Association Bernard-Gregory
Forme juridique | Association loi de 1901 |
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But |
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Zone d’influence | France et international |
Fondation | 1980 |
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Fondateur | José Ezratty, Pierre Averbuch |
Siège | Paris, France |
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Personnages clés | Directeur : Dr Vincent Mignotte |
Président | Jean-Luc Beylat |
Vice-président | Sylvie Pommier |
Secrétaire | Marianne Ramaz |
Trésorier | Christophe Lecante |
Membres | nombre inconnu |
Site web | Site Internet |
L’association Bernard Gregory ou ABG est une association française qui affiche comme objectif de préparer et aider à la poursuite de carrière en entreprise des titulaires d'un doctorat. Elle a été fondée en 1980, et nommée d'après le physicien des particules Bernard Gregory.
Histoire
[modifier | modifier le code]L’ABG est née autour du concept de formation par la recherche cher à Bernard Gregory alors qu'en , il dirigeait la Délégation générale à la recherche scientifique et technique (DGRST)[1],[2]. Celui-ci mit sur pied un groupe de travail sur la poursuite de carrière des jeunes scientifiques[3]. En , l’ABG fut créée[4][réf. non conforme],[5] et nommée d'après son nom[5]. Fondée sous l'égide de quatre ministères (éducation, études supérieures, industrie et travail)[2][réf. à confirmer] et plus précisément « la mission de la recherche du ministère des universités, la délégation à l'innovation et la technologie du ministère de l'industrie, le secrétariat général à la formation professionnelle et la délégation générale à la recherche scientifique et technique »[5][réf. à confirmer], tous représentés dans un conseil de 16 membres dont François Furet (de l'EHESS)[6][réf. à confirmer], elle regroupe les 32 Bourses de l'emploi qui s'étaient constituées dans diverses institutions[5][réf. à confirmer] et les systématise[7].
Fin , l’Association Bernard Gregory fait évoluer son rôle dans le contexte du vote de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités, qui vient renforcer la mission d’insertion professionnelle des universités auprès de leurs étudiants, y compris des doctorants, qui peuvent être en insertion professionnelle. Elle devient Intelli'agence[8].
Références
[modifier | modifier le code]- Louis Leprince-Ringuet, « Bernard Gregory est mort Un grand seigneur de la science », Le Monde, (lire en ligne)
- (en) José Ezratty (fondateur et directeur de l'ABG), « Research training and employment for holders of doctorates in France - The activities of the Association Bernard Grégory (ABG) », dans Research training : present & future, Paris, OECD Publications, , 226 p. (lire en ligne), p. 219-226
- Encyclopædia Universalis, « BERNARD GREGORY », sur Encyclopædia Universalis (consulté le )
- Marine de Lassale, Dominique Maillard, Daniel Martinelli, Jean-Jacques Paul et Cathy Perret, De la compétence universitaire à la qualification professionnelle : l'insertion des Docteurs, Centre d'études et de recherches sur les qualifications (CEREQ), , 136 p. (ISBN 9782307141198, lire en ligne)
- Le Monde, « Une association Bernard-Grégory veut favoriser l'emploi des jeunes chercheurs » (annonce de création), Le Monde, vol. 37e année, no 11012, , p. 14 (lire en ligne, consulté le )37e année&rft.pages=14&rfr_id=info:sid/fr.wikipedia.org:Association Bernard-Gregory">
- Sophie Fisher, « L'Association Bernard Gregory » (compte-rendu d'échanges), Journal des anthropologues, vol. Année 1981, , p. 43-44 (lire en ligne, consulté le )
- Coridian et 1992 119.
- « Mobilité professionnelle des docteurs : l’association Bernard Gregory (ABG) devient Intelli’agence », sur www.letudiant.fr, (consulté le )
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Charles Coridian, « L'association Bernard-Grégory », dans Les 3es cycles scientifiques, L'Étudiant, , 231 p. (ISBN 9782867453359), p. 119
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives aux organisations :