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Bar-sur-Aube

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Bar-sur-Aube
Bar-sur-Aube
L’hôtel de ville.
Blason de Bar-sur-Aube
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Aube
(sous-préfecture)
Arrondissement Bar-sur-Aube
(chef-lieu)
Intercommunalité Communauté de communes de la Région de Bar-sur-Aube
(siège)
Maire
Mandat
Philippe Borde (LR)
2020-2026
Code postal 10200
Code commune 10033
Démographie
Gentilé Baralbins
Population
municipale
4 753 hab. (2021 en évolution de −4,52 % par rapport à 2015)
Densité 292 hab./km2
Population
agglomération
4 983 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 48° 13′ 54″ nord, 4° 42′ 28″ est
Altitude Min. 156 m
Max. 348 m
Superficie 16,27 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Bar-sur-Aube
(ville-centre)
Aire d'attraction Bar-sur-Aube
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Bar-sur-Aube
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bar-sur-Aube
Géolocalisation sur la carte : France
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Bar-sur-Aube
Géolocalisation sur la carte : Aube
Voir sur la carte topographique de l'Aube
Bar-sur-Aube
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Bar-sur-Aube
Liens
Site web barsuraube.fr

Bar-sur-Aube est une commune française, sous-préfecture du département de l'Aube en région Grand Est.

Ses habitants s'appellent les Baralbins ou Bar-sur-Aubois.

Géographie

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Localisation

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Située à 165 mètres d'altitude, la rivière Aube et la Bresse sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Bar-sur-Aube.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Géologie et relief

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Bar-sur-Aube est entourée de coteaux champenois et de collines. La ville est traversée par l'Aube, d'où son nom.

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Hydrographie

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La commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Aube, le Fossé 01 du Val d'Ardenne, la Bresse, un bras de l'Aube, le canal 02 de Mathaut, le cours d'eau 01 des Côtelles, l'Aube et divers autres petits cours d'eau[1],[Carte 1].

L'Aube, d'une longueur de 249 km, prend sa source dans la commune d'Auberive et se jette dans la Seine à Marcilly-sur-Seine, après avoir traversé 82 communes[2].

Le fossé 01 du Val d'Ardenne, d'une longueur de 11 km, prend sa source dans la commune de Colombey les Deux Églises et se jette dans l'Aube à Bayel, après avoir traversé six communes[3].

La Bresse, d'une longueur de 12 km, prend sa source dans la commune de Colombé-la-Fosse et se jette dans l'Aube à Ailleville, après avoir traversé cinq communes[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Bar-sur-Aube[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 850 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ailleville_sapc », sur la commune d'Ailleville à 3 km à vol d'oiseau[7], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,7 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].

Statistiques 1991-2020 et records AILLEVILLE_SAPC (10) - alt : 195m, lat : 48°15'15"N, lon : 4°41'08"E
Records établis sur la période du 01-01-1991 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 0,5 2,4 4,5 8,4 11,6 13,5 13,2 9,9 7,5 3,9 1,6 6,5
Température moyenne (°C) 3,6 4,3 7,5 10,5 14,3 17,6 19,8 19,6 15,8 12 7,3 4,4 11,4
Température maximale moyenne (°C) 6,6 8,2 12,6 16,4 20,2 23,7 26,2 26 21,7 16,6 10,6 7,2 16,3
Record de froid (°C)
date du record
−17,9
02.01.1997
−15
05.02.12
−15,1
01.03.05
−6,1
08.04.03
−1,6
18.05.1991
0
05.06.1991
5,3
03.07.11
3,5
30.08.1998
0,9
20.09.12
−6
30.10.1997
−11,6
24.11.1998
−19,7
20.12.09
−19,7
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
18,2
05.01.1999
22
27.02.19
26,5
31.03.21
29,9
25.04.07
32,8
28.05.17
38,8
28.06.11
41,3
25.07.19
41,2
12.08.03
35,5
14.09.20
30,5
02.10.23
23,9
07.11.15
17,6
31.12.22
41,3
2019
Précipitations (mm) 65,8 61,8 64,6 62 76,1 63,5 69,6 63,8 67,7 78,3 78,8 81,5 833,5
Source : « Fiche 10002001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
6,6
0,6
65,8
 
