Aller au contenu

Campénéac

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Campénéac
Campénéac
Blason de Campénéac
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Ploërmel Communauté
Maire
Mandat
Hania Renaudie
2020-2026
Code postal 56800
Code commune 56032
Démographie
Gentilé Campénéacois, Campénéacoise
Population
municipale
1 891 hab. (2021 en évolution de −2,73 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Population
agglomération
14 900 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 57′ 30″ nord, 2° 17′ 36″ ouest
Altitude 80 m
Min. 46 m
Max. 216 m
Superficie 60,57 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Ploërmel
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ploërmel
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Campénéac
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Campénéac
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Voir sur la carte topographique du Morbihan
Campénéac
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
Voir sur la carte administrative de Bretagne (région administrative)
Campénéac
Liens
Site web Site officiel de la commune de Campénéac

Campénéac [kɑ̃peneak] est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Au cœur du Massif armoricain, Campénéac se situe à 9 km au nord-est de Ploërmel, approximativement entre Vannes et Rennes, dans le nord-est du Morbihan, non loin de la forêt de Paimpont, parfois identifiée comme la mythique forêt de Brocéliande.

Cadre géologique

[modifier | modifier le code]
Carte géologique du Massif armoricain.
Dalles de Néant.

La région de Campénéac est localisée dans le domaine centre armoricain[1], dans la partie médiane du Massif armoricain qui est un socle ouest-européen de faible altitude (maximum 400 m), caractérisé par des surfaces d'aplanissement et qui résulte d'une histoire complexe composée de trois orogenèses : icartienne (Paléoprotérozoïque,ca. 2,2-1,8 Ga), cadomienne (Édiacarien 750-540 Ma)[2] et surtout varisque (ou hercynienne, au Dévonien-Carbonifère, 420-300 Ma)[3]. La structure du Massif armoricain résulte de la superposition de l'héritage[4] de ces deux derniers orogènes[5].

Campénéac est situé dans un vaste bassin sédimentaire constitué de sédiments détritiques essentiellement silto-gréseux issus de l'érosion de la chaîne cadomienne et accumulés sur plus de 15 000 m d'épaisseur, sur lesquels repose en discordance des formations paléozoïques sédimentaires[6]. On peut observer à Campénéac, au départ de la route d’Augan, au pied d’un mur, un affleurement de roches briovériennes à faciès « Dalles de Néant » qui se présente sous forme d'alternances de bancs millimétriques d'argilites grises homogènes présentant un débit caractéristique en « baïonnette » ou « prismatique » dû au plan de schistosité, avec des bancs de siltites fines rubanées et des bancs de grès moyens à grossiers, souvent chenalisants et plurimétriques[7]. Les lamines visibles « évoquent des dépôts sédimentaires « rythmiques » analogues aux dépôts de turbidite, tels qu’on les voit aujourd’hui, en milieu marin, généralement au-delà du plateau continental, en aval de débouchés de fleuves à fort débit[8], remaniant des alluvions[9] ».

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[11]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 789 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Ploërmel à 8 km à vol d'oiseau[13], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 767,2 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Au , Campénéac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle est située hors unité urbaine[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ploërmel, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[18]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 1,3 % 79
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 0,1 % 4
Terres arables hors périmètres d'irrigation 29,7 % 1807
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 13,2 % 805
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 10,1 % 618
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 2,1 % 130
Forêts de feuillus 14,3 % 871
Forêts de conifères 1,3 % 77
Forêts mélangées 7,7 % 471
Pelouses et pâturages naturels 5,1 % 313
Landes et broussailles 13,1 % 800
Forêt et végétation arbustive en mutation 1,8 % 114
Source : Corine Land Cover[21]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Kenpeniac en l'an 840[22], Kempeniac en 844, Campaniacum au XIe siècle, Quampeneac en 1398, Quempeneac en 1420, Campeneac en 1467, Guinpeneac en 1630[23].

Campénéac est issu d'une *Campaniacum, type toponymique formé avec le suffixe d'origine gauloise -acum.

Campenya en gallo[23].

Campénéac est un fundus gallo-romain et peut à ce titre être considérée comme une paroisse primitive. Elle est citée comme paroisse dès le IXe siècle[24]. À signaler aussi que le lieu-dit Bernéan ou Brenéen est connu sous les noms de Lis-Broniwin dès l'an 844, date à laquelle il fait l'objet d'une donation du machtiern Riwalt[25]. La paroisse de Campénéac dépendait autrefois du diocèse de Saint-Malo. Campénéac est connue à la cour de Louis XIV, grâce à la chanson des Gars de Campénéac composée en 1585.

