Abron (langue)
Apparence
Abron | |
Pays | Ghana, Côte d'Ivoire |
---|---|
Nombre de locuteurs | 1 170 000 au Ghana (2013) et 223 000 en Côte d’Ivoire (2017)[1] |
Classification par famille | |
|
|
Codes de langue | |
IETF | abr
|
ISO 639-3 | abr
|
Glottolog | abro1238
|
modifier |
L’abron (ou brong, bron, doma, gyaman) est une langue kwa de la grande famille des langues nigéro-congolaises. Elle est parlée par plus d'un million de personnes, par les Abrons, principalement au Ghana, également en Côte d’Ivoire. On la classe parmi les langues akan.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- (en) F. Abena Dolphyne, « The Brong (Bono) dialect of Akan », in Kwame Arhin (dir.), A profile of Brong kyempim : essays on the archaeology, history, language and politics of the Brong peoples of Ghana, University of Ghana, 1979, p. 88-118 (Actes d'un séminaire de 1973)
- Georges Hérault (dir.), Atlas des langues kwa de Côte d'Ivoire, Université d'Abidjan, Institut de linguistique appliquée, 1982 (ISBN 978-2-7166-0228-0)
- Maurice Delafosse, Vocabulaires comparatifs de plus de 60 langues ou dialectes parlés à la Côte d'Ivoire et dans les régions limitrophes : avec des notes linguistiques et ethnologiques, une bibliographie et une carte, Paris, E. Leroux, 1904, 284 pp.
- Michel de la Vergne de Tressan, Inventaire linguistique de l'Afrique occidentale française et du Togo, Swets & Zeitlinger, 1972, 240 pp.
Filmographie
[modifier | modifier le code]- Côte d'Ivoire : le bron, court-métrage documentaire de la série Ces langues qui ne veulent pas mourir, réalisé par Rozenn Milin, 2013, 5 min 37, diffusé sur ARTE en 2013
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- (en) Fiche langue
[abr]
dans la base de données linguistique Ethnologue. - (en) Fiche langue
[abro1238]
dans la base de données linguistique Glottolog. - (en) Sources d'information sur le site de l'OLAC.
- (en) « Communicating nominatim : Some social aspects of Bono personal names » (article de Kwasi Ansu-Kyeremeh dans Research Review, New Series, 16.2, 2000, p. 19-33)