Blénod-lès-Toul
Blénod-lès-Toul | |||||
Église Saint-Médard | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Toul | ||||
Intercommunalité | CC du Pays de Colombey et du Sud Toulois | ||||
Maire Mandat |
Cécile Denis 2023-2026 |
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Code postal | 54113 | ||||
Code commune | 54080 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Béléniens, Béléniennes[1] | ||||
Population municipale |
1 032 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 59 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 36′ 00″ nord, 5° 50′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 229 m Max. 432 m |
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Superficie | 17,6 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Nancy (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Meine au Saintois | ||||
Législatives | 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Blénod-lès-Toul est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle et la région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Commune de Meurthe-et-Moselle, située au point de jonction de trois départements : les Vosges, la Meuse et Meurthe-et-Moselle, entre les vallées de deux rivières : la Meuse et la Moselle. Blénod-lès-Toul fait partie du vignoble des côtes-de-toul.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Bulligny, Charmes-la-Côte, Crézilles, Gye, Mont-le-Vignoble, Moutrot, Vannes-le-Châtel et Rigny-Saint-Martin.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Situé à 285 mètres d'altitude moyenne, d’après les données Corine land Cover, le ban communal de 1 766 hectares comprend en 2011, plus de 24 % de terres arables et de prairies, près de 61 % de forêt, 12 % de surfaces agricoles diverses et 2 % de zones industrielles et urbanisées[2]. Il présente une forme quasi triangulaire dont le côté ouest forme une limite de canton. (cf Fig 1)
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins versants du Rhin et de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Blenod[3], le ruisseau de la Deuille[4], le ruisseau de St-Fiacre, le ruisseau des Ormes[5] et le ruisseau des Pres Ury[6],[7],[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 894 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 8 km à vol d'oiseau[10], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 2],[11],[12].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Blénod-lès-Toul est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (61,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,1 %), terres arables (15 %), cultures permanentes (11,8 %), prairies (8,8 %), zones urbanisées (3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 495, alors qu'il était de 479 en 2015 et de 464 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 87,3 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 10,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 92,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,9 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Blénod-lès-Toul en 2020 en comparaison avec celle de Meurthe-et-Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,8 %) inférieure à celle du département (2,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,5 % en 2015), contre 57,3 % pour la Meurthe-et-Moselle et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Blénod-lès-Toul[I 2] | Meurthe-et-Moselle[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 87,3 | 88,6 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,8 | 2,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 10,9 | 9,3 | 8,2 |
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par la route départementale no 960 (Toul-Saudron) mais les chroniques historiques et répertoires archéologiques signalent d'ancien chemins la reliant à la voie romaine historique Langres -Metz[19].
Blénod-lès-Toul est aisément accessible par l'autoroute A31 (France) et ses échangeurs Toul-Valcourt, Colombey les Belles ou Toul-Croix de Metz.
La commune est desservie par le réseau Fluo Grand Est.
La commune est traversée par la ligne de Culmont - Chalindrey à Toul, mais les stations de chemin de fer les plus proches sont les gares de Toul et de Pagny-sur-Meuse.
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]La commune située dans une zone de sismicité très faible[20].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Bladenacum (xe siècle) ; Villa nuncupata Bladenau ; Blenodium ; Bladiniacum (982) ; Ecclesia de Blaviniaco (1154) ; Blenou (1367) ; Bleno (1496) ; Blénod-aux-Oignons (1779) sont les graphies recensées par le dictionnaire topographique de France[21].
Le toponyme apparaît toutefois dès 662/654 sur une épitaphe : Blenodium ; l'on trouve ensuite les formes Bladenaco en 965, Bladiniaco en 982, Blaniacum en 1103. Les premières formes françaises sont "Blenou" en 1367 et "Bleno" en 1496. La situation près de Toul n'apparaît qu'en 1862 : "Blénod-lez-Toul". L'on trouve également "Blénod-aux-Oignons" en 1779 [22].
