11th Hour Racing-Mālama
Groupe Dubreuil (depuis juillet 2023) | |
Groupe Dubreuil-Les Sables-d'Olonne-Vendée au Havre, avant la Transat Jacques-Vabre 2023 | |
Autres noms | • 11th Hour Racing-Mālama • 11th Hour Racing Team-Mālama |
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Type | voilier monocoque |
Classe | Imoca |
Fonction | course au large |
Histoire | |
Architecte | Verdier |
Chantier naval | CDK Technologies et Mer Concept |
Design | prototype |
Lancement | 2021 |
Équipage | |
Équipage | un, deux ou quatre marins |
Caractéristiques techniques | |
Longueur | 20,80 m hors tout |
Longueur de coque | 18,28 m |
Longueur flottaison | 17,50 m |
Maître-bau | 5,50 m |
Tirant d'eau | 4,50 m |
Tirant d'air | 29 m |
Déplacement | 10 tonnes |
Hauteur de mât | 27,30 m |
Voilure | • 280 m2 au près • 600 m2 au portant |
Carrière | |
Armateur | 2021-2023 : • 11th Hour Racing Team • depuis juillet 2023 : Groupe Dubreuil Sailing Team |
Port d'attache | • 2021-2023 : Newport (Rhode Island) • depuis juillet 2023 : Les Sables-d'Olonne |
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11th Hour Racing-Mālama de son nom de baptême, appelé parfois 11th Hour Racing Team, est un voilier de la classe Imoca, mis à l’eau le pour l'équipe américaine 11th Hour Racing et son skipper Charlie Enright. Il est le premier Imoca conçu spécialement pour disputer une course en équipage, en l'occurrence The Ocean Race. Il est le second bateau du 11th Hour Racing Team, s'ajoutant à l'Imoca 11th Hour Racing-Alaka'i, mis à l'eau en 2015.
Le , il remporte la course autour du monde The Ocean Race. En juillet, racheté par Sébastien Simon, il devient Groupe Dubreuil-Les Sables-d'Olonne-Vendée.
Historique
[modifier | modifier le code]Contexte
[modifier | modifier le code]Le skipper américain Charlie Enright et le CEO de son équipe, Mark Towill, courent les éditions 2014-2015 et 2017-2018 de la Volvo Ocean Race, course autour du monde par étapes, sur monocoque, en équipage[1]. Tous les bateaux engagés dans l'épreuve, des monotypes VO65 embarquant neuf marins, ont été construits pour ces deux éditions seulement[2]. On prévoit de les remplacer dans le prochain tour du monde — qui va devenir The Ocean Race — par des Imoca[2], prototypes conçus pour la navigation en solitaire, notamment pour le Vendée Globe.
Voulant disputer l'épreuve une troisième fois, l'équipe d'Enright et de Towill achète fin juin 2019 un Imoca, le sixième Hugo Boss d'Alex Thomson, un plan Guillaume Verdier-VPLP mis à l'eau en 2015[3],[4]. Il s'agit de se familiariser avec la navigation sur ce type de foiler très complexe. 1 Degree, l'équipe fondée par Enright et Towill, prend le nom de son sponsor principal, 11th Hour Racing, organisation basée à Newport, dans le Rhode Island[3],[5]. Le bateau devient 11th Hour Racing. Le Français Pascal Bidégorry rejoint l'équipe en tant que co-skipper, en vue du Défi Azimut et de la Transat Jacques-Vabre[6].
Le nouveau bateau
[modifier | modifier le code]En même temps, un projet de bateau neuf est lancé. L'architecte choisi est Guillaume Verdier[1]. Durant l'hiver 2019, la fabrication des moules de coque et de pont commence. Au printemps 2020, les moules arrivent sur deux sites de CDK Technologies, à Port-la-Forêt et à Lorient. La coque est démoulée à la fin de l'année[7]. Les foils, dessinés par Guillaume Verdier, sont également fabriqués chez CDK[7].
En juin 2021, une fois la coque et le pont assemblés à Port-la-Forêt, les techniciens de Mer Concept, la structure de François Gabart, se joignent à l'équipe de CDK[1],[7],[8].
Le bateau est mis à l'eau à Port-la-Forêt le [7]. Son port d'attache va être Newport[9].
Son nom de course va être 11th Hour Racing, comme celui de l'autre Imoca de l'équipe. Pour distinguer les deux bateaux, on les dote en plus de noms hawaïens : le , le bateau de 2015 est baptisé 11th Hour Racing-Alaka'i et celui de 2021 11th Hour Racing-Mālama[10]. Alaka'i est confié à Justine Mettraux et Simon Fischer pour un programme de courses sur le deuxième semestre[11],[12]. Puis il est vendu à Benjamin Dutreux[13].
