Walt Whitman

poète, romancier, journaliste, éditeur américain

Walter Whitman, plus connu sous le nom de Walt Whitman, né le à West Hills dans l'État de New York et mort le à Camden dans l'État du New Jersey, est un poète, romancier, journaliste, directeur de publication américain. Il est considéré comme étant l'un des plus grands poètes de la littérature américaine. Son style intègre des éléments issus du transcendantalisme américain et du réalisme littéraire. Walt Whitman est l'un des pères américain de l'utilisation du vers libre.

Walt Whitman
Walt Whitman en 1887.
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Harleigh Cemetery (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Walter Whitman
Nationalité
Domiciles
99 Ryerson Street (d) (-), maison de Walt Whitman à Camden (en) (jusqu'en ), Walt Whitman Birthplace State Historic Site (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Période d'activité
À partir de Voir et modifier les données sur Wikidata
Père
Walter Whitman, Sr. (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
George Washington Whitman (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
The Brooklyn Daily Eagle
Brooklyn Times-Union (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Genre artistique
Influencé par
Distinction
Archives conservées par
Bibliothèque Beinecke de livres rares et manuscrits (YCAL MSS 202)
Harry Ransom Center (en) (MS-04500)[1]
Louis Round Wilson Library (en) (12010)[2]
New York Public Library Astor Lenox and Tilden Foundations (d)[3]
New York Public Library Main Branch (en) (Berg Coll MSS Whitman)[4]Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
signature de Walt Whitman
Signature

Son recueil de poèmes Feuilles d'herbe (Leaves of Grass) est considéré comme l'un de ses chefs-d'œuvre.

Biographie

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Jeunesse et formation

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Whitman nait le dans une ferme de West Hills, New York[5],[6] près de l'actuelle South Huntington, à Long Island, second des neuf enfants de Louisa Van Velsor, d'origine néerlandaise, et de Walter Whitman, Sr., d'origine anglaise. Sa famille déménage à Brooklyn en 1823. Après six ans de scolarité primaire, il entre comme apprenti dans un atelier d'imprimerie. Autodidacte, il lit alors Homère, Dante et Shakespeare[7],[8].

Après deux ans d'apprentissage, Whitman se rend à New York pour y travailler dans différents ateliers d'imprimerie.

Carrière

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Après l'incendie de son imprimerie, il commence une carrière en tant qu'enseignant d'école primaire dans une classe unique à Long Island de 1836 à 1841[9]. Parallèlement, il fonde et édite le journal The Long-Islander (devenu le Long Islander News[10]) dans la ville de Huntington en 1838 et 1839. En 1841, il quitte l'enseignement pour embrasser une carrière de journaliste et d'éditeur à plein temps à New York. Il rédige en outre des articles pour des magazines populaires et des quotidiens et écrit des discours politiques. En 1840, il participe à la campagne de réélection du président des États-Unis Martin Van Buren qui est battu par William Henry Harrison[11].

Les discours politiques écrits par Whitman attirèrent alors l'attention de la société du Tammany Hall, qui lui confie la rédaction de nombreux journaux, parmi lesquels aucun ne devait jouir d'une longue publication. Pendant deux ans, il est rédacteur pour l'influent Brooklyn Daily Eagle[12] en pleine guerre d'Annexion du Texas, il y écrivit : « Oui, le Mexique doit être sévèrement châtié. Que nos armes soient désormais portées de manière à apprendre au monde entier que, bien que nous n'aimions pas les querelles, l'Amérique sait comment frapper et connaît les moyens de s'étendre. ») ; toutefois, à la suite d'une scission au sein du Parti démocrate, il fut relevé de ses fonctions pour avoir soutenu le Parti du sol libre, parti opposé à l'extension de l'esclavage à l'Ouest. Après l'échec de ses tentatives pour fonder un journal Free Soil, il fut ballotté d'un emploi à l'autre. Entre 1841 et 1859, Walt Whitman édita un journal (The Crescent) à La Nouvelle-Orléans, en Louisiane, deux à New York et quatre autres à Long Island. À La Nouvelle-Orléans, il découvrit le marché aux esclaves qui se tenait régulièrement dans cette ville à cette époque. C'est là qu'il se mit à écrire des poèmes et bientôt cette activité supplanta toutes les autres. Les années 1840 virent les premiers fruits de son long travail sur les mots, avec la publication d'un certain nombre de nouvelles à partir de 1841 et du roman Franklin Evans publié à New York un an plus tard, qui faisait partie du mouvement en faveur de la tempérance. Mais c'est surtout la nouvelle The Child's Champion qui fut publiée en 1842 et souvent republiée depuis et qui est à présent considérée comme le plus important de ses premiers ouvrages. Elle établit le fondement théologique d'un thème qui tiendra à cœur à Whitman toute sa vie, à savoir le profond pouvoir rédempteur de l'amour.

