Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace
Fondation |
2007 par rapprochement de SupAéro (fondée en 1909) et l'Ensica (fondée en 1945) |
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Type | |
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Forme juridique |
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d) |
Régime linguistique | |
Fondateur | |
Président |
Marwan Lahoud (par intérim depuis le ) |
Directeur |
Marie-Hélène Baroux (depuis le 1er août 2024) |
Devise |
L'excellence, passionnément |
Membre de | |
Site web |
Étudiants |
1 800 (en 2020) |
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Enseignants |
106 (en 2010) |
Enseignants-chercheurs |
120 en 2020[1] |
Budget |
60 M€ |
Pays | |
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Campus | |
Localisation |
4 avenue Édouard-Belin 31400 Toulouse |
Ville |
L’Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace[4] dont l'acronyme est ISAE-Supaéro[5] est l'une des 204 écoles d'ingénieurs françaises accréditées au à délivrer un diplôme d'ingénieur[6].
Placé sous la tutelle du ministère des Armées, l'ISAE-Supaéro est issu de la fusion entre l'Ensica et Supaéro, réalisée en 2007. Il délivre le diplôme d'ingénieur ISAE-Supaéro, le diplôme d'ingénieur par apprentissage « Industrialisation et Méthodes », ainsi que le diplôme national de « Master of Aerospace Engineering », des mastères spécialisés et le diplôme de doctorat.
En 2011, l'ISAE fonde le Groupe ISAE avec l'ENSMA qui prend le nom de marque ISAE-ENSMA. Le le Groupe ISAE est ensuite rejoint par l'Estaca et par l'École de l'air, puis par ISAE-Supméca le .
Statut et organisation
[modifier | modifier le code]L'ISAE-Supaéro a été créé par le décret 2007-1384 du [7] et résulte du rapprochement de l’École nationale supérieure d'ingénieurs de constructions aéronautiques (Ensica) et de École nationale supérieure de l'aéronautique et de l'espace (Supaéro).
Placé sous la tutelle du ministère de la Défense, tutelle exercée par la direction générale de l'Armement (DGA), l'Institut a le statut d’établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP) de type grand établissement. Il est habilité par la Commission des titres d'ingénieur à délivrer deux diplômes d’ingénieur sanctionnant le cursus ingénieur ISAE-Supaéro (sous statut étudiant) et le cursus ingénieur Groupe ISAE (sous statut apprenti). L’ISAE-Supaéro délivre également sous son sceau des diplômes nationaux de doctorat et master et des diplômes propres d'établissement de spécialisation post-master (mastères spécialisés) accrédités par la Conférence des grandes écoles.
Historique
[modifier | modifier le code]Historique de l'Ensae (École nationale supérieure de l'aéronautique et de l'espace) dite « Supaéro »
[modifier | modifier le code]En 1909, le colonel Jean-Baptiste Roche, officier du génie issu de l'École polytechnique[8], imaginant et anticipant les besoins et l'ampleur qu'allait prendre l'industrie aéronautique dans le monde, fonde à Paris l'« École supérieure d'aéronautique et de constructions mécaniques ».
En 1930 sous l'impulsion d'Albert Caquot, l'École prend le nom d'« École nationale supérieure de l'aéronautique » puis en 1972 celui d'« École nationale supérieure de l'aéronautique et de l'espace », plus couramment appelée « Supaéro ». En 1930 également, l'École s'installe dans des bâtiments modernes au sein de la Cité de l'Air, situés boulevard Victor à Paris.
En 1968, Supaéro est délocalisée sur le vaste complexe aérospatial de Toulouse-Lespinet au cœur d'un environnement d'enseignement supérieur et de recherche, à proximité de l'École nationale de l'aviation civile (ENAC) transférée également à Toulouse la même année. Les anciens locaux parisiens accueillent dès 1970 l'École nationale supérieure de techniques avancées (ENSTA ParisTech), jusqu'à ce que cette dernière rejoigne de nouveaux locaux sur le campus de l'École Polytechnique à Palaiseau. Ils ont depuis été transformés en centre de conférences du ministère de la Défense.
