Saint-Hilaire-la-Croix

commune française du département du Puy-de-Dôme

Saint-Hilaire-la-Croix est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saint-Hilaire-la-Croix
Saint-Hilaire-la-Croix
La mairie et une partie de l'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté de communes Combrailles Sioule et Morge
Maire
Mandat
Sylvain Lelièvre
2020-2026
Code postal 63440
Code commune 63358
Démographie
Gentilé Larouésiens[1]
Population
municipale
368 hab. (2021 en évolution de  10,18 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 02′ 51″ nord, 3° 02′ 47″ est
Altitude Min. 414 m
Max. 661 m
Superficie 16,21 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Georges-de-Mons
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Hilaire-la-Croix
Liens
Site web https://www.sainthilairelacroix.fr/

Géographie

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Localisation

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Entrée par la D 406.

Saint-Hilaire-la-Croix est situé à 41 km au nord de Clermont-Ferrand, sur la marge orientale du plateau des Combrailles. Elle est traversée par la route départementale 2144 (ancienne route nationale 144) qui relie Bourges à Clermont-Ferrand.

La commune s'étend sur 1 621 hectares et regroupe 368 habitants (au recensement de 2021) répartis sur seize villages, hameaux et lieux-dits : Le Bourg, Font Claire, Chamalet, Bournet, Les Bajaris, La Rochette, Les Roches, L'Arbre de La Ronce, Moulin Bourret, Moulin Josse, Moulin Morel, Cébazat, Fenérol, Les Béates, Valmort et La Gravière.

Sept communes sont limitrophes[2] :

Communes limitrophes de Saint-Hilaire-la-Croix
Saint-Pardoux Marcillat Champs
Blot-l'Église  
Charbonnières-les-Vieilles Montcel Jozerand

Hydrographie

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Saint-Hilaire-la-Croix est parcourue de nombreux ruisseaux, principalement d'orientation nord-ouest et sud-est, qui se jettent dans la rivière de la Morge, laquelle constitue la limite méridionale de la commune. Sur l'un des affluents de la Morge « la Sep », un barrage a été aménagé. La retenue d'eau couvre une superficie totale de 33 hectares (4 500 000 m3) et permet d'irriguer les terres de Limagne en aval. Aux abords du village de Chamalet, situé au nord de la commune, le ruisseau de la Cigogne est d'orientation sud-ouest et nord-est, et alimente la Sioule. La commune est également parsemée d'une quinzaine d'étangs.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Ouest et nord-ouest du Massif Central » et « Nord-est du Massif Central »[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 780 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 675,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Hilaire-la-Croix est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48,3 %), forêts (29,3 %), zones agricoles hétérogènes (11,8 %), terres arables (5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %), zones urbanisées (1,7 %), eaux continentales[Note 2] (1,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Sent Aliri e Lac Roi en nord-occitan, la langue traditionnelle locale[14].

Histoire

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Sous l'Ancien Régime, l'actuelle commune de Saint-Hilaire-la-Croix, faisait partie de la Généralité de Moulins et de son élection de Gannat.

Histoire des prieurés

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L'histoire de Saint-Hilaire-la-Croix est étroitement liée à celle des deux prieurés qui ont coexisté jusqu'au XIVe siècle : celui de Lac-Rouge ou Lac-Roy qui, par déformation, donnera La Croix et celui de Saint-Hilaire dont il ne demeure que quelques pierres sur les bords de Morge.