 
 
8,2
0,5
61,8
 
 
 
12,6
2,4
64,6
 
 
 
16,4
4,5
62
 
 
 
20,2
8,4
76,1
 
 
 
23,7
11,6
63,5
 
 
 
26,2
13,5
69,6
 
 
 
26
13,2
63,8
 
 
 
21,7
9,9
67,7
 
 
 
16,6
7,5
78,3
 
 
 
10,6
3,9
78,8
 
 
 
7,2
1,6
81,5
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Commune située dans une zone de sismicité très faible[12].

Voies de communications et transports

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Voies routières

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  • A5 : Échangeur n°3 Colombey, Échangeur n°2 Bar-sur-Seine.
  • D 619 vers Ailleville, Lignol-le-Château[13].
  • D 46 vers Proverville.
  • D 73 vers Arrentières.

Transports en commun

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Gare de Bar-sur-Aube.

Au , Bar-sur-Aube est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bar-sur-Aube, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bar-sur-Aube, dont elle est la commune-centre[Note 3],[16]. Cette aire, qui regroupe 43 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (74,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,5 %), zones urbanisées (10,4 %), prairies (9,9 %), forêts (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,4 %), cultures permanentes (7,1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Aménagement de l'espace

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En 2007-2008, le centre-ville est passé en sens unique, un élargissement a été effectué au niveau des trottoirs. Le tour de ville a été rénové en 2006 tout comme la place de l'Hôtel-de-Ville. La cité scolaire Gaston-Bachelard a été rénovée en 2011. Une piste cyclable a été tracée sur le tour de ville en 2011 et l'ouverture d'un camping à la Gravière donne un attrait touristique à la ville. Un terrain de football synthétique et la réfection des vestiaires du stade sont en projet.

Attestée sous les formes Segessera, Barrisiica, Barris ca, Baro castelli, castelli Baris (monnaies carolingiennes), Barrum super Albam (1061), Castrum Barris montis (1065), Barrense castrum, Barrense oppidum (1097), Barrenses (1102), Barrum castrum super Albam (1104), Vetus castrum, villa Barrensis (1149), Bar-sur-Aube (vers 1200)[20]. Le nom de la ville se trouve également sous la forme Barrum ad Albam dans les archives ecclésiastiques[21].

Du gaulois barro- « tête, hauteur (topographie), extrémité boisée »[22],[23], comme le montre d'ailleurs le pléonasme [castrum] Barris montis « château du Mont Barre » de 1065.

Au cadastre de 1837 se trouvait : les faubourgs d'Arsonval, Saint-Nicolas, Notre-Dame et d'Aube, Beauvoir, la Bergerie, le Calvaire, le Cellier, la Chalet, Chauvelet, le moulin du Château, celui du Bas, du Haut ; Château-Gaillard, Châtelet, Chauffourt, Coquerillon, Coucelange, la Doué, la Folie, les Gravières, Heaume, Marcassel, Mathaux, Ormont, les ponts Rouge et aux Moines, Sainte-Germaine, Saint-Esprit, abbaye Saint-Nicolas, Temple, Val-de-Thors, Val-Richard, Vaudemont, Voie-Neuve.

L'existence de Bar-sur-Aube remonte à l’Antiquité. Un coin monétaire (type au cheval) au nom de Togirix (chef des Lingons[réf. nécessaire]) a été découvert sur la colline Sainte-Germaine. Il servait à battre des monnaies.

