1924 en dadaïsme et surréalisme
Apparence
Cet article présente les faits marquants de l'année 1924 en dadaïsme et surréalisme.
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Éphémérides
[modifier | modifier le code]Janvier
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André Breton rencontre Georges Limbour qui le présente aux artistes de la Rue Blomet (Alberto Giacometti, André Masson, ...)[1].
Février
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André Breton, Les Pas perdus, recueil de textes écrits entre 1918 et 1923[2].
- Louis Aragon, Le Libertinage, recueil de textes écrits depuis 1918[3].
Dans une lettre adressée à Jacques Doucet, Breton le persuade à acheter l'esquisse du Cirque de Georges Seurat : « Je suis en ce moment tout à Seurat et je ne parle guère d'autre chose : Seurat et Picasso, voilà tout de même à notre époque les grands prospecteurs [...] que ne peut-on attendre en peinture du prochain coup de génie. »[4]
Première exposition du parisienne du peintre André Masson à la galerie Simon. Breton y achète Les Quatres éléments[4].
Mars
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Paul Eluard embarque à Marseille pour un voyage autour du monde[5].
Paul Eluard, Mourir de ne pas mourir. Noté en exergue : « Pour tout simplifier je dédie mon dernier livre à André Breton. »[5]
Mai
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Représentation houleuse de L'Étoile au front de Raymond Roussel. Robert Desnos présent réplique à un spectateur : « Nous sommes la claque et vous êtes la joue. »[6]
Première représentation de Mouchoir de nuages, tragédie en quinze actes de Tristan Tzara au Théâtre de la Cigale à Paris[7].
- Au départ de Blois (Loir-et-Cher), ville choisie au hasard, Aragon, Breton, Max Morise et Roger Vitrac tentent de « partir sur les routes » au gré de l'inspiration[8].
- Dans sa revue 391, Francis Picabia tente de lancer le « super-réalisme »[9].
Juin
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Les surréalistes assistent à la représentation du ballet Mercure dont les décors ont été créés par Pablo Picasso (musique d'Erik Satie). Seul Francis Picabia affiche sa détestation de « l'autre Espagnol »[10].
- Débuts au cinéma d'Antonin Artaud dans un court métrage de Claude Autant-Lara, Fait divers[11].
- Dernier numéro de Littérature dans lequel paraît un inédit d'Arthur Rimbaud, Un cœur sous une soutane. « Les collaborateurs habituels de cette revue ont l'intention de se consacrer au surréalisme dans la poésie et surtout dans la vie. »[12]
Juillet
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Dans Le Journal littéraire, Breton déclare : « Le surréalisme est à l'ordre du jour et Desnos est son prophète. »[13]
- Dans sa revue Surréalisme, Yvan Goll publie un Manifeste du surréalisme dans la tonalité « Esprit nouveau » de Guillaume Apollinaire ainsi qu'un programme pour un « théâtre surréaliste »[14] : « La réalité est à la base de tout grand art ; la transposition de la réalité dans un plan supérieur (artistique) constitue le Surréalisme. »[15]
- En vacances à Lorient, Breton corrige les épreuves du futur Manifeste du surréalisme et fait la connaissance de Pierre Naville[12].
- Décision prise par le groupe surréaliste parisien de manifester son existence par la publication d'une nouvelle revue intitulée La Révolution surréaliste[10].
Août
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Le Journal littéraire publie une lettre de Breton contre Yvan Goll et Paul Dermée qui veulent s'attribuer la paternité du mot surréalisme[16].
Le quotidien L'Éclair publie un appel de Breton en faveur d'André Malraux emprisonné à Saïgon. Soupçonné de trafic d'œuvres archéologiques, il a été arrêté à Angkor[10].
Septembre
[modifier | modifier le code]- 1er septembre
Antonin Artaud, Correspondance avec Jacques Rivière publié dans la NRF. À sa demande, son nom est remplacé par trois astérisques[17].
Octobre
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Ouverture du Bureau de recherches surréalistes[10] : « Ce bureau s'emploie à recueillir par tous les moyens appropriés les communications relatives aux diverses formes qu'est susceptible de prendre l'activité inconsciente de l'esprit. » Extrait du communiqué de presse. Le bureau est situé au 15 rue de Grenelle, à l'hôtel de Berulle, dans un local prêté par le père de Pierre Naville, propriétaire de l'hôtel[18].
André Breton, Manifeste du surréalisme & Poisson soluble[10].
