Étrépagny
Étrépagny | |
Rue du Maréchal-Foch, la mairie et l'église, depuis la rue Georges-Clemenceau. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Les Andelys |
Intercommunalité | Communauté de communes du Vexin Normand |
Maire Mandat |
Frédéric Cailliet 2020-2026 |
Code postal | 27150 |
Code commune | 27226 |
Démographie | |
Gentilé | Sterpinaciens |
Population municipale |
3 684 hab. (2021 ) |
Densité | 181 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 18′ 24″ nord, 1° 36′ 44″ est |
Altitude | Min. 74 m Max. 134 m |
Superficie | 20,38 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Étrépagny (ville isolée) |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Gisors |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel |
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Étrépagny est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie. Elle fait partie de la communauté de communes du Vexin Normand. Ses habitants sont les Sterpinaciens et les Sterpinaciennes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située sur le plateau du Vexin normand à environ 18 km des Andelys.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Un petit cours d'eau, la Bonde, traverse le bourg. C'est un affluent de la Levrière, affluent de l'Epte.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 740 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 774,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 1,4 | 1,3 | 2,9 | 4,6 | 8 | 10,9 | 12,7 | 12,6 | 10 | 7,6 | 4,3 | 1,9 | 6,5 |
Température moyenne (°C) | 4,3 | 4,9 | 7,7 | 10,4 | 13,9 | 17 | 19 | 19 | 15,7 | 11,9 | 7,6 | 4,7 | 11,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,3 | 8,5 | 12,4 | 16,2 | 19,7 | 23 | 25,3 | 25,3 | 21,4 | 16,2 | 10,8 | 7,5 | 16,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−18,2 08.01.1985 |
−16,5 07.02.12 |
−12 13.03.13 |
−4,2 08.04.03 |
−2 04.05.1996 |
−0,5 05.06.1991 |
3,5 31.07.15 |
3,5 26.08.18 |
−0,5 30.09.18 |
−4,7 28.10.03 |
−9,5 24.11.1998 |
−14,8 07.12.1969 |
−18,2 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15,7 27.01.03 |
19,5 27.02.19 |
23,6 27.03.03 |
28,5 21.04.18 |
34,2 27.05.05 |
38,5 21.06.17 |
41,4 25.07.19 |
40,3 10.08.03 |
34,2 04.09.05 |
29,5 01.10.11 |
21,5 01.11.14 |
16,5 07.12.00 |
41,4 2019 |
Précipitations (mm) | 73,8 | 57,3 | 57,3 | 54,2 | 64,5 | 61 | 58,6 | 61,7 | 54,5 | 68,3 | 71 | 91,8 | 774 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Étrépagny est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Étrépagny, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,6 %), forêts (11,2 %), zones urbanisées (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %), prairies (0,4 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie, en 2023, par la ligne 609 du réseau interurbain de l'Oise[12] et par les lignes 206, 208 et 219 du réseau Nomad Car 27[13],[14],[15].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom est attesté sous les formes Sterpiniacum en 628 (charte de Dagobert), Sterpiniacum en 644 (saint Ouen, Vie de saint Éloi), Stirpiniacus en 661 (charte de Clotaire III), Stripiniacum en 863 (charte de Charles le Chauve), Stirpiniaco en 872[16], Strinpenneium en 1151, Strinpinneium et Stripenneium en 1152, Stripenneium en 1160, Striprenium vers 1183 (charte de Henri II), Stripigneium en 1216 (charte du prieuré de Vesly), Estrepegny en 1252, Estrepigniacum en 1268 (charte de Guillaume de Pont-de-l’Arche, évêque de Lisieux), Estrepiniacum en 1234 (bulle de Grégoire IX), Estrepingneium en 1260 (archives de l’Eure), Estrepingniacum et Estrepigniacum en 1292, Estrepigneyum en 1316, Estrepigny en 1325, Estrepungny en 1357 (Trésor des chartes, reg. 89), Estrepeigne et Estrepaigny en 1408 (aveu de Jean de Ferrières), Étrépagny aux XIXe siècle[17].
Il représente le type toponymique gallo-roman *STERPINIACU, basé sur l'anthroponyme gallo-roman *Sterpin(i)us, dérivé du latin stirps qui signifie « origine, souche, racine, rejeton »[18], et du suffixe gallo-roman, d'origine gauloise, I-ACU ou allongé -INIACU.