Plusieurs laboratoires de recherche sont créés auprès de l'école, et regroupés au sein du centre de Toulouse. Associés à l'École, ils mènent des recherches théoriques et appliquées à la défense dans des domaines aussi variés que l'aérodynamique, l'automatique et la robotique avancées, l'électronique aérospatiale, les systèmes informatiques, les véhicules aérospatiaux, la mécanique aérospatiale et les systèmes propulsifs. Ils pourvoient une part du corps professoral.
En 1975, Supaéro est l'une des toutes premières écoles d'ingénieurs en France à être habilitée à délivrer le diplôme de docteur.
En 1994, Supaéro change de statut pour devenir un établissement public à caractère administratif placé sous la tutelle du ministère de la Défense. En pratique, cette tutelle est exercée par la Direction générale de l'Armement (DGA) et l'école est placée sous la direction d'un ingénieur général de l'armement.
Liste des directeurs
[modifier | modifier le code]- Colonel Roche (1909-1930)[9]
- Marc Pélegrin (1968-1978)[10]
- André Flourens (1978-1985)[11]
- Pierre Bascary (1999-2004)[12],[13]
- José d’Antin Tournier de Vaillac (2004-2007)[13]
- Olivier Fourure (2007-2014)[14]
Histoire de l'Ensica (École nationale supérieure d'ingénieurs de constructions aéronautiques)
[modifier | modifier le code]L’Ensica a été créée à Paris à la Libération, sous le nom d’« École nationale des travaux aéronautiques » (ENTA), par l’article 8 de la loi de finances pour 1946. Installée dans les locaux de SupAéro au boulevard Victor, elle s'appuie sur le corps professoral de sa grande sœur pour développer un cursus d'ingénieur tourné vers la production et la maintenance aéronautiques. Vingt-cinq élèves composèrent l’effectif de sa première promotion dont vingt-quatre furent destinés à intégrer le corps des ingénieurs militaires des travaux de l’air.
Par décret du , elle change une première fois de dénomination pour devenir l’École nationale d’ingénieurs des constructions aéronautiques (Enica). La durée des études passe à trois ans et elle s'ouvre à une nouvelle vocation tournée vers l'industrie en intégrant une proportion plus importante d’élèves civils.
En 1961, l’ENICA est délocalisée à Toulouse dans le quartier Balma et occupe des bâtiments qui étaient destinés à une école vétérinaire, d'où les têtes de ruminants ornant les colonnes du bâtiment principal. Sous l’autorité de son directeur, Émile Blouin, elle acquiert une nouvelle dimension et se forge une identité, ayant coupé le lien avec Supaéro. La construction d’une maison des élèves intégrée au campus permet notamment de renforcer la cohésion et l’unité de ses différentes promotions.
En 1969, l’École est rattachée au concours commun des écoles nationales supérieures d’ingénieurs (ENSI). L'école est honorée en 1979 où la médaille de l'Aéronautique lui est décernée par l’ingénieur général de l’armement Georges Bousquet : elle devient alors la même année l’« École nationale supérieure d’ingénieurs de constructions aéronautiques » (Ensica).
Depuis la création de l'ISAE-Supaéro (2007)
[modifier | modifier le code]En 2007, SupAéro s'est rapprochée de l'École nationale supérieure d'ingénieurs de constructions aéronautiques (Ensica) pour donner naissance à un établissement unique : l'Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace, ou ISAE-Supaéro qui remplace les deux anciennes écoles dont il regroupe l'ensemble des ressources et moyens en une organisation unifiée.
Depuis la promotion admise lors du concours d'entrée CCMP 2015, le cursus ingénieur ISAE-Supaéro, renforcé et actualisé en lien étroit avec l'industrie [15], est devenu la formation ingénieur unique de l'Institut. Plus de 180 élèves ont été admis en 2015 dans la nouvelle 1re année.