À l'époque romaine la ville aurait d'après la Table de Peutinger été connue sous le vocable de Segessera (seges, moisson). Louis Chevalier cite également l’appellation Frumentaria (frumentum, blé)[21]. Ces dénominations pourraient provenir de la fertilité du territoire ou bien de l'utilisation de la ville comme entrepôt par les Romains[21]. Un certain nombre de vestiges du Ier au IVe siècle, dont des villas, a été découvert dans la ville et dans les environs. Vicus de la civitas des Lingons, Segessera faisait partie, pendant le Haut-Empire romain, de la province de Gaule Belgique. Elle aurait été rattachée au Bas-Empire romain à la province de Lyonnaise première.

D'après la tradition orale, la ville aurait été dévastée par Attila dont l’action la plus connue fut la décapitation de sainte Germaine ; elle fut enterrée sur la colline qui porte désormais son nom et qui devint un lieu de culte ainsi qu'une communauté villageoise. Après le partage du royaume de Clovis par ses fils, la ville fit partie de l'Austrasie.

Sous Charles le Chauve, plusieurs variétés de monnaies furent émises avec au revers le nom de la ville.

Les comtes étaient chargés d'administrer le pagus Barrensis dont Bar-sur-Aube était le chef-lieu. Ce pagus était sous la suzeraineté de l'évêque de Langres. En 889, le roi Eudes avait confirmé, au comte, la possession du castellum, le droit de battre monnaie et de tenir foire[24].

Grâce à la politique des comtes de Champagne, la ville prit une grande importance. Bar était le siège d'une des six foires de Champagne, régulières dès 1114[25], où les commerçants des Flandres et d'Italie s'échangeaient épices d'Orient, soie, textiles et produits bruts venus du nord de l'Europe à la mi-février et à la mi-avril. C'est la période où les comtes abandonnèrent l'ancien château de la motte féodale pour faire bâtir leur résidence en ville[26]. En 1160, la foire se déroulait sur deux semaines, de la troisième semaine de carême à la quatrième incluse. Devant l'importance qu'elle prend, elle s'étend sur une troisième semaine en 1170, puis à vingt-huit jours en 1250[27]. Les intervenants étaient présents de nombreux jours supplémentaires pour le règlement des démarches administratives et commerciales. De plus, certaines corporations avaient investi financièrement dans la ville pour ces actions régulières : achats de halles, de maisons comme les drapiers de Châlons, des marchands d'Arras, Bâle, Besançon, Cambrais, Fribourg, Orange, Paris, Valenciennes, Ypres.

Les foires attiraient aussi des métiers dérivés comme des banquiers, les Anguissoli qui laissèrent leur nom à la rue des Angoiselles (actuelle rue Mailly)[28], des changeurs…

Le rattachement de Bar à la couronne

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Bar-sur-Aube et la Champagne furent réunies au domaine royal à la suite du mariage, le entre Jeanne de Navarre héritière du comté de Champagne et du roi de France Philippe le Bel. En 1318, Philippe V le Long ayant vendu la ville à Jacques de Croÿ, les habitants se rachetèrent et obtinrent que le roi ne puisse plus la vendre ni l'aliéner.

Le Traité de Bar-sur-Aube

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Le traité de Bar-sur-Aube fut signé le entre le duc de Lorraine Ferry IV, le comte de Bar Édouard Ier, l'évêque de Metz Renaud de Bar et le sire de Blâmont Henri Ier de Blâmont[29].

Chapelle templière Saint-Jean.

Les Templiers et les Hospitaliers

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La chapelle Saint-Jean est une possession des Templiers, puis lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple passe aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[31].

Ancien Régime

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Lorsque Charles Quint assiégea la ville de Saint-Dizier, les habitants des villages voisins se mirent sous sa protection[32]. La ville souffrit d'une longue peste en 1636[33], qui provoqua l'arrêt de la foire.

Élection (circonscription de l'Ancien Régime)

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Pendant l'Ancien Régime, Bar-sur-Aube était le siège d'une élection qui regroupait jusqu'à cent quatre-vingt communautés. Parmi ses présidents, on citera :

  • 1668-1678 : Jean-Baptiste de Coiffy ;
  • 1690 : Claude Chifflet ;
  • 1692 : Jean Bernodat ;
  • 1707-1708 : Charles Chifflet ;
  • 1732-1733 : Didier Mailly ;
  • 1740-1748 : N. Mailly ;
  • 1776 : Louis-Marie Rétaux.