La première édition de Feuilles d'herbe fut auto-publiée en 1855, l'année même où le père de Whitman mourut. À cette époque, le recueil se composait de douze longs poèmes sans titre. Il n'y eut pas, ou presque, de réaction du public ni de critique. Un an plus tard, Whitman publia une seconde édition qui comprenait une lettre de félicitations de Ralph Waldo Emerson et vingt poèmes supplémentaires. Emerson appelait depuis longtemps à l'émergence d'une poésie américaine, affranchie de l'influence européenne ; Leaves of Grass le comblait.

Après la guerre de Sécession, Walt Whitman fut engagé au département de l'Intérieur (ministère chargé de la gestion des terres fédérales) en tant que clerc. Toutefois, lorsque James Harlan, le secrétaire de l'Intérieur (ministre), découvrit que Whitman était l'auteur du scandaleux Leaves of Grass, il le congédia sur-le-champ.

À sa sixième édition en 1881, le recueil de poèmes s'était épaissi. Whitman jouissait alors d'une réputation plus importante et l'édition fut vendue à un grand nombre d'exemplaires, ce qui permit à Whitman d'acheter une demeure à Camden, dans le New Jersey.

Opinion politique

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Whitman pendant toute sa vie sera un démocrate convaincu, il fut le secrétaire général du Parti démocrate de New York, opposé à l'esclavage, il quitte le Parti démocrate pour adhérer au Parti du sol libre[13],[14].

Whitman décède des suites d'une pneumonie le , après avoir achevé la révision de Feuilles d'herbe (Leaves of Grass)[15],[16]. Parmi les causes de sa mort, est incriminé un régime basé sur des produits laitiers, notamment le punch au lait, à l'époque le lait était souvent trafiqué avec du plâtre, et la santé des vaches laitières n'était pas vérifiée, ainsi, il semblerait que Walt Whitman ait consommé du lait issu de vaches atteintes de tuberculose[17].

Whitman repose au Harleigh Cemetery (en), à Camden dans le New Jersey[18], aux côtés de membres de sa famille dans une crypte à flanc de colline qu'il avait conçue[19],[20].

En 1916, les membres du Walt Whitman Club of Bon Echo ont financé des tailleurs de pierre pour qu'ils gravent sur le flanc d'un rocher du parc provincial Bon Écho en Ontario, au Canada ces trois vers d'un de ses poèmes[21],[22],[23] :

My foothold is tenon'd and mortis'd in granite;
I laugh at what you call dissolution;
And I know the amplitude of time.
Mes deux pieds sont tenonnés et mortaisés dans le granit ;
Je ris de ce que vous appelez dissolution ;
Et je connais l'amplitude du temps.

Poésie et influence

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Pour beaucoup, Walt Whitman et Emily Dickinson sont les deux piliers de la poésie américaine du XIXe siècle. Plus particulièrement, la poésie de Whitman paraît intrinsèquement américaine. Le poète évoque une Amérique ordinaire d'une voix résolument américaine (cf. usage du vers libre). La force de sa poésie semble procéder des émotions vives qu'il suscite grâce à l'intelligence de son verbe. Whitman recourt à la répétition pour susciter un caractère hypnotique dans ses textes : cette répétition crée la force de sa poésie, qui inspire plutôt qu'elle informe. Ainsi vaut-il mieux lire sa poésie à haute voix pour en sentir tout le message. Ses qualités poétiques tirent en partie leur ascendance de discours et écrits religieux ou quasi religieux tels que ceux du poète James Weldon Johnson (l'influence de ce dernier fut encore plus forte à Jacmel, en Haïti).

