Saint-Aubin-d'Écrosville

commune française du département de l'Eure

Saint-Aubin-d'Écrosville est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Saint-Aubin-d'Écrosville
Saint-Aubin-d'Écrosville
L'église Saint-Aubin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité CC du Pays du Neubourg
Maire
Mandat
Christiane Deparis
2020-2024
Code postal 27110
Code commune 27511
Démographie
Gentilé Saint-aubinois
Population
municipale
739 hab. (2021 en évolution de  5,72 % par rapport à 2015)
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 08′ 36″ nord, 0° 59′ 50″ est
Altitude Min. 98 m
Max. 156 m
Superficie 14,6 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Évreux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Neubourg
Législatives 2e circonscription de l'Eure
Localisation
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Liens
Site web https://www.saintaubindecrosville.fr/

Géographie

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Localisation

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Saint-Aubin-d'Écrosville est un village normand périurbain sitié à vol d'oiseau à 7 km à l'est du Neubourg, 16 km au sud d'Elbeuf, 15 km au sud-ouest de Louviers, 17 km au nord-ouest d'Évreux et 21 km au nord de Conches-en-Ouche.

La commune se trouve dans l'aire d'attraction d'Évreux ainsi que dans sa zone d'emploi, et dans le bassin de vie du Neubourg[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Cesseville, Crosville-la-Vieille, Écauville, Ecquetot, Feuguerolles, Graveron-Sémerville, Marbeuf, Quittebeuf, Villettes et Sainte-Colombe-la-Commanderie.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 14,60 km2 ; son altitude varie de 98 à 156 mètres[2].

Hydrographie

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Aucun cours d'eau ne draine la commune.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 723 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Louviers à 15 km à vol d'oiseau[6], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 719,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Aubin-d'Écrosville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10].

Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Évreux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 108 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (85,5 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,3 %), forêts (10,8 %), zones urbanisées (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), prairies (1,7 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 340, alors qu'il était de 313 en 2016 et de 293 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 85,8 % étaient des résidences principales, 11,7 % des résidences secondaires et 2,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,9 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Aubin-d'Écrosville en 2021 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (11,7 %) supérieure à celle du département (6,2 %) et à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Saint-Aubin-d'Écrosville en 2021.
Typologie Saint-Aubin-d'Écrosville[I 3] Eure[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 85,8 85,8 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 11,7 6,2 9,7
Logements vacants (en %) 2,5 8 8,1

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Albinus[14] et Sanctus Albinus de Crocvilla[15] au XIIe siècle, Sanctus Albinus de Crovilla vers 1196 (charte de Garin, évêque d’Évreux), Saint Aubin d’Escrouville vers 1199 (bulle d’Innocent III), Sanctus Albinus de Crocvilla Richardis en 1234, Sanctus Albinus la Richart en 1253, Sanctus Albinus de Crovilla Richardi en 1254 (cartulaire du Bec), Sanctus Albinus de Crocvilla la Richart en 1292 (cartulaire du chap. d’Évreux)[15], Saint Albin de Croville en 1331 (cartulaire du Bec), Saint Aubin de Crosville en 1469 (monstre), Saint Aubin d’Arseville, Saint Aubin d’Ausseville, Saint Aubin de Roville en 1523 (Recherche de la noblesse), Saint Aubin d’Écrouville en 1781 (Berey, Carte partic. du dioc. de Rouen), Ecrosville la Montagne en 1789, Ecroville en 1793, Saint-Aubin-de-Crosville en 1801[16], Saint-Aubin-de-Croville en 1839 (L. P.)[17].

Le nom primitif est déterminé par un hagionyme, la paroisse et l'église sont dédiées à saint Aubin.

Ecrosville signifie le domaine de Krókr, nom d'homme scandinave[18].

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom d'Écrosville-la-Montagne[2].

Histoire

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Époque contemporaine

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Les écorchés du docteur Auzoux

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L'atelier d'anatomie du Dr Auzoux au tout début du XXe siècle.

À partir de 1828, le village abrite la fabrique d'écorchés anatomiques en papier mâché du Docteur Louis Auzoux, lui même né à Saint-Aubin en 1797[19]. Répondant à une forte demande, ces modèles pédagogiques d'anatomie humaine, de zoologie et de botanique connaissent bientôt une diffusion internationale. En 1835, le docteur Auzoux emploie cinquante personnes. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, le personnel atteindra cent ouvriers. Une partie du travail est réalisée à domicile.

Appliquant les principes paternalistes, le docteur Auzoux fait dispenser des cours du soir aux employés et met en place une caisse mutuelle. Il est par la suite élu maire du village. À sa mort en 1880, l'entreprise est reprise par son neveu. Elle reste en activité jusqu'en 2002[20].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Évreux du département de l'Eure[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton du Neubourg [2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton du Neubourg [I 1] porté de 24 à 44 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Eure.

