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Cjdns

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Cjdns
Description de l'image Cjdns logo.png.

Informations
Développé par Caleb James DeLisle et la communauté
Première version [1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Dernière version 22 ()[2]Voir et modifier les données sur Wikidata
Dépôt github.com/cjdelisle/cjdnsVoir et modifier les données sur Wikidata
Écrit en C, Node.js et RustVoir et modifier les données sur Wikidata
Système d'exploitation Linux, FreeBSD, NetBSD, macOS et Microsoft WindowsVoir et modifier les données sur Wikidata
Environnement X86, x86-64, architecture MIPS, architecture ARM et PowerPCVoir et modifier les données sur Wikidata
Langues AnglaisVoir et modifier les données sur Wikidata
Type Protocole de communicationVoir et modifier les données sur Wikidata
Licence Licence publique générale GNU version 3Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web github.com/cjdelisle/cjdnsVoir et modifier les données sur Wikidata

Cjdns est un VPN IPv6 chiffré (cryptographie asymétrique) utilisant un maillage en réseau, et donc décentralisé et multiplateforme (FreeBSD, Linux, NetBSD, MacOS, Windows[3]), basé sur un logiciel libre sous licence GPL V3. Contrairement à des réseaux VPN de type TOR, I2P ou FreeNet, l'anonymisation totale n'est pas la priorité[4]. Le but est davantage de créer un réseau de confiance[5].

Ce logiciel est développé à l'origine par le chercheur informatique, Caleb James DeLisle[6]. Ses initiales sont les trois premières lettres du nom du service réseau.

Caractéristiques

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Réseaux déployés

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Le réseau Meshnet de Seattle utilisant Hyperboria, ainsi que le réseau Guifi.net, couvrant 21 000 bornes Wi-Fi en Catalogne sont basés sur Cjdns[6].

Un réseau similaire appelé Santa Cruz Meshnet, est déployé à Santa Cruz[3].

Des projets comparables sont menés à Toronto, en Virginie (États-Unis), en Allemagne, en France, dans la ville de New York et à San Diego[8].

Applications de couche haute

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La plupart des applications compatibles avec le protocole Internet TCP/IP fonctionneront sur un réseau Cjdns, comme la visioconférence, par exemple avec Linphone.

D'autres applications spécifiquement développées pour Cjdns existent, comme Cjdradio[9].

Notes et références

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  1. « https://github.com/cjdelisle/cjdns/releases/tag/cjdns-0.1 »
  2. « Release 22 », (consulté le )
  3. a et b (en) « The CJDNS installer », sur SantaCruz Mesh
  4. « Darknets-Solving the Internet Security Problem »
  5. AgentSteel, « Journal cjdns / hyperboria : réseau décentralisé et sécurisé », sur LinuxFR,
  6. a et b (en) Hal Hodson, « Meshnet activists rebuilding the internet from scratch : Worried about the NSA snooping on your email? Maybe you need to start creating your own personal internet », sur New Scientist,
  7. a b c et d (en) Stuart D. Gathman, « Decentralize common Fedora apps with Cjdns », sur Fedora Magazine,
  8. (en) « Meshlocals in the world, en page d'accueil du site d'un réseau de ce type », sur Janmesh.net
  9. (en) « Cjdradio », sur Github,

Bibliographie

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  • (ru) М.А.Дружинин, « Характеристики протоколов маршрутизации mesh сетей - Воронежский институт высоких технологий », Моделирование, оптим изация и информационные технологии, Сетевое издание, vol. 9, no 2,‎ (ISSN 2310-6018, lire en ligne) CDU : 681.3

Liens externes

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