Les poètes américains du XXe siècle (et maintenant du XXIe siècle) ne peuvent ignorer Whitman en ce sens que celui-ci a fondamentalement défini le langage poétique de l'Amérique démocratique.

En France, Walt Whitman a eu une grande influence sur les poètes symbolistes et sur les écrivains unanimistes.

Il fut traduit par le poète français Jules Laforgue, sous le titre Feuilles d'herbe.

Whitman et l’homosexualité

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Walt Whitman et Bill Duckett

Un élément qu'on ne peut passer sous silence au sujet de la vie et de l'œuvre de Walt Whitman est son homosexualité, que trahit son admiration pour les idéaux de camaraderie virile du XIXe siècle ou plus crûment ses descriptions quasi masturbatoires du corps masculin (Song of Myself, c'est-à-dire Ballade de moi-même). Tout cela entre en complète contradiction avec l'indignation dont faisait preuve Whitman lorsqu'il était confronté à ce genre de texte, alors qu'il louait la chasteté et stigmatisait la masturbation. Toutefois, la critique récente est encline à croire que ses poèmes reflétaient les vrais sentiments de Whitman envers son sexe, alors qu'il s'efforçait plus ou moins de préserver sa réputation. À titre d'exemple, dans Once I Pass'd Through a Populous City, il fit du « bien-aimé » une « bien-aimée » avant la publication. Il alla jusqu'à s'inventer six enfants naturels pour corriger sa réputation.

Pendant la Guerre de Sécession, la camaraderie intense qui régnait sur les lignes de front en Virginie, où Whitman se rendit en qualité d'infirmier, nourrit ses idées sur la convergence de l'homosexualité et de la démocratie[24]. Dans Democratic Vistas, il fit pour la première fois la distinction entre l’amative love (qui serait en fait l'amour hétérosexuel) et l’adhesive love (qui serait l'amour homosexuel), en s'appuyant sur les résultats d'une pseudo-science, la phrénologie. Il y voit « l'amour adhésif » comme une éventuelle colonne vertébrale d'une meilleure forme de démocratie, comme « un contre-poids et un recalage dans notre démocratie d'Amérique, matérialiste et vulgaire ».

Il a fait partie avec John Franklin Gray (en), Charles Kingsley et d'autres personnalités d'un groupe d'homosexuels qu'il a nommé la Fred Gray Association[25],[26], groupe qui se réunissait régulièrement dans le restaurant Pfaff, au sein du Coleman House Hotel à Manhattan ; Whitman s'y est souvent rendu avec son amant Fred Vaughn[27].

À partir des années 1970, le mouvement d'émancipation homosexuel puis les organisations américaines LGBT firent de Whitman et d'Emily Dickinson des figures de proue[28],[29]. Les poèmes du recueil Calamus (poems) (en) notamment, rédigés à la suite d'une relation brisée (vraisemblablement homosexuelle), contiennent des passages qui furent interprétés comme un subtil « coming out » à l'adresse de ses lecteurs homosexuels[30]. Le titre seul de ces poèmes trahit déjà leur connotation homosexuelle aux initiés, puisque la Calamus est une plante qui tient son nom du dieu Calamos, qui selon la mythologie grecque dut endurer la mort de son jeune amant Carpos.