Elle était aussi le siège d'un grenier à sel[34].

Epoque contemporaine

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La Révolution française y fut bien accueillie, les couvents disparurent. Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1800.

Vue de Bar-sur-Aube en 1838.
Vue de Bar-sur-Aube en 1838.

Bar-sur-Aube fut le théâtre d'une bataille à la fin de l'épopée napoléonienne (). En 1862 les fortifications furent démolies, le boulevard du tour de ville se trouve à leur emplacement.

En 1911, la révolte des vignerons opposa les vignerons aubois aux négociants marnais pour maintenir le vignoble dans l'appellation contrôlée « Champagne ».

Sept habitants ont été admis parmi les 4281 Justes parmi les nations de France[35] pour avoir sauvé des personnes juives persécutées par le régime nazi et le gouvernement de Vichy : Simone Daunet Martin[36]; Marcel Perrin[37]; Jacqueline Perrin[38]; Raymonde Perrin[39]; Anastase Schmitt[40]; Félicie Schmitt[41]; Isidore Schmitt[42].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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La ville a eu des institutions communales depuis le XIIe siècle. Cette première charte n'eut qu'une courte durée de vie. Une nouvelle charte fut donnée par Thibaut IV en 1230.

Liste des maires successifs[44]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1789 1797 Claude-Laurent Bourgeois de Jessaint    
  1943 Arthur Bureau    
1943 1947 Léon Chevillotte    
1947 1959 Maurice Véchin SFIO Conseiller général
1959 1964 Henry Supper   Imprimeur
1964 1965 Roger Rubaud (par intérim)   Retraité
1965 1971 Claude Pertat   Agent commercial
1971 2001 Jean-Pierre Davot DVD Commerçant
2001 mars 2008 Jean-François Leroux DVG  
mars 2008 2014 René Gaudot[45] PRG  
2014 en cours Philippe Borde LR Fonctionnaire, Président de la Communauté de communes depuis 2020

Budget et fiscalité 2021

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Comptes et budgets de Bar-Sur-Aube : Données disponibles: 2012 à 2021.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 650 [46].

Carte
Jumelages et partenariats de Bar-sur-Aube.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Bar-sur-Aube.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePays
GernsheimAllemagne

Le , la commune célèbre un « jumelage militaire » avec le 1er escadron du 5e régiment de dragons de Mailly-le-Camp[47].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].

En 2021, la commune comptait 4 753 habitants[Note 4], en évolution de −4,52 % par rapport à 2015 (Aube : 0,74 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 6523 6653 7073 5033 8903 9404 1694 1634 442
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 7814 7274 8094 4534 5214 5794 6364 3424 548
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 5874 5074 5334 0744 3134 2644 0023 9214 387
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
4 8016 0087 2656 9436 7076 2615 5105 4925 345
2014 2019 2021 - - - - - -
5 0144 7874 753------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Bar-sur-Aube et alentour- Détail d'une carte d'état-major datant de Napoléon.
  • Foire aux fromages en juin.
  • Festival Eurythmies, fin juin.
  • Festival « JazzàBar », début septembre.
  • Marché tous les samedis matin sous les halles, sur la place de l'hôtel de ville et dans la rue Nationale.
  • Fête patronale aux Rameaux.
  • Foire annuelle, premier week-end de septembre.
  • Balade gourmande champenoise en mai.

Enseignement

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Bar-sur-Aube accueille deux écoles maternelles : maternelle Gambetta et maternelle des Varennes, trois écoles primaires (Arthur-Bureau, Maurice-Véchin, Sainte-Thérèse, privée d'enseignement catholique), la cité scolaire Gaston-Bachelard située sur la colline Sainte-Germaine qui accueille environ 1 200 élèves venant de tout l'arrondissement. Elle comporte un collège, un lycée d'enseignement général et technologique et un lycée professionnel.

