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Bréville-sur-Mer

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Bréville-sur-Mer
Bréville-sur-Mer
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Avranches
Intercommunalité Communauté de communes de Granville, Terre et Mer
Maire
Mandat
Jacques Boutouyrie
2022-2026
Code postal 50290
Code commune 50081
Démographie
Gentilé Brévillais
Population
municipale
775 hab. (2021 en évolution de −1,27 % par rapport à 2015)
Densité 113 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 52″ nord, 1° 33′ 24″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 69 m
Superficie 6,86 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Granville
(banlieue)
Aire d'attraction Granville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bréhal
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Bréville-sur-Mer
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Bréville-sur-Mer

Bréville-sur-Mer est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 775 habitants[Note 1].

La référence à la mer a été ajoutée en 1957. Bréville-sur-Mer a reçu le label de « Village Patrimoine du Pays de la Baie ».

Géographie

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique « Normandie (Cotentin, Orne) » et « Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée »0[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 955 mm, avec 13,7 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Longueville à 1 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Bréville-sur-Mer est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Granville[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant neuf communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Granville, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[11]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[14]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (58,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (33 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (23 %), zones agricoles hétérogènes (17,3 %), zones urbanisées (12,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6 %), terres arables (4,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous la forme Brevilla en 1056[17],[18].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural ». L'explication du premier élément Bré- par le nom de personne francique Bero est difficilement compatible avec les diverses formes anciennes toutes du type Breville, où l'on ne conserve aucune trace d'une métathèse du [r]. C'est sans doute la raison pour laquelle François de Beaurepaire considère la nature de l'élément Bré- comme obscure[19], d'autant plus que Bero est à l'origine des différents Berville de Normandie et d'ailleurs. Quant à Bréville (Charente), il est authentifié Berovilla par une forme du XIIIe siècle. Un anthroponyme norrois comme Breiðr ou a fortiori Breði conviendrait davantage, surtout que l'on dispose d'une forme non datée du cartulaire de Hambie, Brehevilla qui irait dans ce sens.

Le hameau des Delles, situé sur la hauteur, au nord-est de l'église, tirerait son nom du norois deild qui signifie « pièce de terre distribuée » et que l'on retrouve dans les cinq langues scandinaves modernes cf. islandais, féroien deild « division » et deila « diviser ».

Le gentilé est Brévillais.

En 1022, Richard II, duc de Normandie, octroya la baronnie de Saint-Pair à l'abbaye du Mont-Saint-Michel. La paroisse de Bréville faisait alors partie de cette vaste concession.

Un membre de la famille de Bréville participa à la conquête de l'Angleterre, en 1066[20], et un Jean de Bréville figure dans la liste des hommes du duc de Normandie pour la première croisade (1096-1099)[21].

On retrouve en 1154, le nom de Renaud de Bréville figurant sur la liste des vassaux devant rendre hommage à Robert de Thorigny, abbé du Mont-Saint-Michel.

En 1302, Guillaume de Bréville est en désaccord avec l'abbaye du Mont-Saint-Michel au sujet du droit de patronage (nomination du curé). Son descendant, Jehan de Bréville devient alors patronus ecclesiae de Brevilla avec ou sans le soutien de l'évêque de Coutances.

Puis, c'est la guerre de Cent Ans. Jehan de la Mare, en qualité de « seigneur temporel de Bréville », contresigne la copie de la concession sur le sable, la tangue et les marais côtiers aux habitants de Bréville et des paroisses voisines.

Au XVIe siècle, les de Bréville semblent disparaître et la seigneurie de Bréville passe entre les mains de Jean de Juvigny, seigneur de Saint-Nicolas-des-Bois (près de Brécey). Ses descendants en posséderont la sieurie pendant plus de 200 ans.

Au XVIIe siècle, Pierre de Juvigny outrepasse ses droits en décidant de s'approprier dix vergers de mielles et de marais. Mais de temps immémorial, les dunes, landes et marais de la baronnie de Saint-Pair appartiennent aux sieurs abbés du Mont-Saint-Michel. Qui plus est, en 1238, le frère Richard de l'Abbaye avait concédé le pâturage des marais aux riverains à perpétuité. Cette décision déclencha la colère des paysans brévillais amputés de leur droit de pâture pour leurs moutons et bestiaux. Fort heureusement, la justice du Roy, après un long procès, donna raison aux paysans.

En 1785, Jean-Julien Ganne, seigneur de Beaucoudray, achète la seigneurie de Bréville et son manoir qu'il revend aussitôt à Paul-Bernard de Mary de Longueville. En deux ans, les Brévillais connaîtront trois seigneurs successifs… pour bientôt n'en reconnaître aucun.

Tous ces seigneurs possédaient comme demeure le manoir de Bréville, situé à proximité du château du Vau Tertreux, sur les hauteurs de Bréville et dominant la mer.