  • Les religieux, chanoines réguliers de Saint-Augustin (prieuré du Lac Rouge), sont dépendants du chapitre d'Artonne et de l'évêque d'Auvergne. Ils sont en rivalité avec le prieuré de Saint-Hilaire, situé à une lieue et demi plus au sud, dépendant du prieuré d'Artonne.
  • En 1324, l'annexion de ce dernier se fera au profit du Lac-Roy et progressivement, prendra forme l'identité locale et religieuses de Saint-Hilaire-Lac-Roy.
  • Le prieuré assure l'accueil et la sécurité des pèlerins. Il prospère au cours des XIIe et XIIIe siècles et bénéficie de nombreuses donations et de nombreux droits féodaux dont celui de haute, moyenne et basse justice.
  • En 1337, il eut à se défendre militairement contre le seigneur de Tournoël-Châteauneuf.
  • En 1600, il n'y a plus de religieux à Saint-Hilaire. Les prieurs sont devenus commendataires et ne résident plus sur place.
  • En 1678, le prieuré devient la propriété des pères lazaristes de Paris qui nomment le curé de la paroisse. Les bénéfices sont affectés à l'entretien des Lazaristes assurant le service de l'Hôtel des Invalides de Paris.
  • À la Révolution, les biens du prieuré sont vendus comme biens nationaux. Seuls l’église et le bâtiment principal restent biens communaux. Après la Révolution et la signature du Concordat, l'église devient paroissiale.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Saint-Hilaire-la-Croix est membre de la communauté de communes Combrailles Sioule et Morge[10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Manzat. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[15]. Jusqu'en 2016, elle était membre de la communauté de communes des Côtes de Combrailles[16].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[10]. Jusqu'en , elle faisait partie du canton de Combronde[17].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Georges-de-Mons pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[10], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (sixième circonscription avant 2010)[17].

Élections municipales et communautaires

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Élections de 2020

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Le conseil municipal de Saint-Hilaire-la-Croix, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[18] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[19]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 51,99 %[20].

Chronologie des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 ? Albert Desnier    
Jean-Claude Habrial DVG  
Bernard Favodon FG Conseiller général du canton de Combronde (1998-2015)

(réélu en 2020)
En cours
(au )
Sylvain Lelièvre[21] DVG Chargé de projet[22]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 368 habitants[Note 3], en évolution de 10,18 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : 2,28 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
587718735955808858858898879
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
922896866894879901924908903
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
840816781639577542487417337
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
290239223219241234286310344
2021 - - - - - - - -
368--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L’église de Saint-Hilaire, église romane du XIIe siècle : le portail nord avec ses deux piliers cannelés de style bourguignon, ses huit colonnes, son tympan polylobé et une archivolte extérieure sculptée de palmettes et de sept personnages dont Marie Madeleine, patronne du prieuré. La porte sud donne dans la cour du prieuré. Elle est surmontée d’un tympan plein cintre représentant le repas de Jésus chez Simon le Pharisien avec Marie Madeleine au pied de Jésus. À l’intérieur de l’église, se remarquent de beaux chapiteaux à la croisée du transept dont le plus célèbre la danseuse et le joueur de viole.

Une statue de sainte Marie-Madeleine se trouve dans une niche vitrée et éclairée sur le bas-côté droit. Elle date du début du XVIe siècle.

  • Le prieuré du Lac-Rouge ou Lac-Roy, qui, par déformation, donnera La-Croix : l’acte de fondation du prieuré remonte à 1128. De l’édifice initial subsiste : le pignon ouest, les murs latéraux de la nef et certains murs du transept. Le chevet, les absidioles et l’intérieur de la nef ont été rebâtis à la fin du XIIe siècle. Le portail nord et la partie sud ont pris place dans les anciens murs latéraux également à la fin du XIIe siècle. L’ensemble des sculptures est de la même époque.
  • La croix de Jacques datée de 1573, située au centre du bourg.
  • La chapelle Sainte-Agathe située dans le hameau de Valmort date du XIIe-XIIIe siècle.

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Quel nom choisir pour les habitants ? », sur lamontagne.fr, (consulté le ).
  2. Géoportail (consulté le 21 avril 2017).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-la-Croix et Charmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Hilaire-la-Croix ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  14. « Atlas sonore des langues régionales de France - Zone du Croissant », sur atlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, Paris, CNRS, .
  15. « CC Combrailles Sioule et Morge (No SIREN : 200072098) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  16. « CC des Côtes de Combrailles (No SIREN : 246300800) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  17. a et b « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  18. Article L. 252 du Code électoral.
  19. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
  20. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  21. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], sur mairesruraux63.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ), p. 8.
  22. Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 34 (édition du Puy-de-Dôme).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.