Parallèlement, une importante opération d'infrastructures voit son aboutissement à l'été 2015 avec le regroupement géographique de l'Institut (projet "RGI") sur le campus de Rangueil (ex-Supaéro) et la fermeture du campus de Jolimont (ex-Ensica), site qui est appelé à être cédé par le ministère de la défense et reconverti.
Liste des directeurs
[modifier | modifier le code]Quelques anciens élèves
[modifier | modifier le code]- Jean-Claude Laprie (1944-2010), E1968, directeur de recherche au CNRS, ancien directeur du LAAS-CNRS, médaille d'argent du CNRS
- Rachid BenMokhtar Benabdellah, E1967, ministre de l’Éducation nationale du Maroc (1995-1998 et depuis 2013) [18]
- Franck Poirrier, E1984, ingénieur général de l'Armement, Président Directeur Général de Sodern
- Raoul Badin, S1910, inventeur du badin, instrument permettant de mesurer la vitesse d’un avion.
- Henri Coandă, S1910, créateur roumain du premier avion à réaction.
- Henry Potez, S1911, constructeur d’avions.
- Marcel Dassault, S1913, constructeur d’avions, fondateur de Dassault Aviation.
- Maurice Hurel, S1921, constructeur d'avions.
- Alexander Kartveli, S1922, originaire de Géorgie, expatrié en France puis aux États-Unis, concepteur entre autres des Seversky P-35, P-47 Thunderbolt, F-84 Thunderjet et Thunderflash et F-105 Thunderchief.
- René Couzinet, S1927, constructeur d’avions.
- Henri Ziegler, X1926, S1931, grand résistant, chef d'état-major des FFI, officier de l’Armée de l'air et pilote d'essai, ancien directeur de Breguet Aviation et de l’Aérospatiale.
- Henri Desbruères, X1927, S1932, ancien président de la Snecma et ancien président de Bull-General Electric.
- Guy du Merle, X1927, S1932, premier directeur de l'École nationale de l'aviation civile de 1948 à 1951.
- Pierre Satre, X1929, S1934, ingénieur aéronautique, créateur de la Caravelle, premier avion de ligne à réaction français.
- François Hussenot, X1930, S1935, inventeur de la boîte noire, mort en mission peu après.
- Jean Boulet, X1940, S1944, ancien pilote d'essai d'avions et d'hélicoptères, connu pour avoir entre autres battu de nombreux records.
- Serge Dassault, X1946, S1951, ingénieur de l'armement, ancien président du groupe Dassault, sénateur, maire de Corbeil-Essonnes de 1995 à 2009, fils de Marcel Dassault, lui-même S1913 (voir supra).
- Jean Pinet, S1952, ingénieur, pilote de chasse, instructeur pilote de ligne, administrateur français et pilote d'essais Concorde (le 1er octobre 1961 lorsque Concorde franchit Mach 1[19]) .
- Francis Bernard, S 1963, père de CATIA, fondateur de Dassault Systèmes.
- Jean Laurent, S 1967, anciennement directeur général du Crédit Agricole et président directeur général du Crédit Lyonnais[20].
- Jean-François Bigay, S 1967, premier président exécutif d'Airbus Helicopters[21].
- François Calaque, S1970, fondateur de Starsem.
- Pierre-Henri Gourgeon, X1965, S1970, pilote de chasse, ingénieur général de l’armement, directeur général de l'Aviation civile entre 1990 et 1993, directeur général exécutif du groupe Air France-KLM de 2009 à 2011.
- Bernard Ramanantsoa, S1971, directeur général d’HEC jusqu'en 2015.
- Laurent Collet-Billon, S1974, délégué général pour l'Armement.
- Jean-Paul Herteman, X1970, S1975, ingénieur de l'armement, président du directoire du groupe Safran.
- Jean-François Clervoy, X1978, S1983, spationaute (trois vols à bord de la navette spatiale américaine).