Œuvres

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Recueils de poésie

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Correspondances

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  • Edwin Haviland Miller (dir.), The Correspondence of Walt Whitman, vol. 1 : 1842-1867, New York, New York University Press (réimpr. 2007) (1re éd. 1961), 430 p. (ISBN 9780814794210, OCLC 690546659, lire en ligne),
  • Edwin Haviland Miller (dir.), The Correspondence of Walt Whitman, vol. 2 : 1868-1875, New York, New York University Press (réimpr. 2007) (1re éd. 1964), 426 p. (ISBN 9780814794227, OCLC 690546804, lire en ligne),
  • Edwin Miller (dir.), The Correspondence of Walt Whitman, vol. 3 : 1876-1885, New York, New York university press, (réimpr. 1977, 2007) (1re éd. 1964), 510 p. (ISBN 9780814794234, OCLC 490657585, lire en ligne),
  • Edwin Haviland Miller (dir.), The Correspondence, vol. 4 : 1886-1889, New York, New York university press (réimpr. 1977, 1989, 2007) (1re éd. 1969), 494 p. (ISBN 9780814704387, OCLC 490654472, lire en ligne),
  • Edwin Haviland Miller (dir.) et James R. Newman (dir.), The Correspondence, vol. 5 : 1890-1892, New York, New York University Press (réimpr. 2007) (1re éd. 1969), 400 p. (ISBN 9780814704394, OCLC 333961660, lire en ligne),

Journal

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Anthologie

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Œuvres complètes

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Traductions francophones

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Présence dans la culture populaire

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Stuart Williamson sculptant Walt Whitman
  • Le compositeur britannique Gustav Holst (1874-1934) a écrit une Ouverture Walt Whitman en 1899.
  • Le poète portugais, Fernando Pessoa, écrit en 1915, sous l'hétéronyme « Alavaro de Campos », un poème intitulé Salut à Walt Whitman, rendant hommage à son « frère jumeau de tous les élans. »
  • Leaves of Grass: A Choral Symphony (1992) de Robert Strassburg, Est une composition musicale pour Mezzo-Soprano, Tenor, Chorus, Orchestre et Narrateur écrit aux poèmes Feuilles d'herbe par Walt Whitman.
  • O Captain! My Captain! est l'un des poèmes les plus célèbres de Walt Whitman, écrit en réaction à l'assassinat d'Abraham Lincoln après la guerre de Sécession. C'est le poème emblématique du film Le Cercle des poètes disparus.
  • Le sculpteur britannique Stuart Williamson a réalisé une sculpture à son effigie.
  • Rip Torn incarne Walt Whitman, aux côtés de Colm Feore, dans le film Beautiful Dreamers (1990) de John Kent Harrison

Allusions dans la culture populaire

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  • Dans le film Down by Law (1986) de Jim Jarmusch, le personnage joué par Roberto Benigni fait référence à Walt Whitman.
  • Dans l'épisode 8 de la saison 7 des Simpson, la Mère d'Homer, ce dernier frappe la tombe de Walt Whitman d'un coup de pied et cite Feuilles d'herbe.
  • Dans la série Beverly Hills 90210 (1992 - Saison 3 Épisode 7) de Aaron Spelling, Andréa Zuckerman, le personnage interprété par Gabrielle Carteris, fait référence à Walt Whitman dans une discussion avec Gil Meyers, prof d'anglais et qui s'occupe également du journal du lycée, interprété par Mark Kiely.
  • Dans Revenants[31], deuxième livre de la Trilogie new-yorkaise de Paul Auster, Noir dit à Bleu déguisé en clochard qu'il ressemble à Walt Whitman et lui raconte une anecdote au sujet d'une autopsie du cerveau de ce poète considéré comme un génie.
  • Le groupe finlandais Nightwish rend hommage à Walt Whitman dans l'album Imaginaerum en intitulant une de ses chansons Song of Myself, qui dure 13:38.
  • Tuomas Holopainen, le leader du groupe, est un fan de Whitman.
  • Dans le film Bad Lieutenant (1992) d'Abel Ferrara, avec Harvey Keitel, Whitman est évoqué à l'heure pile du film.
  • Durant la saison 3 de la série télévisée Breaking Bad, le chimiste Gale Boetticher récite au personnage principal, le dealer Walter White, le poème When I heard the learned astronomer et lui offre un exemplaire de Feuilles d'herbe. D'autres références aux poèmes de Whitman sont glissées au cours des saisons 4 et 5 et les initiales similaires W.W. du héros avec le poète sera la source de la découverte de son activité par la police.
  • Walt Withman, incarné par l'acteur britannique Donald Moffat, est le personnage invité de l'épisode 21, saison 5, de la série Docteur Quinn, femme médecin, le titre de l'épisode étant celui d'un de ses poèmes Le Corps électrique.
  • Dans Bull Durham, le personnage d'Annie (Susan Sarandon) cite Walt Whitman.
  • En 2014, Apple utilise une partie du poème O Me! O Life! pour une de ses publicités.
  • Dans l'huile sur panneau de 1960 The third love painting (Tate, Londres), David Hockney inclut les quatre derniers vers de When I Heard at the Close of the Day.
  • Dans La Face cachée de Margo (VO Paper Town) de John Green, le personnage de Margot possède un exemplaire de Feuilles d'herbe et un passage de Chanson à moi-même est utilisée parmi les indices pour retrouver Margot.
  • Dans Docteur Patch (VO Patch Adams) de Tom Shadyac, Patch Adams récite les premiers vers de Song of The Open Road à Carin après avoir mentionné que Whitman avait été infirmier dans l'armée.

