Soulosse-sous-Saint-Élophe
Soulosse-sous-Saint-Élophe est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.
Soulosse-sous-Saint-Élophe | |
L'église Saint-Élophe. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Neufchâteau |
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Ouest Vosgien |
Maire | Vincent Kinzelin |
Code postal | 88630 |
Code commune | 88460 |
Démographie | |
Gentilé | Solicien(ne)s |
Population municipale |
657 hab. (2021 ) |
Densité | 34 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 24′ 15″ nord, 5° 44′ 03″ est |
Altitude | 291 m Min. 272 m Max. 445 m |
Superficie | 19,32 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Neufchâteau (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Neufchâteau |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
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Ses habitants sont appelés les Soliciens.
Géographie
modifierSoulosse-sous-Saint-Élophe est située dans la vallée du Vair en aval d'Autigny-la-Tour et à 6 km au nord de Neufchâteau. Le hameau de Soulosse occupe une position centrale, dans le creux d'un méandre de la rivière. Les forêts couvrent essentiellement l'ubac, autour du hameau de Fruze traversé par la Frezelle, ruisseau venant de Rollainville. Enfin, Saint-Élophe et Brancourt sont les deux hameaux de l'adret.
Les communes les plus proches sont Autigny-la-Tour à 2 km, Harchéchamp à 3 km, Moncel-sur-Vair, Rollainville et Barville à 4 km de distance[1]. La grande ville la plus proche est Toul, à 32 km.
Hydrographie
modifierLa commune est située dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le Vair, le ruisseau Frezelle et le ruisseau des Chaudrons[2],[Carte 1].
Le Vair, d'une longueur totale de 65,3 km, prend sa source dans la commune de Dombrot-le-Sec et se jette dans la Meuse à Maxey-sur-Meuse, en limite avec Greux, après avoir traversé 23 communes[3].
Le ruisseau Frezelle, d'une longueur totale de 16,4 km, prend sa source dans la commune de Rouvres-la-Chétive et se jette dans le Vair sur la commune, après avoir traversé quatre communes[4].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 968 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rollainville », sur la commune de Rollainville à 5 km à vol d'oiseau[7], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 860,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,2 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Soulosse-sous-Saint-Élophe est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Neufchâteau, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[13]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (62,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,3 %), terres arables (30 %), prairies (28,8 %), zones urbanisées (2,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Histoire
modifierLa voie romaine de Lyon à Trèves traverse le domaine communal.
Saint-Élophe devait correspondre à l'antique Solimariaca dont le nom se retrouve sur quelques inscriptions monumentales retrouvées[17], ainsi que sur l'Itinéraire d'Antonin.
Édifié sans doute sous la poussée des invasions barbares, un castrum a pu être localisé dans la vallée, sur le site de Soulosse.
La commune est née le de la fusion de Soulosse (88460), Saint-Élophe (88414), Brancourt (88072) et Fruze (88191)[18].
- Le village de Fruze (Frumentosa) comptait 18 habitants en 1710, 109 en 1803, 138 en 1830. Fruze dépendait autrefois de la baronnie du Châtelet (Barville).
- Le village de Brancourt fut échangé en 1279 par Jacques de Clermont, doyen du chapitre de Toul, au duc Ferry du Chatelet contre le village de Gémonville.
Début 2008, ouverture de la crèche La Souris Verte et de la cantine.
Le conseil municipal de Soulosse-sous-Saint-Élophe s'est prononcé en faveur d'un projet de site d'enfouissement de déchets nucléaires (type FAVL), projet au sujet duquel la population (majoritairement opposée) n'a pas été consultée. À ce jour, la candidature de la commune n'a pas été retenue. Soulosse est l'une des quatre communes vosgiennes dans ce cas, avec Aouze, Rouvres-en-Xaintois et Grand.
Politique et administration
modifierBudget et fiscalité 2014
modifierEn 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[19] :
- total des produits de fonctionnement : 380 000 €, soit 597 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 256 000 €, soit 403 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 61 000 €, soit 97 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 38 000 €, soit 60 € par habitant.
- endettement : 411 000 €, soit 646 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 18,45 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,43 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 21,09 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Liste des maires
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].
En 2021, la commune comptait 657 habitants[Note 3], en évolution de 2,34 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierUn musée archéologique gallo-romain est installé au rez-de-chaussée de la mairie[27]. Toutes les trouvailles archéologiques faites dans le village y sont exposées[28] : stèles gallo-romaines du Ier au IVe siècle, bornes milliaires ou leugaires (selon qu'elles indiquent les distances en milles romains ou en lieues gauloises), objets quotidiens usuels... Le musée est ouvert tous les jours de l'année sauf le samedi, mais peut être visité sur réservation. La visite, guidée et commentée, inclut l'église et le parcours de saint Élophe. La légende du saint y est racontée, de la chapelle Saint-Épéothe à la source qui jaillit au passage d'Élophe, à la pierre qui se fendit pour abriter le saint...
- La chapelle Sainte-Épéothe (ou Sainte-Epaïotte) XVe et XVIe siècles[29],[30],[31],[32] et la fontaine miraculeuse[33].
- L'église Saint-Élophe, construite aux XIIIe et XVe siècles, inscrite sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en mars 1926[34].
- L'église, curieusement de style gothique et roman mélangé, présente un gisant et les reliques de saint Élophe. Autrefois l'église portait en son toit une grande statue du saint qui a dû être retirée car elle compromettait la solidité de l'église. Cette grande statue de pierre trône aujourd'hui à côté de l'église.
- Le cimetière[38] et son édicule en pierre, inscrit monument historique en mars 1926[39].
- Moulin et usine de fabrication des métaux[40].