- Pascal Vasselon, S1985, Directeur F1 de Michelin Competition de 2000 à 2004, et Directeur technique de Toyota Motorsport depuis 2010[22].
- Marwan Lahoud, X1984, S1989, directeur général délégué à la stratégie et au marketing du groupe Airbus et président du GIFAS.
- Nicolas Sekkaki, S1990, président d'IBM France depuis le [23].
- Guillaume Faury, X1990, S1992, Président-directeur général d'Airbus Group depuis 2019.
- Thomas Pesquet, S2001, ingénieur au CNES, pilote de ligne et astronaute (à bord de la Station spatiale internationale du au , et du 23 avril 2021 au 8 novembre 2021).
- Sophie Adenot, S2004, première femme pilote d'hélicoptère d'essais dans l'Armée de l'air et astronaute de l'European Space Agency depuis le 22 novembre 2022.
- Vincent Lecrubier, S2011, kayakiste de haut niveau (7e en K2 500 m (finaliste) aux JO 2008 à Pékin).
- Didier Evrard, MS Supaéro 1976, ECL, Executive Vice Président Airbus et Directeur du programme Airbus A350
- Luca Parmitano, Mastère IEVEx ISAE 2009, italien, pilote de chasse, spationaute de l'ESA
Classements
[modifier | modifier le code]Classements nationaux (classée en tant qu'ISAE Supaéro au titre de son diplôme d'ingénieur)
Nom | Année | Rang |
---|---|---|
DAUR Rankings[24] | 2023 | 7 = |
L’Étudiant[25] | 2022 | 11-13 |
L’Usine Nouvelle[26] | 2022 | 14-15 |
Le Figaro Étudiant[27] [pertinence contestée] | 2022 | 9-11 |
Classements internationaux (classée en tant qu'ISAE Supaéro)
Nom | Année | Rang (monde) | Rang (France) |
---|---|---|---|
CWUR[28] | 2021-2022 | 1768 | 75 |
QS Top Universities[29] | 2022 | N.C. | N.C. |
Shanghai Ranking[30] | 2021 | N.C. | N.C. |
Times Higher Education[31] | 2022 | N.C. | N.C. |
Recherche
[modifier | modifier le code]En 2017, l'ISAE-Supaéro investit neuf millions d'euros afin de s'équiper de la plus grande soufflerie aéro-acoustique universitaire au monde[32]. L'ambition de ce nouvel équipement et des moyens de simulation numérique associés est d'accompagner les industriels dans la conception d'aéronefs plus silencieux[33].
En 2019, l'école se dote d'un supercalculateur affichant une puissance de calcul de 206 téraflops[34]. L'objectif est de pouvoir mener en interne des travaux de recherche en aérodynamique, en résistance des matériaux et en intelligence artificielle. Le supercalculateur est nommé Pando après l'organisme vivant du même nom, réputé pour être considéré comme l'organisme le plus lourd et le plus âgé de la planète.
Le département "Conception et Conduite des véhicules Aéronautiques et Spatiaux" (DCAS) de l'ISAE-Supaéro dispose d'un Centre des Opérations Aériennes à l'aérodrome de Toulouse - Lasbordes depuis lequel il exploite une flotte de neuf avions notamment dédiés à des activités de recherche dans le domaine des neurosciences[35],[36].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Chiffres clés de l'Institut », sur isae.fr.
- (en) « GEA - Groupement des Grandes Écoles aéronautiques et spatiales », sur le site de la Conférence des écoles européennes pour l'enseignement et la recherche des sciences pour l'ingénieur avancées (consulté le ).
- « Arrêté du relatif aux conditions générales d'admission, aux modalités générales de la scolarité et au contrôle des connaissances et des conditions d'obtention des diplômes à l'Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- Il s’agit du nom officiel tel qu'il apparaît dans le texte de l'arrêté[3]
- Regroupant les acronymes « Isae » (pour « Institut supérieur de l'aéronautique et de l’espace ») et « Supaéro » (pour « École nationale supérieure de l’aéronautique et de l'espace »).