En juillet 2023, après The Ocean Race, 11th Hour Racing-Mālama est racheté par Sébastien Simon, avec l'appui du Groupe Dubreuil, en vue du Vendée Globe 2024[14]. Il devient Groupe Dubreuil-Les Sables-d'Olonne-Vendée[15].
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]11th Hour Racing est « polyvalent et homogène[9] ». Il répond aux normes de la classe Imoca (longueur 18,28 m, tirant d'air 29 m, etc.) Il a une largeur de 5,50 m et une longueur de flottaison de 17,50 m[16].
C'est un bateau que Pascal Bidegorry trouve « plus puissant et plus engagé » que les Imoca de la précédente génération, et « hyper-violent[17] ».
Différent des autres Imoca
[modifier | modifier le code]Les Imoca sont destinés avant tout au Vendée Globe, tour du monde en solitaire, sans escale, où le skipper doit se ménager des plages de repos. 11th Hour Racing est différent des autres Imoca, explique Bidégorry, car, ayant été conçu pour The Ocean Race, épreuve avec escales et en équipage de quatre marins, il ne fait « aucun compromis sur la puissance et la vitesse […] La seule idée est d'envoyer la puissance. Du coup, quand le bateau accélère, ça pousse, c'est impressionnant : tu passes de 20 à 35 nœuds en un claquement de doigts[18] ! »
Carène
[modifier | modifier le code]« Par rapport à la dernière génération, dit Bidégorry, c’est un bateau beaucoup plus basé sur la puissance, au niveau de la carène[17]. » Celle-ci est dotée d’une étrave de type scow, c'est-à-dire arrondie, et d’un bouchain prononcé[19]. Il s'agit d'éviter l'enfournement, de maintenir l'étrave le plus possible hors de l'eau lors d'une navigation portant VMG — tout en gardant une ligne de flottaison maximale, qui garantit des performances à la fois dans les transitions, dans les vents légers et au reaching[19].
Foils
[modifier | modifier le code]Les tout premiers foils dont est doté 11th Hour Racing sont très grands et puissants. Ce qui signifie « qu'ils poussent très fort très tôt[17] ». Ils sont positionnés un peu plus haut que sur un bateau comme Apivia, ce qui permet de les rétracter un petit peu plus[18], de façon à ce qu'ils soient hors de l'eau lorsque le bateau est à plat[19]. Mais, surtout, le tip (la partie immergée) est très long : le foil rentre plus tôt dans l'eau, le bateau prend de la vitesse plus tôt. « Même dans le petit temps, dit Bidégorry, même si on ne décolle pas, on accélère. Le profil du foil évite la cavitation, la ventilation, des effets perturbants de la performance. Et, au travers, il envoie[18] ! »
Mais cette première paire de foils a été mise au point pour tirer un maximum d'enseignements au niveau de la performance, pour savoir si les marins arriveraient à « gérer l’instabilité du bateau malgré ce surplus de perf, afin de faire ensuite un bilan pour savoir si on a été trop loin ». Une deuxième paire de foils est prévue pour The Ocean Race[17].
Cockpit
[modifier | modifier le code]Premier Imoca conçu pour la navigation en équipage[19],[20], 11th Hour Racing a un cockpit plus spacieux que les autres, presque entièrement fermé. Les quatre marins peuvent s'y mouvoir et y travailler ensemble de manière efficace, avec plus de winches que n'en ont les autres Imoca[19],[18].
Pont et superstructure
[modifier | modifier le code]Le rouf est aérodynamique[9]. Les passavants sont très étroits[19].
Renforcement de la zone de tossage
[modifier | modifier le code]Le bateau va être poussé plus qu'un bateau de navigateur solitaire. Aussi, pour pouvoir naviguer vite dans les conditions de vent fort, le fond est-il renforcé d'une structure supplémentaire dans la zone de tossage (slamming)[19]. Ce qui contribue à donner un bateau lourd (10 tonnes[16]).
Déplacement du poids mort
[modifier | modifier le code]11th Hour semble avoir été conçu pour faciliter le matossage, qui consiste à optimiser l'assiette du bateau en déplaçant le matériel. Charlie Enright explique que l'on a beaucoup réfléchi à cette opération pour la faciliter non seulement de bâbord à tribord, mais aussi d'avant en arrière[19].
Voiles
[modifier | modifier le code]La surface de voilure est de 280 m2 au près et de 600 m2 au portant[16].