En réaction aux funérailles nationales faites à l'écrivain Anatole France (mort le ), Aragon, Breton, Joseph Delteil, Robert Desnos, Pierre Drieu la Rochelle et Eluard publient une série de textes regroupés sous le titre Un cadavre[10]. Aragon et Drieu la Rochelle sont à l'origine de ce pamphlet. Drieu La Rochelle finance l'opération[19].
Aragon : « Avez-vous déjà giflé un mort ? Certains jours j'ai rêvé d'une gomme à effacer l'immondice humaine. »
Breton : « Loti, Barrès, France, marquons tout de même d'un beau signe blanc l'année qui coucha ces trois sinistres bonshommes : l'idiot, le traître et le policier. Avec France, c'est un peu de la servilité humaine qui s'en va. Que soit fête le jour où l'on enterre la ruse, le traditionalisme, le patriotisme et le manque de cœur ! »[20]
Jacques Doucet, scandalisé, renvoie Aragon tandis que ses relations avec Breton se refroidissent.
- Breton rend visite à André Masson[10],[21] dans son atelier de la rue Blomet (Paris, 15e arrdt). Ce dernier adhère aussitôt au groupe surréaliste.
- Rencontre Breton / Artaud. Lettre de Simone Breton à Denise Lévy : « [Artaud], beau comme une vague, sympathique comme une catastrophe. »
Artaud : « J'ai fait connaissance avec tous les dadas qui voudraient bien m'englober dans leur dernier bateau Surréaliste, mais rien à faire. Je suis beaucoup trop surréaliste pour cela. Je l'ai d'ailleurs toujours été, et je sais, moi, ce que c'est que le surréalisme. C'est le système du monde et de la pensée que je me suis fait depuis toujours. Dont acte. »[10]
- Retour d'Eluard[10]. Breton : « Alors il m'a mis un petit mot, qu'il m'attendait hier [au café] Cyrano, ni plus ni moins. C'est bien le même, à n'en pas douter. Des vacances, quoi. »[22]
- Parution à Bucarest du premier numéro de la revue 75 HP créée par Victor Brauner et Ilarie Voronca. Y figure le Manifeste de la picto-poésie[23].
- Dans le nouveau numéro de la revue 391 sous-titrée Journal de l'instantanéisme, pour quelque temps, Francis Picabia s'en prend à André Breton : « Tzara écrivait des œuvres extrêmement personnelles où Breton a puisé sans scrupules pendant qu'il se prosternait aux pieds de Gide et faisait des avances à Blaise Cendrars. »[24]
Novembre
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Arrivée à Paris de Giorgio De Chirico. Rencontre avec André Breton, enthousiaste, quelques jours après. Cependant, étonnement de ce dernier quand De Chirico déclare n'aimer ni la poésie d'Eluard ni Gala[25].
À Bruxelles, publication d'une feuille qui tient à la fois du tract et de la revue, intitulée Du Bleu 1, signée Paul Nougé mais écrite collectivement par Camille Goemans et Marcel Lecomte : « On conquiert le monde, on le domine, on l'utilise ; ainsi, tranquille et fier, un beau poisson tourne dans ce bocal (réponse à une enquête sur le modernisme). »[26]
- Francis Picabia (scénario) & Erik Satie (musique), Relâche, ballet donné au théâtre des Champs-Élysées, avec la projection du film de René Clair Entr'acte : y apparaissent Marcel Duchamp, Picabia et Man Ray[27]. Commentaire de Picabia : « Ce film est destiné à faire sortir le public de la salle. »[28]
- Michel Leiris et Roland Tual rejoignent le groupe surréaliste[29].
Décembre
[modifier | modifier le code]- 1er décembre
Parution du premier numéro de la revue La Révolution surréaliste dirigée par Pierre Naville et Benjamin Péret[30] : « Le surréalisme ouvre les portes du rêve à tous ceux à qui la nuit est avare, le surréalisme est le carrefour des enchantements […] mais il est aussi le briseur de chaîne […] La Révolution… La Révolution… Le réalisme, c'est émonder les arbres, le surréalisme, c'est émonder la vie. »[31]
Jacques Doucet achète Demoiselles d'Avignon de Pablo Picasso. Pour Breton : « [C'est] l'événement capital du XXe siècle. Voilà le tableau qu'on promenait, comme autrefois la Vierge de Cimabue, à travers les rues de notre capitale, si le scepticisme ne l'emportait pas sur les grandes vertus particulières par lesquelles notre temps accepte d'être, malgré tout. Il me paraît impossible d'en parler autrement que d'une façon mystique […] c'est un symbole pur, comme le tableau chaldéen, une projection intense de cet idéal moderne que nous n'arrivons à saisir que par bribes... »[32]
Visite de Lise Meyer, (future Deharme), au Bureau de recherches surréalistes. Coup de foudre de Breton.