Il existe une homonymie avec les communes du Nord de la France du type Éterpigny (Hauts-de-France), Étrepigney (Bourgogne-Franche-Comté), ainsi qu'en Belgique Sterpenich (forme germanisée).
Histoire
[modifier | modifier le code]Occupation romaine.
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Lieu de villégiature du roi Dagobert Ier, érigée en forteresse à l'époque ducale, Étrépagny fut au XVIe siècle la propriété de Marie de Bourbon, duchesse de Longueville et de la famille Turgot au XVIIIe siècle.
Le village originel occupa les terrains marécageux du clos vert avant le XIe siècle. Les habitations se concentraient sur Saint-Rock, la Bonde et Valtot (et son moulin)[19],[20]. Des travaux effectués en 1820, jusqu'à une profondeur de plus de quatre mètres, ont permis de rencontrer plusieurs couches successives indiquant des habitats. Le village s'est déplacé pour échapper aux inondations de la rivière. Aux environs du XIVe siècle, il se déplace, vers le nord pour devenir la ville d'aujourd'hui. Le clos vert a été petit à petit assaini et transformé en prairies. S'y trouvait érigé le Château Vert, disparu.
D'anciens actes citent l'église de la ville sous l'invocation de saint Jean[21] Celle-ci était placée au Clos Vert dans le triangle formé par la rue de Grainville, le faubourg de Vernon et le chemin de Gamaches-en-Vexin. Ce lieu peu distant de Valtot était en quelque sorte le centre de la primitive cité et il a conservé jusqu'au siècle dernier le nom de cimetière Corbelet au lieu-dit du même nom
Epoque contemporaine
[modifier | modifier le code]Saint-Martin fut réuni au bourg d'Étrépagny le .
Guerre de 1870
[modifier | modifier le code]Le bourg fut ravagé par une colonne prussienne pendant la guerre de 1870. Dans la nuit du 29 au 30 novembre, les Prussiens attaquèrent le village.
Le , jour de l'incendie de la ville, donne le nom à la rue qui dessert le monument érigé en mémoire de ce fait de guerre en 1873 sur la place dénommée alors du Franc-Marché[22].
Découverte archéologique en 1964
[modifier | modifier le code]Le vendredi , en creusant une fosse pour la construction d'une bascule pour la sucrerie, des sarcophages de pierre, contenant des squelettes en parfait état de conservation ont été mis au jour.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]- Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement des Andelys du département de l'Eure.
Elle était depuis 1802 le chef-lieu du canton d'Étrépagny[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Gisors
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Eure.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était le siège de la communauté de communes du canton d'Étrépagny, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996.
Celle-ci fusionne avec sa voisine pour former le la communauté de communes du Vexin Normand, dont Étrépagny devrait devenir le siège en 2020[24].
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Au premier tour des élections municipales de 2014 dans l'Eure, la liste menée par le maire sortant DVD Pierre Beaufils remporte la majorité absolue des suffrages, avec 1 078 voix (57,74 %), devançant largement la liste DVG menée par Laurent Bausmayer (478 voix, 25,60 %) et celle menée par le Div Jean-Jacques Pilinski (311 voix, 16,66 %)[25].
Au premier tour des élections municipales de 2020 dans l'Eure, la liste SE menée par Frédéric Cailliet, soutenue par le maire sortant Pierre Beaufils[26], remporte la majorité absolue des suffrages exprimés (914 voix, 63,12 %), devançant largement la liste menée par le SE Jim Dhoëdt (534 voix, 36,88 %) lors d'un scrutin marqué par 47,76 % d'abstention[27].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].
En 2021, la commune comptait 3 684 habitants[Note 2], en évolution de −4,76 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]La commune est un gros bourg environné d'une campagne ouverte sur des cultures céréalières et betteravières. S'y trouvent implantées la sucrerie d'Étrépagny ainsi qu'une usine Paulstra, spécialisée dans la fabrication d'articles de caoutchouc.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]En 2016, la commune compte 1 monument inscrit à l'inventaire des monuments historiques[40], 16 monuments ou édifices répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel (IGPC)[41], 4 éléments répertoriés à l'inventaire des objets historiques[42] et 33 objets répertoriés à l'IGPC[43].
- Église Saint-Gervais-et-Saint-Protais construite aux XIVe et XVe siècles, sur un plan en croix latine Inscrit MH (2009)[44]. Elle a été restaurée à la suite d'un incendie en et ouverte sur des vitraux de François Décorchemont, ce qui lui vaut le bénéficie du label « Patrimoine du XXe siècle »[45].