Le collège[53], constitué de 19 classes réparties sur les quatre niveaux, propose aux élèves les options latin dès la 5e, grec en 3e. C'est le seul collège en France à proposer dès la 5e une option « cinéma-audiovisuel ». Une section football est disponible à partir de la 6e pour les collégiens et de la seconde pour les lycéens.

Vue depuis la cour du lycée.

Le lycée d'enseignement général et technologique[54], constitué de 14 classes réparties sur les trois niveaux, propose les spécialités suivantes pour les élèves en filière générale :

  • Arts : Cinéma-audiovisuel (CAV)
  • Histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques (HGGSP)
  • Humanité, littérature, philosophie (HLP)
  • Langues, littérature et culture étrangère (LLCE Anglais)
  • Mathématiques
  • Physique-chimie (PC)
  • Sciences économiques et sociales (SES)
  • Sciences de la vie et de la terre (SVT)

Le lycée propose deux filières techniques : STMG (sciences et techniques du management et de la gestion) et STI2D (sciences et techniques de l'industrie et du développement durable). Il propose également l'option « cinéma-audiovisuel » de la seconde à la terminale. Les langues étrangères enseignées sont l'allemand, l'anglais et l'espagnol. Les cours se déroulent en groupes de compétences et non en classes entières. Chaque année, des voyages scolaires sont organisés en Allemagne, Écosse et Espagne. En 2013, un échange avec des lycéens d'Ashburn (États-Unis) a débuté. Les lycéens français sont partis en février, les lycéens américains seront accueillis en 2014.

Le lycée d'enseignement professionnel constitué de huit classes réparties sur les trois niveaux, propose à ses élèves les filières Métiers du commerce et de la vente (Bac Pro MCV) et Métiers de l'électricité (Bac Pro MELEC), ainsi qu'un CAP Équipier polyvalent du commerce.

Il existe, au sein de la cité scolaire, la section européenne accessible aux collégiens de la 5e à la 3e ainsi qu'aux lycéens en voie générale et technologique (Euro Anglais/histoire-géographie) et en voie professionnelle (Euro Anglais/commerce-vente)

Le centre hospitalier Saint-Nicolas de Bar-sur-Aube, ayant en 2018 une capacité de 190 lits et places, dont[55] :

  • Médecine : 8 ;
  • Moyen séjour : 22 ;
  • Long séjour : 30 ;
  • Hébergement : 130.
  • Sports de la ville de Bar-sur-Aube[56].
  • L'industrie du chanvre est très développée à Bar-sur-Aube, et connaît une croissance soutenue depuis plusieurs années.
  • La fabrication de meubles : Aube Bedding (groupe Adova).
  • La transformation des métaux (forge, usinage) pour l'aéronautique, l'armement, les machines agricoles, la médecine (prothèses), etc. : Lisi Aerospace.

Agriculture

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Halles.

Bar-sur-Aube est le premier producteur français de paille de chanvre (125 tonnes/j), et de nombreux produits dérivés du chanvre y sont fabriqués.

Autour de la ville se trouvent de nombreuses vignes, spécialisées dans le champagne.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le moulin des Marcasselles et les clochers de l'église Saint-Maclou.

Bâtiments et lieux publics remarquables

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Sont classés monuments historiques :

  • un immeuble, 79 rue Nationale[57] ;
  • un immeuble, 4 rue Saint-Pierre[58].

Sont inscrits sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques :

Autres monuments :

  • les Halles ;
  • l'ancien hôtel Clausse de Surmont (La Poste) ;
  • le moulin du Haut, dit des Marcasselles[67].

Bâtiments religieux

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Église Saint-Pierre.
Église Saint-Maclou.