Elle donne au bureau « un des étonnants gants bleu ciel qu'elle porte. »[33]
- Robert Desnos, Deuil pour deuil, premier livre édité chez Simon Kra[13].
- Louis Aragon, Une vague de rêve[réf. nécessaire]
Cette année-là
[modifier | modifier le code]- Georges Bataille et Michel Leiris se rencontrent et se lient d’amitié[34].
- Joë Bousquet adhère au groupe : « Je n'aurais pas élevé la voix à mon tour, ni jamais pris au sérieux les seules aspirations qui me font un bien précieux de ma vie ici-bas, si je n'avais rencontré Paul Eluard et André Breton, et si je n'étais devenu leur ami. »[35]
- Naissance officielle du groupe surréaliste dont les réunions quotidiennes se déroulent au café le Cyrano près de la rue Fontaine.[réf. nécessaire]
- Dernier numéro de la revue 391[36].
Œuvres
[modifier | modifier le code]- Louis Aragon
- Jean Arp
- L'Horloge, bois découpés, peints et collés[39]
- Der Pyramidenrock, poèmes avec un portrait de l'auteur par Amedeo Modigliani[40]
- Torse à la tête de fleur, bois découpés, peints et collés[41]
- Antonin Artaud
- Correspondance avec Jacques Rivière
- Jacques Baron
- Victor Brauner & Ilarie Voronca
- Manifeste de la picto-poésie
- André Breton
- Manifeste du surréalisme et Poisson soluble, éditions du Sagittaire chez Simon Kra, achevé d'imprimer le 15 octobre[43] : « SURRÉALISME. Nom masculin. Automatisme psychique pur par lequel on se propose d’exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale.
Encycl. Philos. Le surréalisme repose sur la croyance à la réalité supérieure de certaines formes d’associations négligées jusqu’à lui, à la toute-puissance du rêve, au jeu désintéressé de la pensée. Il tend à ruiner définitivement tous les autres mécanismes psychiques et à se substituer à eux dans la résolution des principaux problèmes de la vie. »[44] - Les Pas perdus, textes en prose, édition la NRF, achevé d'imprimer le 5 février[43] : « Il ne sera pas dit que le dadaïsme aura servi à autre chose qu'à nous maintenir dans cet état de disponibilité parfaite où nous sommes et dont maintenant nous allons nous éloigner avec lucidité vers ce qui nous réclame ! »
- Manifeste du surréalisme et Poisson soluble, éditions du Sagittaire chez Simon Kra, achevé d'imprimer le 15 octobre[43] : « SURRÉALISME. Nom masculin. Automatisme psychique pur par lequel on se propose d’exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale.
- Giorgio De Chirico
- Mélancolie d'une rue, huile sur toile[45]
- René Clair
- Entr'acte, scénario de Francis Picabia, musique de Erik Satie
- Salvador Dalí
- Portrait de Luis Buñuel, huile sur toile
- Robert Desnos
- Deuil pour deuil
- Arthur Garfield Dove
- Rain, huile sur toile et collage[46]
- Marcel Duchamp
- Moustiques domestiques demi-stock, collage[47]
- Marcel Duchamp et Man Ray
- Viking Eggeling & Hans Richter
- Rhythmus 21
- Symphonie diagonale, courts-métrages[49]
- Paul Eluard
- Mourir de ne pas mourir : « Elle est debout sur mes paupières / Et ses cheveux sont dans les miens / Elle a la forme de mes mains / Elle a la couleur de mes yeux / Elle s'engloutit dans mon ombre / Comme une pierre sur le ciel. »
- Max Ernst
- Yvan Goll
- Manifeste du surréalisme
- John Heartfield
- Après 10 ans : pères et fils, photomontage[55]
- Hannah Höch
- Rythme, huile sur toile[56]
- Marcel Janco
- Le Poilu, huile et collage[57]
- André Masson
- Homme, huile sur toile achetée par Antonin Artaud[58] et décrite dans le texte Un ventre fin : « Un ventre fin. Un ventre de poudre ténue et comme en image. Au pied du ventre, une grenade éclatée. »
- Les Quatre éléments, huile sur toile[59]
- Pierre de Massot
- Réflexions on Rose Selavy[60]
- Joan Miró
- Bouquet de fleurs (sourire de ma blonde), huile sur toile[61]
- La Bouteille de vin, huile sur toile[62]
- L'Ermitage, huile sur toile[61]
- Maternité, huile sur toile[63]
- Olée, huile sur toile[64]
- Paysage catalan (Le Chasseur), huile sur toile[65]
- Paysan catalan à la guitare, huile sur toile[66]
- Terre labourée, huile sur toile[67]
- Georges Papazoff
- L'Esprit d'une source, peinture[68]
- Benjamin Péret
- Immortelle maladie
- Francis Picabia
- Caravansérail, roman
- La Femme au monocle, huile sur toile[69]
- Francis Picabia & Erik Satie
- Relâche, ballet
- Pablo Picasso
- Guitare, collage[70]
- Man Ray
- Le Violon d'Ingres, épreuve aux sels d'argent rehaussée à la mine de plomb et à l'encre de Chine et contrecollée sur papier[71]
- Jean Renoir
- La Fille de l'eau, film, avec la participation d'André Derain, dont la séquence onirique impressionne les surréalistes[72].