Courses sous le nom de 11th Hour Racing
[modifier | modifier le code]Épreuves de préparation
[modifier | modifier le code]En septembre 2021, 11th Hour Racing-Mālama, mené par Enright et Bidégorry, se classe 1er sur 14 dans les runs du Défi Azimut. En novembre, il court la Transat Jacques-Vabre. Enright et Bidégorry doivent y faire face à de nombreuses avaries, notamment le délaminage du carénage du voile de quille, et la perte de la drisse de tête. Ralenti, le bateau ne peut se mesurer à armes égales avec les autres concurrents. Il termine 13e sur 22 Imoca[21].
En juin 2022, skippé par Enright, 11th Hour Racing-Mālama dispute la Bermuda Race, course en équipage où il est le seul Imoca engagé[22]. Il termine 2e en temps réel[23]. En septembre, il est 1er sur 4[24] dans les 48 Heures en équipage[25] du Défi Azimut.
The Ocean Race 2022-2023
[modifier | modifier le code]Le départ de The Ocean Race est donné le , à Alicante. 11th Hour Racing Team mène dans le début de la première étape. Mais un duel de virements de bord, au sud de l'Espagne, tourne en faveur d'Holcim-PRB[26]. Celui-ci parvient à garder la tête jusqu'à l'arrivée, à Mindelo. 11th Hour est 2e[27]. Au Cap, il termine 3e de la 2e étape[28]. Là, on détecte de gros dommages sur les deux foils. Le comité de course autorise leur remplacement[29],[30].
Dans la 3e étape, la plus longue, les avaries s'accumulent. Le , on découvre que les deux safrans sont fissurés. Six jours plus tard, la grand-voile se déchire. La réparation paraissant impossible en mer, une escale est d'abord envisagée en Tasmanie ou en Nouvelle-Zélande. Finalement, l'équipage décide de continuer[31]. À la porte de parcours 143° E, où des points sont attribués, 11th Hour Racing est 3e. Au terme de l'étape, à Itajaí, il est 3e. Au classement général, il descend de la 2e à la 3e place[32].
Le , 11th Hour s'impose à l'arrivée de la 4e étape, à Newport, son port d'attache. Au classement général, il est 2e ex aequo avec Team Malizia, à un point du leader, Holcim-PRB[33]. Le , il enchaîne avec une victoire dans la 5e étape qui rapporte le double de points[34]. Il vient de couvrir la distance Newport-Aarhus à la moyenne sur le fond de 21,9 nœuds. Au classement général, il est désormais en tête[35], un point devant Holcim-PRB. À La Haye, il remporte sa troisième victoire consécutive. Au classement général, il a maintenant deux points d'avance sur Holcim[36],[37].
Le , la 7e et dernière étape commence par un parcours imposé en baie de La Haye, au cours duquel Guyot Environnement-Team Europe éperonne 11th Hour Racing, qui est tribord amures et par conséquent prioritaire[38],[39]. Coque percée, 11th Hour revient au port. Le lendemain, il se retire de l'étape, et demande au jury une réparation en points[40]. Le , après trois jours de travaux, il reprend la mer afin de disputer à Gênes la dernière régate portuaire[41].
Le , le jury lui accorde une réparation, non pas en points, mais en places, en tenant compte de la moyenne de ses classements dans les six premières étapes. Il est reclassé à la 2e place de la dernière étape[42]. Avec 37 points au classement général, 11th Hour Racing Team remporte The Ocean Race 2022-2023, devant Holcim-PRB (34 points)[43],[44]. Le jour même, il arrive à Gênes[45].
Le , il y remporte la dernière régate portuaire. Au classement général des régates portuaires, il est également 1er, devançant Team Malizia de quatre points[46].
Palmarès
[modifier | modifier le code]11th Hour Racing
[modifier | modifier le code]- 2021.
- 1er sur 14 dans les runs du Défi Azimut, mené par Charlie Enright et Pascal Bidégorry.
- 13e sur 22 Imoca dans la Transat Jacques-Vabre, mené par Charlie Enright et Pascal Bidégorry, en 21 j 13 h 37 min 20 s[21].
- 2022.
- 2e en temps réel dans la Bermuda Race, skippé par Charlie Enright[23].
- 1er sur 4 dans les 48 Heures en équipage du Défi Azimut, skippé par Charlie Enright[24],[25].