Le toponyme vient d'un anthroponyme, soit le gallo-romain Bladinus diminutif de Bladus, soit le germanique Bladenus/Bladinus, avec le suffixe gallo-romain -iacum : domaine de Bladin/Bladen. Ce type de toponyme, jargon de l'administration fiscale, est caractéristique de l'Antiquité tardive IVe siècle-VIIe siècle [6], toutefois selon plusieurs sources[23] ce toponyme pourrait être lié au culte voué à Apollon ou Bélénos chez les Celtes.
Le dictionnaire de Meurthe[23] mentionne les écarts suivants : Menne, chapelle, Onze-Fontaines, moulin ; Robert et Saint-Fiacre. Il y a quatre moulins à grains.
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité
[modifier | modifier le code]E. Olry indique la découverte de substructions gallo-romaines au lieu-dit la Voivre. Des artefacts (tuiles à rebord) ont été remis au musée lorrain de Nancy[19] Les mêmes sources indiquent la découverte de monnaies sur une hauteur dominant le village, soit au lieu de l'ancien fort de Blénod (bois de Sorvigne), soit au lieu-dit sur Moncel (Grand bois) qui pourrait être lié à un ancien oppidum. (fig 1) dit du "Mont Gaillaud".
D'après les chroniques historiques, André du Saussay, évêque de Toul (1657-1675) aurait prétendu que, de son temps, on avait découvert près du village une statue d'Apollon avec des colonnes (voir la découverte de l'Apollon de Francheville).
Ancien Régime
[modifier | modifier le code]Au VIIe siècle, Dagobert Ier, roi de France, de 622 à 654, donne à l'évêque Teudefride, entre autres domaines, la forteresse de Galiaud et le bourg de Blénod, qui devint, dès-lors, le chef-lieu d'une châtellenie dépendant de l'évêché de Toul.
Outre cette donation, l'historien E. Grosse précise dans son Dictionnaire statistique du département de la Meurthe[24] :
« Le château de ce bourg fut réparé, embelli et fortifié en 1456, par l'évêque Henri de Ville ; il passait pour imprenable. En 1509, un autre évoque nommé Hugues des Hazards fit construire la belle église qui existe encore à Blénod ; elle est bâtie sur le plan de la cathédrale de Toul, mais dans des proportions plus minimes ; c'est une des plus remarquables du pays : On voyait aussi à Blénod un palais et un hôpital que le même prélat y avait élevés, mais il n'en reste plus que des ruines. »[24]
H. Lepage précise quant à lui :
« Dans le vallon qui s'étend entre Blénod et Rigny, s'élevait le château de Quatrevaux, célèbre par les conférences princières qui y furent tenues. Le 8 décembre 1299, l'empereur Albert I" et Philippe, roi de France, y étaient réunis. L'empereur y ratifia le mariage conclu entre son fils Rodolphe, et Blanche, fille de Philippe. Avant 1792, on voyait, dans la partie supérieure du cimetière, un fort bel oratoire sous l'invocation de saint Georges, et, au bas de la grande rue du bourg, une chapelle dite de Saint-Clément. »[23]
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]E Grosse[25] indique, en 1836, dans son dictionnaire statistique, quelques chiffres économiques :
«Surface territ. cadast., 1761 hect., dont 920 en bois, 3o8 en terres labour., 85 en prairies, 128 en friches, et 23o en vignes, dont les produits sont passables.»
(cf. carte historique du vignoble lorrain)
La commune a été desservie par une gare sur la ligne de Culmont - Chalindrey à Toul, ouverte en 1881, facilitant les déplacements des habitants et le transport des marchandises. Cette gare est désormais fermée.
Le une tornade de classe EF2, soit des vents estimés entre 175 km/h et 220 km/h, affecte plusieurs dizaines d'habitations et l'église à Blénod-lès-Toul[26].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1943 dans l'arrondissement de Toul du département de l'Meurthe-et-Moselle.
Après avoir été de 1793 à 1801 le chef-lieu d'un éphémère canton de Blenod, elle faisait partie depuis lors du canton de Toul-Sud[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Meine au Saintois
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de Meurthe-et-Moselle.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Blénod-lès-Toul est membre de la communauté de communes du Pays de Colombey et du Sud Toulois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette intercommunalité au SIVOM du Pays de Colombey et du Sud Toulois crééé en 1985.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Finances communales
[modifier | modifier le code]En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[33] :
- total des produits de fonctionnement : 676 000 €, soit 626 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 653 000 €, soit 604 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 172 000 €, soit 159 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 162 000 €, soit 150 € par habitant ;
- endettement : 595 000 €, soit 550 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 9,28 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 27,49 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 22,00 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 500 €[34].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].
