Rue Casimir-Périer (Paris)

rue de Paris, en France

La rue Casimir Périer est une voie du 7e arrondissement de Paris, en France.

7e arrt
Rue Casimir-Périer
Voir la photo.
Rue Casimir-Périer vue de la rue Saint-Dominique.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 7e
Quartier Invalides
Début 31, rue Saint-Dominique
Fin 124, rue de Grenelle
Morphologie
Longueur 230 m
Largeur 13 m
Historique
Dénomination 1839
Géocodification
Ville de Paris 1580
DGI 1589
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue Casimir-Périer
Géolocalisation sur la carte : 7e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 7e arrondissement de Paris)
Rue Casimir-Périer

Situation et accès

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La rue Casimir-Périer (à gauche la basilique Sainte-Clotilde).

La rue Casimir Périer est une voie publique située dans le 7e arrondissement de Paris. Elle débute au 31, rue Saint-Dominique et se termine au 124, rue de Grenelle. Elle longe la basilique Sainte-Clotilde et le square Samuel-Rousseau.

Le quartier est desservi par les lignes 12 et 13 aux stations Varenne et Solférino.

Origine du nom

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Casimir Périer.

Elle a été nommée en hommage à Casimir Perier[1] (1777-1832), homme politique du début du XIXe siècle.

Historique

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La rue Casimir Périer a été ouverte en 1828 sur les dépendances des couvents de Bellechasse et des Carmélites, dont la vente avait été effectuée par le domaine de l’État dans le courant du mois de juin de la même année. Elle a reçu son nom actuel par décision royale en date du [2].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

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  • No 3 : le philosophe et peintre Louis Cattiaux ouvre en 1932 une galerie d'art sous le nom de Gravitations. C'est là qu'il peindra la majorité de ses œuvres et qu'il rédigera son œuvre maîtresse : Le Message retrouvé[3].
  • No 5 : immeuble de logements construit en 1913[4] ; on peut lire à son propos, dans le Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris du 27 avril 1920, l’appréciation suivante : « Au no 5 de la rue Casimir-Périer s’élève une façade contemporaine, puissamment modelée dans la masse et très étudiée dans ses détails due à M. Gabriel Brun et qui contraste heureusement avec la pauvreté de ses voisins »[5].
  • No 6 : Richard Wagner et Cosima von Bülow s'y rencontrent pour la première fois en [6].
  • No 9 : le poète Charles Guérin y habite de 1900 à 1906, comme le signale une plaque en façade.
  • No 13 : absence du numéro 13.
  • No 27 : la comtesse de Ségur y meurt le . Elle s'y était établie l'année précédente[6].

Références

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  1. Alors que le nom de Perier est souvent orthographié sans accent sur le premier « e », la même lettre est généralement accentuée dans le nom de la rue (voir le cadastre informatisé sur http://cadastre.gouv.fr ou la fiche consacrée à cette rue dans la base de données des rues de la Ville de Paris). Larousse et Universalis l'écrivent sans accent, au contraire de la BnF.
  2. Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments, p. 536 (consulter sur Wikisource).
  3. « Beya Éditions - Biographie de Louis Cattiaux », sur www.beyaeditions.com (consulté le ).
  4. « 5, rue Casimir-Périer », sur pss-archi.eu.
  5. Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, 27 avril 1920
  6. a et b « Rue Casimir-Périer », www.parisrevolutionnaire.com (consulté le 19 janvier 2012).

Annexes

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Article connexe

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Liens externes

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