Bellême
Bellême | |
Bellême vue du ciel. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Orne |
Arrondissement | Mortagne-au-Perche |
Intercommunalité | Communauté de communes des Collines du Perche Normand |
Maire Mandat |
Rémy Tessier 2020-2026 |
Code postal | 61130 |
Code commune | 61038 |
Démographie | |
Gentilé | Bellêmois |
Population municipale |
1 456 hab. (2021 ) |
Densité | 851 hab./km2 |
Population agglomération |
2 371 hab. (2016) |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 22′ 35″ nord, 0° 33′ 38″ est |
Altitude | Min. 162 m Max. 230 m |
Superficie | 1,71 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Bellême (ville-centre) |
Aire d'attraction | Hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Ceton |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.villedebelleme.fr |
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Bellême est une commune française, située dans le département de l’Orne en région Normandie, peuplée de 1 456 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Au nord du parc naturel régional du Perche, dans le département de l'Orne, Bellême se trouve sur une colline de la région naturelle du Perche.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d'Ouche et au Perche et bénéficiant d’un caractère continental affirmé avec des précipitations atténuées et des amplitudes thermiques fortes[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 790 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-du-Vieux-Bellême à 1 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bellême est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bellême[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (72,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (64 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (42,6 %), prairies (22,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (14,1 %), terres arables (4,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous la forme Belismo au Xe siècle[14].
De Belisama (déesse gauloise)[15].
Le gentilé est Bellêmois.
Histoire
[modifier | modifier le code]Bellême fut le centre de la seigneurie de Bellême du Xe siècle jusqu'en l'an 1113[réf. nécessaire].
En 940, Yves de Creil, ingénieur en machines de guerre à la cour du roi Louis IV d'Outremer, reçut le comté en récompense pour avoir sauvé le fils du duc de Normandie, Guillaume Ier Longue Épée[16].
Au début du XIe siècle, Guillaume Ier de Bellême dit « Talnas » fera construire les premières places fortes d'Alençon et de Domfront[16].
En 1087, Robert de Bellême, apprenant la mort du duc-roi Guillaume le Conquérant, après avoir expulsé la garnison locale et repris le château d'Alençon fit de même à Bellême[17].
En 1111, Henri Ier, roi d'Angleterre et duc de Normandie, écrase une nouvelle coalition menée par Robert de Bellême et Guillaume comte d'Évreux et rase la forteresse de Bellême[18].
En 1413, la place est prise par les Bourguignons, les Anglais en 1424, et, en 1449, par le duc d'Alençon Jean II[19].
L'un des épisodes marquants de la localité fut le siège de Bellême, en 1228, par Blanche de Castille, en compagnie de son fils, le futur Saint Louis, pour la soustraire au breton Pierre Mauclerc[20], ville que lui avait confié Louis VIII, le père de Saint-Louis, et cela malgré le traite de Vendôme du . La Croix-Feue-Reine, érigée à Appenai-sous-Bellême, situé à 2 km de Bellême, garde souvenir de l'événement[16].
Deux habitants de Bellême ont émigré en 1651 en Nouvelle-France au XVIIe siècle et ainsi contribué à l'épopée des Percherons au Canada : François Peuvret, sieur de Margontier (mort en 1657), sans descendance, et son frère, Jean-Baptiste Peuvret, sieur de Mesnu (baptisé vers 1632, mort en 1697 à Québec), ancêtre des Peuvret du Québec[21][pertinence contestée].
Jusqu'en 1784, Bellême est traversée par le chemin royal de Paris en Bretagne, qui passe par Dreux, Châteauneuf-en-Thymerais, Rémalard, Bellême, Igé, Bonnétable, Le Mans et Angers, jusqu'à Nantes. À partir de cette date, le chemin royal est détourné et passe à Nogent-le-Rotrou et La Ferté-Bernard, jusqu'au Mans. En s'alliant avec Nogent-le-Rotrou, elle réussit à s'imposer contre Mortagne pour réunir, en , les états généraux du bailliage du Perche. Bellesme fut chef-lieu de district sous la Révolution.
Bellême a connu une activité textile florissante, particulièrement aux XVIIe et XVIIIe siècles.
-
Le porche du château.
-
La forêt de Bellême.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2021, la commune comptait 1 456 habitants[Note 3], en évolution de −6,96 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Sauveur, des XVe et XVIe siècles, reconstruite de 1675 à 1710 avec son horloge excentrée (voir la liste d'églises avec clocher à horloge excentrée).
