Seilhac

commune française du département de la Corrèze

Seilhac (prononcé [sɛjak] ; Selhac en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Seilhac
Seilhac
Château.
Blason de Seilhac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tulle Agglo
Maire
Mandat
vacant
2020-2026
Code postal 19700
Code commune 19255
Démographie
Gentilé Seilhacois-Seilhacoises[1]
Population
municipale
1 797 hab. (2021 en évolution de  5,21 % par rapport à 2015)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 22′ 05″ nord, 1° 42′ 51″ est
Altitude Min. 317 m
Max. 547 m
Superficie 25,75 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Tulle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Seilhac-Monédières
Législatives Première circonscription
Localisation
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Seilhac
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Seilhac
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Seilhac
Liens
Site web Site officiel

Géographie

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Localisation

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Seilhac est située approximativement à égale distance de Tulle, Brive-la-Gaillarde et Uzerche. Proche des autoroutes A89 et A20, le pays de Seilhac représente une frontière naturelle entre les vallées de la Corrèze et de la Vézère. Le territoire communal est ainsi arrosé par le Brézou, affluent de la Vézère, et par la Céronne, affluent de la Corrèze.

Située sur les contreforts du Massif central, la commune dispose d’un relief vallonné caractérisé par des collines boisées et des mini-plateaux dont les hauteurs moyennes varient de 420 à 547 mètres au Puy des Ferrières. De ce plateau, on jouit d’un vaste panorama sur tout le massif des Monédières. La commune s’étend sur 2 575 hectares et sur près de 7 km dans le sens nord-sud et sur plus de 8 km dans le sens est-ouest.

Le climat, du type semi-continental, se caractérise par une certaine douceur due à l’exposition sud-ouest.

La principale zone urbaine se situe au centre du territoire communal.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes

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Panorama du bourg.

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et montagnard[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 316 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Tulle à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 236,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Seilhac est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tulle, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 43 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,4 %), zones agricoles hétérogènes (32,1 %), forêts (10,3 %), zones urbanisées (5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,2 %), eaux continentales[Note 2] (1,1 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Seilhac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Seilhac.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[16]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 14,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 967 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 34 sont en aléa moyen ou fort, soit 4 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Concernant les feux de forêt, aucun plan de prévention des risques incendie de forêt (PPRIF) n’a été établi en Corrèze, néanmoins le code de l’urbanisme impose la prise en compte des risques dans les documents d’urbanisme. Le périmètre des servitudes d'utilité publique et des zones d'obligation légale de débroussaillement pour les particuliers est quant à lui défini pour la commune dans une carte dédiée[18].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Seilhac est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[19].

Économie

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L'économie locale est basée sur l'artisanat et sur les PME. Le secteur agricole décline malgré la persistance d'une économie basée sur l'élevage bovin de qualité.

Toponymie

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Seilhac est connue dès le VIIe siècle.[précision nécessaire]

Le nom de « Seilhac » vient de l’association du nom d’un homme Sailus, propriétaire d’un domaine agricole, avec le suffixe d'origine gauloise -acum. La formation du nom de la commune est antérieure au VIe siècle[réf. nécessaire]

Histoire

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Des vestiges gallo-romains témoignent de la présence sur le territoire de la commune.[précision nécessaire]

Sa position au carrefour de vieux chemins donna au bourg son essor.

En 1784, Turgot, alors intendant du Limousin, établit la route reliant Paris au centre de la France. Grâce à l’influence du marquis de Seilhac, cette route passa par la ville du même nom. En 1790, le rang du bourg est confirmé et reçoit le chef-lieu du canton.

Le , la division Das Reich, qui a déjà commis la veille le massacre de Tulle et commet, ce même , celui d'Oradour-sur-Glane, procède à des arrestations à Seilhac et à Masléon (Haute-Vienne). Quatre personnes natives de Seilhac se retrouvent au nombre des 2 152 déportés (tous des hommes, dont 149 qui avait été arrêtés à Tulle le ) à partir du camp d'internement de Royallieu à Compiègne, le , pour le camp de concentration de Dachau dans le tristement célèbre « train de la mort » (le transport no I240[20]).