- Mairie du XIXe siècle, ses murs construits en appareil de briques rouges et de pierres calcaires blanches portent un toit à longs pans en ardoise bordé de lucarnes en façade, et surmonté d'un clocheton carré en bois à quatre horloges[46]). Les fresques murales de la salle de mariages sont l'œuvre du peintre Jean Fernand-Trochain.
- Ancien couvent des sœurs dominicaines[47] installé en 1878 par les châtelains d'Étrépagny, notamment Marie Étiennette Isabelle de Vatimesnil. La chapelle néo-romane, éclairée de vitraux modernes, est aménagée en ludothèque-médiathèque.
-
Mairie d'Étrépagny.
-
Façade de l'église.
-
Chapelle des dominicaines.
- Vestiges du château d'Étrépagny[47], XIIe / XVIIe siècle, dans la propriété des religieuses dominicaines.
- Le château Saint-Martin[48], ayant appartenu au maire entre 1827 et 1910.
- Le manoir de Mansigny[49], près de l'actuelle poste, a été construit dans toutes les premières années du XVIIe siècle et remplace le précédent, brûlé vers 1595 par les habitants qui s'étaient ralliés à la Ligue, alors que le seigneur de Mansigny était officier dans les armées du duc de Longueville, baron d'Étrépagny, attaché au roi Henri IV de France.
- Le collège Louis-Anquetin y fait place[50].
- Aérodrome d'Étrépagny.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Guillaume V du Bec Crespin (XIIIe siècle), maréchal de France, baron du Bec, d'Étrépagny, sieur de Neauphle
- Grandin de Mansigny : famille noble originaire d'Étrépagny et des environs au XVIIe siècle. Elle émigre vers l'île de Saint-Domingue au début du XVIIIe siècle puis vers Guérande. On les retrouve dans la Manche au XIXe siècle[51].
- Louis Nivelon (1760-1837 à Étrépagny), danseur, actif à l'Opéra de Paris entre 1777 et 1799 [1].
- Jean-Pierre Aumer (1774-1833) est mort à Saint-Martin-du-Bosc.
- Jules Richard (1828-1893 à Étrépagny), facteur d'orgue et harmonium, y ayant implanté sa manufacture en 1875.
- Louis Anquetin (1861 à Étrépagny-1932), peintre, dessinateur et aquarelliste, un collège de la ville porte son nom.
- Longfier-Chartié, éditeur de cartes postales locales.
- Francis Suttill (1910-1945), animateur du réseau Prosper pendant la Seconde Guerre mondiale, actif notamment sur Étrépagny.
- Une seule famille fut déportée en , la famille Fuchs, dont seuls les enfants David et Esther, nés à Étrépagny, survécurent car ils furent recueillis par l'hospice des Andelys avant d'être cachés en Vendée.
- Micheline Jeannine Chevalier, née le 18 février 1922 à Etrépagny[52], mère du comédien Daniel Prévost.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel de la ville
- Étrépagny sur le site de l'Institut géographique national
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Station Météo-France « Etrepagny » (commune de Brionne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Etrepagny » (commune de Étrépagny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Étrépagny », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Étrépagny », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- « Fiche horaires de la ligne 206 » [PDF], sur nomad.normandie.fr, (consulté le ).
- « Fiche horaires de la ligne 208 » [PDF], sur nomad.normandie.fr, (consulté le ).
- « Fiche horaires de la ligne 219 » [PDF], sur nomad.normandie.fr, (consulté le ).
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l’Eure, éditions Picard, 1981, p. 105.
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 79.
- François de Beaurepaire, op. cit..
- Des mémoires et notes d'Auguste Le Prévost de 1864.
- Éléments d'histoire sur le moulin de Valtot.
- L. C Brécourt en 1860.
