Piazzo, vidéo du 24 octobre 2007
- Cinémathèque française : Cléo de 5 à 7 par Frédéric Bonnaud, vidéo du 15 octobre 2021
Vidéographie
[modifier | modifier le code]- Cléo de 5 à 7 et Daguerréotypes : 2 films d'Agnès Varda, Paramount Home Entertainment France/Ciné-Tamaris, 2005, 2 DVD PAL Zone 2 (EAN 3333973141072) : édition collector avec bonus : Les Dites cariatides L'Opéra-Mouffe Le Lion volatil 1 livret illustré 16 pages 1 dépliant de dessins de Sempé Je me souviens de Cléo (BNF 40110713).
- (en) 4 by Agnès Varda : La Pointe courte, Cléo from 5 to 7, Le Bonheur, Vagabond (Sans toit ni loi), The Criterion Collection, 2008, 4 DVD NTSC Zone 1 Dolby [présentation en ligne] : VF sous-titres en anglais.
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ciné-Tamaris, site officiel Jacques Demy-Agnès Varda
- Cléo de 5 à 7 d’Agnès Varda, sur le site de la Revue Esprit
- Film français sorti en 1962
- Comédie dramatique française
- Film réalisé par Agnès Varda
- Film avec une musique composée par Michel Legrand
- Film produit par Georges de Beauregard
- Film se déroulant dans les années 1960
- Film se déroulant à Paris
- Film tourné dans le 1er arrondissement de Paris
- Film tourné dans le 6e arrondissement de Paris
- Film tourné dans le 10e arrondissement de Paris
- Film tourné dans le 13e arrondissement de Paris
- Film tourné dans le 14e arrondissement de Paris
- Film tourné dans le 15e arrondissement de Paris
- Film tourné dans le 19e arrondissement de Paris
- Film en temps réel
- Film sur le cancer
- Film de la Nouvelle Vague
- Film en noir et blanc partiellement en couleur