En 2021, la commune comptait 1 032 habitants[Note 5], en évolution de −5,23 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
La paroisse compte 2000 âmes de 1550 à 1636 année de la peste[réf. nécessaire].
Économie
[modifier | modifier le code]Secteur primaire ou Agriculture
[modifier | modifier le code]Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.
D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[38]), la commune de Blénod-lès-Pont-à-Mousson était majoritairement orientée[Note 6] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée[Note 7] d'environ 239 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) en forte baisse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 662 à 108 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 11 (contre 17 auparavant)exploitation(s) agricole(s) ayant leur siège dans la commune employant 15 unité(s) de travail[Note 8].(26 auparavant)
Vins des côtes de Toul
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Village classé en 1975 comme typiquement lorrain, devant faire l'objet de restauration du patrimoine bâti[réf. nécessaire].
- Vestiges préhistoriques et antiques :
- Enceinte de l'âge du Fer à éperon barré sur le mont Gaillaud.
- Vestiges de constructions romaines en plusieurs points de la commune.
- Ruines du château (XIIIe et XVIe siècles)[39].
- Enceinte de l'église avec portes fortifiées, chemin de ronde.
- Les Loges 1516, destinées à la protection de la population et des récoltes[40].
- Fort de Blénod du XIXe siècle, construit entre 1879 et 1883, sur les plans théoriques du général Raymond Adolphe Séré de Rivières. Modifié à partir d'août 1888 par ajout de béton spécial[41].
- Moulin à eau de Onze Fontaines[42].
- Lavoir classique : 3 auges de pierre, place de la Barre.
- Fontaine place de la Barre du 16e.
- Église Saint-Médard reconstruite de 1506 à 1512, classée au titre des monuments historiques depuis 1862[43]: portail Renaissance.
- Portail du XVe siècle de l'ancienne chapelle Saint-Clément.
- Six croix de chemin.
- Ruines de la chapelle Sainte-Menne[44],[45].
- Ermitage Saint-Fiacre[46].
-
Église Saint-Médard.
-
Statue au musée de Toul.
-
Tombeau de Hugues des Hazards dans l'église Saint-Médard.
-
Portrait de Hugues des Hazards.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Hugues des Hazards (1454-1517), 74e évêque de Toul, chancelier du duché de Lorraine, y est né et est fondateur de l'église.
- Joseph Petitbien (1818-1891), maire de Blénod-lès-Toul et conseiller général, député de Meurthe-et-Moselle de 1876 à 1885, y est né.
- Henry Poirson (1853-1923), haut fonctionnaire,préfet et sénateur de Seine-et-Oise, y est né.
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Blason | D'azur à la croix d'argent cantonnée de quatre dés du même à un point de sable[47]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- L’église Saint-Médard de Blénod-lès-Toul
- Abbé Pierre-Étienne Guillaume, Notice sur le bourg de Blénod-les-Toul, Imprimerie de L. Vincenot, Nancy, 1843 (lire en ligne)
- Maurice Toussaint, « Blénod-lès-Toul », dans Revue lorraine illustrée, 3e volume, 1908, p. 49-64 (lire en ligne)
- Paul Marot, « Blénod-lès-Toul », dans Congrès archéologique de France.96e session. Nancy et Verdun. 1933, Société française d'archéologie, Paris, 1934, p. 311-318
- Alexandre Laumond, « Retour sur «la paroisse primitive» : le cas de Blénod dans le doyenné de Toul », dans Études touloises, 2006, no 117, p. 23-36 (lire en ligne)
- Michel Hérold, Françoise Gatouillat, Les vitraux de Lorraine et d'Alsace, Corpus vitrearum, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Paris, CNRS Editions Inventaire général, , 330 p. (ISBN 2-271-05154-1)Recensement des vitraux anciens de la France, Volume V, Blénod-lès-Toul, pages 37 à 40
- Jean-Christophe Frizon et Bernard Amiaud (dir.), Connaissance, protection et valorisation du massif forestier de Meine, Espace Naturel Sensible : Mémoire de stage, soutenu à Nancy le 4 septembre 2012, Université de Lorraine, , 38 p. (lire en ligne [PDF]), sur le portail HAL.
