Thédirac
Thédirac est une commune française, située dans l'ouest du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans la Bouriane, une région naturelle sablonneuse et collinaire couverte de forêt avec comme essence principale des châtaigniers.
Thédirac | |||||
Mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Lot | ||||
Arrondissement | Gourdon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cazals-Salviac | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marie Cournac 2020-2026 |
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Code postal | 46150 | ||||
Code commune | 46316 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
294 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 18 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 36′ 06″ nord, 1° 19′ 06″ est | ||||
Altitude | Min. 205 m Max. 332 m |
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Superficie | 16,51 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Cahors (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Causse et Bouriane | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de l'Ourajoux et par un autre cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Thédirac est une commune rurale qui compte 294 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 196 habitants en 1800. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Cahors. Ses habitants sont appelés les Thédiracois ou Thédiracoises.
Géographie
modifierCommune située dans le Quercy, en Bouriane.
Hydrographie
modifierLa commune est traversée par les ruisseaux de Malemort et de Pont-Barrat. L'Ourajoux, le ruisseau de la Ville, le ruisseau de Salvezou sont les principaux cours d'eau parcourant la commune.
Communes limitrophes
modifierClimat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 930 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Anglars-Juillac à 16 km à vol d'oiseau[4], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 822,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Milieux naturels et biodiversité
modifierEspaces protégés
modifierLa protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].
La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[10],[11].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[12] : les « landes, bois et zones tourbeuses du Frau de Lavercantière, hauts-vallons des ruisseaux du Degagnazès, de la Malemort et du Rivalès » (1 406 ha), couvrant 6 communes du département[13].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Thédirac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,7 %), zones agricoles hétérogènes (31,9 %), prairies (27,3 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Thédirac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Ourajoux. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[17]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2007[18],[15].
Thédirac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[19].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[20]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 256 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 256 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[15].
Risques technologiques
modifierLe risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une infrastructure ferroviaire. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].
Géologie
modifierSe trouve à Thédirac un gisement de sables et galets qui fait partie d'une vaste zone d'épandage détritique issue du socle du Massif central. La particularité du gisement vient qu'on y trouve des galets de quartz, et non des galets de roche de socle, et que les sables ne contiennent presque que du quartz. La composition de ce gisement vient probablement de ce que le matériau érodé du socle s'est déposé dans un fossé et a subi une altération de climat chaud entraînant une dégradation des matériaux autres que le quartz. Le gisement repose sur un socle de calcaire portlandien. Ce gisement est exploité par la société Quartz et sables du Lot appartenant au groupe Imerys[24],[25],[26].
Toponymie
modifierLe toponyme Thédirac d'origine gallo-romaine, est basé sur un anthroponyme Theutherus. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes. D'après l'origine de celle-ci, le nom daterait d'avant le XIIe siècle. C'est le domaine de Theutherus[27].
Histoire
modifierSi le nom est d'origine gallo-romaine, la première mention du village apparaît dans un acte de donation de la famille de Luzech datant de 1135 avec un chevalier de Thédirac du nom de Gaucelin. La seigneurie de Thédirac appartient à la famille de Luzech.
La guerre de Cent Ans, entre 1337 et 1453, fait de nombreux ravages dans le Quercy, même dans les petits villages, en entraînant une dépopulation aggravée par la peste de 1505-1506. L'activité rurale a repris rapidement la paix revenue. Le , Guillaume Amalvin v, baron de Luzech, a rendu hommage à Guillaume de Beaufort, vicomte de Turenne, pour la terre et la baronnie de Thédirac. Le , le château de Thédirac a été cédé par Bertrand de Luzech à Jean du Maine[28]. La famille de Luzech a conservé la seigneurie jusqu'à la fin du XVIe siècle. En 1566, Jean de Luzech a fait réparer le château de Thédirac pour que sa mère, Claude de Caumont, veuve de Guy de Luzech, puisse y résider.
La seigneurie élevée en baronnie est détachée de celle de Luzech en 1595 par Jean de Luzech pour la donner à sa mère, Jeanne de Prouillac, remariée à Gabriel de Guiscard, seigneur de Cavagnac. Elle a laissé la baronnie aux enfants de son beau-fils Pierre de Guiscard.
Pendant les guerres de religion, les Guiscard sont devenus protestants. Dans sa lutte contre les protestants révoltés, Louis XIII a commandé à Pierre de Bordeaux d'occuper le château. Son propriétaire, Gabriel de Guiscard, s'est opposé à cette occupation. Devant ce refus, le roi a envoyé une armée de 2 000 hommes avec 2 canons pour réduire le châtelain à l'obéissance.