Intercommunalité

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Saint-Aubin-d'Écrosville est membre de la communauté de communes du Pays du Neubourg, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales[I 1].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1838   Pierre Louis Le Bailly[21]    
1840   Louis Auzoux   Médecin naturaliste
         
1891   M. Halley    
         
  mars 2001[22] Albert Bouaffre    
mars 2001 2014 Pierre Maillard[22]   Chef d'entreprise (abattoirs du Neubourg)
Vice-président de la CC du Pays du Neubourg
2014 novembre 2024[23] Christiane Deparis SE Retraitée de la DDAF d'Évreux
Chevalière de l'ordre du Mérite agricole
Démissionnaire

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 739 habitants[Note 3], en évolution de 5,72 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0301 0711 1021 0101 005918930885854
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
868839778732771758706690657
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
642601609516485463466541528
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
473466521508540563626635674
2017 2021 - - - - - - -
709739-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le château.

La commune abrite deux monuments historiques :

  • Le Château de Saint-Aubin-d'Écrosville   Inscrit MH (2001, partiellement)[27] et son domaine   Classé MH (2004, 2005, partiellement)[28]datent de 1640 ; ils ont été aménagés pour l'une des grandes familles normandes, les Leroux[29]. Le château se compose d'un grand corps de logis, de brique et pierre, et d'ailes plus basses le prolongeant. Il conserve intérieurement des éléments de décor des XVIIe et XIXe siècles. Vendu en 1688 à la famille Pavyot, le domaine appartient toujours aux descendants de cette famille. Vers 1860 (famille Tirebarbe d'Aubermesnil), des transformations importantes ont été réalisées dans la cour d'honneur et de grandes écuries construites par l'architecte Hippolyte Destailleur et le parc transformé. Une partie des grilles provient de la fonderie d'art du Val d'Osne.
    Le , y décède l'auteur Henri de La Haye-Jousselin[30],[31]
    Depuis 1950, les propriétaires reconstituent le parc tel qu'il était au début du XVIIIe siècle, et créent des jardins pour y présenter des sculptures provenant de Hyères. L'intérieur du château a été inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du et le domaine a été classé par arrêté du [32].
  • L'église Saint-Aubin   Inscrit MH (1927)[33], de style Renaissance.

Patrimoine naturel

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Site inscrit

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Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
  2. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Saint-Aubin-d'Écrosville et Louviers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Louviers » (commune de Louviers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Louviers » (commune de Louviers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Évreux », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France, page 1530.
  15. a et b François de Beaurepaire - Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure - Page 169
  16. Carte de cassini.
  17. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 189.
  18. Société historique Hag'Dik - Association pour la promotion du patrimoine historique viking et de la Normandie ducale - Les Vikings en Normandie : Noms de lieux d'origine scandinave.
  19. Johann-Günther Egginger, Belles plantes ! Modèles en papier mâché du Dr Auzoux, Réseau Canopé, , 48 p..
  20. Christophe Degueurce, Corps de papier : l’anatomie en papier mâché du docteur Auzoux, Paris, editions de La Martinière, .
  21. « Les maires de Saint-Aubin-d'Écrosville », sur https://www.francegenweb.fr/ (consulté le ).
  22. a et b Jean-Paul Adam, « L'ancien maire Pierre Maillard est promu maire honoraire », Le Courrier de l'Eure,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire de Saint-Aubin-d’Écrosville de 2001 à 2014, après deux mandats de conseiller municipal et d’adjoint, aux côtés d’Albert Bouaffre, Pierre Maillard s’est retiré de la vie publique lors des dernières élections municipales ».
  23. Simon Lenormand, « Près du Neubourg, la maire annonce sa démission après un AVC », Le Courrier de l'Eure,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Christiane Deparis a été élue pour la première fois en 2008, sur la liste de Pierre Maillard, dont elle fut adjointe à l’urbanisme. Elle lui succédera à la tête de la commune, à partir de 2014 ».
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Domaine de Saint-Aubin-d'Ecrosville », notice no PA00099542, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  28. « Parc du château », notice no IA27000566, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  29. Parmi les membres de la famille Le Roux (ou Leroux), voir Pierre Robert Le Roux d'Esneval et l'histoire du domaine d'Acquigny.
  30. Henri de La Haye Jousselin sur IdRef.
  31. Faire-part du décès d'Henri de la Haye-Jousselin.
  32. Notice no PA00099542, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Église », notice no PA00099543, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « L'if de l'ancien cimetière », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).