Sont classés comme monuments historiques :

  • Église Saint-Pierre (XIIe siècle) avec son halloy, une galerie en bois qui servait aux marchands au temps des foires[68],[69].
Orgues de l'église Saint-Pierre :
* Orgue au sol dans le croisillon sud du transept[70].
* Le buffet d'orgue en tribune provient de l'église abbatiale Saint-Pierre des Chanoinesses de Remiremont (Vosges) et a été acheté par Bar-sur-Aube en 1845[71].

Autres monuments :

Institutions

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Bar-sur-Aube dépendait du diocèse de Langres. Elle était le siège de l'archidiaconé du Barrois, qui comprenait les diaconnés de Bar, de Châteauvillain et de Clermont. Le doyenné de la Chrétienté était le plus étendu du diocèse, avant la refonte de 1737.

Anciens prieurés

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Bar-sur-Aube comptait quatre prieurés :

  • le prieuré Saint-Maclou ;
  • l'abbaye Saint-Nicolas, qui abritait un hôpital au début du XIIe siècle. Son cimetière avait été consacré par Guillenc, évêque de Langres, à la demande du pape Innocent II. De retour d'un voyage à Worms et Spire, Bernard de Clairvaux y célébrait la messe le . Mais le comte Thibaut IV de Champagne et l'évêque de Langres Robert de Thourotte relevèrent son proviseur Robert et y nommèrent Alix, sœur de Thibaut : Saint-Nicolas devenait ainsi une abbaye féminine. En 1436, l'évêque Philippe de Vienne la transforma en prieuré masculin placé sous la tutelle du Val-des-Écoliers de Laon. Le , le prieuré fut réuni aux bâtiments qui faisaient office de maladrerie ou de léproserie. Sa fonction d'hospice, qui s'était poursuivie, fut supprimé en 1734 et le prieuré fut peu à peu démantelé ;
  • le prieuré Sainte-Germaine, qui dépendait de l'abbaye de Saint-Claude, nommé pour la première fois en 1407 dans une donation de feue Adélaïde, comtesse de Bar-sur-Aube, comme prioratus santi Stephani, santi Stephani et sancte Germane, montis Bari, montis sancte Germane, cella sancte Marie de Monte super Albam[74]. Son siège se situait dans l'église Sainte-Germaine. Il percevait plusieurs bénéfices : celui de la sacristie, indépendante jusqu'en 1772 ; celui de la chapelle de Vaudrémont ; le droit de pêcher dans l'Aube sur tout le finage de Bar-sur-Aube ; l'exclusivité sur les moulins à blé et à drap. Parmi ses prieurs, on retient :
    • ~1033 : Étienne, aussi prieur de Bar-sur-Seine puis abbé de Bèze,
    • 1072-1075 : Robert de Bourgoigne, archidiacre, futur évêque de Langres,
    • ~1704-1728 : Olivier-Cernin Ninon de la Forêt, prieur de Saint-Pierre,
    • 1728-1729 : Henri de Carbonnière, archidiacre et prieur de Saint-Pierre,
    • 1729-1737 : Jean de Carbonnière,
    • 1737-1791 : Louis de Carbonnière, prieur de Saint-Pierre ;
  • le prieuré Saint-Pierre, qui dépendait de l'abbaye de Saint-Claude.

Aux environs :

