Akera Kankō
Apparence
Akera Kankō
Yoriki Sakitegumi (d) |
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Naissance | |
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Décès |
ou |
Nom dans la langue maternelle |
朱楽菅江 |
Nationalité | |
Activités |
Akera Kankō (朱楽 管江 ), (, ), nom véritable : Yamazaki Gōnosuke (山崎 郷助 )[1] est un poète japonais.
Akera est avec Ōta Nampo, (Yomo no Akara) et Karagoromo Kisshū, l'un des trois maîtres du kyōka (kyōka sandaika) durant l'ère Tenmei (1781–1789)[2],[3]. Le kyoka est une forme de poésie humoristique qui tire son effet de l'incongruité de la question traitée avec la langue utilisée.
Certains de ses poèmes se trouvent dans le Tsutaya Jūzaburō, paru vraisemblablement en 1789[4].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) Masashi Kobayashi, « Senryū : Japan’s Short Comic Poetry », dans Jessica Milner Davis, Understanding Humor in Japan, Wayne State University Press, (ISBN 978-0-8143-3165-1, lire en ligne), p. 115
- (en) Haruo Shirane, Early Modern Japanese Literature: An Anthology, 1600–1900, Columbia University Press, (ISBN 978-0-231-10991-8, lire en ligne), p. 25 8
- Jun Ishikawa (trad. du japonais par R. Shaldjian Morrison), On the Thought of the People of Edo [« Edojin no hassōhō ni tsuite »] (lire en ligne), p. 11
- (en) « The Shell Book: One of the Most Beautiful Books Ever Published », Treasures of The New York Public Library, The New York Public Library
Source de la traduction
[modifier | modifier le code]- (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Akera Kankō » (voir la liste des auteurs).