Poliénas
Poliénas est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Poliénas | |||||
La mairie en 2015. | |||||
Héraldique |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Isère | ||||
Arrondissement | Grenoble | ||||
Intercommunalité | CC Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté | ||||
Maire Mandat |
Lionel Argoud 2023-2026 |
||||
Code postal | 38210 | ||||
Code commune | 38310 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 147 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 82 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 14′ 59″ nord, 5° 28′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 178 m Max. 409 m |
||||
Superficie | 14,03 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Tullins (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Grenoble (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Tullins | ||||
Législatives | 9e circonscription de l'Isère | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Isère
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.polienas.saintmarcellin-vercors-isere.fr/ | ||||
modifier |
Géographie
modifierSituation et description
modifierLa commune de Poliénas est située dans le sud-est de la France, dans le département de l'Isère, dans l'ancienne province royale du Dauphiné, à 22 km à vol d'oiseau à l'ouest de Grenoble, 15 km au nord-est de Saint-Marcellin et 58 km de Valence et 73 km au sud-est de Lyon
Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Grenoble, dans l'unité urbaine et le bassin de vie de Tullins et dans la zone d'emploi de Voiron[I 1].
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Saint-Quentin-sur-Isère, Tullins, L'Albenc, Chantesse, Cras, Morette et La Rivière.
Cras / Morette | Tullins | Saint-Quentin-sur-Isère | ||
Chantesse | N | La Rivière | ||
O Poliénas E | ||||
S | ||||
L'Albenc |
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 14,03 km2 ; son altitude varie de 178 à 409 mètres[1].
Hydrographie
modifierLe territoire communal est sillonné de plusieurs cours d'eau dont l'Isère, un des principaux affluents du Rhône, qui borde le sud-est du territoire communal. et quelques rus ou ruisseaux qui sont tous ses affluents ou sous-affluents.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 002 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 915,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Poliénas est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tullins[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (75,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (35,4 %), terres arables (25,8 %), forêts (14,9 %), zones agricoles hétérogènes (12,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), zones urbanisées (3,5 %), mines, décharges et chantiers (2 %), eaux continentales[Note 4] (1,8 %), prairies (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
modifierEn 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 486, alors qu'il était de 450 en 2015 et de 438 en 2010[I 3].
Parmi ces logements, 93,8 % étaient des résidences principales, 2 % des résidences secondaires et 4,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,4 % des appartements[I 4].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Poliénas en 2020 en comparaison avec celle de l'Isère et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (2 %) par rapport au département (8,3 %) et à la France entière (9,7 %).
Typologie | Poliénas[I 4] | Isère[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 93,8 | 84 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 2 | 8,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 4,2 | 7,7 | 8,2 |
Voies de communication et transport
modifierLa route départementale 1092 (RD1092) dénommée ainsi entre Romans-sur-Isère et Voiron se dénommait avant son déclassement en route nationale 92. Cette ancienne route nationale qui reliait Genève à Valence jusqu'en 1974 traverse le bourg de Tullins et longe la partie nord du territoire de Poliénas du nord-ouest vers le sud-est.
L’autoroute A49 qui traverse le territoire de la commune est une voie routière à grande circulation, qui relie Romans (Valence) à Grenoble. Elle a été mise en service définitivement en 1992 et possède une aire de repos à son nom.
- Au nord : 11 Tullins
- Au sud : 10 Vinay
La gare de Poliénas, située sur la ligne de Valence à Moirans, est desservie par les trains TER Auvergne-Rhône-Alpes (relation de Chambéry à Valence-Ville).
Risques naturels et technologiques
modifierRisques sismiques
modifierL'ensemble du territoire de la commune de Poliénas est situé en zone de sismicité no 4 (sur une échelle de 1 à 5), en limite de la zone no 3 qui se situe vers l'ouest et le nord-ouest du département de l'Isère[13].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
---|---|---|
Zone 4 | Sismicité moyenne | accélération = 1,6 m/s2 |
Autres risques
modifierToponymie
modifierHistoire
modifierRévolution française et Empire
modifierEntre 1790 et 1794, Poliénas absorbe l'éphémère commune de La Roche-Montferrie[15].
Époque contemporaine
modifier-
L'église.
-
La maison-forte de la Marcousse
-
Une rue.
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Grenoble du département de l'Isère[I 1].
Elle faisait partie depuis 1801du canton de Tullins[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Tullins[I 1], porté de 10 à 13 communes.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription de l'Isère.
Intercommunalité
modifierPoliénas était membre de la communauté de communes Chambaran Vinay Vercors, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2013 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes dénommée Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté, dont est désormais membre la commune[I 1].
Liste des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierEnseignement
modifierLa commune est rattachée à l'académie de Grenoble. Elle compte une école primaire.
Équipement culturel et sportif
modifierPoliénas dispose de plusieurs infrastructures aux services de la population : une bibliothèque municipale[23] et des associations sportives : football, danse, yoga, tennis, terrain d'aéromodélisme…
Postes et télécommunications
modifierLa commune dispose d'une agence postale communale
-
La mairie et l'église.