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Blénod-les-Toul », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
- "Blénod-lès-Toul" Fiches du patrimoine de la commune sur la base POP, ministère français de la Culture.
- « Dossier complet : Commune de Blénod-lès-Toul (54080) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
- « Blénod-lès-Toul » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Alors l'un des plus jeunes maires de France[30].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
- Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
- Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Blénod-lès-Toul » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Blénod-lès-Toul ».
- « Chiffres clés - Logement en 2020 à Blénod-lès-Toul » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Blénod-lès-Toul - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Blénod-lès-Toul - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Meurthe-et-Moselle » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Fiche ma commune : http://sigesrm.brgm.fr/?page=ficheMaCommune&codeCommune=54080 », sur Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse.
- « Ruisseau de blenod [A5620350] - Cours d'eau », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
- Ruisseau de la Deuille
- Ruisseau des Ormes
- Ruisseau des Pres Ury
- « Fiche communale de Blénod-lès-Toul », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Blénod-lès-Toul et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Société d'archéologie lorraine Auteur du texte, « Revue historique de la Lorraine / publiée tous les deux mois par la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain », sur Gallica, (consulté le ), p. 124.
- Dossier départemental des risques majeurs
- France. Comité des travaux historiques et scientifiques., Dictionnaire topographique de France comprenant les noms de lieu anciens et modernes., Imprimerie nationale, 1861- (OCLC 227035528, lire en ligne).
- Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, , 240 p. (lire en ligne).
- Lepage, Henri, 1814-1887., Le Département de la Meurthe : statistique historique et administrative, Peiffer, (OCLC 10409348, lire en ligne).
- E. Grosse, Dictionnaire statistique du département de la Meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press, (réimpr. 2012) (1re éd. 1836), 972 p. (ISBN 978-1-278-24895-0 et 1-278-24895-1, OCLC 936241814, lire en ligne), Article "Blénod".
- Grosse, E., Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press, , 972 p. (ISBN 978-1-278-24895-0 et 1-278-24895-1, OCLC 936241814, lire en ligne), p. 89.
- « Tornade EF2 à Blénod-lès-Toul (Meurthe-et-Moselle) le 21 février 1914 », sur Keraunos (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Blénod-lès-Toul », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Est Républicain du 30 septembre 1907
- Valérie Richard, « Sa soirée sous les ors de Versailles… : Jean-Louis Olaïzola, maire de Blénod-lès-Toul, n’avait pas tout à fait 28 ans lors de son premier mandat… Un jeune âge qui lui a valu d’être invité par le président Giscard d’Estaing en juin 1980 à une réception à Versailles. Inoubliable ! », L'Est républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- Jérôme Bourguignon, « Aider les autres, une vocation pour l’ancien maire, Jean-Louis Olaïzola : Le 10 juillet, le lendemain du mariage de sa fille, le mandat de maire de Jean-Louis Olaïzola prenait fin. Il ne s’attendait pas à vivre d’autres émotions, une semaine plus tard, pour couronner plus de 40 années au service de son village natal », L'Est républicain, (lire en ligne , consulté le ).
- « Cécile Denis, élue maire », L'Est républicain, (lire en ligne , consulté le ).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
- L'inventaire du Toulois, par Jean-Yves Cauvet
- Ces bâtiments appelés "Loges", prévus pour le stockage des récoltes et du vin, seront habités à partir de la Révolution par des familles pauvres
- Blénod-lès-Toul, sur https://inventaire-nancy.grandest.fr/
- Moulin à eau de Onze Fontaines
- « Église Saint-Médard », notice no PA00106000, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- [PDF] Sources et fontaines
- [PDF] Chapelles disparues par commune
- [PDF] Fondation et propriété
- L'Armorial des villes et villages