Alos-Sibas-Abense
Alos-Sibas-Abense | |||||
L'église de l'Assomption d'Alos | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays basque | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Iriart 2020-2026 |
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Code postal | 64470 | ||||
Code commune | 64017 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Aloztar | ||||
Population municipale |
320 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 55 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 07′ 12″ nord, 0° 52′ 29″ ouest | ||||
Altitude | Min. 204 m Max. 414 m |
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Superficie | 5,78 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Montagne Basque | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | alos-sibas-abense.com | ||||
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Alos-Sibas-Abense [alɔs sibas abɛ̃s] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune d'Alos-Sibas-Abense se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 62 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 29 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 15 km de Mauléon-Licharre[4], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Tardets-Sorholus (1,1 km), Trois-Villes (1,6 km), Camou-Cihigue (2,5 km), Ossas-Suhare (2,6 km), Lichans-Sunhar (2,9 km), Laguinge-Restoue (3,0 km), Alçay-Alçabéhéty-Sunharette (3,8 km), Sauguis-Saint-Étienne (3,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Alos-Sibas-Abense fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[8],[9]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[10]. Elle se divise en Arbaille, Basse-Soule et Haute-Soule, dont fait partie la commune.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Camou-Cihigue, Alçay-Alçabéhéty-Sunharette, Laguinge-Restoue, Lichans-Sunhar, Ossas-Suhare, Tardets-Sorholus et Trois-Villes.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est drainée par le Saison, l'Apoura, le ruisseau Elgalarena, Ardünka erreka, un bras du Saison, Ilhardoiko erreka, Jaga erreka, le ruisseau de Laritolle, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 9,54 km de longueur totale[12],[Carte 1].
Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Autevielle-Saint-Martin-Bideren, après avoir traversé 31 communes[13].
L'Apoura, d'une longueur totale de 18 km, prend sa source dans la commune de Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut et s'écoule du sud-ouest vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Saison sur le territoire communal à quelques centaines de mètres au nord du bourg, après avoir traversé 3 communes[14].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et basque[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[16].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 458 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[17]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Licq-Athérey à 6 km à vol d'oiseau[18], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 528,1 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le Saison (cours d'eau) »[23],[Carte 2], un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[24],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du Gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[25].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Alos-Sibas-Abense est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[26]. Elle est située hors unité urbaine[1] et hors attraction des villes[27],[28].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (67,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (58,2 %), forêts (32 %), prairies (5,7 %), zones urbanisées (4,1 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
[modifier | modifier le code]16 quartiers composent la commune d'Alos-Sibas-Abense[30] :
Alos
[modifier | modifier le code]- Gañeko ürrüpera
- Peko ürrüpera
- Kharrika
- Txorikhantagia (Txorikantagia sur les cartes IGN)
- Zamalgaña (Samalgagna sur les cartes IGN)
Sibas
[modifier | modifier le code]- Antsola (Ansola sur les cartes IGN)
- Kharrika
- Khürütxeta (Kürütxeta sur les cartes IGN)
- Ohitxe (Ohitxea sur les cartes IGN)
Abense
[modifier | modifier le code]- Jaga
- Papeterialtea (La Papeterie sur les cartes IGN)
- Zümatzea
- Kharrika
- Ezkieta
- Irigaraigañea
- Zezentze
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune d'Alos-Sibas-Abense est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Saison et l'Aphura. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992 et 2009[33],[31].
Alos-Sibas-Abense est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[34]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[35],[36].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[37]. 70,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[38].
Risque technologique
[modifier | modifier le code]La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 7]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[40].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations anciennes
[modifier | modifier le code]Le toponyme Alos est mentionné en 1327[41], 1338[41] puis en 1375[42] dans les contrats de Luntz[43] pour cette dernière date, en 1405[42],[41] dans les rôles gascons (Alos in terra de Soule), puis en 1690[41].
Le toponyme Sibas apparaît sous les formes Sivas (1178[42],[41], collection Duchesne volume CXIV[44], 1327[41] et 1690[41]) et Sent-Martin de Sibas (1520[42],[41], coutume de Soule[45] et 1690[41]).
La forme basque est Ziboz(e) ou Ziborotz(e)[41].
Le toponyme Abense apparaît sous les graphies Evense[41], Abense prope Tardetz (1385[42], collection Duchesne volume CXIV[44]), Avense pres Tardets (1520[41]), prop Tardetz Avense (1690[41]) et Abeuze (1801[46], Bulletin des lois).
Jean-Baptiste Orpustan[41] avance que le toponyme provient d'un changement en phonétique romane de l’étymon basque Oniz > onise > oénse > auénse > abense. La base du nom est l’oronyme ona, présent également dans Bayonne et Oneix. La forme basque moderne (Onizegañia[41], Onizegañe[41] ou Omiz(e)[41]) reprend l’expression de haut (gain(e)a > gañia).
Brigitte Jobbé-Duval[47] indique qu'Oniz est le nom d’une maison basque noble.
Autres toponymes
[modifier | modifier le code]Domec est un fief d’Alos-Sibas, dans le hameau de Sibas. Il est mentionné en 1385[42] (collection Duchesne volume CXIV[44]). Le fief dépendait de la vicomté de Soule et son titulaire comptait parmi les dix potestats de cette province.
Mendisquer est un fief d’Alos-Sibas, vassal de la vicomté de Soule, qui apparaît sous la graphie Menrisqueta en 1385[42] (collection Duchesne volume CXIV[44]).