-
École primaire et maternelle de Poliénas, juillet 2015.
-
Bibliothèque municipale de Poliénas, juillet 2015.
Population et société
modifierLes habitants de Poliénas sont les Poliénois et Poliénoises.
Démographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].
En 2021, la commune comptait 1 147 habitants[Note 5], en évolution de −0,26 % par rapport à 2015 (Isère : 2,71 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Médias
modifierHistoriquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Sud Grésivaudan, un ou plusieurs articles à l'actualité de la communauté de communes et du canton, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
Radios qui émettent sur la commune :
- France Culture : 89,2 FM ;
- Radio Millénium: 95,3 FM ;
- Radio ISA : 100,3 FM ;
- France Bleu Isère : 101 FM ;
- France Info : 105,4 FM ;
- HOT Radio : 102,1 FM ;
- NRJ : 103,1 FM / 96,2 FM;
- RMC Info : 106,1 FM ;
- France Musique : 107,2 FM ;
- Autoroute Info : 107,7 FM.
Économie
modifierLa commune est une productrice de noix de l'aire de l'appellation protégée noix de Grenoble. Elle a été très touchée par la tempête des 7 et , qui a détruit près de 4 000 noyers[27].
Le commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[28],[29].
- Commerce : épicerie le Bon'Esprit, salon de coiffure Tif coiffure ;
- Restaurant : l'Ombrage Rêvé ;
- Artisans : carrossier, paysagistes, BTP…
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Ruines du château fort du Châteauneuf, du XIe siècle[30]
- Ruines de la maison forte de La Marcousse, du début du XVe siècle[30],[31]
- « le château », ou maison forte des de Gobert, du XVe siècle[30]
- Église paroissiale dédiée à Saint-Jean-Baptiste, du XIIe siècle[30]
- Au Chaffard, les anciennes maisons en style Renaissance[30]
- Une maison bourgeoise, au Sud du village, conserve les traces d'une ancienne fenêtre à meneaux[30]
- Carrière
- Noyeraies (noix A.O.C. de Grenoble)
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique
modifierBlason | Parti d'or et de gueules, à trois écusson rangés 2 et 1 ; le premier d'azur à trois potence d'or ou béquilles de Saint Antoine posées 2 et 1, au chef d'argent portant l'inscription CHATEAUNEUF !, le deuxième d'or à trois guidons d'azur au chef surbaissé de gueules chargé d'un lion passant d'argent, au chef d'argent portant l'inscription BARONNAT, et le troisième parti d'or et de gueule à un lion de sable, le chef d'argent portant l'inscription LA MARCOUSSE[32]. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- « Dossier complet : Commune de Poliénas(38310) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
- « Poliénas » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Tullins, il y a une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- « Commune de Poliénas », Code Officiel Géographique au 1er janvier 2024, sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Poliénas ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Poliénas - Section LOG T1 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Poliénas - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans l'Isère - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Poliénas et Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Tullins », sur insee.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Grenoble », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
- Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Le Roche-Montferrie », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- « Les maires de Poliénas », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Arrêté ministériel du 15 novembre 1941 portant démission d'office », Journal officiel de l’État français, , p. 4950 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
- « Annette Guichard-Mahinc ne se représente pas », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne , consulté le ).
- B. P., « Le maire a signé sa lettre de démission », Le Dauphiné libéré, 18/3/2023 mis à jour le 8/4/2023 (lire en ligne , consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2020-2026 : Bernard Giroud, « Ces communes qui ont voulu garder leur maire », Le Mémo de l'Isère, (lire en ligne, consulté le ) « À Poliénas, une seule liste, conduite par Bernard Fournier, s’était présentée au 1er tour. Le scrutin avait été marqué par une participation faible (seulement 36,61 % de votants) et de nombreux bulletins blancs ou nuls ».
- B. P., « Le maire Bernard Fournier présente ses projets pour 2022 », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne , consulté le ).
- « Lionel Argoud devient le maire de Poliénas », Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné, (lire en ligne, consulté le ) « il a occupé les fonctions de troisième adjoint, puis de premier adjoint en charge des travaux et de l’urbanisme à partir de 2014 ».
- « Médiathèque de Poliénas », Annuaire des bibliothèques, sur culture.isere.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- F. Monteiller « La tempête des 7 et 8 novembre 1982 dans la Drôme et l'Isère », Études drômoises, (no)64, mars 1985, p. 40.
- Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
- Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
- Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 386-394.
- Diane Carron, « La Marcousse à Poliénas du XVe au XVIIe siècle : les aspects matériels et économiques d’un domaine noble en Isère », dans Patrimoines de l'Isère, La pierre et l'écrit : évocations / Patrimoines de l'Isère : environnement, culture, histoire, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, , https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01141180/document#:~:text=La famille des Chissé de la Marcousse&text=Originaire de Savoie, la famille,ou courriers de l'évêque., chap. 14, p. 119-148.
- Photo des armoiries de Poliénas File:Polienas Blason.jpg