Plus près de nous, Bréville fut, dans les années 1950, en bord de mer, champ de manœuvre pour les troupes cantonnées à la pointe du Roc de Granville, avec notamment son champ de tir utilisé par la troisième demi-brigade de chasseurs à pied, devenue 21e BCP (bataillon de chasseurs à pied) formant les jeunes chasseurs pour la guerre d'Algérie.

Politique et administration

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La mairie.
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1791… Julien Follain   Curé
         
…1794 1794… Gaud-François Lemarié de Prélambert    
1795 1798 Fraçois Lacourt    
1798 1800 Pierre Costard    
1800 1804 Gaud-François Lemarié de Preylambert    
1804 1805 Nicolas Saillard    
1805 1815 Gaud-Gilles Hugon    
1816 1817 Pierre Martin Louis Martin de Rainfray    
1817 1828 Pierre Martin Louis Martin de Bouillon    
1828 1835 Félix Marie Gaud Eudes de La Cocardière    
1835 1846 Adrien Du Mesnil-Adelée[22]    
1847 1848 Jacques F. Sauvage    
1848 1857 Adrien-Gustave du Mesnil-Adelée    
1857 1884[23] Émile-Jean Le Coupé[24]    
1884 1887 Marie Louvet    
1888 1896 Alphonse Lebrun    
1896 1904 Georges Le Mare   Magistrat
Conseiller général de Gavray (1901-1904)
Député de 1894 à 1898 et de 1902 à 1904
1904 1908 Adolphe Lenoir    
1909 1932 Albéric Lebrec    
1932 1935 Marcel-Édouard Peyre    
1936 1944 Emmanuel Levavasseur    
1945 1946 Louis Coippel    
1946 1963 Émile Richard    
1963 1969 André Lecoq    
1969 1975 Émilien Épain    
1975 1989 Bernard Hérard    
1989 2001 Claude Giacco    
mars 2001[25] 2008 Monique Regnault SE  
mars 2008[26] avril 2017[27] Rémy Levavasseur[28] SE Agriculteur en retraite
juin 2017[29] 2020 Annick Andrieux SE  
2020 septembre 2022[30] Stanislas Martin SE Cadre dans l'agroalimentaire, retraité
2022[31] En cours Jacques Boutouyrie SE  
Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel[21].

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[28].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

En 2021, la commune comptait 775 habitants[Note 5], en évolution de −1,27 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
422385434436390449446467440
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
413415418402411369369360362
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
343340337276303310302289340
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
285332480570530611766812803
2014 2019 2021 - - - - - -
788771775------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie et tourisme

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Bréville-sur-Mer est dénommée « commune touristique » depuis [36].

Lieux et monuments

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Au sein des dunes de Bréville se situe un champ de courses (six réunions par an) et un golf de réputation nationale. Dans les années 1950, les troupes en garnison au quartier du Roc, à Granville (21e bataillon de chasseurs à pied) s'entraînaient sur un champ de tir dans les dunes, dans le cadre de leur formation avant leur départ en Algérie.

Activité et manifestations

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Personnalités liées à la commune

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  • Saint Hélier dont le corps aurait été retrouvé sur le rivage et enterré à Bréville[20].

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 39.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 114.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Granville comprend une ville-centre et huit communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Bréville-sur-Mer et Longueville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Longueville » (commune de Longueville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Longueville » (commune de Longueville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Granville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bréville-sur-Mer ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Granville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  15. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 87.
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 930.
  19. François de Beaurepaire, op. cit.
  20. a et b Delattre, 2002, p. 39.
  21. a b c d et e Gautier 2014, p. 114.
  22. Annuaire du département de la Manche, 12e année 1840, p 224.
  23. Décédé en exercice le .
  24. Annuaire du département de la Manche, 33e année 1861, p 237.
  25. « Pas de nouveau mandat pour Monique Regnault », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  26. « Remy Levavasseur, maire sortant, sera candidat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  27. Le maire de Bréville-sur-Mer, Rémy Levavasseur, est décédé.
  28. a et b Réélection 2014 : « Bréville-sur-Mer (50290) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. « Bréville-sur-Mer. Annick Andrieux, élue maire », sur La Manche libre (consulté le ).
  30. Bréville-sur-Mer. Le maire Stanislas Martin démissionne.
  31. « À Bréville-sur-Mer, Jacques Boutouyrie, le nouveau maire, présente sa feuille de route », sur Ouest-France, Accès payant.
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. [PDF] « Préfecture de la Manche - Recueil des actes administratifs - février 2010 » (consulté le ) : page 4.
  37. « Église Notre-Dame », notice no PA00110343, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM50000125.
  39. « Statue : Saint Helier », notice no PM50000126.
  40. « Jardin du Vau Tertreux », notice no IA50000251.