Campénéac est le lieu de naissance d'Armelle Nicolas (1606-1671), dite la bonne Armelle, servante dont la piété, la charité et les extases mystiques suscitèrent un culte qui perdura en Bretagne jusqu'au début du XXe siècle au moins.

Campénéac est érigée en commune en 1790 et en chef-lieu de canton. En 1802, Campénéac passe dans l'évêché de Vannes.

En 1854 la commune de Campénéac, ainsi que de nombreuses communes des alentours, est ravagée par une épidémie de dysenterie[26].

On y parlait le gallo[Quand ?], une langue romane (à la différence du breton qui est une langue celtique), parlée en Haute-Bretagne.

En 1907 le journal L'Ouest-Éclair déplore l'arriération des pratiques agricoles dans la région : « Que de landes encore, du côté de Campénéac par exemple, et comme les paysans sont routiniers par là. À Malestroit c'est pis encore ; de Saint-Marcel au Roc-Saint-André, par Sérent, de Réminiac à Monterrein, par Caro, comptez les terrains incultes, à peine plantés de maigres sapins. (..) Pourquoi alors ces progrès si lents qui paraissent nuls ? Pourquoi le sol de Sérent ou de Ménéac ne produiraient-ils pas aussi bien que celui de Bréhan ? Ces terrains sont trop maigres, dira-t-on. (..) La faute n'est pas à la terre, elle n'est pas plus au manque de bras, elle est au manque d'initiative, au manque d'influences compétentes »[27].

En août 2022, un incendie se déclare à Campénéac, dans la forêt de Brocéliande[28]. Cet incendie d'origine criminelle[29] détruit 400ha de végétation, notamment au niveau du site mégalithique du tombeau du géant[30],[31].

Blasonnement

[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Campénéac se blasonnent ainsi :

De gueules à trois chevrons d’hermines. (Armes de la famille de Trécesson).

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1969 1995 Joseph Picard DVD  
1995 2008 Jean Pelard    
2008 2014 Christian Adelys    
2014 23 mai 2020 Louis-Marie Martin    
23 mai 2020 En cours Hania Renaudie[32] LR Professeure d'université
Conseillère départementale de Ploërmel (2021 → )
Vice-présidente de Ploërmel Communauté (2020 → )

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

En 2021, la commune comptait 1 891 habitants[Note 2], en évolution de −2,73 % par rapport à 2015 (Morbihan : 3,21 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1502 1662 0542 2072 1892 1572 0642 1072 225
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3142 3032 2792 0302 0702 1092 1772 2402 249
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1342 1162 0711 6461 6381 6491 6431 4581 496
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 4461 3991 3561 3051 4061 4641 6591 7141 917
2018 2021 - - - - - - -
1 8811 891-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Armelle Nicolas (1606-1671), dite la bonne Armelle. Le crâne de la bonne Armelle est conservé à titre de relique à la sacristie de l'église de Campénéac (le reste du corps est conservé à l'évêché de Vannes).
  • Nicolas Bourelle de Sivry (1756-1808), propriétaire du château de Trécesson, agent payeur des dépenses de guerres, administrateur de la Trésorerie des troupes de la République. Payeur général des guerres aux armées républicaines du département d'Ille-et-Vilaine en 1797.
  • Alphonse Joseph Constant Bourelle de Sivry (1799-1862), né à Milan lorsque son père était trésorier payeur de l'armée d'Italie.

Broceliande Campénéac

[modifier | modifier le code]

La Brocéliande Campénéac est le club de foot de la commune fondé en 1949. Il se compose de deux équipes senior, une évoluant en District 2 et l'autre en District 4. Avec plus de 100 licenciés, la Brocéliande dispose d'un stade doté de deux terrains et des vestiaires récents. L'école de football est en entente avec les volontaires d'Augan et se développe d'année en année. Cette école possède des équipes de différents niveaux d'âge. Le club dispose d'un site internet[39].