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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L'Hôtel-de-Ville.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1935 1982 Jean Vinatier SFIO puis SE Agriculteur
Député (1971-1973)
1982 1995 Pierre Vinatier -  
juin 1995 2008 Roger Brousse DVD  
mars 2008 novembre 2008 Pierre Tresmontan[21] DVG  
novembre 2008 2024 Marc Géraudie[22]
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVG Chef d'entreprise
Décédé en fonction

Politique environnementale

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Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[23].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

En 2021, la commune comptait 1 797 habitants[Note 3], en évolution de 5,21 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2941 2711 4461 6021 6101 6021 6201 6701 785
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8021 8331 8481 8251 8311 8932 0322 0352 082
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0251 9631 9601 6311 5041 5591 6021 3701 242
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 2431 2471 3191 4401 5401 6351 7241 7651 721
2014 2019 2021 - - - - - -
1 6971 7781 797------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie locale

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Enseignement

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Équipements

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Associations sportives

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  • Seilhac Football
  • Seilhac Rugby
  • Seilhac Basket

Lieux et monuments

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Le patrimoine bâti dont les éléments majeurs sont l’église (abside et chœur) et le château reconstruit à la fin du XIXe siècle (domaine privé) constitue le principal patrimoine historique de la commune. Le chœur de l'église et le jardin du château sont inscrits à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.

L'Abside et chœur ont été inscrit au titre des monuments historique en 1977[28].
Galerie : L'église Notre-Dame de Seilhac

La ville possède aussi un potentiel touristique avec le lac de Bournazel, vaste de 35 hectares et les infrastructures de loisirs et de pleine nature.

Personnalités liées à la commune

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  • Henry de Bournazel (1898 - 1933), héros de la pacification du Maroc (l'homme à la tunique rouge). La famille de Lespinasse de Bournazel est installée sur les communes de Saint-Jal et de Seilhac depuis le XVIe siècle.
  • Léonard Leymarie (1880-1914), né à Seilhac, fusillé pour l’exemple.
  • Paul Viallaneix (1925-2018), spécialiste de Michelet et de Supervielle, est enterré à Seilhac.
  • Élie Pebeyre (1923-2008), né à Seilhac, ancien joueur français de rugby à XV.

Héraldique

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  Blason
D’azur au chevron d’or accompagné de trois seilles d’argent, deux en chef, une en pointe, au chef de gueules chargé de trois étoiles d’or.
Détails
Le blason, existant depuis 1843 sur le mur de l’ancienne mairie d’où il fut transféré, se trouve gravé sous un fronton triangulaire dans un cartouche du mur devant le jardin des écoles, à côté de la mairie.

Le blasonnement indique deux métaux : l’or (jaune), l’argent (blanc) pour le chevron, les seilles (seaux en bois) ainsi que les étoiles ; et deux émaux : azur (bleu) pour le champ et gueules (rouge) pour le chef (tiers supérieur).

Ses éléments furent empruntés d’une part aux armoiries des seigneurs de Seilhac et, d’autre part, à l’intérêt qu’on portait à la fabrication des seilles dans le pays du Bas-Limousin.
Voté en .

Manifestations

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Notes et références

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  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références

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  1. Les gentilés de Corrèze
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Seilhac et Tulle », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Tulle » (commune de Tulle) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Tulle » (commune de Tulle) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tulle », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Les risques près de chez moi - commune de Seilhac », sur Géorisques (consulté le )
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  18. « Risque de feu de forêt près de chez moi, sur la commune de Seilhac », sur Géorisques (consulté le )
  19. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
  20. « Le transport I.240 », sur Fondation pour la mémoire de la déportation, (consulté le ).
  21. Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008
  22. Bulletin de l’association des maires de Corrèze, no 200, novembre 2008-janvier 2009, « http://www.maires.correze.net/bulletin200.pdf »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), consulté le 13 mai 2009
  23. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Eglise Notre-Dame », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).

Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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