La Salle désignait une ferme et un fief d’Alos-Sibas dépendant de la vicomté de Soule. Le toponyme est mentionné en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[42] et apparaît sous la graphie La Sale de Sibas (1455, collection Duchesne volume CXIV[44]).
Graphie basque
[modifier | modifier le code]Son nom basque actuel est Aloze-Ziboze-Onizegaine[48]. Son nom gascon est Alòs, Sibàs e Avensa[49].
Histoire
[modifier | modifier le code]Sibas s'est unie à Alos le [50] pour former Alos-Sibas.
Le [51], à la suite de l'annexion d'une partie du territoire d'Abense-de-Haut, la commune prend le nom d'Alos-Sibas-Abense.
La commune d'Abense-de-Haut disparaît ce même jour, son territoire étant partagé entre Alos-Sibas et Tardets-Sorholus.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Avant 1843
[modifier | modifier le code]Alos
[modifier | modifier le code]Sibas
[modifier | modifier le code]Abense-de-Haut
[modifier | modifier le code]Avant 1859
[modifier | modifier le code]Alos-Sibas
[modifier | modifier le code]Abense-de-Haut
[modifier | modifier le code]Après 1859
[modifier | modifier le code]Alos-Sibas-Abense
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale, du SIVOM du canton de Tardets,, du SIVU de l'école de Tardets et du SIVU chargé du tourisme en Haute-Soule et Barétous[52].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Le nom des habitants est Aloztar[47],[48].
Avant 1843
[modifier | modifier le code]1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | |
---|---|---|---|---|---|---|
Alos[53] | 188 | 212 | 218 | 213 | 223 | 223 |
Sibas[54] | 122 | 110 | 105 | 137 | 133 | 130 |
Abense-de-Haut[46] | 290 | 327 | 322 | 291 | 394 | 406 |
Le , Sibas et Alos sont réunies pour former Alos-Sibas.
Avant 1859
[modifier | modifier le code]1841 | 1846 | 1851 | |
---|---|---|---|
Alos-Sibas | 360 | 354 | 316 |
Abense-de-Haut | 375 | 365 | 364 |
Le , une partie d'Abense-de-Haut est réunié à Alos-Sibas pour former Alos-Sibas-Abense. L'autre partie d'Abense-de-Haut est réunie avec Sorholus à Tardets.
Après 1859
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1856. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[56].
En 2021, la commune comptait 320 habitants[Note 8], en évolution de 2,56 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : 3,43 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une école, l'école primaire privée Basabürüa-Ikastola[58]. Cette école propose un enseignement basque par immersion.
La commune dispose d'un pôle petite enfance (halte garderie, crèche) et d'une ikastola.
Économie
[modifier | modifier le code]L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (élevage et pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]-
Vieilles stèles basques à Alos.
-
L'église Saint-Martin-de-Tours de Sibas
-
Vieille stèle basque à Sibas.
-
Stèle discoïdale à Abense.
Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]Maison Etchandia, ancienne propriété de la famille d'Etchandy puis de la famille de Berterèche de Menditte.
La Salle d'Abense propriété de la famille Montjean.
Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]- Église de l'Assomption d'Alos. L'église est dédiée à l'Assomption de Marie.
- Église Saint-Julien-d'Antioche d'Abense d'Haut. L'église est dédiée à saint Julien d'Antioche.
- Église Saint-Martin-de-Tours de Sibas. L'église est dédiée à saint Martin de Tours.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement :
D’or au pont d’argent de trois arches d’argent, maçonné de sable posé sur une champagne fascée ondée d’azur et d’argent et surmonté d’un soleil virgulé de huit rais de gueules; le tout sur une champagne tiercée en pal au 1er d’or à la tour de sable ouverte et ajourée du champ, au 2e de gueules à la plume d’argent dans un encrier de sable, au 3e d’azur à trois virgules d’argent rangées en chef.
Commentaires : Devise : «atzotik biharrera» (d'hier à demain).
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Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[39].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
- « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Alos-Sibas-Abense », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Alos-Sibas-Abense », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- Stephan Georg, « Distance entre Alos-Sibas-Abense et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Alos-Sibas-Abense et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Alos-Sibas-Abense et Mauléon-Licharre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Alos-Sibas-Abense », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale d'Alos-Sibas-Abense », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Saison ».
- Sandre, « l'Apoura ».
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Alos-Sibas-Abense et Licq-Athérey », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Licq-Atherey » (commune de Licq-Athérey) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Licq-Atherey » (commune de Licq-Athérey) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Alos-Sibas-Abense », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Alos-Sibas-Abense », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « réseau hydrographique du Gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- [1]
- « Les risques près de chez moi - commune d'Alos-Sibas-Abense », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr, (consulté le ).
- « Réglementation-usages du feu à l’air libre - obligations légales de débroussaillement - département 64 », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr date=16 septembre 2022 (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 2-86781-396-4 et 9782867813962, lire en ligne), p. 189 à 191.
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- Contrats retenus par Luntz, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
- Coutume de Soule de 1520, imprimée à Pau en 1760
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Abense », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9).
- Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
- Toponymie occitane des communes de la communauté d'agglomération du Pays Basque, https://lengasocietat.eu/fr/2023/01/12/noms-des-communes-basques-en-gascon/ et https://dicodoc.eu/oc/toponimia
- Ordonnance du 23 octobre 1843 (Bulletin des lois de la République française).
- Loi du 16 avril 1859 (Bulletin des lois de la République française).
- Comersis, « Liste des groupements d'Alos-Sibas-Abense ».
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Sibas », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Alos-Sibas-Abense (64)}}.