La chapelle Sainte-Germaine.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Bar-sur-Aube Blason
D'azur à une bande d'argent accompagnée de deux doubles cotices d'or potencées et contre-potencées[78].
Détails
Ce blason est en fait celui du comté de Champagne[79]. Le site La banque du blason donne le blasonnement suivant : Parti : au 1er de gueules au bar d'argent, au 2e d'azur à la bande d'argent accostée de deux cotices potencées et contre-potencées d'or, au chef d'azur chargé de trois abeilles volant d'or.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Bar-sur-Aube » sur Géoportail (consulté le 18 mai 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche communale de Bar-sur-Aube », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  2. Sandre, « l'Aube »
  3. Sandre, « le fossé 01 du Val d'Ardenne »
  4. Sandre, « la Bresse »
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Bar-sur-Aube et Ailleville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Ailleville_sapc », sur la commune d'Ailleville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Ailleville_sapc », sur la commune d'Ailleville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. décrets n°2010-1254 et n°2010-1255 du 22 octobre 2010 relatifs à la prévention du risque sismique et à la délimitation des zones de sismicité
  13. Voies routières
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Bar-sur-Aube », sur insee.fr (consulté le ).
  16. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bar-sur-Aube », sur insee.fr (consulté le ).
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  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
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  21. a b et c Louis Chevalier, Histoire de Bar-sur-Aube, Bar-sur-Aube, (lire en ligne).
  22. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Errance, Paris, 2003, p. 68.
  23. Michel Morvan, « La racine toponymique pré-celtique *bar », Lapurdum. Euskal ikerketen aldizkaria | Revue d'études basques | Revista de estudios vascos | Basque studies review, no 1,‎ , p. 11–20 (ISSN 1273-3830, DOI 10.4000/lapurdum.1848, lire en ligne, consulté le )
  24. A. Roserot, Diplômes carolingiens, p. 26, 56 et n° 16.
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  26. « Bar sur Aube au Moyen Age »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur hgkbachelard.e-monsite.com (consulté le ).
  27. Henri d'Arbois de Jubainville, Histoire des comtes de Champagne, IV, 740.
  28. Cette famille de banquiers lombards ont aussi donné son nom à l'hôtel particulier des Angoiselles à Troyes.
  29. Hubert Collin, « Un important document historique entre aux Archives de Meurthe-et-Moselle », dans Le Pays lorrain, 61e année, 1980, p. 159-162 (lire en ligne).
  30. Alexandre, bâtard de Bourbon qui a formé une bande d'écorcheurs.
  31. « Façade d'entrée sur rue », notice no AP02L15104, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  32. « L'Histoire de Saint-Dizier », sur saint-dizier.fr (consulté le ).
  33. Ernest Badin, Géographie départementale, classique et administrative de la France... suivie d'un dictionnaire descriptif de toutes les communes et localités remarquables du département et accompagnée d'une carte spéciale..., J.J. Dubochet, Le Chevalier et Cie, (lire en ligne).
  34. Recueil des édits, déclarations, arrests, et reglemens, concernans la Ferme Générale des Domaines de France, (lire en ligne).
  35. Bar-sur-Aube en 1939-1945
  36. Simone Daunet Martin
  37. Marcel Perrin
  38. Jacqueline Perrin
  39. Raymonde Perrin
  40. Anastase Schmitt
  41. Félicie Schmitt
  42. Isidore Schmitt
  43. Arch. Nat., Inventaire Lenain, f° 127.
  44. L'Est-Eclair,Sept maires depuis 1947 .
  45. Conseil général de l'Aube mise à jour au 10 avril 2008.
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  50. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  52. Paroisse du Barsuraubois
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  60. Notice no PA00078032, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  61. Notice no PA00078029, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  62. Notice no PA00078035, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  63. Notice no PA00078037, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  64. Notice no PA00078042, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  65. Notice no PA00078038, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  66. Notice no PA00078039, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  67. Aux pays de mes ancêtres
  68. Notice no PA00078031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  69. L'église Saint Pierre de Bar sur Aube
  70. Orgue de l'église Saint-Pierre
  71. « orgue de tribune : buffet d'orgue de l'église paroissiale Saint-Pierre », notice no PM10000170, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  72. Notice no PA00078030, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  73. Notice no PA00078041, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  74. Archives départementales de la Côte-d'Or, H541.
  75. Notice no PA00078040, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  76. « Armand (Jean-François) », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition] [texte sur Sycomore].
  77. Jean-Michel Wavelet, Gaston Bachelard, l'inattendu, l'Harmattan, 2019.
  78. Victor Adolphe Malte-Brun, La France illustrée, 1882.
  79. Blason - Bar-sur-Aube

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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