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Carte des différentes unités litho-structurales de l'ouest du Bassin de Paris et du Massif armoricain, tiré de Michel Ballèvre, « Structure et évolution du Massif armoricain », Géochronique, 105, mars 2008, p. 29-31
  2. (en) [vidéo] « Visionner : Plate Tectonics 600Ma to Today by CR Scotese », sur YouTube.
  3. (en) [vidéo] « Visionner : Plate Tectonics, 540Ma - Modern World - Scotese Animation », sur YouTube.
  4. L'orogenèse cadomienne est marquée au nord du massif par des directions N70 (groupes de direction N 60° à N 85° et quelques autres issus de failles associées). L'orogenèse varisque est la principale responsable de l'architecture de la majeure partie du massif, notamment au travers du Cisaillement Nord-Armoricain et des deux branches du Cisaillement Sud Armoricain de direction N110 (séparant les quatre grands domaines armoricains (Nord-armoricain, Centre-armoricain, Sud-armoricain et le Léon), des groupes de failles N 20° à N 40 °, et des directions N140 à N160, héritées du pré-rifting atlantique avorté du Permo-Trias. Ces groupes de failles façonnent les directions du tracé de nombreux plateaux et côtes. Cf Paul Bessin, « Évolution géomorphologique du Massif armoricain depuis 200 MA : approche Terre-Mer », thèse Sciences de la Terre. Université Rennes 1, 2014, p. 98 ; Jacques Garreau, « Remarques sur la tectonique post-hercynienne en Bretagne occidentale », Norois, no 94,‎ , p. 179-192 (lire en ligne).
  5. Michel Ballevre, Valérie Bosse, Marie-Pierre Dabard, Céline Ducassou, Serge Fourcade, et al, « Histoire Géologique du massif Armoricain : Actualité de la recherche », Bulletin de la Société Géologique et Minéralogique de Bretagne, nos 10-11,‎ , p. 5-96.
  6. Yann Bouëssel Du Bourg, La Bretagne, Éditions d'Organisation, , p. 23.
  7. [PDF] E. Thomas, N. Brault, A. Carn [et al.], Notice explicative de la feuille Ploërmel à 1/50 000, BRGM, 2004, p. 25
  8. Sédimentation briovérienne, tiré de Éric Thomas, Jean-Marie Outin, Jean-Marie Rivière et al., « Notice explicative de la feuille 316 - Montfort-sur-Meu », BRGM, 1999
  9. « Paysages et Géologie en Brocéliande », sur broceliande.brecilien.org (consulté le ).
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  12. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  13. « Orthodromie entre Campénéac et Ploërmel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Ploërmel » (commune de Ploërmel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Station Météo-France « Ploërmel » (commune de Ploërmel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  17. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Campénéac ».
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Ploërmel », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  21. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  22. Ernest Nègre, no 7535[réf. incomplète].
  23. a et b Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620), p. 37
  24. Cartulaire de l'abbaye de Redon, Charte CVII
  25. Chédeville André et Guillotel Hubert, La Bretagne des saints et des rois : Ve – Xe siècle, Rennes, "Ouest-France, , 423 p. (ISBN 2-85882-613-7 et 978-2-85882-613-1, OCLC 417649656), p. 232Ve – Xe siècle&rft.aulast=Chédeville André&rft.au=Guillotel Hubert&rft.date=1984&rft.pages=232&rft.tpages=423&rft.isbn=2-85882-613-7&rft_id=info:oclcnum/417649656&rfr_id=info:sid/fr.wikipedia.org:Campénéac">
  26. Dr. Alfred Fouquet, Compte-rendu des épidémies, des épizooties et des travaux des conseils d'hygiène du Morbihan..., Vannes, Imp. De J.-M. Galles, (lire en ligne), p. 14.
  27. « Ploërmel. L'agriculture », L'Ouest-Éclair,‎ , p. 4 (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Incendie en forêt de Brocéliande : ce que l’on sait », sur Le Telegramme, (consulté le ).
  29. « Un adolescent de 12 ans reconnaît avoir allumé des feux près de la forêt de Brocéliande », Le HuffPost,‎ (lire en ligne, consulté le )
  30. Marie-Eve Lacasse, « Brocéliande: l’incendie fixé, le mythique site du Tombeau du Géant détruit », sur Libération (consulté le ).
  31. « Incendie en forêt de Brocéliande : la mairie de Campénéac réfléchit à l'après », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le ).
  32. « Campénéac. Hania Renaudie élue maire », sur Les Infos du pays gallo, (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Manoir de la Bourdelais », notice no IA00010313, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  38. « Manoir de Glévily », notice no IA00010303, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. Site du club de football de Campénéac

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Histoire de Campénéac, Egv-Éditions, juillet 2006, (ISBN 2-84766-268-5)
  • Dictionnaire généalogiques des habitants de Campénéac, Ed. généalogiques de la Voûte,2007, 800 p. (ISBN 2-84766-374-6)
  • Fanny Cheval, La Mariée de Trécesson - Une Légende de Campénéac, Beluga (coll. Pays de Légendes), 2016, 40 p.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]