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Brombos

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Brombos
Brombos
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie Verte
Maire
Mandat
Étienne Caux
2020-2026
Code postal 60210
Code commune 60109
Démographie
Gentilé Brombosiens, Brombosiennes
Population
municipale
251 hab. (2021 en évolution de −7,04 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 38′ 50″ nord, 1° 53′ 17″ est
Altitude Min. 175 m
Max. 207 m
Superficie 6,9 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Brombos
Géolocalisation sur la carte : France
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Brombos
Géolocalisation sur la carte : Oise
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Brombos
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Brombos

Brombos est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie

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La rue Verte.

Localisation

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Brombois est un village rural picard verdoyant du Beauvaisis situé à 5 km à l'ouest de Grandvilliers, à 29 km au nord-ouest de Beauvais, 41 km au sud-ouest d'Amiens et 61 km au nord-est de Rouen.

Il est traversé du nord au sud par une petite route dont le caractère rectiligne rappelle qu'elle fut une voie romaine, et, d'est en ouest, par la RD 96, qui relie le village de Feuquières à Thieuloy-Saint-Antoine.

Sa superficie est de 690 ha et son altitude varie de 173 m à 206 m.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Brombos
Sarcus Grandvilliers
Feuquières Brombos Briot
Hautbos Saint-Maur

Hydrographie

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La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins hydrographiques Artois-Picardie et Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

En 1840, la nappe phréatique se trouvait à dix mètres environ du sol[1].

En 2002, l'eau potable était fournie par un captage situé au cœur du village, mais qui dépassait fortement le seuil toléré est de 0,1 µg et le seuil d'alerte à 0,40 µg pour le désethyl-atrazine, pesticide produit de la dégradation de l'atrazine, utilisée notamment pour désherber le maïs[2].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Brombos[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 841 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records SAINT-ARNOULT (60) - alt : 206m, lat : 49°37'23"N, lon : 1°47'26"E
Records établis sur la période du 01-01-2001 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,2 2,7 4,5 7,4 10,5 12,3 12,4 10 7,9 4,5 1,7 6,3
Température moyenne (°C) 3,5 4 6,5 9,6 12,4 15,8 17,9 17,7 14,9 11,4 7,1 4,1 10,4
Température maximale moyenne (°C) 6 6,9 10,3 14,6 17,5 21,2 23,4 23 19,8 15 9,8 6,5 14,5
Record de froid (°C)
date du record
−13
18.01.13
−12,6
12.02.12
−11,5
04.03.05
−4,5
07.04.08
−0,8
06.05.19
2,5
14.06.05
5
31.07.07
4,9
21.08.14
2,4
30.09.18
−3,8
29.10.03
−5,4
30.11.16
−12,1
26.12.10
−13
2013
Record de chaleur (°C)
date du record
14,1
09.01.15
17,9
27.02.19
23,2
31.03.21
25,7
20.04.18
29,7
27.05.05
34,6
21.06.17
40,6
25.07.19
37
09.08.20
33,1
09.09.23
28,5
01.10.11
18,5
08.11.15
16,6
30.12.22
40,6
2019
Précipitations (mm) 75,3 63,3 65,8 45,8 68,1 53,2 58,7 70,2 50,8 70,4 78,5 97,1 797,2
Source : « Fiche 60566001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Brombos est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,3 %), prairies (17 %), zones urbanisées (4,4 %), forêts (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (4 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 105, alors qu'il était de 105 en 2013 et de 96 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 88,5 % étaient des résidences principales, 2,9 % des résidences secondaires et 8,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Brombos en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,9 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,3 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Brombos en 2018.
Typologie Brombos[I 2] Oise[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 88,5 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,9 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 8,6 7,1 8,2

Voies de communication et transports

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La commune est traversée par la ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers, qui assure des liaisons TER Hauts-de-France entre les gares de Beauvais et du Tréport-Mers.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6103, 6104, 6113 et 6151 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Brunus boscus[14] ou Brunusboscus en 1148[15] ; Brunbosc (1148)[14] ; Brunbos (1181) ; in granchia de Bruno bosco (XIIe) ; Brumbos (1239) ; Brunbos per saltus de Pinchonlieu (1250) ; Brunbus boscus (1276) ; prope domum de Brumbes (1322) ; Bronbos (1404) ; la grange de brunbois (1454) ; brunbos[15] (1454)[14] ; Brunboscus[15] (1510)[14] ; Brombos[15] (1520)[14] ; Bombos[15] (1520)[14] ; Brunbost[15] (1570[14]) ; Brombeau[15] (1570)[14] ; Brumbau (1667)[14].

De l'oïl brun et de bosc « bois »[16].

Des monnaies d'or de l'époque gauloise ont été retrouvées à Brombos à la fin du XIXe siècle[17].

Une ancienne voie romaine allant du hameau de la Chaussée (au nord-est de Feuquières) à Saint-Maur passe par la commune, reliant Beauvais à la mer[15].

La seigneurie de Brombos appartenait au XIIe siècle à l'abbaye de Beaupré[15] puis aux seigneurs de Sarcus[Note 3].

En 1613, un moulin à vent appartenant à l'abbaye de Beaupré était loué par le meunier Vincent Mathon[18].

L'ancienne gare de Brombos-Sarcus en 2019.

En 1709, les habitants obtinrent en 1709 l'érection de leur chapelle en vicariat dépendant de Briot, sous l'invocation de saint Hubert[15].

Le village a été démembré de celui de la paroisse de Briot[15].

Au débit du XIXe siècle, les habitants vivaient de l'agriculture et certains confectionnaient des bas de laine[15], et on notait l'existence de muches, anciens souterrains de défense des habitants lors des temps troublés, près de l'église[19]. Avant 1900, Brombos comptait deux moulins à vent et une bonneterie.