- Le viaduc pour la ligne de Culmont - Chalindrey à Toul.
Personnalités liées à la commune
modifier- Saint Élophe, qui aurait subi le martyre en l'an 362 sous Julien, faisait l'objet d'un pèlerinage très fréquenté. La légende prétend que le saint décapité gravit la colline, la tête sous le bras, et y prononça un dernier sermon. Il était invoqué notamment contre la goutte et la gravelle (calculs rénaux).
- Depuis 1992, le pèlerinage se perpétue tous les lundis du mois d'octobre[41]. C'est une association qui prend en charge l'organisation, avec une partie religieuse le matin et une animation au cours de l'après-midi. Depuis 2006, l'association "Conservation du patrimoine" a créé les "Journées des Élophe", invitant toutes les familles qui portent de nom d'Élophe à se réunir au village qui est probablement la terre de leurs ancêtres. En 2006, les Élophe sont arrivés le samedi 14 octobre et ont passé trois jours sur le site à faire connaissance. L'expérience a été renouvelée en octobre 2007.
- Sainte Menne ou Manne, née à Soulosse[42].
- Nicolas-Joseph Thomas (1825-1898), général de division, est né à Soulosse.
Héraldique
modifierAnnexes
modifierBibliographie
modifier- Auguste Longnon, « Pagus Solecensis », dans Atlas historique de la France, Librairie Hachette, Paris, 1885, p. 118 (lire en ligne)
- Auguste Longnon, « Solimariaca n'est pas Soulosse », dans Revue archéologique, 1877, p. 128- (lire en ligne)
- A. Fournier, « Topographie ancienne du département des Vosges : Saint-Elophe », dans Annales de la Société d'émulation du département des Vosges, 68e année, 1892, p. 161-162 (lire en ligne)
- A. Fournier, « Topographie ancienne du département des Vosges. II- Divisions anciennes : Pagus Solimariencis », dansAnnales de la Société d'émulation du département des Vosges, 74e année, 1898, p. 11-12 (lire en ligne)
- Abbé L. Lévêque, Solimariaca et saint Elophe, Balan, Sedan, 1912
- Ch. Bruneau, « Solimariaca, Solicia, Soulosse », dans Mélanges de philologie et d'histoire offerts à M. Antoine Thomas, Librairie Champion, Paris, 1928, p. 61-70 (Compte-rendu par Alerbert Grenier dans Revue des Études Anciennes, 1931, tome 33, no 1, p. 45)
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen-Âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4e trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Soulosse, p. 1148
- Menne (Sainte), vierge IVe siècle.
- Recueil de différents monuments du diocèse de Saint-Diè (Vosges), par CH. Fontaine, architecte. Première partie : Monuments au village de Saint-Élophe, pp. 1 et 2. Voir une douzaine de dessins des monuments de Saint-Élophe à partir de la page 19. Seconde partie: les croix. Page 1: notice sur la croix de la grotte de Saint Élophe.
- Peuple de saints et pèlerinages dans les diocèses d’Autun et de Nevers : du temps des martyrs au temps des réformes, IVe – XVIIIe siècles, Diane Carron (Page 141) : En Lorraine, un intérêt nouveau entoura le martyr saint-Élophe à Soulosse, auxquels deux ouvrages furent consacrés en 1602 puis 1629 (note 641).
- Maurice Toussaint, « Soulosse et ses antiquités gallo-romaines », dans Le Pays lorrain, 1935, p. 529-545 (lire en ligne)
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- [vidéo] Les cloches de l'église de Soulosse-sous-Saint-Élophe
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Lorraine
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Carte globale Lorraine CARMEN - DREAL Lorraine
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Soulosse-sous-Saint-Élophe » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Soulosse-sous-Saint-Élophe », sur cartesfrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Soulosse-sous-Saint-Élophe », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « le Vair »
- Sandre, « le ruisseau Frezelle »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Soulosse-sous-Saint-Élophe et Rollainville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rollainville », sur la commune de Rollainville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rollainville », sur la commune de Rollainville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Soulosse-sous-Saint-Élophe ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Neufchâteau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Notamment une inscription monumentale dédicacée par les habitants, les Vicani Solimariacenses, retrouvée au cours de la démolition en 1694 du vieux pont sur le Vair.
- http://www.insee.fr/fr/methodes/nomenclatures/cog/fichecommunale.asp?codedep=88&codecom=460
- Les comptes de la commune
- « Municipales partielles : pas de second tour », sur le site de Vosges Matin, (consulté le ).
- « Vincent Kinzelin est le maire de la commune », sur Vosges Matin, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Trouvée à Soulosse-sous-Saint-Élophe. (Exposée au Musée de cette même localité).
- Le musée archéologique gallo-romain
- Papiers des archéologues Emile Delort (1880-1958) et Marcel Lutz (1908-2000)
- La Chapelle Sainte-Épéothe
- La Chapelle Sainte Epéothe vandalisée !
- Vers une restauration de la chapelle Saint-Épéotte
- « Soulosse », sur gallica.bnf.fr, Le Pays Lorrain, (consulté le ).
- La fontaine
- « L'église Saint-Élophe », notice no PA00107284, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Plénum des cloches de l'église
- (fr) Site sur les orgues du Département des Vosges : Page sur l'orgue de l’église de Soulosse-sous-Saint-Élophe
- Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 581 à 582 Présentation des orgues de l’église Saint-Elophe à Soulosse-sous-Saint-Elophe.
- La croix du cimetière
- « édicule à fonction non identifiée », notice no PA00107283, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Moulin et usine de fabrication des métaux », notice no IA88000313, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le pèlerinage et son histoire
- Biographie vosgienne / François Vuillemin