- Le presbytère, rue de la Coquetère, acquis par la ville et la fabrique de Bellême le , est un ancien hôtel particulier construit à la fin du XVIe siècle[32].
- Crypte de la chapelle Saint-Santin, du Xe siècle.
- L'enceinte de Bellême[33], et ses principaux vestiges : la porte Saint-Sauveur du XVe siècle, inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [34], et, la tour de l'Horloge, avec une plaque commémorative de la prise en 1229 du château et de la ville par Saint Louis et sa mère Blanche de Castille, inscrite par arrêté du [35], ainsi que les douves de l'ancien château[36] aménagées pour recevoir quelques espèces d'animaux aquatiques.
- Pour avoir été le grenier à sel de la cité, la porte Saint-Sauveur subit une dégradation : le sel ronge la pierre, menaçant le bâtiment de destruction[37].
- Maisons des XVIIe et XVIIIe siècles.
- Hôtel de ville du XVIIe siècle.
- Cadrans solaires, rue du Château, place de la République et place Liègeard.
- Le Colin-Maillard, statue de Victor-Edmond Leharivel-Durocher (1806-1878), les promenades.
- Le « Chêne de l'école », dans la forêt qui borde le village, qui a plus de 350 ans[38].
-
L'église Saint-Sauveur.
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Une des portes des anciens remparts.
-
La statue d'Aristide Boucicaut.
-
Les douves de l'ancien château.
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Le square place au Blé.
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Le golf de Bellême.
-
Bellême illuminée à Noël.
-
Statue de la jeune fille jouant à colin-maillard.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Yves Ier de Bellême ou Yves l'Ancien (mort entre 1005 et 1012) est le premier seigneur connu de Bellême.
- Mabile de Bellême (vers 1025-1082), la plus ancienne des criminelles ornaises, de 1052 à sa mort[39].
- Guillaume Ier de Bellême (1027-1035) est seigneur de Bellême et sire d'Alençon.
- Louis IX (saint Louis) (1214-1270) : roi de France.
- Blanche de Castille (1188-1252) : régente de France.
- Pierre Ier d'Alençon (1251-1283) est un prince de sang royal français (5e fils de Louis IX), son père lui donne en apanage et en pairie les comtés d'Alençon et du Perche, ainsi que les seigneuries de Mortagne-au-Perche et de Bellême.
- Pierre de Fontenay sire de la Reynière (1541-1610) : capitaine de la ville et du château de Bellême, gouverneur du Perche de 1589 à 1610.
- George François Berthereau (Bellême, 1732 - 1794) : savant bénédictin.
- Jean Massard (Bellême, 1742 - Paris, 1822), graveur, membre de l'Académie de peinture.
- Guillaume André Villoteau (Bellême, - Tours, ), l'un des fondateurs de l'ethno-musicographie, membre de la Commission des sciences et des arts d'Égypte, maire de Savonnières de 1813 à 1815 (Indre-et-Loire)[40].
- Aristide Boucicaut (Bellême, 1810 - Paris, 1877), inventeur du concept de « grand magasin », propriétaire du Bon Marché.
- Thomas-Henri Martin (Bellême, 1813 - Rennes, 1884), historien helléniste, auteur de l’Étude sur le Timée de Platon.
- Philippe de Chennevières (1820-1899), écrivain d'art et historien. Il fut conseiller général du canton de Bellême.
- Marie Edouard Benjamin Vandier (Bellême, 1835 - 1878), homme politique.
- Alfred Bansard des Bois (Rémalard, 1848 - Bellême, 1920), député.
- Charles Pitou (Bellême, 1849 - 1927), poète régional.
- Théodore Tuffier (Bellême, 1857 - 1929), chirurgien réputé, membre de l'Académie de médecine, puis président de la Société nationale de chirurgie.
- Gaston Dona (Bellême, 1870 - 1957).
- Maurice Simon (Bellême, 1879 - Mortagne-au-Perche, 1941), musicien compositeur.
- Roger Martin du Gard (Neuilly-sur-Seine, - Sérigny, ), écrivain prix Nobel de littérature en 1937.
- Carol de Roumanie (1893-1953), roi de Roumanie.
- Roger Heim (1900-1979), mycologue français, professeur au Muséum national d'histoire naturelle et directeur de cet établissement (de 1951 à 1965). Une place de Bellême porte son nom.