Notes et références

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  1. « https://norman.hrc.utexas.edu/fasearch/findingAid.cfm?eadid=00364 » (consulté le )
  2. « https://finding-aids.lib.unc.edu/12010/ »
  3. « https://archives.nypl.org/brg/19100 »
  4. « https://archives.nypl.org/brg/19100 » (consulté le )
  5. (en-US) Spencer Rumsey, « Walt Whitman's Long Island Roots », sur Long Island News from the Long Island Press, (consulté le )
  6. (en-US) « The History of the Walt Whitman Birthplace Association » (consulté le )
  7. (en) « Walt Whitman | Biography, Poems, Leaves of Grass, & Facts », sur Encyclopedia Britannica (consulté le )
  8. « Walt Whitman | Encyclopedia.com », sur www.encyclopedia.com (consulté le )
  9. (en-US) « About Walt Whitman | Academy of American Poets », sur Academy of American Poets (consulté le )
  10. (en-US) « About Us », sur Long Islander News (consulté le )
  11. (en-US) Matthew Wills, « Walt Whitman the... Politician? », sur JSTOR Daily, (consulté le )
  12. (en-GB) « Walt Whitman Biography | », sur Biography Online (consulté le )
  13. (en-US) Ed Simon, « Why We Need Walt Whitman in 2020 | History News Network », sur historynewsnetwork.org, (consulté le )
  14. (en-US) « Martin Klammer, "Free Soil Party" (Criticism) - The Walt Whitman Archive », sur whitmanarchive.org (consulté le )
  15. (en-US) Rhys Griffiths, « Death of Walt Whitman | History Today », sur www.historytoday.com (consulté le )
  16. (en-US) Tina Jordan, « When Walt Whitman Was Dying, It Was Front-Page News — for Months », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  17. (en-US) Caleb Johnson, « What Really Killed Walt Whitman? », sur The Paris Review, (consulté le )
  18. (en-US) « Walt Whitman », sur Find a Grave Memorial
  19. (en-US) Kevin C. Shelly, « Walt Whitman's final resting place: a hillside crypt in Camden he designed », sur www.phillyvoice.com (consulté le )
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  21. « Section 20 | IWP WhitmanWeb », sur iwp.uiowa.edu (consulté le )
  22. (en) « "Song of Myself" marathon reading at Bon Echo », sur Walt Whitman Initiative (consulté le )
  23. (en) « Walt Whitman Monument », sur Atlas Obscura (consulté le )
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  30. (en-US) « Walt Whitman - Gender and Sexuality Student Services - UIS », sur www.uis.edu (consulté le )
  31. Paul Auster (trad. de l'anglais par Pierre Furlan), Trilogie New-Yorkaise. 2 : Revenants, Paris, Actes Sud (pour la traduction française), , 122 p. (ISBN 2-253-13519-4), p. 79 à 81

Pour approfondir

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Bibliographie

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Notices dans des encyclopédies ou des livres de références

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Essais et biographies

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Articles

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Anglophones
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Années 1880-1919
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