- 2023. 1er sur 5 Imoca dans The Ocean Race 2022-2023, skippé par Charlie Enright[43],[44] :
- 2e de la 1re étape[27] ;
- 3e de la 2e étape[28] ;
- 3e au passage du 143° E ;
- 3e de la 3e étape[32] ;
- 1er de la 4e étape[33] ;
- 1er de la 5e étape[34],[35] ;
- 1er de la 6e étape[36],[37] ;
- 2e, après réparation, dans la 7e étape[42] ;
- 2e de la régate portuaire d'Alicante ;
- 2e de la régate portuaire du Cap ;
- 1er de la régate portuaire d'Itajaí ;
- 2e de la régate portuaire de Newport ;
- 3e de la régate portuaire d'Aarhus ;
- 2e de la régate portuaire de La Haye ;
- 1er de la régate portuaire de Gênes[46].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Olivier Bourbon, « Vidéo. Le nouveau plan Verdier de l’équipe américaine 11th Hour Racing est sorti de chantier », sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 8 août 2021 (consulté le 5 août 2023).
- Chloé Torterat, « Interview. The Ocean Race, la fin annoncée de la monotypie », sur bateaux.com, 6 février 2020 (consulté le 5 août 2023).
- « Charlie Enright & Mark Towill tournés vers une troisième course autour du monde avec 11th Hour Racing », sur imoca.org, 4 septembre 2019 (consulté le 5 août 2023).
- Dominic Bourgeois, « Imoca. Pascal Bidégorry analyse « un gain énorme avec les nouveaux foils », sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 13 septembre 2019 (consulté le 6 août 2023).
- (en) Zane Wolfang, « How a Google co-founder is tied to the Newport organization leading The Ocean Race », sur newportri.com, 2023 (consulté le 14 août 2023).
- (en) « Pascal Bidégorry and Charlie Enright to co-skipper 11th Hour Racing in Transat Jacques Vabre », sur yachtsandyachting.com, 27 octobre 2019 (consulté le 6 août 2023).
- « Mise à l’eau de l’Imoca de 11th Hour Racing Team au chantier CDK Technologies », sur cdk-technologies, 9 août 2021 (consulté le 5 août 2021).
- « Imoca 11th Hour Racing Team », sur merconcept.com, 2023 (consulté le 5 août 2023).
- « L’Imoca américain, mis à l’eau l’été 2021, est le premier bateau véritablement conçu pour disputer The Ocean Race en 2023 », sur guillaumeverdier.com (consulté le 8 août 2023).
- (en) Christian Winthrop, « Mālama and Alaka'i: 11th Hour Racing Team names boats as a tribute to ocean health », sur thenewportbuzz.com, 13 septembre 2021 (consulté le 5 août 2023).
- Olivier Bourbon, « Justine Mettraux, nouvelle venue en Imoca : « Je pense au Vendée Globe 2024 », sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 2 février 2021 (consulté le 6 août 2023).
- Patrick Favier, Laurent Theillet, « Vidéo. Voile : les défis de Justine Mettraux sur la Transat Jacques-Vabre… et après », sur sudouest.fr, 7 novembre 2021 (consulté le 4 août 2023).
- Mélina Nicolleau, « Imoca. Le Vendéen Benjamin Dutreux a trouvé sa nouvelle monture avec 11th Hour Racing », sur ouest-france.fr, 13 juillet 2021 (consulté le 6 août 2023).
- Aline Merret, « Sébastien Simon a racheté 11th Hour pour retourner sur le Vendée Globe avec le Groupe Dubreuil », sur letelegramme.fr, 25 juillet 2023 (consulté le 4 août 2023).
- Christophe Favreau, « Vidéo. Sébastien Simon : « Pour performer sur un Vendée Globe, il faut le terminer… », sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 26 juillet 2023 (consulté le 4 août 2023).
- (en) Rupert Holmes, « Extraordinary Boats: the new 11th Hour Racing IMOCA 60 », sur yachtingword.com, 21 janvier 2022 (consulté le 8 août 2023).
- Pascal Bidégorry : « Le nouvel 11th Hour est plus engagé et plus complexe », sur tipandshaft, 13 septembre 2021 (consulté le 9 août 2023).
- Patrick Favier, « 11th Hour, un bateau dingue ! », savoure Pascal Bidégorry avant la Jacques-Vabre », sur sudouest.fr, 3 novembre 2021 (consulté le 9 août 2023).
- « Nouvel 11th Hour Racing, premier Imoca conçu pour l'équipage », sur imoca.org, 9 août 2021 (consulté le 4 août 2023).
- (en-US) « Mālama », sur 11th Hour Racing Team (consulté le ).
- « Jacques-Vabre. Pascal Bidégorry : « Ça fait du bien quand ça s’arrête, la course devenait pénible », sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 29 novembre 2021 (consulté le 6 août 2023).