Les Guiscard de Cavagnac sont restés barons de Thédirac jusqu'en 1779, quand ils vendent la baronnie à Marc-Antoine de La Grange-Gourdon, marquis de Floirac et de Lavercantière.
Le château est saisi à la Révolution et vendu comme bien national à la famille Delsol qui l'a conservé jusqu'en 1960. Le château a été brulé en 1796 par les habitants qui sont pris de fureur contre le profiteur qui l'a acheté.
Le village avait encore 572 habitants en 1880, mais 262 en 1996. La première Guerre mondiale a coûté la vie à 32 habitants du village. Puis, après la seconde Guerre mondiale, l'exode des campagnes vers les villes a dépeuplé le village.
Politique et administration
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30]. En 2021, la commune comptait 294 habitants[Note 3], en évolution de −4,23 % par rapport à 2015 (Lot : 0,89 %, France hors Mayotte : 1,84 %). |
Économie
modifierRevenus
modifierEn 2018, la commune compte 133 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 275 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 640 €[I 5] (20 740 € dans le département[I 6]).
Emploi
modifier2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 6,5 % | 3,9 % | 7,2 % |
Département[I 8] | 7,3 % | 8,9 % | 9,6 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 154 personnes, parmi lesquelles on compte 83,9 % d'actifs (76,8 % ayant un emploi et 7,2 % de chômeurs) et 16,1 % d'inactifs[Note 5],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Cahors, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 76 emplois en 2018, contre 74 en 2013 et 74 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 124, soit un indicateur de concentration d'emploi de 61,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,2 %[I 11].
Sur ces 124 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 38 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 80,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 4,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
modifier17 établissements[Note 6] sont implantés à Thédirac au [I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,4 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 17 entreprises implantées à Thédirac), contre 29,9 % au niveau départemental[I 15].
Agriculture
modifierLa commune est dans la « Bourianne », une petite région agricole occupant une partiede l'ouest du territoire du département du Lot[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 7] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 30 | 16 | 14 | 10 |
SAU[Note 8] (ha) | 614 | 604 | 687 | 754 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 30 lors du recensement agricole de 1988[Note 9] à 16 en 2000 puis à 14 en 2010[35] et enfin à 10 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 67 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[36],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a augmenté, passant de 614 ha en 1988 à 754 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 20 à 75 ha[35].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Roch de Thédirac. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1913[37]. Plusieurs objets sont référencer dans la base Palissy[37]. L'église est dédiée à saint Roch.
- Chapelle de Mazer.
- Dolmen de Surgès : dolmen situé à cheval sur les communes de Lavercantière et Thédirac. Classé MH (2013) « Site archéologique du dolmen de Surgès », notice no PA46000063 44° 37′ 15″ N, 1° 18′ 20″ E.
- Château de Thédirac[38]
-
Église Saint-Roch, côté sud, avec le clocher à gauche et le réduit fortifié à droite -
Intérieur de l'église Saint-Roch -
Château de Thédirac
Personnalités liées à la commune
modifierVoir aussi
modifierBibliographie
modifier- Eugène Grangié, Thédirac et son église, dans Le Journal du Lot,
- R. Granié, Le siège et la reddition de Thédirac (Lot) en 1622, p. 219-226, dans Bulletin de la Société d'Études du Lot, 1931, tome 52
Article connexe
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Thédirac ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cahors », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Thédirac » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Thédirac » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Thédirac » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Thédirac » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Thédirac et Anglars-Juillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Anglars » (commune d'Anglars-Juillac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Anglars » (commune d'Anglars-Juillac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le ).
- « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Thédirac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « landes, bois et zones tourbeuses du Frau de Lavercantière, hauts-vallons des ruisseaux du Degagnazès, de la Malemort et du Rivalès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Thédirac », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lot.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
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- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Thédirac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Éric Massy-Delhotel, Des galets du Quercy pour l'électrométallurgie, p. 2-8, dans Mines & Carrières, juin 2004, no 105
- Le gisement de Thédirac : Quartz et Sables du Lot (groupe Imerys), p. 81-84, dans Géologues, no 155 (lire en ligne)
- Thédirac. Journée portes ouvertes à la carrière d'Imerys, dans La dépèche, 19/05/2013
- Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 125.
- Louis Combarieu, Dictionnaire des communes du Lot.. : contenant la nomenclature des villages, hameaux, châteaux, moulins, métairies, maisons isolées.. : précédé d'une introduction sur le département du Lot avant et après 1789, p. 247, 1881
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Thédirac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Lot » (consulté le ).
- « Église Saint-Roch », notice no PA00095270, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Patrimoines Midi-Pyrénées : château