- Georges Ribemont-Dessaignes
- L'Autruche aux yeux clos
- Kurt Schwitters
- Philippe Soupault
- Les Frères Durandeau
- Tristan Tzara
- Sept manifestes Dada Lampisterie, avec des dessins de Francis Picabia[75]
Notes et références
[modifier | modifier le code]- André Breton : la beauté convulsive, éditions du Centre Pompidou, Paris 1991 (ISBN 2-85850-567-5), p. 170.
- André Breton, Œuvres complètes, tome 1, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, Paris, 1988 (ISBN 2-07-011138-5), p. XLVIII & p. 266.
- Paul Eluard, Poésies complètes, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, Paris, 1968, p. LXIII.
- André Breton : la beauté convulsive, p. 170.
- Eluard, p. LXIII.
- Robert Desnos, Œuvres, Gallimard, collection Quarto, 1999 (ISBN 2-07-075427-8), p. 1358.
- Marc Dachy, Archives Dada. Chroniques, éditions Hazan, Paris, 2005 (ISBN 2-7541-0009-1), p. 534.
- Breton, OC1, p. XLVIII.
- Alain & Odette Virmaux, Les Grandes figures du surréalisme international, éditions Bordas, Paris, 1994, p. 20.
- Breton, OC1, p. XLIX.
- Antonin Artaud, Œuvres, 2004, Gallimard, collection Quarto (ISBN 2-07-076507-5), p. 1718.
- André Breton : la beauté convulsive, p. 171.
- Desnos, p. 1359.
- Adam Biro et René Passeron, Dictionnaire général du surréalisme et de ses environs, Office du livre/Presses universitaires de France, (ISBN 2-13-037280-5), p. 186-187.
- Pour les détails de cette polémique, voir Marguerite Bonnet, André Breton. Naissance du surréalisme, José Corti, p. 323 et suivantes.
- Breton, OC1, p. LXIV.
- L'usage de l'astéronyme a été pratiqué en 1886 à l'occasion de la publication du Premier chant des Chants de Maldoror. Jean-Luc Steinmetz dans sa préface à l'édition complètes des œuvres de Lautréamont, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, Paris, 2009, p. XII.
- Breton, OC1, p. 481 & p. 1451.
- Georges Sebbag, André Breton l'amour-folie, éditions Jean-Michel Place, 2004, p. 72.
- Refus d'inhumer repris dans Point du jour (1934).
- Dans Sarane Alexandrian, L'Art surréaliste, Éditions Hazan, Paris, 1969, p. 66, cette rencontre est située au printemps de cette même année : Breton venait d'acheter Les Quatre éléments.
- Lettre à Marcel Noll du 7 octobre 1924 citée dans Henri Béhar, André Breton le grand indésirable, éditions Fayard, Paris, 2005, édition revue et ressourcée (première édition chez Calmann-Lévy, 1990 (ISBN 2-7021-1584-5), p. 189.
- Laurent Le Bon (sous la direction de), Dada, Éditions du Centre Pompidou, Paris, 2005, p. 61. Reproduction de la couverture réalisée par V. Brauner dans Dachy 2005, p. 352.
- Dachy 2005, p. 535.
- André Breton : la beauté convulsive, p. 173.