- Arrêté du 25 février 2021 fixant la liste des écoles accréditées à délivrer un titre d'ingénieur diplômé.
- [PDF]Décret no 2007-1384 du 24 septembre 2007 portant création de l’Institut supérieur de l’aéronautique et de l’espace, consulté sur site http://www.isae.fr le 30 octobre 2011
- Isae/Supaero, « Jean-Baptiste Roche » (consulté le ).
- ISAE, « Hisis, l’histoire de l’ISAE - Jean-Baptiste Roche, Fondateur de l’École », sur ISAE Supaero (consulté le )
- « Marc Pélegrin, maître d’œuvre du rayonnement de Supaéro à Toulouse, nous a quittés | ISAE-SUPAERO », sur ISAE-SUPAERO | L’excellence passionnément, (consulté le )
- Fondation ISAE Supaero, « Rapport annuel 2023 » [PDF], sur Fondation ISAE Supaero, (consulté le ), p. 25
- « Nouveau directeur pour Supaéro. », sur ladepeche.fr (consulté le )
- « Supaero. », sur ladepeche.fr (consulté le )
- L'Usine Nouvelle, « Nouveau directeur à Supaéro », L’Usine nouvelle, (lire en ligne, consulté le )
- « Article du Journal des grandes écoles »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
- « La biographie de Olivier LESBRE, Directeur général de l'Isae - L'Etudiant - Educpros », sur www.letudiant.fr (consulté le )
- « Isae-Supaéro : Marie-Hélène Baroux est nommée directrice générale », sur AEF info (consulté le )
- Biographie de M. Rachid BenMokhtar Benabdellah
- « Histoire du Concorde », Photographies, , p. 32 (lire en ligne)
- « Amicale Isae-Supaéro-Ensica - Portraits d'Anciens », sur isae-alumni.net (consulté le ).
- « Grand Toulouse », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
- Amicale Isae-Supaéro-Ensica, « Actualité Amicale ISAE : Toyota wants different technology levels in WEC's LMP1 from 2020/21 », sur isae-alumni.net (consulté le ).
- « IBM - Biographie - France », sur ibm.com, (consulté le ).
- « Le classement 2023 des écoles d'ingénieurs », sur daur-rankings.com
- « Classement général des écoles d'ingénieurs »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur L’Étudiant.
- « Le classement 2020 des écoles d'ingénieurs », sur Usine Nouvelle.
- « Le classement 2022 des écoles d'ingénieurs », sur Le Figaro étudiant.
- « GLOBAL 2000 LIST BY THE CENTER FOR WORLD UNIVERSITY RANKINGS », sur CWUR.
- « QS World University Rankings 2022 », sur QS Top Universities.
- « 2021 Academic Ranking of World Universities », sur Shanghai Ranking.
- « World University Rankings 2022 », sur Times Higher Education.
- La Tribune, « Aéronautique : l'Isae-Supaéro inaugure la plus grande soufflerie universitaire au monde »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur latribune.fr, (consulté le ).
- Usine Nouvelle, « L'Isae-Supaéro inaugure sa nouvelle soufflerie aéroacoustique à Toulouse »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur usinenouvelle.com, (consulté le ).
- La Tribune, « L'Isae-Supaéro inaugure la plus grande soufflerie universitaire au monde », sur industrie-techno.com, (consulté le ).
- Isae-Supaéro, « Centre des opérations aériennes de Lasbordes », sur Isae-Supaéro.fr (consulté le ).
- Aerobuzz, « L’Isae-Supaéro se dote d’un laboratoire volant »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur aerobuzz.fr, (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- (fr en) Site officiel
- Ressources relatives à la recherche :
- Ressource relative à la vie publique :
- Ressource relative aux organisations :
- ISAE-SUPAERO, « HISIS - l’histoire illustrée de nos écoles » (consulté le )