- Étrépagny – 150e anniversaire du 30 novembre 1870.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « La communauté de communes du Vexin normand change de siège : La décision est symbolique pour l’instant mais les élus ont voté jeudi 15 octobre 2020 une modification de l’adresse de l’établissement public, passant de Gisors à Etrépagny », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- « Étrépagny 27150 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
- Guillaume Voisenet, « Municipales. À Étrépagny (Eure), le maire Pierre Beaufils soutient la liste de Frédéric Cailliet : Jusque-là, Pierre Beaufils, le maire d'Étrépagny, n'avait pris position pour aucun des deux candidats à sa succession. Il a finalement apporté son soutien à son adjoint », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
- « Municipales 2020. À Étrépagny, Frédéric Cailliet succède à Pierre Beaufils : Élu avec 63,12 % des voix, l’adjoint du maire sortant a savouré sa victoire, dimanche 15 mars. Son adversaire, Jim Dhoëdt, n’est pas resté jusqu’à la proclamation des résultats mais promet une opposition active », Paris Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- Annuaire du département de l'Eure pour l'année 1842, Evreux, Canu, imprimeur de la préfecture, , 486 p. (lire en ligne), p. 413.
- « Notice LH/1539/24 », base Léonore, ministère français de la Culture.
- « Faits divers », Le Temps, no 4653, , p. 2 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
- Journal de Rouen, 23 février 1874.
- « À Étrépagny, le maire Pierre Beaufils a présidé une dernière cérémonie émouvante : Devant une salle comble, Pierre Beaufils a présenté ses derniers vœux de maire, vendredi 24 janvier 2020, et reçu la médaille de chevalier de l'ordre national du Mérite », Paris Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Lui, l'adepte du 42,195 km de course, va donc quitter la scène après quarante-trois ans de mandature ».
- Jean-Paul Gosselin, « Municipales : Pierre Beaufils pour un sixième mandat : L’autre soir en mairie d’Étrépagny, la salle des mariages avait peine à contenir le public venu assister au premier Conseil municipal de la nouvelle et sixième mandature du maire sortant, Pierre Beaufils. Au programme : l’installation du nouveau Conseil municipal issu du premier et seul tour de scrutin, l’élection du maire et celle des adjoints », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le maire d’Étrépagny nommé chevalier de l'ordre national du Mérite : Le maire Pierre Beaufils a été nommé Chevalier de l'ordre national du Mérite, par décret du 30 novembre. Une distinction qui vient récompenser quatre décennies d’une vie vouée à la municipalité », Paris Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Il y a tout le temps, tout le temps des projets. » C'est ce qui a animé et continue d’animer Pierre Beaufils, maire (SE) d’Étrépagny depuis plus de trente-cinq ans, et élu depuis 1977 (...) Sur la liste du maire sortant, Pierre Beaufils devient premier adjoint, René Prudhomme second. Et en 1983, quand vient le temps de la succession, il fait un choix : « J’étais parti pour vendre mon cabinet d’assurance, pour acheter plus gros. » Sauf que personne n'est prêt à prendre la suite à la tête de la commune. Il se lance et devient premier magistrat d'Étrépagny. ».
- Guillaume Voisenet, « Municipales 2020. Frédéric Cailliet veut succéder à Pierre Beaufils à Étrépagny, dans l'Eure : Pierre Beaufils, le maire ayant décidé d'arrêter, Frédéric Cailliet, l'actuel 2e adjoint chargé de la vie associative conduira la liste de la majorité sortante à Étrépagny », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le )2e adjoint chargé de la vie associative conduira la liste de la majorité sortante à Étrépagny&rft.aulast=Voisenet&rft.aufirst=Guillaume&rft.date=2019-10-19&rfr_id=info:sid/fr.wikipedia.org:Étrépagny"> « Après un premier mandat de conseiller municipal et un deuxième d’adjoint, le retraité de 65 ans, père de quatre enfants et grand-père de sept petits-enfants briguera le poste de maire ».
- « Municipales : à Étrépagny, Pierre Beaufils donne les clés de la mairie à Frédéric Caillet : La page vient de se tourner. À la tête de la municipalité depuis 1983, Pierre Beaufils a officiellement rendu les clefs », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Sans surprise, Frédéric Caillet, chef de liste de la majorité sortante, lui succède ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Liste des monuments historiques de la commune d'Étrépagny », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des lieux et monuments de la commune d'Étrépagny à l'IGPC », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste du patrimoine mobilier de la commune d'Étrépagny », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets de la commune d'Étrépagny à l'IGPC », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no PA27000078.
- Le dire de l'architecte des bâtiments de France - Les essentiels - no 119 du 31 juillet 2014.
- Notice no IA00017110.
- Notice no IA00018290.
- Notice no IA00016957.
- Notice no IA00018292.
- « Collège Louis Anquetin » (consulté le ).
- Généalogie sur geneanet.
- Fiche de décès de Micheline Jeannine Chevalier, fichier des décès, Insee