- Cette série de publications s'achèvera le 20 juin 1925 après 22 numéros avec Nakin 22. Reproduction de Bleu 1 et de Rouge 16 dans Xavier Canonne, Le Surréalisme en Belgique. 1924-2000, éditions Actes Sud, Arles, 2007, p. 17.
- Serge Lemoine, Dada, Hazan, Paris, 1991-2005, p. 80.
- Le Bon, p. 264.
- Georges Bataille & Michel Leiris Échanges et correspondances, Éditions Gallimard, Paris, 2004, p. 71.
- Breton, OC1, p. L et reproduction de la couverture dans René Passeron, Surréalisme, 2005, éditions Terrail/Edigroup (ISBN 2-87939-297-7), p. 53.
- Pierre Daix, La Vie quotidienne des surréalistes (1917-1932), éditions Hachette, Paris, 1993, p. 8.
- Breton, OC1, p. XLIX et Béhar, p. 191.
- Breton, OC1, p. 679 et Sebbag, p. 61
- Georges Bataille & Michel Leiris, Échanges et correspondances, Éditions Gallimard, Paris, 2004, p. 53.
- Biro & Passeron, p. 61.
- Lemoine, p. 92.
- Réédition Gallimard, collection L'Imaginaire, Paris, 2006 (ISBN 2-07-029774-8).
- Cité dans Alexandrian, p. 47.
- Reproduction dans José Pierre, L'Univers surréaliste, Somogy, Paris, 1983, p. 137.
- Le Bon, p. 149.
- Reproduction dans Marcel Jean, Histoire de la peinture surréaliste, 1959, éditions du Seuil, p. 70.
- Biro & Passeron, p. 18 & p. 47.
- Breton, OC1, p. LX.
- Breton, OC1, p. 328.
- Reproduction dans Agnès Angliviel de la Beaumelle, Yves Tanguy, Centre Pompidou, Paris, 1982, p. 48.
- Reproduction dans Le Bon, p. 117.
- Reproduction dans André Breton, Le Surréalisme et la Peinture, Gallimard, 1928-1965, p. 91.
- 29,5 × 19,5 cm. Reproduction dans Beaux Arts Magazine no 126, septembre 1994, p. 111.
- Le Bon, p. 117.
- Philippe Audoin, Les Surréalistes, Gallimard, 1979, p. 24.
- Reproduction dans Gabriele Crepaldi, L'Art moderne 1900-1945, Gründ, 2006, p. 209.
- Museum of Modern Art, New York. Breton 1965, p. 24.
- Werner Spies, La Révolution surréaliste, éditions du Centre Pompidou, Paris, 2002, p. 130.
- 21 × 27 cm. Reproduction dans Connaissance des arts no 675, octobre 2009, p. 114.
- Reproduction dans Lemoine, p. 49.
- Reproduction dans Aurélie Verdier, L'ABCdaire de Dada, éditions Flammarion, 2005, p. 52.
- 69 × 49 cm, Israël Museum, Jérusalem. Reproduction dans Dachy 2005, p. 31.
- Tableau disparu. Jean-Paul Clébert, Dictionnaire du Surréalisme, Éditions du Seuil & A.T.P., Chamalières, 1996 (ISBN 978-2-02-024588-3), p. 11.
- Reproduction dans Passeron, p. 58.
- Jean-Louis Bédouin, La Poésie surréaliste, Seghers, Paris, 1964, p. 285.
- Spies, p. 138.
- Spies, p. 136.
- Reproduction dans Gaëtan Picon, Le Surréalisme 1919-1939, 1976, éditions Albert Skira (ISBN 2-605-00021-4), p. 106.
- Collection Goldschmidt, Bruxelles. Reproduction dans Alexandrian, p. 77.
- Cité dans Alexandrian, p. 73 et reproduction dans Jean, p. 155.
- 146 × 115 cm. Museo Thyssen-Bornemisza, Madrid. Reproduction dans L'Œil no 642, janvier 2012, p. 55.
- Reproduction dans Breton 1965, p. 37.
- Cité par Biro & Passeron, p. 316.
- Reproduction dans Jean, p. 145.
- Reproduction dans André Breton : la beauté convulsive, p. 260.
- Paris, MNAM. Reproduction dans Connaissance des arts no 658, mars 2008, p. 83.
- Édité en DVD en 2006 par Studio Canal.
- Reproduction dans Le Bon, p. 115.
- 10,4 × 13 cm. Paris, MNAM. Reproduction dans Beaux Arts magazine no 82, septembre 1990, p. 56.
- Le Bon, p. 99.