- « 2022 Results », sur bermudarace.com, 2023 (consulté le 6 août 2023).
- « 11th Hour Racing Team », sur cdk-technologies.com (consulté le 5 août 2023).
- Chloé Torterat, « Défi Azimut, de belles surprises, mais une victoire sans surprise ? » sur bateaux.com, 19 septembre 2022 (consulté le 7 août 2023).
- Le Défi Azimut, à Lorient, en septembre, permet aux Imoca de se tester avant la grande épreuve de fin d'année : les années impaires, les 48 Heures se courent en double pour préparer la Transat Jacques-Vabre, et les années paires elles se courent en solo pour préparer le Vendée Globe ou la Route du Rhum. En 2022, les organisateurs proposent deux parcours : équipage et solo, offrant le choix aux bateaux préparant The Ocean Race, course en équipage.
- « The Ocean Race : premiers breaks après 3 jours de course », sur figaronautisme.meteoconsult.fr, 18 janvier 2023 (consulté le 7 août 2023).
- « The Ocean Race. Holcim-PRB remporte la 1re étape au Cap-Vert, 11th Hour Racing termine deuxième », sur voilesetvoiliers.ouest-france-fr, 21 janvier 2023 (consulté le 7 août 2023).
- « L'équipe Holcim-PRB remporte la deuxième étape de The Ocean Race grâce à une échappée décisive lors des dernières heures », sur theoceanrace.com, 12 février 2023 (consulté le 7 août 2023).
- « Les foils de 11th Hour fortement endommagés : la suite du tour du monde compromise ? » sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 17 février 2023 (consulté le 7 août 2023).
- « Changement de foils autorisé, 11th Hour Racing sera au départ de la 3e étape de The Ocean Race », sur letelegramme.fr, 17 février 2023 (consulté le 7 août 2023).
- « Vidéo. « Une étape assez pénible en ce moment » : grand-voile déchirée sur 11th Hour », sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 14 mars 2023 (consulté le 7 août 2023).
- « The Ocean race. 11th Hour complète le podium », sur courseaularge.com, 5 avril 2023 (consulté le 7 août 2023).
- « Les Américains s’imposent à domicile dans la 4e étape », sur letelegramme.fr, 10 mai 2023 (consulté le 7 août 2023).
- (en) « 11th Hour Racing Team wins critical double-pointer transatlantic sprint », sur sail-world.com, 29 mai 2023 (consulté le 7 août 2023).
- Jéromine Doux, « 11th Hour Racing Team remporte la 5e étape ! » sur voilesetvoiliers-ouest-france.fr, 29 mai 2023 (consulté le 7 août 2023).
- Jacques Guyader, « 11th Hour signe une 3e victoire consécutive et creuse l’écart au général sur Holcim », sur ouest-france.fr, 11 juin 2023 (consulté le 8 août 2023).
- Jean-Marc Devred, « Nouvelle victoire américaine à The Ocean Race », sur sports-infos-nord-de-france.fr, 12 juin 2023 (consulté le 8 août 2023).
- « Grosse collision entre Guyot et 11th Hour au départ de la dernière étape », sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 16 juin 2023 (consulté le 8 août 2023).
- « The Ocean Race. La Haye-Gênes. Revivez le sacre de Team Malizia sur la 7e étape - Jeudi 15 juin », sur eurosport.fr, 27 juin 2023 (consulté le 8 août 2023).
- « 11th Hour abandonne la 7e étape et demande une réparation en vue de gagner la course », sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 17 juin 2023 (consulté le 8 août 2023).
- « Holcim-PRB et WindWhisper actuels leaders d’une étape qui s’annonce longue », sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 19 juin 2023 (consulté le 8 août 2023).
- Jacques Guyader, « Le jury a reclassé 11th Hour à la 2e place », explique le juge français », sur ouest-france.fr, 29 juin 2023 (consulté le 8 août 2023).
- « 11th Hour Racing Team remporte The Ocean Race », sur figaronautisme.meteoconsult.fr, 29 juin 2023 (consulté le 4 août 2023).
- « Le verdict est tombé : la victoire finale est pour 11 Hour Racing Team », sur eurosport.fr, 29 juin 2023 (consulté le 8 août 2023).
- « Triomphe romain pour 11th Hour Racing Team à Gênes », sur eurosport.fr, 29 juin 2023 (consulté le 29 juin 2023).
- Julien Pereira, « The Ocean Race. Carton plein pour 11th Hour Racing Team, vainqueur de la dernière course in-port à Gênes », sur eurosport.fr, (consulté le 8 août 2023).