Pujo-le-Plan

commune française du département des Landes

Pujo-le-Plan (en occitan Pujòu e Lo Plan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Pujo-le-Plan
Pujo-le-Plan
L'église Saint-Martin de Pujo.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Villeneuve en Armagnac Landais
Maire
Mandat
Florence Lesparre
2020-2026
Code postal 40190
Code commune 40238
Démographie
Gentilé Pujolais, Pujolaises
Population
municipale
614 hab. (2021 en évolution de −2,54 % par rapport à 2015)
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 51′ 45″ nord, 0° 19′ 51″ ouest
Altitude 73 m
Min. 51 m
Max. 116 m
Superficie 18,51 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Mont-de-Marsan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Adour Armagnac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Pujo-le-Plan
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Pujo-le-Plan
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Pujo-le-Plan

Géographie

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Situation

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Pujo-le-Plan est à 4 km au sud-sud-ouest de Villeneuve-de-Marsan et à 12 km à l'est de sa préfecture Mont-de-Marsan[1],[2].

Le parc naturel régional des Landes de Gascogne est à 18 km au nord-nord-ouest[1].

La commune est traversée par l'autoroute A65 Langon - Pau[1], mise en service fin 2010. L'entrée-sortie d'autoroute la plus proche est à 16 km au nord au péage du Calloy (sortie no 4) sur Gaillères. Vers le sud, 'entrée-sortie la plus proche est la no 6 à Aire-sur-l'Adour, à 19 km[2]. Une entrée-sortie no 5 proche de Villeneuve-de-Marsan a été prévue avant la fin de la concession en cours en 2021.

Le GR 654 ouest (voie verte) traverse la pointe nord-ouest de la commune[1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Artassenx, Bougue, Castandet, Laglorieuse, Maurrin, Perquie, Saint-Cricq-Villeneuve, Saint-Gein et Villeneuve-de-Marsan.

Géologie, relief

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Hormis les basses terrasses[Note 1] du fond de la vallée du Ludon faites de galets et sables (« Fx »[5], en gris clair sur la carte géologique[6]), et les alluvions récentes de graviers, galets et sables (« Fy-z »[7], en blanc[6]) encaissées dans les alluvions des basses terrasses, la commune est pratiquement entièrement installée sur les « sables fauves » typiques du bassin aquitain, de couleur ocre et plus ou moins hématisés (« m4 »[8], en jaune à pois rouges sur la carte géologique[6]).

On trouve aussi quelques petites formations de glaises bigarrées (argile plastique versicolore) datant du Miocène supérieur (« m5 »[9], en jaune avec des tirets horizontaux[6]) ; dont une de 34 ha[6] au nord de Carnette[1], une autre de 11,8 ha à environ 1 km au nord-est de Nauton (à cheval sur la limite de communes avec Villeneuve)[6].

Altitudes

La formation de glaises bigarrées au nord de Carnette est aussi le point le plus élevé de la commune, avec une altitude de 116 m. C'est le seul endroit de la commune où se trouvent des vignes[1].

Le point le plus bas est à 51 m d'altitude, à l'endroit où le Ludon sort de la commune[1].

Hydrographie

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La commune est traversée dans le sens sud-est / nord-ouest par le Ludon, affluent de rive gauche (côté sud) du Midou et qui rejoint ce dernier à Bougue, la commune voisine au nord-ouest[1].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 992 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Grenade-sur-l'Adour à 12 km à vol d'oiseau[13], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 009,5 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Pujo-le-Plan est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle est située hors unité urbaine[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[18]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (60,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,6 %), forêts (26,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), zones urbanisées (1,5 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Pujo-le-Plan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Pujo-le-Plan est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[24],[25].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[26].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pujo-le-Plan.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 7,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 294 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 6 sont en aléa moyen ou fort, soit 2 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999

Toponymie

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Histoire

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Préhistoire

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Site gravettien au Hin de Diou

Le diagnostic d'archéologie préalable à la construction de l'autoroute A65 Langon - Pau a révélé un site de plein air daté de la fin du Gravettien moyen ou du Gravettien récent, au Hin de Diou[28], hameau situé en limite sur de la commune à environ 1,7 km au sud de la mairie[29]. L'exploration a révélé trois zones de concentration des vestiges. Une partie du matériel lithique est mise en relation avec des tessons de céramique non tournée attribués à une occupation résiduelle de la fin du Néolithique. Le niveau gravettien, correspondant au sables fauves, se serait mis en place après 26 000 cal. AP[30],[28].

L'ensemble du matériel lithique a été sourcé au sud-ouest de Pujo, avec des silex de type flysch provenant de sites dans les Pyrénées occidentales distants d'au moins 60 à 80 km, et des silex de Chalosse provenant d'Audignon, Bastennes et Tercis soit entre 20 et 60 km[28].