- Jean-Pierre Dubois de Gennes (1927-2016), historien et généalogiste.
- Alain Spault (Bellême, 1960 - 2012), footballeur français.
- Augustin de Romanet (Boulogne-Billancourt, -), conseiller municipal de Bellême de 1989 à 2008, directeur général de la Caisse des dépôts et consignations (2007-2012). PDG de Groupe ADP (anciennement Aéroports de Paris) depuis 2012.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la commune de Bellême se blasonnent ainsi : |
Activité et manifestations
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]- Goring-on-Thames (Angleterre) depuis 1979.
- Stühlingen (Allemagne) depuis 1980.
Manifestations
[modifier | modifier le code]- Les Mycologiades internationales : festival annuel de mycologie.
- Spectacle historique nocturne estival de l'association Au Cœur du Perche, Le Trésor maudit, au parc de Vigan, labellisé par la Fédération française des fêtes et spectacles historiques[41].
- Foire de la Saint-Simon (Simon le Zélote) le 28 octobre.
- Les illuminations de décembre depuis Noël 2008.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Bellême comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
- « Orthodromie entre Bellême et Saint-Martin-du-Vieux-Bellême », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Belleme_sapc » (commune de Saint-Martin-du-Vieux-Bellême) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Belleme_sapc » (commune de Saint-Martin-du-Vieux-Bellême) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bellême », sur Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bellême ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Cahiers Léopold Delisle - Volumes 27 à 28 - Page 52.
- La Religion dans la toponymie, Sylvie Lejeune. expert auprès de la Commission de toponymie de l'IGN, secrétaire de la commission nationale de toponymie, page 1, paragraphe 1, ligne 6 lire en ligne.
- Guy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 117.
- Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 31.
- Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 492.
- Dezobry et Bachelet, Dictionnaire de biographie, t.1, Ch. Delagrave, 1876, p. 264.
- Stéphane Bern - Le village préféré des français, La France et ses villages, page 76, (ISBN 978-2-226-25929-5).
- « Les Peuvret, deux frères émigrants originaires de Bellême, paroisse Saint-Pierre », sur perche-canada.net (consulté le ).
- « Le soutien de Francis Geng, ancien maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Bellême : l'équipe sortante déchirée », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Vincent Segouin est le nouveau maire de la commune »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Réélection 2014 : « Bellême (61130) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Olivier Voisin est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Municipales 2020 à Bellême. Rémy Tessier succède au maire Olivier Voisin », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Laurence de Calan, Presbytères du Perche, éditions des Amis du Perche, collection "Présence du Perche", juillet 2012, p. 23. [ (ISBN 978-2-900122-983)]
- « Fortification d'agglomération », notice no IA00001480, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ville Close », notice no PA00110744, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Tour de l'Horloge », notice no PA00110992, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château fort », notice no IA00001479, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- "L'emblème de la ville est menacé", mis en ligne par Amine El-Hasnaouy sur www.le-perche.fr, le 8 janvier 2014, consulté le 12 janvier 2014.
- Stéphane Bern - Le village préféré des français, La France et ses villages, page 75, (ISBN 978-2-226-25929-5).
- Les grandes affaires criminelles de l'Orne, de Borée, Paris, 2008.
- Paul-Marie, Grinevald, Guillaume-André Villoteau (1759-1839) Ethnomusicographe de l'Égypte. Paris, L'Harmattan, 2014.
- [PDF] « Le Trésor maudit - Dossier de presse »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jacques Plat, Bellême et ses environs, Alan Sutton, 2005 (EO), 2010 (rééd.), 128 pages, 230 illustrations.
- Jean-Luc Romet, Souvenirs historiques de Bellême, édition Géhan, 1978.
- Jean-Luc Romet et Ferdi de Boër, Visage aux deux villes Stühlingen - Bellême, édition des Presses des écoles de Stühlingen, 1985.
- Jean-Luc Romet, Une histoire illustrée de Bellême et du Perche, édition des Amis du Perche, 1994, 96 pages, 27 écrivains et illustrateurs.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Perche (région naturelle)
- Parc naturel régional du Perche
- Liste des comtes puis ducs d'Alençon
- Famille Giroie
- Famille de Montgommery
- Famille de Bellême
- Seigneurie de Bellême
- Liste des communes de l'Orne
- Liste d'églises avec clocher à horloge excentrée
Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Maison du tourisme du Pays bellêmois