Vers 1900, il existait un boulanger, un bourrelier, deux cafés, des épiceries, un cordonnier et un maréchal. En 1934, les mêmes commerces subsistaient, le bourrelier en moins et un marchand de cycles en plus.

Durant la Seconde Guerre mondiale, l'occupant allemand aménagea des pistes d'aviations, qui, détruites par un bombardement allié en qui épargna les habitants, ne fut jamais utilisé[20].

La gare de Brombos-Sarcus, située à mi-distance des deux villages, mais sur leterritoire de Brombos, est fermée de longue date et transformée en habitation.

Politique et administration

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La communauté de communes de la Picardie verte dans le département de l'Oise

Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Elle fait partie depuis 1793 du canton de Grandvilliers[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton est modifié, passant de 23 à 101 communes.

Intercommunalité

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La commune fait partie de la communauté de communes de la Picardie verte créée le , et qui succède notamment au SIVOM de Grandvilliers (23 communes, créé le ).

Liste des maires

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Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1962   Eugène Tack    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours
(au 2 décembre 2020)
Étienne Caux   Technicien
Réélu pour le mandat 2020-2026[23],[24]

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 251 habitants[Note 4], en évolution de −7,04 % par rapport à 2015 (Oise : 0,89 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
433370442432424423388366361
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
323311304261234227226211204
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
192184192215190180161196198
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
181194193183188218236239265
2017 2021 - - - - - - -
256251-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 123 hommes pour 132 femmes, soit un taux de 51,76 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou
0,0 
8,1 
75-89 ans
7,5 
14,6 
60-74 ans
18,8 
21,1 
45-59 ans
18,0 
17,9 
30-44 ans
18,0 
14,6 
15-29 ans
15,0 
23,6 
0-14 ans
22,6 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Enseignement

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La mairie-école.

Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique administré par un syndicat scolaire qui regroupe Briot, Brombos, Halloy et Thieuloy-Saint-Antoine.

Le village ne compte en 2019 qu'un seul commerce, une boulangerie.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Calvaire fleuri, rue de la Gare.
  • Église Saint-Hubert des XVIIe et XVIIIe siècles, dont la nef, plus élevée que le chœur plus ancien, date de 1751. Elle succède à la chapelle Saint-Hubert, mentionnée au XVIIe siècle dont elle a vraisemblablement conservé le chœur, et est élevée en brique, pierre de taille, moellon et silex.
Elle est constituée d'un chœur à chevet polygonal, flanqué d'une sacristie et d'une nef plus large. Une charpente de flèche traverse le voûtement et les deux versants du comble. Le faîte du choeur, s'amortit plus bas sur le pignon Est. L'ensemble est couvert en ardoise. Le chœur a été repeint au XIXe siècle. L'église contient un groupe sculpté du XVIe siècle, représentant la Trinité[30].
  • Les mares.
  • L'ancienne gare de Brombos-Sarcus, désaffectée et transformée en habitation.

Personnalités liées à la commune

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Pierre Brisse, curé réfractaire de Boran-sur-Oise, né le à Brombos, massacré à Paris après avoir été emprisonné à la prison des Carmes 1792, a été béatifié en 1926[31].

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Bibliographie

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  • Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Grandvilliers, arrondissement de Beauvais : Extrait de l'Annuaire de 1840, 115 p. (lire en ligne), p. 32-33.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le marquisat de Sarcus comprenait notamment en 1763 « les terres de Sarcus, de Feuquières et fiefs en dépendant, la châtellenie de Moliens, les terres et seigneuries de Pleuville, Broquiers, Handicourt, Hescamps, Frettemolle en partie, Elencourt, Saint-Clair, les fiers de Brombos, du Boquet », mentionné dans Abbé L. Meister, « Epigraphie du canton de Grandvilliers : Inscriptions antérieures au XIXe siècle (suite) », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, t. XIX,‎ , p. 371-389, et notamment 373 (lire en ligne, consulté le )XIXe siècle (suite)&rft.aulast=Meister&rft.aufirst=Abbé L.&rft.date=1904&rft.pages=371-389, et notamment 373&rfr_id=info:sid/fr.wikipedia.org:Brombos">.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Brombos » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Brombos ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Brombos » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Brombos - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Brombos - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Louis Graves, op. cit. en bibliographie, p. 4.
  2. N. R., « A Brombos, pas question de changer ses habitudes », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Brombos et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Brombos », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. a b c d e f g h et i Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 97.
  15. a b c d e f g h i j k et l Louis Graves, op. cit. en bibliographie, p. 32.
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes, formations dialectales, Genève, Droz, , p. 1204.
  17. Dr V. Leblond, « Note sur quelques monnaies gauloises trouvées au pays des Bellovaques », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, t. XVIII,‎ , p. 370-386 (lire en ligne, consulté le )Dr V. Leblond&rft.date=1901&rft.pages=370-386&rfr_id=info:sid/fr.wikipedia.org:Brombos">.
  18. Chanoine Meister, « Documents extraits des minutes de Me Anne Robert, notaire à Marseille-en-Beauvaisis (1597-1627) », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, t. XXVI,‎ , p. 277 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
  19. Emmanuel Woillez, Répertoire archéologique du département de l'Oise : rédigé sous les auspices de la Société académique d'archéologie, sciences et arts de ce département, Paris, Imprimerie impériale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 213 p. (lire en ligne), p. 49, lire en ligne sur Gallica.
  20. Le livre de la Picardie verte : l'émergence d'un territoire, 1997-2006, éd. Sync city international, p. 31.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. « Les maires de Brombos », sur francegenweb.org (consulté le ).
  23. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284,‎ , p. 5 (ISSN 1144-5092).
  24. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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