XVIIIe siècle

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La carte de Cassini montre un habitat rural relativement dense : les hameaux sont au moins aussi nombreux que de nos jours. À cette époque, Pujo est appelé Lijo. Un pont est signalé au village[31].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2020 Daniel Ducam SE Agriculteur
2020 En cours Florence Lesparre    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

En 2021, la commune comptait 614 habitants[Note 3], en évolution de −2,54 % par rapport à 2015 (Landes : 4,9 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9908058029311 0321 0379901 0601 053
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0871 0771 0779931 0109901 015927842
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
852834791668634605630534497
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
482419405476527544570578610
2018 2021 - - - - - - -
623614-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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  • Église Saint-Martin de Pujo.
  • Église Saint-Jean-Baptiste du Plan.
  • Villa gallo-romaine des Bignoulets, presbytère.

Personnalités liées à la commune

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Galerie

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Toutes les vallées principales des systèmes hydrographiques de la Garonne et de l'Adour sont caractérisées par cinq niveaux de terrasses alluviales, marquant les principaux niveaux d'écoulement de ces deux fleuves en corrélation avec les glaciations du Quaternaire[3] et connues sous les appellations de « nappe culminante » (Donau), « haute terrasse » (Günz), « moyenne terrasse » (Mindel), « basse terrasse » (Riss) et « basses plaines » (Würm)[4].
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d e f g h et i « Pujo-le-Plan, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
  2. a et b « Pujo-le-Plan », sur google.fr/maps. Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (dans l'onglet à gauche de l'écran, cliquer sur "Itinéraires").
  3. [Vialet 2019] Amélie Vialet, « Interruption dans le processus de transmission du savoir : exemple des grottes préhistoriques de Montmaurin (Haute-Garonne) fouillées par Louis Méroc (1904-1970) », dans Michel Sot (dir.), Pratiques de la médiation des savoirs, Paris, Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, , sur books.openedition.org (ISBN 9782735508983, lire en ligne), p. 4, paragr. 4.
  4. [Crégut-Bonnoure et al. 2010] Évelyne Crégut-Bonnoure, Nicolas Boulbes, Claude Guérin, Jacques Pernaud, André Tavoso et Raoul Cammas, « Le contexte géomorphologique et faunique de l'homme de Montmaurin (Haute-Garonne) », Préhistoires Méditerranéennes,‎ (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté le ), paragr. 25.
  5. [Capdeville et al. 1990] Jean-Pierre Capdeville, Patrick Andreieff (microfaune), Alain Cluzaud (macrofaune), Jean-François Lesport (macrofaune), Geneviève Farjanel (microflore) et Danièle Fauconnier (microflore), Notice explicative de la carte de géologie au 1/50000e « Mont-de-Marsan » no 951, Orléans, BRGM, , 41 p. (lire en ligne [PDF] sur ficheinfoterre.brgm.fr), p. 26.
  6. a b c d e et f « Pujo-le-Plan, carte géologique interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Géologie » activées. Les surfaces sont mesurées à l'aide de l'outil « Mesurer une surface » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
  7. Capdeville et al. 1990, p. 28.
  8. Capdeville et al. 1990, p. 16.
  9. Capdeville et al. 1990, p. 19.
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Pujo-le-Plan et Grenade-sur-l'Adour », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Grenade-sur-Ad » (commune de Grenade-sur-l'Adour) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Grenade-sur-Ad » (commune de Grenade-sur-l'Adour) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  18. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Pujo-le-Plan ».
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan », sur insee.fr (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. « Les risques près de chez moi - commune de Pujo-le-Plan », sur Géorisques (consulté le ).
  23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  24. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur landes.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  26. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. a b et c [Remicourt et al. 2010] Maxime Remicourt, Thomas Briand, Pascal Tallet, Paul Fernandes, Mathieu Rué, Aurélien Simonet, Amaranta Pasquini, Nicolas Fedoroff, Régis Picavet et Cyril Bernard, « Les occupations gravettiennes de Hin de Diou à Pujo-le-Plan (Landes) » (Rapport de recherche. Opération d'archéologie préventive du 05 octobre au 18 décembre 2009), Paléotime, SRA Aquitaine,‎ (lire en ligne [sur hal.archives-ouvertes.fr], consulté en ), p. 15.
  29. « Hin de Diou, à Pujo-le-Plan, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
  30. [Bertran et al. 2009] Pascal Bertran, Gisèle Allenet, Thierry Gé, Filipa Naughton, Philippe Poirier et Maria F. Sanchez Goñi, « Coversand and Pleistocene palaeosols in the Landes region, southwestern France », Journal of Quaternary Science, vol. 24, no 3,‎ , p. 259-269 (résumé). Cité dans Remicourt et al. 2010, p. 15.
  31. « Pujo-le-Plan, carte de Cassini interactive » sur Géoportail. Couches « Carte de Cassini » et « Cartes IGN classiques » activées.
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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